Emmenez vos maris et vos femmes, vos compagnes et vos compagnons, vos amis, vos amies. Votre mère, éventuellement, vos soeurs évidemment: la création des Filles de Simone, qui se joue jusqu’à fin octobre au Théâtre du Rond-Point puis en novembre dans les Yvelines, est une merveille.

Devenir mère, cette catastrophe. Une ligne sur un test de grossesse. Elle veut que la ligne apparaisse, elle ne veut pas qu’elle apparaisse. Renoncer à sa liberté? Sûrement pas. Faire cet enfant, maintenant, absolument. Dans cette pièce, la comédienne joue une comédienne, enceinte, “c’est un peu me faire un enfant dans le dos, l’expression s’impose”, lui lance l’autre comédienne, qui joue la metteur(e) en scène. Crises de sanglots et angoisses, préparation à l’accouchement, venue au monde du bébé et les injonctions contradictoires se multiplient tandis que la vie du monstre procréateur, obscène quand elle évoque son épisiotomie, bascule. Perdues dans ce tumulte de questions et de doutes, les mères d’aujourd’hui convoquent Beauvoir, Edwige Antier, Yvonne Knibiehler, Badinter – “bad-inter”, mais aucune solution ne se fait jour, tout est à réinventer. “La femme est libérée mais la mère est piégée” clament-elles finalement et c’est vrai, car comme souvent, le privé est politique.

Dans C’est (un peu) compliqué d’être l’origine du monde, Claire, Tiphaine et Chloé racontent la maternité: les mères s’y reconnaîtront, bien sûr, les presque-mères, les pas-mères-par-choix, les pères aussi, bien entendu. On rit aux larmes – hilarante scène avec la sage-femme libérale alternative -, et l’on passe du rire aux larmes, aussi, dans ce spectacle envisagé comme une utopie de création théâtrale et pensé comme un cri de colère, où elles parviennent à réconcilier, expliquent les trois Filles de Simone, “la mère et l”artiste”.

Chloé, Tiphaine et Claire travaillent, disent-elle, dans “l’urgence de dire et la nécessité de faire”, à trois, vont et viennent du plateau à l’écriture, la recherche est permanente. On sent l’énergie qui circule sur scène, et bien au-delà ; d’ailleurs ne partage-t-on pas, dans cette petite salle du Théâtre du Rond-Point, des morceaux de placenta et quelques gobelets de lait maternel?

Crédits photos : Photographer:Giovanni CITTADINI CESI

Il a fallu beaucoup de courage à Jared Leto pour reprendre le rôle du Joker, sept ans après The Dark Knight et la performance de Heath Ledger. Dans le magazine Empire, l’acteur révèle combien ce rôle fut difficile – et douloureux.

« Il y a vraiment eu une période de… détachement. J’ai plongé assez profondément. » Non, Jared Leto ne parle pas de sa consommation de drogues : l’acteur évoque pour Empire la façon dont il a appréhendé le rôle du Joker dans Suicide Squad, qui sortira le 17 août prochain. Pour habiter son personnage, le successeur de Heath Ledger a notamment tenu ses confrères à distance – au point que Will Smith, qui a joué avec lui, assure encore aujourd’hui ne pas le connaître.”C’était une opportunité unique, explique Jared Leto, et je ne pouvais pas imaginer le faire autrement. C’était drôle, de jouer à tous ces jeux psychologiques. Mais c’était douloureux, comme donner naissance à travers mon pénis. Si vous n’enfreignez pas les règles, vous n’allez pas créer de nouveauté.“

Absent de la photo montrant tous les autres héros de Suicide Squad, très peu visible dans la bande-annonce (même s’il la conclue), Jared Leto en Joker se fait pour l’instant assez discret. Le réalisateur du film, David Ayer, se veut toutefois très rassurant sur sa version de l’ennemi juré de Batman. « Ce personnage est empreint d’une véritable puissance, explique-t-il. Et par un incroyable miracle, à travers les choses folles que Jared a fait, sans compter les choix esthétiques et tout le reste, nous avons créé quelque chose de transcendant. » Avant d’affirmer, plein d’assurance : « Oui, Jared Leto en Joker fait peur. » À vérifier l’été prochain en salles.

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Paris Hilton a été repérée à l’aéroport de Los Angeles par un paparazzi qui n’a pas froid aux yeux.

La vie de Paris Hilton est remplie de fête, de bijoux, d’amis, mais aussi… de paparazzis! À tel point que ces derniers entretiennent avec la bimbo une relation un peu particulière, allant même jusqu’à lui poser des question assez intimes. C’était le cas ce weekend, alors que Paris Hilton quitte Los Angeles après y avoir fêté Halloween. Dans l’aéroport, un des paparazzis part à l’assaut de l’héritière. “Je n’ai jamais vu de guerrière plus sexy que vous” commence-t-il, référence à son déguisement de ce weekend.

