Dans une combinaison virginale, Kendall Jenner a fait monter la température à Cannes. La preuve en image.
Le soleil se fait timide sur la Croisette, pourtant Kendall Jenner nous a ébloui dans une combinaison d’un blanc éclatant, qui met en valeur son corps de liane. Arrivée avec sa maman, Kris Jenner, la toute nouvelle égérie Magnum s’est logiquement rendue avant toute chose au photocall de la marque de glaces. Interpellée par les nombreux fans et photographe, la belle brune y est allée d’un pas décidé, de jolies solaires aux montures papillons vissées sur le nez.
Entourée un temps de deux hommes que l’on n’identifie pas, elle baisse la tête et, le visage caché par ses longs cheveux, semble souffler un mot à son compagnon de droite. “Of course” lit-on sur les lèvres de son voisin, qui s’empresse alors de la laisser seule face aux photographes. Lui faisaient-ils de l’ombre?
Beaucoup de médias, à l’instar de Gala, n’ont pu être présents à cette arrivée en fanfare de la baby girl du clan Kardashian/Jenner. La raison? Par manque de place, les organisateurs ont décidé de… tirer au sort les journalistes autorisés à s’y rendre. Faute à pas de chance, nous n’avons pas pu y être, mais avons néanmoins tenu à vous montrer ces quelques images.
Suivez le procès de Nabilla Benattia en direct sur Gala.fr.
Ce jeudi, face au tribunal correctionnel de Nanterre, Nabilla Benattia comparaît et va tenter d’expliquer face au jury son geste dans la nuit du 6 au 7 novembre 2014 dans un hôtel de Boulogne-Billancourt. Elle est accusée de “violences volontaires avec arme” sur son compagnon Thomas Vergara après que ce dernier a été retrouvé poignardé au thorax, en sa compagnie. Nabilla avait été interpellée suite à cette altercation puis écrouée pour tentative de meurtre.
Aujourd’hui, la star de la téléréalité donne sa version des faits, en public et face à la justice. Dans l’audience, une vingtaine de journaliste et quelques badauds. Parmi eux, Voici qui rapporte que Nabilla “reconnaît une violence réciproque mais pas d’être une femme battue” et avoir “une relation toxique” avec son compagnon. Elle explique que c’est suite à “une querelle dans un taxi vers un hôtel à Boulogne” que “Thomas lui aurait arraché son portable”. Décrit comme jaloux, ce dernier n’avait pas apprécié la danse sexy de Nabilla sur le plateau de Touche pas à mon poste avec Gilles Verdez, révélait Le Parisien il y a quelques mois.
Une dispute s’ensuit. “J’avais peur de nos conflits, je n’avais pas peur qu’il me tape dessus”, affirme Nabilla, reprise sur Twitter par Johan Fontic, journaliste chez Public. “J’ai voulu faire peur, je n’ai pas voulu le blesser ! Je ne suis pas une meurtrière !”, poursuit-elle. “J’ai eu peur, raconte ensuite Thomas Vergara, on est deux humain, le coup est parti malencontreusement !”
“J’essaie de lui faire peur, se souvient Nabilla, on se dispute, on se tire et malencontreusement le couteau entre dans son corps”, rapporte Voici. Elle explique ensuite que ses nombreuses disputes avec son compagnon par “une pression médiatique constante”. Quant aux récits contradictoires de leurs familles respectives rapportés par les enquêteurs: “les deux familles en rajoutent, affirme Nabilla. On veut toujours sauver les siens… Avec Thomas on est un duo, on ne veut pas s’enfoncer”, écrit Loïc Torino-Gilles de Public.
Un récit qui correspond à la description qu’elle a fait de cette fameuse dispute, dans son livre Trop Vite, paru en avril. “Dans la folie du moment, j’ai ramassé un couteau pour lui faire peur. Mais Thomas n’a pas eu peur. J’ai ramassé ce couteau de cuisine. Pour dire: Stop! Maintenant ça suffit! On arrête tous les deux! Nous n’avons pas pu, ni lui ni moi. Trop vite. Trop tard. Couteau à la con. Si j’avais vu traîner une louche, j’aurais ramassé la louche. Thomas est venu vers moi quand même, et c’est parti en live. Tout trop grave. Il est venu sur moi, il m’a empoignée. Pendant qu’il tentait de me maîtriser, le coup est parti. Il est blessé à la poitrine. Ni lui ni moi ne sommes dans notre état normal.”
