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La relation entre David Hallyday et sa belle-mère, Laeticia Hallyday, est toujours loin d’être au beau fixe. Pourtant, le fils du rockeur a refusé d’évoquer cette dernière lors de sa récente interview. Un moyen d’apaiser la situation ?

Depuis plusieurs mois, et plus précisément la révélation du testament de Johnny Hallyday, dans lequel il a décidé de déshériter tous ses enfants, les relations sont compliquées entre la veuve du chanteur, Laeticia Hallyday, et ses beaux enfants, Laura Smet et David Hallyday. Ces derniers ont décidé de saisir la justice pour faire invalider le testament de leur père, rédigé sous le coup de la loi américaine. Les deux parties du clan sont donc officiellement en guerre. Mais le fils aîné du chanteur semble vouloir apaiser les choses, ou tout du moins, ne pas les envenimer.

Dans sa récente interview accordée au magazine Sept à Huit, il a longuement évoqué son père, son testament, leurs souvenirs… Sans jamais prononcer le nom de Laeticia Hallyday. Un moyen pour lui de rester digne, et de ne pas profiter de cette médiatisation pour relancer les conflits internes au clan Hallyday. D’ailleurs, il n’a pas non plus parlé d’argent, se contentant d’évoquer l’héritage moral de son père : “Beaucoup de gens parlent d’argent, mais un héritage, c’est la preuve qu’on a existé pour un parent, c’est surtout ça.” Lui veut pouvoir “avoir le droit de gérer son image, d’avoir en tout cas un droit de regard sur son image, et personnellement sur ce qui me liait avec lui, c’est-à-dire la musique et rien du reste.”

David Hallyday a d’ailleurs profité de l’occasion pour renouveler son affection envers ses petites soeurs, Jade et Joy. Même si leurs relations sont compliquées, notamment à cause de la procédure juridique en cours, il refuse d’oublier les deux fillettes : “Je demande simplement le droit moral de nous quatre. Que ce soit partagé entre nous quatre.”

Crédits photos : VEEREN / BESTIMAGE

A probe has been started against master conman Amit Bhardwaj for duping two businessman of Rs 4.4 crore and Rs 3 crore, respectively, on the pretext of selling them Bitcoin mining set-ups. The businessmen were promised 150% returns in lieu of their investment.

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Bhardwaj, a resident of Shalimar Bagh, was arrested by Pune Police from IGI airport in April. He is estimated to having duped over 8,000 people of around Rs 2,000 crore.

His name had earlier cropped up in the investigation conducted by Cyber Cell when they had busted a cryptocurrency gang run by two men, Kamal Singh and Vijay Kumar, who had duped around 2,500 people.

C’est un talent qu’elle aurait pu accompagner. Coach de The Voice Kids, diffusé ce 23 novembre, sur TF1, Jenifer nous avait caché que sa famille comptait un autre talent : son petit frère Jonathan. Découvrez ce jeune homme prometteur.

Mêmes visage volontaire, même regard pénétrant… et même sens du groove ! Dans la famille de Jenifer, demandez son petit frère Jonathan. A 32 ans, le jeune homme n’a plus l’âge de se présenter aux auditions de The Voice Kids. A trois reprises, il a de toute façon refusé de participer à la version adulte.“Ce n’est pas le chemin que j’avais envie d’emprunter, mais j’apprécie beaucoup le programme”, précisait-il à Closer, il y a un an. Effrayé par les affres de la célébrité qui n’ont pas épargné sa grande soeur? Sans doute. Et c’est probablement dommage : ce brun Niçois, qui a choisi de s’autoproduire et de faire connaître sa musique sous le pseudonyme Jooz, ne manque pas de talent.

Initié à la musique par cet oncle que pleure encore Jenifer et pianiste autodidacte depuis l’âge de 5 ans, Jonathan Bartoli souhaitait d’abord poursuivre une carrière de footballeur professionnel, mais une blessure au genou l’a détourné des pelouses. Retour aux claviers. Avec modestie. Sa première maquette, le cadet des enfants Bartoli l’a fait écouter à leur mère, sans préciser qu’il en était l’auteur-compositeur-interprète. «J’ai reproduit ce test sur d’autres proches, et à ma grande surprise, je n’ai eu que d’excellents retours. C’est ce qui m’a donné la force et le courage nécessaires pour voler enfin de mes propres ailes », plaidait Jonathan dans la même interview à Closer, en 2017.