Puis, il tente le tout pour le tout. “Est ce que votre petit-ami vous a-il enfin demandé en mariage?” lance-t-il. Sans résultat. “Vous avez envie de vous installer avec cet homme et de vous marier?” continue-t-il. “Je suis vraiment très heureuse. Vraiment très amoureuse” répond Paris Hilton, tout sourire. Car le jeune femme s’est éprise depuis plusieurs mois d’Hans Thomas Gross, une multimillionnaire autrichien de 39 ans. C’est beau l’amour.

Le 20 novembre prochain sortira 25, le troisième album d’Adele. Dans une interview accordée au magazine Rolling Stone, la chanteuse s’est confiée sur la genèse de ce nouvel opus – et notamment sur l’importance de Madonna, qui lui a donné l’inspiration nécessaire.

Hello, le nouveau single d’Adele, bat déjà tous les records. Pourtant, sa création n’a pas été aisée : comme pour l’intégralité de l’album 25 dont il est issu, la chanteuse a eu bien du mal à trouver l’inspiration nécessaire à l’enregistrement de nouvelles chansons. En cause : la naissance de son premier enfant, notamment, qui a perturbé son processus artistique.

« Je partais dans tous les sens après avoir eu mon bébé, juste parce que mes hormones étaient au max ou des trucs comme ça, confie-t-elle au magazine Rolling Stone. Je partais à la dérive, et je n’arrivais pas à trouver des exemples d’artistes où je me disais ‘Putain, elles sont vraiment redevenues elles-mêmes, même après leur premier enfant’. Jusqu’à ce que quelqu’un me dise ‘Si, évidemment, Ray of Light‘. »

Ray of Light, le septième album de Madonna, est sorti en 1998. “Vous savez ce que j’ai trouvé génial avec ce disque ? C’est celui que Madonna a écrit après avoir eu son premier enfant, et pour moi, c’est le meilleur”, explique Adele. L’interprète de Hello a donc trouvé chez son aînée l’inspiration nécessaire à la création de 25. Un choix qui pourrait se révéler judicieux : Ray of Light avait permis à Madonna de remporter trois Grammy Awards (dont celui du meilleur album pop), et s’est vendu à plus de 20 millions d’exemplaires dans le monde.

Selon Ed Catmull, PDG de Pixar, le studio entend sortir un film original par an, en alternance avec une suite ou Prequel, comme c’est déjà le cas pour “Monstres Academy”, en salle chez nous le 10 juillet prochain.

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Avec une régularité de métronome suisse, le studio Pixar délivre des longs métrages qui tirent quand même nettement par le haut les productions en images de synthèse. Et ce n’est pas leur 14e film, Monstres Academy, en salle le 10 juillet prochain chez nous et conçu comme un Prequel à Monstres & Cie, qui inversera cette tendance. Ed Catmull, PDG de Pixar, a tenu à expliquer noir sur blanc la politique du studio en matière de longs métrages pour les années à venir. Désormais, le studio vise un long métrage original par an, en alternance avec une suite (ou Prequel…) les années suivantes. Un plan déjà à l’oeuvre avec Monstres Academy donc, qui sera suivi prochainement par une création originale, The Good Dinosaur; un autre film original avec The Inside Out, puis la suite du Monde de Nemo avec Le Monde de Dory, prévue pour 2015.

avec Buzzfeed

Suite aux attentats du 13 novembre, U2 avait été contraint d’annuler les deux concerts prévus à l’Accorhotels Arena de Bercy le week-end qui suivait. Ce n’était qu’un simple report puisque le groupe irlandais sera de retour début décembre.

«Nous musiciens sommes visés directement et je pense notamment aux Eagles of Death Metal. Nous allons tout faire pour aider le groupe et ses fans. Le visage de la musique a changé du jour au lendemain». C’est par ces mots que Bono avait réagi au lendemain des terribles attentats qui ont frappé Paris le 13 novembre dernier.Après avoir joué deux soirs à l’Accorhotels Arena de Bercy, le groupe avait dû annuler les deux derniers concerts parisiens inscrits au planning de la tournée Innoncence + Experience Tour. Mais il ne s’agissait que d’un report et, bonne nouvelle pour les fans, les Irlandais seront de retour dès le mois de décembre.

Live Nation vient en effet d’annoncer que deux nouvelles dates avaient été programmées,les 6 et 7 décembre prochain. Les détenteurs de tickets pour le concert du 14 novembre pourront accéder à celui du 6 décembre, ceux qui avaient des entrées pour le 15 novembre auront accès à celui du 7 décembre. Et si certains spectateurs ne peuvent plus se rendre aux nouvelles dates, ils devraient pouvoir se faire rembourser jusqu’au 30 novembre.

