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Think twice before you taunt your wife with ‘kali kaluti’ next time. The Punjab and Haryana high court has allowed a woman from Mahendergarh in Haryana to divorce her husband on the ground of maltreatment and cruelty.

The court accepted her plea that she was compelled to stay away from her husband because he would often taunt her about her skin colour in front of other people for not preparing food for him.

“Wife has been able to establish that she was maltreated and treated shabbily as a result of which she was compelled to stay away from the matrimonial home,” the court observed in its order given recently.

Le drame Carol, emmené par Cate Blanchett et Rooney Mara, réalise le meilleur démarrage parisien de ce mercredi 13 janvier avec 2384 entrées. Creed – L’Héritage de Rocky Balboa et Le Garçon et la Bête complètent le podium.

Rang Film Entrées* Nombre de copies* Moyenne par copie*

1
Carol
2 384
24
99
2
Creed : L’Héritage de Rocky Balboa
1 322
18
73
3
Le Garçon et la Bête
511
11
46
4
Mon maître d’école
509
16
32
5
Et ta soeur
473
13
36
6
Arrête ton cinéma !
452
10
45
7
Bang Gang (une histoire d’amour moderne)
358
11
33
8
Tout schuss
283
10
28
9
Randonneurs Amateurs
206
9
23
10
A second chance
126
6
21
11
Le 13e jour
54
1
54
12
Gaz de France
41
1
41
13
Ecrit sur du vent
40
1
40
14
Je suis le peuple
28
2
14
15
House of Time
15
1
15
16
Loin du paradis
2
1
2

Les actrice de “Carol” au micro d’AlloCiné :

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Carol : "Ces personnages sont volcaniques" selon Cate Blanchett, Rooney Mara et Todd Haynes

 

Iris Mittenaere collectionne les victoires. Mais parfois, il s’en est fallu de peu pour passer à côté de ses rêves. Dans son livre Toujours y croire, la miss revient sur ses chances et ces deux fois où son destin a basculé à une voix près.

Tout semble réussir à la belle Iris Mitttenaere. Elue miss France en 2016, puis miss Univers la même année, la jeune femme originaire du Nord-Pas-de-Calais enchaîne les succès. Depuis la fin de son règne, elle est devenue animatrice sur TF1 co-animant avec Christophe Beaugrand et Denis Brogniart l’émission à succès Ninja Warrior. Et en ce mois de novembre, la belle est à nouveau sous le feu des projecteurs avec un nouveau beau challenge à relever : sortir victorieuse de l’émission Danse avec les stars.

Il faut rappeler qu’à deux reprises, le destin d’Iris Mittenaere s’est joué à peu de chose, un petit coup de pouce pour que sa vie bascule. Dans son livre baptisé Iris Mittenaere, toujours y croire, la jolie jeune femme raconte comment la vie, parfois, peut jouer des tours. “Le jour des résultats, mon nom n’est pas affiché. Je suis effondrée, mais je pars l’après-midi même m’acheter un manuel pour travailler pendant l’été. Quelques jours plus tard, la fac m’appelle pour me dire qu’il y a une erreur et que je suis prise en dentaire. Je suis 89e sur 90 ! Je lâche mon livre, je pleure de joie et je me rends une semaine au Touquet avec mes amis” confie la jeune reine de beauté avec bonheur, se rendant compte de sa chance.

Et ce n’est pas la première fois que son destin bascule à une voix près : lors de son élection pour devenir Miss Flandre, une petite voix de plus lui a permis de remporter le titre ! La suite, on la connaît : miss Nord-Pas-de-Calais, miss France puis l’écharpe tant convoitée de miss Univers…

Crédits photos : Bestimage

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Rencontre avec l’équipe d’Encore heureux, une comédie joyeusement déjantée, sur fond de crise sociale. Nous nous sommes entretenus avec Sandrine Kiberlain, Edouard Baer et le réalisateur et scénariste Benoit Graffin.

AlloCiné : Comment expliqueriez-vous ce titre Encore heureux qui est assez ouvert ?

Benoit Graffin, réalisateur et scénariste : Encore heureux, c’est une expression un peu insolente. Et en même temps, c’est un peu la philosophie du film. C’est-à-dire : malgré le fait qu’il soit des victimes de la catastrophe sociale, ils arrivent à être encore heureux. En dépit du fait qu’on puisse être des victimes du chômage, de la précarité, du décrochage, on peut garder une certaine forme d’insolence, de liberté, de méchanceté. On a le droit d’être méchant. On a le droit d’être libre. Et surtout on a le droit d’être heureux.

