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Sienna Miller jouait un petit rôle dans le film Strictly Criminal… mais le réalisateur Scott Cooper a dû se résoudre à couper sa participation.

A l’origine, Sienna Miller faisait partie de la distribution ahurissante de Strictly Criminal, composée notamment de Johnny Depp, Benedict Cumberbatch, Kevin Bacon, Joel Edgerton ou encore Dakota Johnson. Mais, dans une interview accordée au Boston Globe, le réalisateur Scott Cooper a avoué avoir dû sacrifier sur le banc de montage son personnage de Catherine Greig, la petite amie de Bulger (Depp), pour “des raisons narratives”. La comédienne, qui avait tourné deux semaines et qualifié ce rôle de “mineur” au sein de cette grande fresque criminelle, ne sera donc pas dans la version sortant au ciné… mais peut-être dans une version longue dévoilée plus tard (en DVD).

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Strictly Criminal narre l’histoire d’un des plus grands criminels de l’histoire moderne américaine, James “Whitey Bulger”, et sa traque par des agents des forces de l’ordre, obligés de lutter contre la corruption et l’implication des instances dans le business de Bulger. Le film sort le 25 novembre prochain au cinéma :

Strictly Criminal Bande-annonce VO

 

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L’idylle entre François Hollande Julie Gayet est au beau fixe. Quels sont les ressorts de ce couple si soudé, malgré les épreuves et les aléas de la vie politique ?

« Lorsque François Hollande décide de mettre un femme dans la lumière s’en est fini d’elle ». Ce sénateur socialiste avait tort en 2014. La belle histoire que vivent l’ex président et la comédienne Julie Gayet ne s’est pas étiolée. François Hollande, que ses proches savent si pudique et hostile aux effusions en public, savoure sans se cacher aujourd’hui chaque instant auprès de sa compagne. Cet été, ils ont même accepté de faire des selfies ensemble avec les badauds en marge de séances de dédicaces de l’ex chef de l’Etat.

Fini le temps où le président encore en exercice et sa compagne privilégiaient l’ombre. Ils ne se rendaient jamais ensemble à un dîner, même chez des intimes. La comédienne s’arrangeait toujours pour décaler son arrivée et éviter les paparazzis.Pour leurs proches, si leur histoire perdure c’est avant tout car ils partagent tous deux une même philosophie de la vie. « Si elle s’engage à fond dans son travail, Julie est très facile à vivre avec ses équipe », raconte une rédactrice de mode, qui a œuvré à de multiples reprises avec la comédienne. Même constat pour les collaborateurs de l’ancien chef de l’Etat, qui ont toujours salué sa joie de vivre malgré un univers anxiogène. Bons vivants, ils ont le même goût pour les repas à la bonne franquette. François s’occupe alors de tout, raconte souvent sa fiancée, ravie de le voir à l’œuvre. Très famille, Julie s’est évertuée à associer les quatre grands enfants de l’ex président, comme ses deux fils, âgés de 18 et 19 ans, à leur nouvelle vie. Un fleuve tranquille loin des forts tourbillons politiques.

Crédits photos : Bestimage

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Découvrez la première photo du téléfilm The Wizard Of Lies: Bernie Madoff And The Death Of Trust, qui voit Robert De Niro incarner le sulfureux financier Robert Madoff.

Dans le téléfilm HBO The Wizard Of Lies: Bernie Madoff And The Death Of Trust, l’acteur Robert De Niro incarne le sulfureux financier Robert Madoff, l’escroc de Wall Street condamné en 2009 à 150 ans de prison pour avoir détourné près de 65 milliards de dollars. La première photo de l’acteur dans la peau de ce personnage hors normes vient d’être dévoilée. Vous pouvez la découvrir ci-dessous.

A noter que Michelle Pfeiffer, qui figure également sur le cliché, incarne la femme de Madoff dans le téléfilm réalisé par Barry Levinson.

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La hache de guerre est-elle complètement enterrée entre Cyril Hanouna et Yann Barthès ? Alors que les deux animateurs entament leur rentrée sur leur chaîne respective, le présentateur de Quotidien a récemment souhaité désamorcer les tensions.