Ce matin, Nabilla l’affirme face au tribunal: elle a changé. C’est sa détention provisoire qui aurait provoqué “un gros choc et une remise en question”.
Depuis quelques mois —enfin— les médias font la part belle aux mannequins grande taille emmenées par l’avènement Ashley Graham. Elle n’est pourtant pas la seule célébrité à se ficher de ne pas rentrer dans un 36.
Avant Ashley Graham, les mannequins grande taille étaient gentiment cantonnés aux catalogues des rares enseignes ayant accepté de prendre en compte la demande de leurs clientes. Elles ne devenaient pas des it-girls, et quand bien même elles auraient réussi à se faire une place sur les red carpets, on les aurait suspectées d’être en réalité terriblement déprimées, voire déséquilibrées. Ashley Graham a changé la donne. Elle est la preuve, comme ses comparses Tess Holliday ou Clémentine Desseaux, que le bonheur n’a pas de taille, et si d’aucuns les accusent de promouvoir l’obésité, le fait est qu’elles font plutôt partie de celles qui aident les femmes à mieux accepter leurs formes.
Elle n’est pourtant pas la première à afficher ses rondeurs avec un sourire à tomber, à démonter l’hypothèse selon laquelle il faut être —ultra— mince pour être sexy. On pense bien sûr au charisme incroyable de Marianne James qui n’a jamais caché avoir connu sa période yoyo, mais s’assume aujourd’hui avec la joie de vivre qui la caractérise. Preuve encore que sortir des folles normes physiques du showbiz n’empêche pas les carrières d’exploser, le parcours improbable de Valérie Damidot, la pétillante décoratrice de M6 ou plus tôt, celui de notre Josiane Balasko nationale. Fruit décomplexé de cette génération de femmes libérées des diktats, Charlotte Gaccio en a même fait une pièce de théâtre, Enorme, ça ne s’invente pas.
En témoigne Jennifer Lawrence, pourtant loin d’être grassouillette, à Hollywood il n’existe que deux catégories de femmes: les ultrafines aux jambes fuselées et ventres plats bien musclés, et les autres, les obèses. Les premières flottent dans du 36, les secondes non. Plutôt que céder à cette absurde dictature de l’extrême minceur, certaines stars comme Mariah Carey, Kim Kardashian, Amel Bent ou Marilou Berry chérissent leurs corps et redoublent de bienveillance envers elles-mêmes. A voir ainsi ces callipyges épanouies, de plus en plus d’anonymes tendent à suivre leur exemple. Conscientes enfin que les images de corps filiformes dont on les inonde chaque jour ne sont que des exceptions, elles renoncent à s’affamer pour tenter de leur ressembler, et se décident finalement à emprunter le long chemin de l’acceptation.
Le samedi 28 mai, sur les planches du Théâtre de Paris, Muriel Robin a été victime d’un malaise. Le théâtre a publié un court communiqué indiquant le rétablissement de la comédienne et son retour prochain.
Elle était apparue un peu fatiguée il y a quelques semaines dans le fauteuil de Salut les Terriens où elle était invitée. Il faut dire qu’après le tournage des Malheurs de Sophie, de Christophe Honoré, en salles depuis le 20 avril, elle a immédiatement enchaîné avec la promo de son spectacle aux côtés de ses fidèles acolytes, Pierre Palmade et Michèle Laroque, puis Momo, la pièce de Sébastien Thiéry au Théâtre de Paris qu’elle joue avec François Berléand. C’est d’ailleurs au cours de cette pièce qu’elle a fait un malaise samedi 28 mai. Cela lui a valu une hospitalisation, mais des nouvelles rassurantes ont rapidement été données via les réseaux sociaux. “Suite à un malaise sur scène, je dois observer quelques jours de repos. Merci pour vos messages. Je vous embrasse. Mu” avait-elle publié dimanche.