Quand on voit le film, on a vraiment l’impression que vous avez écrit précisément avec ces acteurs en tête. Est-ce le cas ?

C’est vrai. J’ai tout de suite pensé à Sandrine [Kiberlain]. Et elle a lu le scénario et m’a rappelé 2 heures après, donc j’étais vraiment content. Quant à Edouard [Baer], j’ai écrit avec lui le nouveau film qu’il a réalisé (Ouvert la nuit). En écrivant avec lui, plus je le fréquentais, plus je me disais qu’ils iraient bien ensemble. J’ai toujours eu envie de faire un film avec lui. Il a cette politesse de panache, de folie, qui masque des fragilités.

Pour Sandrine, j’étais sûr qu’on l’aimerait et qu’elle serait toujours juste. Je me disais qu’on serait peut être un peu choqué par ce qu’elle dit par moment, mais jamais en désaccord, dans le sens où l’on décolle jamais de son personnage.

Un certain nombre d’années se sont écoulés depuis votre précédent long métrage (Café de la plage, en 2002). Est-ce parce que vous aviez envie de vous consacrer en priorité au scénario, ou peut être y-a-t-il des projets qui n’ont pas abouti ?

J’ai écrit beaucoup de scénarios, avec Pierre Salvadori (De vrais mensonges), Catherine Corsini (Trois mondes), Anne Fontaine (La Fille de Monaco)… L’activité de scénariste m’a passionné. J’adore écrire. Pour moi, écrire est une fête. J’aime bien être un peu dans l’ombre. Mais pour ce film-là, j’avais vraiment envie d’aller jusqu’au bout, surtout pour diriger ces acteurs, faire un film avec Edouard et Sandrine. C’est vraiment un film d’acteurs.

Edouard Baer

AlloCiné : Vous avez dit au sujet de Encore heureux que c’est un projet que « vous espériez depuis longtemps ». C’est-à-dire ?

Edouard Baer : C’est en voyant le résultat. Ca fait très longtemps que je n’ai pas été aussi fier d’un film. C’est une conjugaison de choses : le projet, des acteurs… C’est rare que le film sorti dépasse vos attentes. Parfois les résultats ne sont pas exactement ce qu’on espérait. Je suis très heureux de ce film.

Ca fait très longtemps que je n’avais pas été aussi fier d’un film

Je trouve que le sentiment est fort dans ce film. On ressent le sentiment que vit cette famille et c’est rare. Je trouve que les scènes drôles sont vraiment drôles, sur des choses comme j’aime, comme l’humour de situation, des choses de jeu, de regard, des riens, et pas des gags. Et puis, tout à coup, on finit par oublier qu’on joue dedans : j’y ai cru, j’ai eu envie qu’ils s’en tirent, que ça roule pour eux, j’ai eu envie de les connaitre… Et ça c’est formidable de quitter un film en ayant envie de rencontrer les personnages dont on raconte l’histoire.

Comment expliqueriez-vous ce titre qui est assez ouvert ?

Ce n’est pas une comédie sentimentale sur une rencontre amoureuse comme il y a beaucoup, sur le fameux coup de foudre, on se perd, on finit par aller sonner sous la pluie en disant finalement “je t’aime”… Ce n’est pas ça. C’est une comédie sentimentale de gens qui sont à un moment de crise, ils traversent tout ça ensemble et cette famille est encore heureuse.

C’est formidable de quitter un film en ayant envie de rencontrer les personnages dont on raconte l’histoire.

Est-ce qu’il y a une part de ce personnage qui vous ressemble ?

Ce qui me touche énormément chez lui, c’est comme ces gens qui arrivent à faire illusion quelques heures par jour même quand tout s’est effondré dans leur vie. Il n’a plus de boulot, il fait illusion à sa famille, mais il a besoin de ces heures pendant lesquelles il s’enferme, de redevenir un enfant et de s’enfermer dans cette tente qu’il a construit pour ses enfants.

C’est le fameux lieu commun : l’humour est la politesse du désespoir. Lui, il tient même s’il sait que c’est pour de faux. Il cherche encore à enchanter la vie des autres, même si lui est assez désenchanté. Même si la mécanique est un peu cassée, il continue.

Sandrine Kiberlain

AlloCiné : Le réalisateur nous a dit que vous aviez rappelé 2 heures après avoir lu le scénario…

Sandrine Kiberlain : Oui, ça, c’est tout moi !

Vous avez eu un coup de foudre pour ce scénario ?