Trois de ses morceaux – You Make me smile, Single man et Alive – ont déjà été mis en ligne sur les plateformes d’écoute et de téléchargement. Musique efficace, qui n’est pas sans rappeler les talents de mélodiste de Yodelice, alias Maxim Nucci, ex-compagnon de sa soeur et père de son neveu Aaron. Sans s’en rendre compte, les fans d’Amir ont déjà pu l’applaudir, alors qu’il assurait ses premières parties.

Crédits photos : Bestimage

L’Ours d’or de la Berlinale 2016 a été remis au documentaire italien Fuocoammare, centré sur la tragédie des migrants à Lampedusa. L’Ours d’argent de la mise en scène revient quant à lui à la cinéaste française Mia Hansen-Love pour le film L’Avenir.

La Berlinale 2016 a rendu son verdict ! Le jury présidé par l’actrice américaine Meryl Streep a fait un geste très ancré dans l’actualité en remettant l’Ours d’or du Meilleur film à Fuocoammare, documentaire italien signé Gianfranco Rosi, centré sur la tragédie des migrants à Lampedusa à travers le quotidien d’un garçon de 12 ans.

L’Ours d’argent de la mise en scène revient quant à lui à la cinéaste française Mia Hansen-Love pour L’Avenir. En salles le 6 avril prochain, le long métrage dernier raconte l’histoire d’une professeur de philosophie dans un lycée parisien, incarnée par Isabelle Huppert.

La palmarès de la 66e Berlinale :

Ours d’or du Meilleur film : Fuocoammare de Gianfranco Rosi

Ours d’argent – Grand Prix : Mort à Sarajevo de Danis Tanovic

Ours d’argent du Meilleur réalisateur : Mia Hansen-Love pour L’Avenir

Ours d’argent du Meilleur acteur : Majd Mastoura pour Hedi

Ours d’argent de la Meilleure actrice : Trine Dyrholm pour La Communauté

Ours d’argent du Meilleur scénario : United States of Love de Tomasz Wasilewski

Ours d’argent – Prix Alfred Bauer : A Lullaby to the Sorrowful Mystery de Lav Diaz

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Ours d’argent de la contribution technique : Crosscurrent pour la photographie de Lee Ping-Bin

Prix du premier film : Hedi de Mohamed Ben Attia

La bande-annonce de “L’Avenir” de Mia Hansen-Love, Ours d’argent du Meilleur réalisateur :

L'Avenir Bande-annonce VF

Hervé Vilard est un véritable séducteur, qui approche les hommes, mais aussi les femmes. Sa petite phrase pour charmer ses coups de coeur a été révélée par son ami le parolier Pierre Billon dans les colonnes de Closer ce vendredi 30 novembre.

En 1967, Hervé Vilard faisait son coming-out. Pour la première fois, un auteur-compositeur-interprète français se livrait sur son homosexualité. Il avait alors fait preuve d’une sincérité déconcertante, certains présageaient même que son honnêteté allait porter un coup à sa carrière. Il est revenu sur ces confidences 40 ans plus tard, en mai dernier, dans les colonnes du Parisien. “Même si j’ai connu quelques femmes, pourquoi mentir ? L’homosexualité n’est pas une maladie. Je n’aime pas porter d’étendard, mais je n’allais pas m’en cacher. C’est vrai qu’à l’époque, ça a choqué. Certains disaient : ‘Il ne fera pas carrière.’ Mais cela n’a évidement rien changé, car les gens n’en ont rien à foutre. Dans les années 1950, Trénet, Claveau, Mariano, Sablon, tous les chanteurs de charme en étaient”, a-t-il fait savoir, toujours aussi sincère.

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“Chanteur de charme” : il est vrai qu’Hervé Vilard avait, au sommet de sa carrière, un côté séducteur. Son ami Pierre Billon a révélé, dans les colonnes de Closer ce vendredi 30 novembre, sa tactique avec les personnes qui lui plaisaient, des hommes… mais aussi des femmes. “S’il a fait son coming-out en 1967, il ne se cantonnait pas aux hommes, abordant les filles d’un : ‘Moi qui ai toujours été attiré par les hommes, je ne sais pas ce qui m’arrive avec vous’“, a révélé le parolier et grand ami de Johnny Hallyday. Un sacré coquin cet Hervé Vilard.

Crédits photos : ALAIN GUIZARD / BESTIMAGE

Alors qu’il fera ses débuts sous les traits de l’Homme Chauve-Souris le 23 mars, avant de reprendre le rôle dans “Justice League” et d’autres films, Ben Affleck a révélé qu’il n’avait pas quitté le tournage de “Batman v Superman” les mains vides.