Le début d’année 2018 a été marqué par des rivalités entre Yann Barthès de “Quotidien” et Cyril Hanouna aux commandes de Touche pas à mon poste. Deux talk-shows suivis par des plusieurs centaines de milliers de téléspectateurs chaque soir. Durant plusieurs mois, les célèbres animateurs se sont lancés des piques par le biais de leur chaîne respective. L’un sur TMC, l’autre sur C8. Et si la rentrée rime avant nouveaux projets, elle peut aussi être l’occasion d’enterrer la hache de guerre (ou presque). C’est en tout cas ce que semble souhaiter Yann Barthès comme en témoignent ses confidences dans une récente interview pour Le Parisien : “C’est une guerre à sens unique, a-t-il confié. Il est beaucoup plus obsédé par moi que moi je ne le suis par lui. Si vous vous souvenez bien, je n’ai rien dit sur lui l’année dernière. Tout ce que j’espère, c’est que nos émissions ne soient pas résumées en guerre Barthès-Hanouna, parce qu’il n’y a pas de guerre Barthès-Hanouna. Point final“.

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Pas certain cependant que les déclarations de Yann Barthès ne plaisent à Cyril Hanouna. Mais qu’importe, le collègue de Martin Weill est clair : il ne souhaite pas (ou plus) être assimilé à son principal concurrent : “Il n’y a pas de réconciliation à avoir, puisque je ne l’ai jamais vu de ma vie ! Je ne sais même pas s’il est grand ou s’il est petit. C’est comme si vous me disiez : ‘Pourquoi tu ne vas pas boire un coup avec Guy Lagache ?’ Ma vie ce n’est pas la télé…”

Crédits photos : BestImage

The Crow est le remake de l’impossible. Repoussé encore et encore, les acteurs partent les uns après les autres du projet, et c’est à présent le réalisateur Corin Hardy qui pourrait laisser le projet en plan.

Le projet The Crow perd ses plumes les unes après les autres. Après les départs successifs de Luke Evans puis Jack Huston pour incarner Eric Draven, c’est le réalisateur Corin Hardy qui pourrait partir. Le film est produit par Relativity Media qui a récemment fait faillite, et le contrat avec Hardy pourrait en pâtir.

Un peu de détails

Relativity a acheté les droits cinématographiques de The Crow (remake, prequel et suites) pour plus de 7 millions de dollars au producteur Edward R. Pressman. Ces droits resteront la propriété de Relativity si un nouveau film est produit dans un délai de trois ans à compter d’aujourd’hui. Autrement, ces droits reviendront à Pressman qui ira les vendre ailleurs.

The Crow sauvé des eaux ?

Rappelons qu’il y a un mois le créateur du comics The Crow annonçait que si Relativity ne pouvait plus suivre, il y a “une douzaine de studios à la porte pour s’emparer du projet”. Alors qui emportera la mise ? Warner ? Universal ? L’outsider Lionsgate ?

Pressman espère qu’il s’agira d’un studio capable de sortir le film dans de bonnes conditions (au moins 1000 écrans), et donc capable de mettre sur la table les 10 à 12 millions de dollars que coûterait une telle opération.

The Crow : un film maudit ?

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La jeune fille sage et discrète de l’ancien président des Etats-Unis ne cesse de gagner en confiance en elle. Depuis qu’elle a commencé ses études, Malia Obama s’illustre comme une jeune femme affirmée, pleine de joie de vivre. La preuve avec ce clip auquel elle a accepté de participer.

Malia Obama est peut-être la fille d’un ancien président des Etats-Unis, mais cela ne l’empêche pas d’être une étudiante comme les autres. La jeune femme âgée de 20 ans a fait sa rentrée à Harvard, prestigieuse école où ont étudié ses parents, et où elle s’est très vite fait des amis. Alors, forcément, quand ces derniers ont eu besoin d’elle, la fille de Michelle et Barack Obama n’a pas hésité une seule seconde. Elle a accepté de participer au clip musical d’un groupe de son école, les New Dakotas, leur offrant ainsi un très joli coup de pub.