Si Bono et sa bande n’avaient pu honorer ses concerts, ils s’étaient rendus devant le Bataclan au lendemain de la fusillade, afin de se recueillir et rendre hommage aux victimes. Depuis Dublin, où U2 a poursuivi sa tournée et rendu hommage aux victimes, Bono avait déclaré à propos du 13 novembre: «Pour une nuit , les tueurs ont pris vie, ont pris la musique, ont pris la tranquillité d’esprit -mais ils ne pouvaient pas voler l’esprit de cette ville. C’est un esprit que notre groupe connaît bien et va essayer de servir quand nous reviendrons pour les spectacles reportés, le 6 et 7 Décembre. Nous allons donner le meilleur de nous-mêmes pour Paris». Les deux concerts devraient effectivement être chargés d’émotion.

Crédits photos : Kevin Mazur

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La fin de l’aventure “Le Hobbit” approche à grands pas ! Après Orlando Bloom ou Ian McKellen, ce sont en effet Luke Evans et – surtout – Martin Freeman qui ont bouclé leurs scènes respectives.

Final day in Middle Earth. Tomorrow, to Transylvania.

— Luke Evans (@TheRealLukevans) July 10, 2013

“Dernier jour dans la Terre du Milieu. En Transylvanie demain” : interprète de l’Archer Barde, Luke Evans a en effet terminé ses scènes du Hobbit et rejoint le plateau de Dracula : Year Zero, dont il tiendra le rôle principal. Après Orlando Bloom et Ian McKellen, l’acteur anglais a donc fait ses adieux à la Comté, suivi, peu de temps après, par Martin Freeman, alias Bilbon.

Bilbon voyage !

“Martin Freeman a tourné ce soir son dernier plan en Bilbon Sacquet”, a indiqué Peter Jackson sur sa page Facebook. “La fin de deux années et demi incroyables. Je ne peux imaginer personne d’autre dans le rôle – un personnage que Martin a nourri et façonné avec amour et une grande habileté.” Le réalisateur a d’ailleurs posté deux photos de l’acteur, dont l’une avec son partenaire de Sherlock, Benedict Cumberbatch (la voix du dragon Smaug), dont l’aventure s’achèvera cette semaine, quelques jours avant la fin officielle du tournage. Résultat(s) en salles le 11 décembre 2013 et le 17 décembre 2014.

Maximilien Pierrette

Martin Freeman seul… – © Peter Jackson

… et avec Benedict Cumberbatch – © Peter Jackson

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La fille de Jean Dujardin s’appellera donc Jeanne Dujardin. Un héritage un tantinet lourd à porter…

Donner le prénom d’un proche ou d’un parent à sa progéniture? On appelle ça « un prénom-hommage ». Et c’est ce que vient de faire l’acteur Jean Dujardin avec sa fille, Jeanne, née le 4 décembre dernier de ses amours avec la patineuse Nathalie Péchalat. Un choix qu’il n’a pas fait pour ses aînés : Jules Dujardin, 15 ans, et Simon Dujardin, 14 ans, issus de son premier mariage. Mais qu’il assume donc à travers la petite nouvelle venue au sein de la fratrie.

Si, jusqu’au XIXème siècle, voire au début du XXème siècle, les prénoms étaient traditionnellement transmis en référence aux grands-parents ou parents, et si les protestants anglo-saxons attribuent souvent au fils aîné le prénom du père en y ajoutant parfois « junior », cette filiation ne serait pas sans conséquence sur l’enfant. Des études américaines ont en effet démontré que lorsque les parents font ce choix, ils projettent souvent sur leur nouveau né le vécu de celui auquel ils réfèrent, avec une notion de réussite importante due à la volonté de répétition du prénom vécu comme un guide, le symbole d’un objectif à atteindre. L’enfant pourrait alors subir une sorte de pression à l’excellence, avec le risque de mal le vivre. Ainsi, selon le psychanalyste François Bonifaix, « on fait vivre la mémoire de quelqu’un à travers une autre personne et c’est une sorte d’exutoire des névroses des parents ».

Pour le professeur en psychologie sociale et cognitive Nicolas Gueguen, auteur du livre Psychologie des prénoms (éditions Dunod), le fait de posséder le même prénom que l’un de ses géniteurs pourrait même « constituer un facteur prédisposant à subir des maltraitances de sa part, celui-ci étant tenté de rejeter ses frustrations sur son double en junior ». Pour autant, ce constat ne freine personne. Le footballeur Cristiano Ronaldo a appelé son fils Cristiano Jr et Michael Jackson a prénommé son plus jeune fils Michael Jr. Mais la fatalité n’est pas toujours en faveur des aînés, si Franck Sinatra Jr n’a jamais eu la carrière de son papa, en revanche Robert Downey Junior a largement éclipsé le sien, Robert Downey Senior, producteur de films indépendants. Il est, depuis 2008 et son rôle dans Iron Man, un des acteurs les mieux payés du monde et son aura a depuis longtemps dépassé celle de son « dad ». Qui sait, donc, si la petite Jeanne Dujardin, elle, ne fera pas la carrière américaine que son papa –pourtant détenteur d’un Oscar- n’a pas réalisé…