Ben Affleck compte-t-il se prendre pour Batman chez lui, histoire de répéter pour Justice League ou le film solo qu’il rêve encore de co-écrire et réaliser ? Si oui, l’acteur ne va pas manquer d’accesoires pour parfaire son interprétation, comme il l’a révélé lors d’une interview auprès de Première : “J’ai carrément piqué un des Batarangs”, explique-t-il. “Je l’ai mis dans ma poche en me disant que je l’avais bien mérité. Le mec des accessoires est venu le réclamer et je lui ai dit non.”

Qu’il aille se faire foutre Ben Affleck, qu’on me ramène le Batarang !

L’acteur s’est donc fait un cadeau à lui-même, en pensant qu’il avait “un ‘movie star pass’ pour ce genre de trucs”, ce qui a eu le don d’énerver l’accessoiriste en question, qui aurait ensuite déclaré : “Qu’il aille se faire foutre Ben Affleck, qu’on me ramène le Batarang !” Des faits dont Zack Snyder n’a visiblement pas tenu rigueur, puisqu’il a offert le grappin de Batman à son interprète, à la fin de tournage.

Ben Affleck les rapportera-t-il pour les prises de vues de Justice League, censées démarrer le 11 avril, ou pour les besoins de son aventure solo ? Réponse dans un prochain épisode, alors que Batman devrait également se montrer dans Suicide Squad (peut-être sans grappin, ni Batarang), comme la première bande-annonce l’avait révélé.

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Suicide Squad Bande-annonce VO

Dans un long entretien donné au Parisien à propos de sa dernière pièce Pourvu qu’il soit heureux dans laquelle il est question d’homosexualité, Laurent Ruquier a notamment raconté comment ses parents avaient accepté son orientation sexuelle.

Dans sa dernière pièce, Pourvu qu’il soit heureux, il est question d’un couple qui découvre l’homosexualité de son fils en feuilletant un magazine people. Une anecdote qui est véritablement arrivée à l’homme avec qui il a vécu pendant 15 ans et de laquelle Laurent Ruquier s’est inspirée pour imaginer les répliques de ses personnages. Interrogé par nos confrères du Parisien à propos de son propre “outing”, l’animateur a expliqué comment ses parents ont accepté son orientation sexuelle : “Je ne sais pas vraiment quand mes parents l’ont compris. J’ai révélé mon homosexualité sur scène, en 1997, dans un one-man show, mais je pense qu’ils le savaient déjà” a-t-il expliqué.En effet, à l’époque, Laurent Ruquier est régulièrement invité chez ses parents et il vient souvent accompagné de l’homme qui partage sa vie, sans que cela ne pose problème. Aucune question ne sera posée : “Ils me recevaient avec mon compagnon à la maison, sans qu’on n’ait jamais abordé ce sujet. C’est vrai que j’aurais bien aimé en parler avec eux, mais je ne peux pas leur en vouloir, parce qu’ils ne parlaient d’aucun sujet ! De toute façon, il ne faut jamais rien reprocher à ses parents. Ils ont toujours leurs raisons. Les miens ont été, à leur façon, très tolérants, surtout pour une famille provinciale et ouvrière”.

L’animateur d’On n’est pas couchéporte un regard très bienveillant sur ses propres parents, ainsi que sur ceux dont il est question dans la pièce : ” Dans certains milieux, on a du mal à comprendre l’homosexualité, parce qu’on n’y a jamais été confronté. J’ai moi-même vécu dans cette ignorance ! Je ne savais pas ce que c’était, et ce qu’on m’en montrait n’était pas très attirant. Ces représentations m’empêchaient d’assumer ce que j’étais”. C’est pour cela qu’il tente de faire changer les choses à sa façon, en essayant de “faire en sorte qu’on devienne indifférent à la différence”. Que ce soit sur RTL avec Les Grosses Têtes ou sur France 2, le journaliste n’en démord pas : il traite les couples homosexuels comme si “c’était banal”. Et compte bien faire changer les mentalités.

Crédits photos : Philippe Doignon / Bestimage

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Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? Les membres de notre rédaction vous indiquent les films à voir à la télévision. Au programme : Jean-Pierre Jeunet magnifie Paris, Fabrice Luchini fan de Johnny et Sean Connery chez Alfred Hitchcock.

« Permis de mater »

Chaque soir, la rédaction d’AlloCiné vous indique les programmes incontournables à ne pas rater.

Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet avec Audrey Tautou, Mathieu Kassovitz (D8, 20h50) : “Un feel-good movie bercé par la nostalgie et la beauté de Paris, d’une audace visuelle folle et accompagné par la musique magnifique de Yann Tiersen. Vu de très nombreuses fois, et c’est pourtant à chaque fois un plaisir.” Clément Cusseau

Pas de printemps pour Marnie Bande-annonce VO

Pas de printemps pour Marnie d’Alfred Hitchcock avec Sean Connery, Tippi Hedren (Arte, 20h50) : “Un classique de l’œuvre du maître du suspense Alfred Hitchcock et un des meilleurs aussi ! La mise en scène, brillamment maîtrisée, nous tient en haleine dès les premières images. Le scénario est captivant, très axé sur la psychologie des personnages. Tippi Hedren est bluffante en voleuse frigide et névrosée. Et Sean Connery prouve qu’il sait faire autre chose que se glisser dans la peau de James Bond. Une expérience cinématographique à vivre.” Pascal Muscarnera

Jean-Philippe Bande-annonce VF

Jean-Philippe de Laurent Tuel avec Fabrice Luchini, Johnny Hallyday (HD1, 20h50) : “Une comédie jouissive et enlevée, véritable cri d’amour lancé par Fabrice Luchini à son idole. Et preuve incontestable que notre Johnny national est aussi un grand acteur à ses heures perdues, jouant ici les cartes de la sincérité et de l’autodérision.” Guillaume Martin

« Permis de parler »

Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?
Qu’allez-vous regarder ce dimanche 20 mars ?

Pour retrouver l’ensemble des programmes, accédez directement à la grille en cliquant ici.

Bernard Tapie avait d’abord été atteint d’un cancer de l’oesophage. Avant qu’un autre diagnostic lui annonce qu’il devrait aussi faire face à un cancer de l’estomac. Pourtant, face à cette bataille, l’homme d’affaires de 75 ans reste philosophe et serein.

Depuis plus d’un an, Bernard Tapie mène une dure bataille. Celle de sa vie. L’ancien patron de l’Olympique de Marseille lutte contre un double cancer, oesophage et estomac. Très discret durant la première partie de son traitement, ce sont ses enfants qui donnaient régulièrement de ses nouvelles. Mais à présent, Bernard a repris des forces. Assez pour reprendre la parole et donner son avis sur la société et ses maux. Suffisamment aussi pour parler « du match de sa vie ». Invité à la matinale de France Inter, face à Lea Salamé, l’homme d’affaires de 75 ans répond sans esquiver : « Il continue, le coup de sifflet final, il n’y a pas… Il retentira bien un jour. »

Bernard mène un dur combat, une course de fond qui il l’espère l’amènera à la guérison. Eh attendant, il dénonce les travers de la société, surtout un qui l’agace au plus haut point. « Il y a une inégalité qui est insupportable. C’est qu’un prolo vit exactement huit ans de moins qu’une catégorie supérieure. Et ça, ça me sidère ! Si je suis allé soigner mon cancer à l’hôpital public c’était pour dire aux gens qu’à l’hôpital public, vous êtes largement aussi bien soignés que dans n’importe quel hôpital de stars. »

Au fil des mois, au gré de sa chimiothérapie, Bernard Tapie réfléchit. La maladie a changé beaucoup de choses dans son quotidien. Et dans sa vision de voir la vie. « On a tendance à se croire immortel. Et d’un seul coup, vous retombez sur Terre et vous vous dites ‘Ah merde, c’est vrai, je vais y aller un jour’. Mais moi ça me dérange pas. » Car oui, il n’a pas peur de la mort. A ses yeux, il a eu une belle vie et surtout, il peut être fier de ce qu’il laissera derrière lui; « J’ai des enfants, des petits-enfants, j’ai pleins de copains, et vous n’êtes pas sur Terre pour rester longtemps. (…) Quand vous partez, vous regardez derrière. Imaginez que vous regardez, il y en a qui pleurent, d’autres qui rient. Ben vous n’êtes pas mécontent d’avoir vécu. » Une philosophie qui le rend plus serein aujourd’hui.

Crédits photos : Agence/Bestimage

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Une nouvelle série Marvel dans les tuyaux, des infos sur la Paris Comics Expo, des images des Animaux fantastiques et de la Suicide Squad…

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Bienvenue dans FanZone, l’émission geek et héroïque d’AlloCiné. Au sommaire de cet épisode 581, une nouvelle série Marvel dans les tuyaux, des infos sur la Paris Comics Expo, des images des Animaux fantastiques et de la Suicide Squad…