Dans la vidéo du titre, qui s’intitule “Walking On Air”, à l’instar de nombreux autres élèves, elle passe une audition pour intégrer le groupe de rock. Vêtue d’un large sweatshirt noir et d’un bonnet, elle se déchaîne, chantant en playback et jouant de l’harmonica de la façon la plus rock’n’roll possible. Ses apparitions ne durent que quelques secondes, mais elles suffisent à marquer l’esprit : on sent que la Malia Obama s’éclate à jouer les actrices d’un jour.

Au final, les deux apparitions de la jeune femme ont été coupées au montage du clip final. Mais le site américain TMZ a néanmoins pu se procurer la vidéo pour permettre au monde entier de découvrir la prestation de la fille aînée des Obama. Une chose est sûre, sa renommée a permis aux New Dakotas de se faire connaîre auprès du grand public. Les membres du groupe, Alasdair MacKenzie, Chris Haley, Scott Roberts et Juan Carlos Fernandez del Castillo, doivent se réjouir d’avoir une star pour les soutenir.

Crédits photos : Capture d’écran TMZ

Kill Your Friends est une plongée sans concession dans l’industrie du disque des années 90 au moment où la britpop explose. Nicholas Hoult est le héros du film, jeune loup accro à la cocaïne et aux dents qui rayent le parquet.

Kill Your Friends retrace l’histoire de Steven Stelfox (Nicholas Hoult), un jeune producteur de musique de 27 ans cupide, ambitieux et sans scrupules traquant les nouveaux talents susceptibles de lui rapporter un maximum d’argent. Nous sommes en 1997 et le mouvement britpop est en pleine expansion. Les Spice Girls cartonnent, Blur, Radiohead ou Oasis explosent, l’époque est synonyme d’excès en tous genres et voit nombre de producteurs avides faire main basse sur toute l’industrie musicale pour la transformer en une gigantesque usine à divertissement.

Derrière la caméra, on retrouve Owen Harris qui signe avec Kill Your Friends son premier long-métrage. Le film est inspiré d’un livre de John Niven, ancien producteur de musique anglais qui balance tout ce qu’il a pu voir comme comportements inhumains et terribles lors de ces années passées à gangréner lui-même l’industrie musicale.

Dans l’extrait ci-dessus, on se rend compte de la manière dont les choses fonctionnaient entre ces dénicheurs de talents, sous l’emprise de la cocaïne, entourés de prostitués et gonflés d’un ego surdimensionné. On peut donc voir Nicolas Hoult pénétrer dans un antre du vice et du péché pour y rencontrer Rudi, incarné par un Moritz Bleibtreu complètement barré. Ce dernier lui présente un nouveau tube qu’il a déniché d’une manière…particulière. On peut déjà déceler dans ce court extrait les influences de Danny Boyle (Trainspotting) et de Bret Easton Ellis (American Psycho), Hoult incarnant une sorte de Patrick Bateman british. Kill Your Friends sort sur les écrans français le 2 décembre 2015.

Let’s Rock’N’Roll !

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Près de deux ans après sa présentation au Festival de Cannes à la Semaine de la Critique, FLA – Faire l’Amour de Djinn Carrenard, le réalisateur de Donoma, sort en salles. AlloCiné a interrogé le cinéaste sur cette sortie “tardive”…

AlloCiné : Le film a été présenté à Cannes en 2014 et il sort en ce mois de février 2016. S’il n’est pas inhabituel qu’il y ait un délai entre la présentation en festival et la sortie publique, l’écart est particulièrement grand dans ce cas. Pourquoi a-t-il fallu attendre tant de temps avant de voir FLA ?

Djinn Carrenard : Salomé Blechmans et moi-même avons pris du temps afin de remonter le film, nous avons organisé des projection-test, laissé décanter les images, nous avons demandé l’avis de collègues réalisateurs, remis toutes les scènes du film au mur. Ce temps a été nécessaire afin d’arriver à une version avec laquelle nous étions définitivement en accord.