Oui, je fonctionne toujours au coup de cœur. Quand c’est immédiat, c’est très bon signe. C’est vrai que parfois je referme le scénario en me disant “je ne veux pas qu’une autre le joue, je l’appelle tout de suite”. Mais, vous savez, nous on attend des bons scénarios. On est acteur, on attend que des beaux rôles arrivent, que des belles histoires arrivent. Quand ça arrive, c’est une joie de pouvoir dire immédiatement “oui oui oui”.

Je lisais au sujet d’un autre film, Elle l’adore, que c’était une scène qui vous avez fait craquer. Etait-ce le cas aussi pour Encore heureux ?

Je dis ça pour Elle l’adore mais ça a été un peu remanié. Elle l’adore, c’est l’ensemble aussi. Mais d’un seul coup, vous avez une séquence où vous vous dites, ça c’est vraiment une chance à saisir.
Il y a des rôles à saisir, des chances à saisir. De jouer une esthéticienne mytho qui est fan d’un chanteur, ça n’arrive pas tous les jours qu’on vous écrive un personnage pareil. Et dans Encore heureux, de jouer cette femme un peu rock’n’roll, qui tient sa famille, qui pique dans les supermarchés pour être battante pour quatre…

Je ne voulais pas passer à côté de ce personnage.Ca pourrait être ma pote. Elle est attachante, elle est drôle, elle a une vitalité incroyable.

Moi ce que j’aime par-dessus tout, c’est qu’elle aime son mec envers et contre tout, que ces gens-là s’aiment depuis des années, qu’ils traversent des épreuves, et c’est finalement rarement scénarisé ces choses-là. Soit c’est une rencontre amoureuse, soit c’est une rupture amoureuse, mais un couple ensemble depuis 20 ans, il n’y a pas beaucoup de films autour de ça. Et ce que j’adore, c’est qu’ils sont un peu sous terre, un peu à l’arrêt, ils n’ont plus d’argent, ils n’ont plus rien, il ne leur arrive que des situations extrêmes, et on a envie de les connaitre, on a envie qu’ils s’en sortent parce que les personnages sont très bien écrits et les situations aussi. Je ne voulais pas passer à côté de ce personnage.

Je trouve qu’elle est super, ça pourrait être ma pote. Elle est attachante, elle est drôle, elle a une vitalité incroyable. Elle se relève de tout. Elle est libre. Elle est aussi profonde et tellement sensible. 

Encore heureux – EXTRAIT "Supermarché"

 

Ce qui est très plaisant dans le film, comme vous le disiez, c’est cette idée qu’on a envie d’être avec eux, quoi qu’ils fassent, on ne les juge pas…

Parce que Benoit Graffin nous les fait aimer dès le début… Tout de suite, il dépeint sa famille dans sa folie. Toutes familles qu’on nous dépeint comme idéales, le quatuor, quand on vieillit, on s’aperçoit que la famille n’est pas qu’une carte postale. Quand on fouille un peu, chaque famille, chaque personne a sa folie. Là, ce qui est très bien montré, c’est l’intimité de cette famille. Tout de suite, on rentre dans cette famille où l’on sent que c’est vrai. Ils sont eux-mêmes, ils sont sincères, même dans les pires moments, on les aime tout de suite. 

Tout de suite, on rentre dans cette famille où l’on sent que c’est vrai. Ils sont eux-mêmes, ils sont sincères, même dans les pires moments, on les aime tout de suite. 

Ils se battent dans leur vie. Ce ne sont pas des gens qui foutent rien, qui restent assis et qui profitent du malheur des autres. Ce n’est pas du tout ce que raconte le film. C’est comment on se bat dans la vie quand on n’a plus les moyens, quand on est rejeté de la société. Je pense que les gens s’identifient beaucoup à cette famille, à ce couple. Et puis il y a de la baston, ça avance, c’est plein de vie, de rebondissements, d’énergie, de vitalité, tout ça…

La bande-annonce de Encore heureux de Benoit Graffin, actuellement à l’affiche

Encore Heureux Bande-annonce VF

 Propos recueillis au Festival de la comédie de l’Alpe d’Huez 2016

Patrick Bruel s’apprête à partir en tournée. Problème : ça va être compliqué pour lui de voir ses fils qui vivent à Los Angeles. En conséquence son aîné Oscar, 10 ans, à appelé la boîte de production afin d’organiser en emploi du temps conforme aux vacances scolaires californiennes. Un accord rapide est toujours préférable à un long conflit.