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Dans le documentaire diffusé ce soir sur France 3, Céline se raconte et avoue avoir fantasmé sur Vanessa Paradis

On ne guérit jamais vraiment des blessures de l’adolescence. Le temps, l’expérience atténuent leur douleur mais parfois où détour d’un mot ou d’une photo, ils resurgissent… Pour la première fois dans le documentaire diffusé ce soir sur France 3 à 20h55, Céline Dion, la star planétaire, confesse qu’elle aurait voulu être Vanessa Paradis.

En commentant des photos de son passé, et surtout de ses débuts en France dans les années 80, elle avoue sincère: « Je rêvais à cette époque d’être Vanessa Paradis , de porter aussi bien le t-shirt et le jean qu’elle ». Ses complexes physiques rejaillissent. Maigre, cheveux frisés, dentition imparfaite, look improbable… Longtemps, Céline s’est sentie mal dans sa peau, enfermée dans un corps qui lui déplaisait. Alors la comparaison avec la Paradis, symbole de la beauté parisienne libre et moderne, était violente.

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À peine lancée, l’interprète de Joe le taxi avait déjà un style hors-norme, intemporel. Puis, elle incarnait l’adolescence qui ose s’affranchir, qui quitte ses parents pour vivre pleinement son histoire d’amour avec Florent Pagny, plus âgé qu’elle. Céline, elle, était chaperonnée par sa mère et aimait en secret René mais ne pouvait avouer ses sentiments. Autre femme, autre mœurs. Céline a longtemps envié la petite protégée deSerge Gainsbourg, sa vie, son sens du goût, ce petit supplément d’âme qui font l’élégance à la française. En cherchant à la copier, elle a fini par trouver sa voie… Le talent des grands.

Katia Alibert

Quelques heures après que la disparition de David Bowie a été rendue publique, Amanda Lear a été contactée par la chaîne iTélé. Elle se souvient de ses quelques temps passés au côté du chanteur.

Amanda Lear a une réputation très sulfureuse, et ne s’est jamais cachée d’avoir eu une vie amoureuse mouvementée. La liste de ses conquêtes est si longue que même les plus prestigieuses passent inaperçues. Ce matin pourtant, l’une d’elle se rappelle à notre bon souvenir: dans les années 1970, la star a vécu une histoire d’amour avec David Bowie, décédé ce 10 janvier 2016. Les journalistes de iTélé l’ont invitée à revenir sur cette rencontre étonnante.

Il y a quelques années, Amanda Lear plaisantait sur le look toujours ultra-travaillé de David Bowie: “Quand je vivais avec lui, il se maquillait plus que moi et salopait mes taies d’oreiller”. Ce matin c’est sur un ton plus grave qu’elle est revenue sur leur relation. Lors de leur rencontre au début des années 1970 n’est connue que pour son physique, mais le grand public ne sait pas qui elle est. Mais elle n’a pas échappé à David Bowie: “Il savait exactement ce qu’il voulait, c’est lui qui m’a draguée, il est tombé amoureux d’une photo et il a tout fait pour me rencontrer.”

Et elle a bien fait d’accepter cette entrevue improbable au milieu de la nuit, au domicile du chanteur, car c’est lui qui a lancé sa carrière. “Il a été le premier à me conseiller de chanter. Il m’a mise sous contrat, produit mon premier disque, payé mes cours de chant (…) je lui dois évidemment beaucoup dans ce domaine là.” Mais ce n’est pas tout. Autant David Bowie a reconnu à plusieurs reprises avoir beaucoup joué de sa bisexualité à des fins commerciales, autant il fait partie de ceux qui ont semé le doute sur la transexualité d’Amanda Lear. Or, si la rumeur lui colle toujours à la peau, elle est aussi une des raisons pour lesquelles la carrière de l’animatrice a décollé. Comme son mentor, elle était et reste un véritable objet de curiosité.

Certes, il est beaucoup question de relation professionnelle, mais Amanda Lear et David Bowie ont avant tout partagé une certaine intimité, et à ses mots on sent l’admiration de l’artiste polyglotte vis-à-vis de l’homme aux milles visages. “Il se droguait pas mal à l’époque, j’ai eu la chance de le connaître quand il était encore assez équilibré (…) On se voyait tous les jours, on parlait de musique, de peinture, de sciences… c’était quelqu’un différent des autres. Il sortait du lot. Il a tellement compté dans ma vie.”

Crédits photos : getty images

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