Quel a été votre état d’esprit durant ces deux années pendant lesquelles le film existait sans vraiment exister ?

Ce n’était pas véritablement deux années, le film a été présenté en mai 2014, il devait sortir en novembre 2014 avec un précédent distributeur, et puis finalement nous avons décidé de le sortir nous-mêmes début 2015. Pendant cette année j’étais très concentré sur le film, et puis je pensais aussi à mes futurs projets. Je pourrais dire que j’étais dans un état d’esprit de transition, car Donoma et Faire l’amour sont un diptyque expérimental, un nouveau cinéma s’ouvre pour moi dorénavant.

“Donoma” et “Faire l’amour” sont un diptyque expérimental, un nouveau cinéma s’ouvre pour moi dorénavant.

Si je me réfère aux informations à l’époque de Cannes et celles fournies pour la sortie, la durée du film est passée de 2h45 à 1h59. Là encore, un “remontage” de film après une projection en festival n’est pas exceptionnel. Mais là les coupes semblent importantes. Quelles ont été les motivations pour des changements aussi drastiques ?

J’aime bien expérimenter au cinéma. Pour Donoma, par exemple, j’avais fait 4 versions successives du film, la 4ème version avait été faite 2 jours avant la sortie en salles, alors même que le film avait déjà été visionné par la presse, qui l’avait aimé. Sur Donoma, j’avais été plus drastique, car j’avais même ajouté de nouveaux personnages entre les versions. J’ai été dans le même état d’esprit pour Faire l’amour : travailler mon oeuvre jusqu’à être complètement en accord avec ce que j’amène au public.

A quel point le film est différent de celui présenté à Cannes ?

Très différent. Il est plus concis, plus efficace, on y comprend aussi mieux mes intentions en tant que réalisateur. Je me suis rendu compte qu’il fallait sûrement être plus bref et didactique avec cette inhabituelle histoire d’amour qui met en scène un rappeur. J’ai décidé d’accompagner un peu plus mon public afin qu’il ne se perde pas dans cette vision pessimiste et urbaine de l’amour.

La nouvelle version de Faire l’amour est très différente, plus concise, plus efficace.

Après le succès (médiatique et critique) de “Donoma”, tourné en mode “guérilla”, “FLA” creusait ce même sillon, farouchement indépendant. Est-ce que vous pensez que, compte tenu de l’évolution de la distribution, des films de ce genre ont encore de l’avenir en salles ?

Je pense que, tôt ou tard, le cinéma effectuera sa révolution numérique. Comme dans l’univers des réseaux sociaux, des VTC ou des locations de logement, je crois qu’il arrivera des protagonistes modernes qui créeront un nouveau modèle qui bousculera tout le système tel que nous le connaissons. L’avenir en salles des films “guérilla” (ndlr : des films faits avec une logique de production beaucoup plus libre que le cinéma “traditionnel”) ne fait que commencer, car ils participent à la démocratisation du cinéma, cet univers tellement fermé que tellement de personnes veulent et doivent pénétrer.

Est-ce que l’avenir de ces films passe par un autre mode de diffusion ou de distribution ? Via le e-cinéma ou la SVOD par exemple ?

A l’heure actuelle, certains films sortent directement en DVD, cela ne dépend pas de leur budget ou de la façon dont ils ont été produits, mais de l’intérêt que l’on prête au public pour ces films. Je crois que Toy Story 2, par exemple, devait sortir directement en DVD. Ce sera la même chose pour les films “guérilla”. De plus en plus de films seront créés, une promotion de plus en plus efficace sera mise sur pieds afin qu’ils atteignent leur public. A ce moment, il se produira un effet de décantation, certains films ne sortiront pas en salles, parmi eux il y aura des films “guérilla” et d’autres non.

Tôt ou tard le cinéma effectuera sa révolution numérique.

Quel est votre prochain projet ?

Mon prochain projet c’est FYMO, une communauté qui promeut l’ouverture d’esprit. Je vais commencer par faire des courts métrages au sein de cette communauté, et par la suite tout ce que je créerai se fera dans le cadre de cette communauté.