On n’en savait pas tellement plus sur ce qui ressemblait à un simple coup de fatigue, et les fans pressés de la découvrir sur scène s’impatientaient autant qu’il s’inquiétaient de sa santé. Il y a quelques heures, le Théâtre de Paris a publié un communiqué assurant de la reprise du spectacle à compter du 15 juin “et jusqu’au 2 juillet”. Les responsables de l’établissement ont également confirmé à nos confrères de l’AFP le caractère sans gravité du malaise dont Muriel Robin a été victime.
Le 9 juin, TF1 proposait un immense show pour célébrer l’ouverture de l‘Euro 2016. Aux commandes, Alessandra Sublet, pétillante, n’a pas fait l’unanimité, notamment à propos de son moment Danse avec les stars.
Le 10 juin enfin, s’est ouvert l’Euro 2016 au Stade de France avec le premier match de la compétition qui opposait la France —victorieuse— à la Roumanie. La veille, un immense show a été organisé sur l’une des plus grandes fan zones de l’évènement, au Champ-de-Mars à Paris. Pas moins de 80000 spectateurs en liesse étaient là pour applaudir les stars venues encourager les joueurs, et 4,5 millions de téléspectateurs ont suivi la retransmission en direct sur TF1. Aux commandes ce soir-là, la pétillante Alessandra Sublet, dont le sourire et l’audace n’ont pas suffi à convaincre.
Rapidement occultées par la compétition en elle-même et les autres fails de la soirée, les réactions à la prestation de l’animatrice ont fusé sur les réseaux sociaux. Moquée pour ses lancements ratés ou encore sa façon très joyeuse d’ignorer totalement la réponse d’un jeune garçon qu’elle venait d’interroger, Alessandra Sublet s’est aussi offert un petit moment de gloire en justaucorps à franges qui n’a pas laissé indifférent.
Lancée par la voix off de Danse avec les stars, celle de Richard Darbois, l’animatrice de 39 ans a esquissé quelques pas de “salsa teintée de jive”. Allant et venant entre les bras musclés des danseurs, ses longues jambes parfaitement sculptées étaient ainsi mises en valeur et ça n’a échappé à personne. Sur Twitter, la plupart saluaient la plastique impeccable de la jeune maman de Charlie, 4 ans, et Alphonse, 22 mois, plaisantant sur le fait que cela pourrait provoquer des crises conjugales. D’autres en revanche ont réussi à mettre en lien les ratés de la soirée, comme la chanson de Will.i.am et la qualité du son, avec le physique d’Alessandra Sublet: “Le son est vraiment dégueulasse, il faudrait investir un peu moins dans le botox de Sublet et engager un vrai ingénieur du son.”
Qu’importent les critiques. Alessandra Sublet, de son côté, grande habituée des gaffes, a préféré se concentrer sur les retours positifs: “Merci à tous pour vos messages! C’était fou et j’ai tellement kiffé!” a-t-elle posté sur Twitter quelques heures après sa performance.
Le tournage se poursuit sur “Hercule”… et le colosse Dwayne Johnson continue de livrer des clichés exclusifs à ses followers.
La bataille des réseaux sociaux fait rage entre Dwayne Johnson et Vin Diesel. Alors que ce dernier a posté ce matin les premières photos de “Fast & Furious 7” sur sa page Facebook, l’ancien catcheur a contre-attaqué avec un cliché pris sur le tournage de Hercule.
Adapté du comic-book Hercules: The Thracian Wars de Steve Moore & Cris Bolsin, le film, signé Brett Ratner (l’homme derrière l’objectif sur le cliché), est attendu sur nos écrans le 27 août 2014.
Le 22e Festival de Sarlat se tient du 12 au 16 novembre 2013 en Dordogne. Au programme : une compétition de longs métrages français emmenés par “Angélique”, “Suzanne” et “Casse-tête chinois”, des courts métrages et une sélection Tour du monde de 20 films.
Sarlat, 22e ! La ville de Dordogne organise du 12 au 16 novembre son traditionnel festival de cinéma, entre avant-premières, compétition française, panorama de courts métrages et programme dédié aux lycéens (avec un coup de projecteur sur le film du Bac 2014).