A 59 ans, Patrick Bruel a publié le 2 novembre un nouvel album baptisé Ce soir, on sort… porté par le single Tout recommencer. Un retour en force placé sous le signe de la régénérescence qui s’accompagne d’une grande tournée qui doit débuter en février 2019. Or, Patrick va se retrouver face à un cas de figure plutôt inédit pour lui : celui de parcourir les routes de France sans toutefois pouvoir voir ses fils Oscar, 14 ans, et Léon 12 ans qui vivent avec leur mère, Amanda Sthers, à Los Angeles. Une maman avec laquelle Patrick s’entend à merveille qualifiant souvent son divorce d‘”exemplaire”.

Raison pour laquelle l’aîné des fils de Patrick a mis le holà en passant un coup de film à la maison de production qui gère la tournée de son père.“Il a téléphoné à la production pour leur dire : ‘Ce serait bien que vous arrêtiez de mettre des dates pendant les vacances scolaires à Los Angeles, sinon mon père ne pourra pas nous voir.'” Une initiative qui a particulièrement ému l’auteur de Qui a le droit ? : “Je trouve qu’à 14 ans, c’était très joli de faire ça.”, résumait pas peu fier Patrick, à la faveur d’une interview pour TV Mag.

Depuis que son ex s’est installée en Californie, le chanteurrend visite à ses fils deux à trois semaines tous les deux mois. Avec cette tournée, ces rencontres pourraient fatalement s’espacer. A moins que l’ultimatum d’Oscar porte ses fruits et que la prod accepte un petit aménagement.

Crédits photos : BESTIMAGE

Claude Lelouch présidera la 41e cérémonie des César, qui se déroulera le 26 février prochain au Théâtre du Châtelet.

Alors que certains déploraient l’absence de nominations pour Un + Une, Claude Lelouch sera finalement présent d’une toute autre façon lors de la cérémonie des César. En effet, c’est lui qui succède à Dany Boon et présidera cette 41e édition. 

Une mission qu’il ne prend pas à la légère lui qui, pourtant, n’a jamais été récompensé par l’Académie au cours de sa carrière. Notons tout de même qu’en 1982, Les Uns les autres concourait dans 4 catégories, dont Meilleur Film mais c’est La Guerre du Feu de Jean-Jacques Annaud qui repart cette année-là avec la précieuse statuette.

Il faut croire que Lelouch n’est pas rancunier. Et puis, la présidence, ça le connaît ! C’est lui qui était à la tête du dernier jury de Gérardmer. Jury qui a décerné son Grand Prix au western Bone Tomahawk, en janvier dernier. 

=> De Psychose à Shining, Claude Lelouch dévoile son cinéma fantastique 

Animée par Florence Foresti, présidée par Lelouch donc, cette cérémonie des César s’annonce plutôt bien. Rendez-vous le 26 février pour en juger ! 

Et d’ici là, vous pouvez toujours vous ruer dans les salles pour découvrir Un + Une…

Un + une Bande-annonce (2) VF

 

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Proche de sa famille, Omar Sy a tenu à rendre hommage à l’une des personnes qui lui a le plus appris dans la vie : son papa.

Omar Sy est connu dans la France entière pour son talent et pour son humour. Impossible de l’oublier dans le SAV des émissionsau côté de Fred Testot, ou encore dans des films Intouchables ou Jurassic World. Aujourd’hui, le comédien est connu dans le monde entier, grâce à des longs-métrages tournés aussi bien en France que pour Hollywood, aux Etats-Unis. Certains auraient pu voir ce succès leur monter à la tête. Mais Omar Sy n’est pas de ceux-là. Lui n’oublie pas d’où il vient.

Sur Instagram, l’acteur a donc décidé de rendre hommage à l’homme qui lui a tout appris, celui qu’il admire le plus dans la vie : son papa, Demba Sy. Il a donc posté un magnifique cliché de lui et son père en pleine embrassade, avec un texte lourd de sens : “Mon père m’a donné le plus cadeau qu’on puisse offrir à son enfant, il a cru en moi. Merci Papa. Ta fierté est ma plus belle récompense.” Un message attendrissant qui a eu le mérite de profondément toucher les internautes.

Omar Sy n’a jamais caché son attachement à ses racines et surtout à sa famille. Le comédien est marié depuis plus de 10 ans avec Hélène Sy, la femme de sa vie, et n’hésite pas à raconter avec émotion le coup de foudre qu’il a eu pour la fondatrice et présidente de l’association CeKeDuBonheur. Le couple a cinq enfants, trois filles et deux garçons. Des enfants qu’il compte bien élever comme ses propres parents l’ont élevé : en les poussant vers l’avant pour qu’ils réalisent leurs rêves.