“Faire  l’amour” sort en salles ce mercredi 3 février…

Faire l'Amour Bande-annonce VF

 

The Spaniard has admitted that he nearly took over at the Emirates two summers ago, but was pipped to the post by Unai Emery

New Arsenal boss Mikel Arteta has revealed that he was ‘close’ to taking the top job in the summer of 2018, after Arsene Wenger’s 22-year reign as manager finally came to an end.

However, former Sevilla and Paris Saint-Germain boss Unai Emery was appointed instead, and despite a promising start, he was sacked in November after a 2-1 defeat to Eintracht Frankfurt capped off a run of woeful form and poor football.

Arteta, 37, admits that it could all have been very different, as he was a strong contender for the post before Emery was hired, but concedes that it was not the right moment for him and that the experience he has gained since puts him in a better position now.

“I was a little bit close [to replacing Wenger],” Arteta admitted. “It wasn’t the right time. The right time came now. I’m glad I learned a lot from that experience. It was great to be part of the process. I was very prepared for this one and it helped.”

The Spaniard hailed his former coach for bringing him to Arsenal as a player and claims he would not be in this job if not for the Frenchman.

He went on to explain his vision for his time as head coach as he learns a new role in his career.

“I wouldn’t be sitting here if [Wenger] didn’t have the vision to join this incredible club.

“I have my ideas that I would like to keep for myself. I have to corroborate myself when I see them act and behave.

“I want to do things my way by convincing them that this is the right way. I want people who are comfortable with what I’m asking them to do.

“I want people who deliver passion and energy to the football club. Anybody who doesn’t buy into it is not good enough for this club and culture.

“I need to understand how they’re feeling, what they’re lacking. If I reach that point I can help them, they will trust me and follow me.”

Arteta also admitted that he was convinced by the stature of the club to take on what is a sizeable task of restoring Arsenal to the top of English football.

“Sometimes in this industry you can have a plan and an idea of how to develop. And then emotions get involved. When Arsenal knock the door, and it touches my heart, it makes it very difficult [to say no].

“It was a very difficult decision. But I felt the club needed someone to appoint. They were so convinced they wanted me that I said I have to take the challenge.”

Carla Bruni et Nicolas Sarkozy se sont mariés il y a 10 ans, en 2008, alors que l’ancien président était encore locataire de l’Elysée. L’ancien mannequin reconverti dans la chanson revient pour Gala sur sa relation avec l’homme politique.

En 2008, il y a dix ans, Nicolas Sarkozy, alors locataire de l’Elysée, surprenait le pays en se mariant avec Carla Bruni. L’ancien mannequin et croqueuse d’hommes, reconvertie dans la chanson avec succès, avait conquis le coeur du président de la République. Entre la belle brune longiligne à la voix de velours et le solennel chef de l’Etat, c’est l’amour fou. Un coup de foudre qui n’aura pas manqué d’étonner les Français, tant les univers des amoureux respectifs semblent opposés.

Dans les colonnes de Gala, en kiosques ce mercredi 1er août, Carla Bruni est revenue sur ce mariage hors norme, célébré sous les ors de la République, et leurs différences. “Quand on est un homme d’action, la mélancolie n’est pas une option. Et pourtant… J’ai choisi de l’épouser car j’ai toujours senti que, chez lui, le sentiment prenait le pas sur tout, nous avoue-t-elle. Je ne sais pas pourquoi on s’accorde à ce point. On est très différents : quand j’ai chaud, il a froid. Il se couche à 22 heures, quand je commence à composer…

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Malgré les divergences de leurs caractères, Carla Bruni et Nicolas Sarkozy s’aiment, indiscutablement. De leur union est née une fille, Giulia, âgée de 6 ans. “On s’est rencontrés au bon moment. Dans une vie, le timing est essentiel. Entre nous, il y a un équilibre, une force. Nous avons beaucoup de chance“, glisse la chanteuse dans nos colonnes.

Retrouvez l’intégralité de cette interview dans le nouveau numéro du magazine Gala, en kiosques ce mercredi 1er août.

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