En ouverture (et en compétition), la nouvelle Angélique (revisitée par Ariel Zeitoun) ouvrira le bal de la manifestation, et sera confrontée à quatre autres longs métrages français pour remporter la Salamandre d’Or : Casse-tête chinois de Cédric Klapisch, L’Amour est un crime parfait des frères Larrieu, L’Epreuve d’une vie de Nils Tavernier et Suzanne de Katell Quillévéré.
Egalement à l’affiche de cette 22e édition, une sélection “Tour du Monde” qui proposera notamment aux festivaliers les oeuvres cannoises Fruitvale Station, Only Lovers Left Alive, The Lunchbox ou Tel père, tel fils.
Plus d’infos sur www.festivaldufilmdesarlat.com
Nora Arnezeder est la nouvelle “Angélique”
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Vous connaissez certainement ces pubs mettant en scène des sosies ratés de plusieurs personnalité, dont Michel Polnareff. Et bien le chanteur n’a que peu goûté l’utilisation détournée de son image, jusqu’à gagner son procès.
On peut trouver les pubs Cetelem amusantes avec leurs sosies ratés et franchement losers de Marilyn Monroe, Elvis Presley ou Michael Jackson. Pas Michel Polnareff, qui a lui aussi son double dans les réclames.En 2015, le chanteur français portait plainte pour « atteinte au droit à l’image, au droit patrimonial et à la dignité dans le cadre d’une utilisation commerciale », réclamant 1,1 million d’euros à la compagnie de crédit en ligne.
Certes, le verdict que vient de rendre le tribunal n’atteint pas de telles sommes. Mais la banque PNB Paribas Personal Finance, gérant de la marque Cetelem, et l’agence de publicité TBWA devront verser 10 000€ pour utilisation d’image et 4000 euros de frais de justice au chanteur. Cependant, Le Parisien précise qu’ “aucune atteinte à la dignité ne peut non plus être caractérisée”.
Lors de son passage à l’émission C à Vous, sur France 5, l’avocat de Michel Polnareff avait argumenté : “C’est vraiment un handicap d’être associé à une banque quand vous n’en avez pas fait la démarche. Ce n’est pas une question d’argent. Ce n’est pas une question d’humour. On entend tout et n’importe quoi.”
Michel Polnareff, dont la tournée actuelle passera notamment à l’Olympia le 14 juillet, a fait son come-back en 2016 avec son autobiographie Spèrme, un premier titre studio depuis 2006, et un album en préparation.
A l’occasion de la sortie de “Planes”, qui se situe littéralement au-dessus de l’univers de “Cars”, retour sur ces personnages Disney qui sont sortis de leurs films originaux pour voler de leurs propres ailes…
Si l’aventureux Dusty, petit avion protagoniste de Planes, n’apparaissait ni dans Cars en 2006, ni dans sa suite en 2011, tout spectateur aura pu remarquer certains de ses homologues avions évoluer au-dessus des petites voitures et de leurs pistes de course.
Devant le succès sans précédent des produits dérivés de Cars, les producteurs ont donc décidé d’élargir leur univers et de partir en explorer les hauteurs, offrant à leurs petites voitures ce que l’on appelle un spin-off, et entretenant ainsi une habitude née chez les studios Disney il y a déjà de nombreuses années, et qui semble partie pour durer longtemps…
Pixar : des mini spin-off
Au sein de la maison Disney, les longs métrages Pixar sont notamment des spécialistes de ces clins d’œil adressés à l’un de leurs personnages secondaires. Difficile en effet de laisser partir à tout jamais des protagonistes tels que Jack-Jack (le bébé des Indestructibles) ou Doug (le chien parlant de Là-haut) sans leur adresser un dernier petit coup de projecteur.
C’est donc au moyen de “courts métrages spin-off” que les artistes ont remis quelques-unes de leurs créations sur le devant de la scène.
Les spectateurs ont ainsi eu la possibilité de découvrir les mésaventures de Jack-Jack et de sa baby-sitter, une mission inédite de Doug, une série d’aventures centrées sur Martin, la dépanneuse de Cars, sans oublier l’excellent BURN-E, centré sur un petit robot aperçu quelques secondes seulement au milieu de WALL•E…
Toy Story : Un spin-off ???