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Mon père m’a donné le plus cadeau qu’on puisse offrir à son enfant, il a cru en moi. Merci Papa. Ta fierté est ma plus belle récompense. #DembaSy #GrandQuelquun

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Crédits photos : VANSTEENKISTE STEPHANE / BESTIMAGE

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A quelques jours de la 88ème cérémonie des Oscars, une centaine de cascadeurs s’est réunie pour protester contre l’absence d’une catégorie les représentant.

Voilà qui a trop duré à leur goût : près de 100 cascadeurs se sont réunis ce mercredi 24 février devant les bureaux de l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences à Beverly Hills, pour protester contre leur absence aux Oscars, et tenter de mettre un terme à une injustice qui dure depuis 25 ans. “C’est une injure envers notre profession”, déclare auprès de Deadline Conrad Palmisano (Batman Forever, Transformers 3, 21 Jump Street…), lui-même membre de l’Académie. “Nous nous emparons de la page écrite pour y insuffler de la vie.”

“Les gens aiment l’action ; c’est pour ça qu’ils vont au cinéma. Sans être irrespectueux, qui va voir un film pour les coiffures ?” Alors que les cascadeurs ont grandement concourru à la réussite de Mad Max : Fury Road, nommé à l’Oscar du Meilleur Film cette année, ils comptent bien faire en sorte que l’Académie change d’avis et cesse de les exclure sous prétexte qu’il y a trop peu des leurs en son sein pour former un catégorie, comme le rapporte Palmisano.

Ils ont pourtant droit à un prix remis par le Syndicat des Acteurs :

Alors que seuls 3 cascadeurs ont été récompensés à titre honorifique, Conrad Palmisano estime qu’il suffirait “d’amender le règlement afin de permettre à un plus petit groupe de personnes de constituer une catégorie” ou d’offrir plus de places aux cascadeurs et cascadeuses, afin que ce problème soit réglé. Soutenus par une pétition signée par plus de 50 000 personnes, vont-ils réussir à faire plier l’Académie, qui a déjà pris des mesures fortes suites aux polémiques liées au manque de diversité parmi les nommés ?

Ils peuvent déjà compter sur Tom Hardy, qui a fait les interviews de “Mad Max” avec sa doublure :

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Alexander Vavilov (right), shown in 2010 with older brother Timothy, leave a federal court in Boston after a hearing for their parents, who worked for the Russian foreign intelligence service starting in the 1980s.

The Supreme Court of Canada ruled that the Canadian-born son of a Russian spy couple must be recognized as a citizen of that country.

The case involves 25-year-old Alexander Vavilov whose parents posed as Canadians under the assumed names of Tracey Lee Ann Foley and Donald Howard Heathfield beginning in the 1980s. In fact, they were Elena Vavilova and Andrey Bezrukov who worked for the Russian foreign intelligence service, the SVR.

The Russian couple’s story, and those of others in the spy ring, later would inspire the Emmy-nominated television series The Americans.

Vavilov’s parents left Canada, moved to Paris in 1994, and then to Cambridge, Mass., in 1999. In June 2010, they were arrested, charged as unregistered agents of a foreign government and eventually deported back to Russia in a spy swap.

Soon thereafter, Vavilov, in the midst of an identity crisis, began making efforts to maintain his Canadian citizenship and return there based on his birth in Toronto.

The Registrar of Citizenship denied his citizenship claim on the basis that he was ineligible because his parents had been employees or representatives of a foreign government. In Canada and the United States, children of foreign diplomats are not entitled to birthright citizenship.

In a unanimous 9-0 decision, the judges wrote that the Registrar had acted unreasonably under the law because Vavilov’s parents, as spies, did not enjoy diplomatic privileges and immunities.

“Because Mr. Vavilov’s parents did not enjoy such privileges and immunities, there would be no purpose in excluding their children born in Canada from becoming Canadian citizens,” the court concluded.

The judges also faulted the Registrar’s interpretation of the law in denying Vavilov’s claim to Canadian citizenship.

“With this victory comes the bitter realization of all the suffering I have had to endure to see my status as an ordinary Canadian restored,” Vavilov said in a statement through his lawyer. “For the better part of a decade, I was forced into exile from Canada. I was forced onto the public stage unwillingly and deprived of my ability to pursue a normal life.”

According to his lawyer, Vavilov intends to return to Canada. The Supreme Court’s ruling is also expected to apply to his older brother, Timothy.