Toute mesure gardée, Toy Story lui-même peut également être considéré comme un spin-off de Tin Toy (1988), l’un des tout premiers courts métrages Pixar dans lequel évoluaient des jouets, et considéré comme le postulat de départ du tout premier long métrage de John Lasseter.
C’est en effet en reprenant la trame de Tin Toy que les artistes des studios Pixar ont commencé la création du tout premier film d’animation en images de synthèse… Il est donc tout à fait possible d’imaginer que le bébé que l’on voit dans le court métrage ne soit autre qu’Andy quelques années plus tôt.
Si les artistes Pixar s’essaient donc assez régulièrement à l’exercice du spin-off, ceux des classiques Disney ne sont pas en reste. C’est à partir des années 90, principalement dans des séries télé, que des personnages tels que Baloo du Livre de la jungle (devenu le pilote Super Baloo), Tic & Tac, Timon et Pumbaa ou encore l’hilarant Kronk de Kuzco, l’empereur mégalo, ont eu droit à une seconde jeunesse à l’écran.
Disney Toons : des spin-off sur grand écran
Sur grand écran, ce sont les studios DisneyToons (filiale des Walt Disney Studios, également à l’origine de Planes), qui se sont chargés d’offrir leur spin-off à quelques heureux élus. Certains personnages du monde de Winnie l’ourson ont ainsi eu droit à un long métrage ciné rien que pour eux (Les Aventures de Tigrou, Les Aventures de Porcinet,…).
L’éternel Dingo, partenaire impérissable de Mickey dans d’innombrables courts métrages, a également partagé l’affiche des cinémas avec son fils (Dingo et Max, 1995), tandis que plus récemment, la Fée Clochette, acolyte de Peter Pan, a fait fureur dans les salles (2012), en attendant de revenir l’année prochaine dans une toute nouvelle aventure (Clochette et la fée pirate).
Et après ?
Et lorsqu’on jette un petit coup d’œil vers l’avenir, force est de constater que la tendance se confirme, et vient même à se spécialiser. Certains personnages marquants de grands films d’animation semblent ainsi s’autoriser un pas de côté dans des adaptations live. C’est notamment le cas de l’inoubliable Maléfique, la sorcière de La Belle au bois dormant, qui sera bientôt incarnée par Angelina Jolie dans un film à son effigie, mais aussi de Cruella, la méchante des 101 dalmatiens.
Le phénomène s’étend d’ailleurs depuis peu aux filiales rachetées par Disney, offrant leurs propres spin-off aux personnages de l’écurie Marvel, et préparant minutieusement ceux qui mettront en scène les héros de la galaxie Star Wars…
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T.I.
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Vous avez toujours rêvé de vous habiller comme Prince, époque Purple Rain ? Il va falloir casser sa tirelire : les vêtements du musicien sont partis aux enchères pour plus de 170 000 euros (192 000 dollars).
Ils pensaient vendre le tout pour 15 000 euros – et en ont finalement récolté plus de 170 000. La vente aux enchères de vêtements de Prince menée vendredi 1er juillet a connu un succès phénoménal à Los Angeles, et pour cause : les habits proposés étaient ceux portés par le chanteur dans Purple Rain. Les estimations premières avaient par ailleurs été effectuées avant la mort de l’interprète de When Doves Cry : la vente était prévu depuis longtemps, et son décès le 21 avril dernier a fait monter les prix.
« C’est une coïncidence qu’il soit décédé de façon si malheureuse », a expliqué au Guardian Joe Maddalena, fondateur de la maison gérant la vente aux enchères. « Prince est particulièrement connu pour Purple Rain, c’est sa signature. C’est ce qui a fait sa carrière. C’est probablement dans ces vêtements qu’on se souviendra de lui pour toujours. Alors posséder une telle pièce de collection, c’est époustouflant – et c’est une sacrée opportunité ».
Chemise blanche et veste violette : toute la panoplie était disponible à la vente. Des objets récupérés par une maquilleuse ayant travaillé sur le film Purple Rain, et qui les a ensuite confiés à sa sœur. C’est cette dernière qui a décidé de les mettre en vente, pour le plus grand plaisir des collectionneurs fans de Prince, décédé d’une overdose.