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Quand Caterina Murino se met à nu…

January 14, 2020 | News | No Comments

C’est de chez elle en Sardaigne, plus précisément de la plage del Poetto, à Cagliari, où elle passe ses vacances, que l’actrice nous envoie quelques selfies – dont une photo avec son frère avocat, Stefano Murino. Heureuse de retrouver enfin son clan. A l’affiche, en France, d’une comédie sur la famille et ses multiples recompositions (C’est quoi cette famille ?!), elle fait le point sur la sienne. Celle qu’elle a. Et celle qu’elle espère.

C’est une bombe… d’énergie ! Depuis Casino Royale, la James Bond girl qui a débuté au cinéma avec Dino Risi parcourt le monde au gré des tournages : France – où elle est installée –, Espagne, Etats-Unis, Argentine… Et Italie bien sûr. C’est d’ailleurs dans son pays natal que nous l’avons retrouvée. Après avoir quitté Rome où elle a fait des lectures du livre de sainte Claire d’Assise et des poésies d’Emily Brontë, elle se repose quelques semaines sur sa terre sarde.

Gala : C’est quoi cette famille ?! s’inspire du phénomène de société désormais banal de la famille recomposée. Est-ce quelque chose qui vous est familier ?
Caterina Murino : Pas du tout ! Je trouve très beau cette ouverture d’esprit, cette acceptation de l’autre, mais je pense qu’aujourd’hui encore, un tel film est loin de représenter la famille italienne qui est restée assez conservatrice. Quand j’étais enfant, à l’école, il n’y avait qu’une seule fille de parents séparés et, plus tard, quand ma tante a dû divorcer, cela a fait scandale. Mes parents, Anna Maria et Silvio, sont ensemble depuis quarante-quatre ans. Je ne les imagine pas autrement.

Gala : Dans quel environnement avez-vous grandi ?
C. M. : Dans un village sarde qui ressemblait à un paradis ! Mon frère et moi avons eu une enfance saine, libre et insouciante.

Gala : Est-ce que l’idéal, chez les Murino, c’est, dans l’ordre : mariage, puis enfants ?
C. M. : (Elle rit.) Ça l’était ! Mais l’horloge tourne (elle a trente-huit ans, ndlr) et je ne suis plus certaine de pouvoir respecter cet ordre-là ! Même ma mère m’a dit dernièrement : « Bon, fais ce que tu peux, mais surtout fais un bébé ! »

Gala : Jusqu’où seriez-vous capable d’aller pour cela ?
C. M. : Je ne le ferai pas toute seule. Je veux qu’il ait un père. Peu importe que l’on reste ensemble ou pas par la suite, mais qu’au moins mon enfant puisse grandir avec une présence, une image paternelle.

Gala : Vous êtes l’ambassadrice de l’AMREF Flying Doctors (African Medical and Research Fondation) et, à ce titre, vous êtes très active. Cette implication vient-elle pallier un vide ?
C. M. : Absolument pas. Quand on a la chance d’être une actrice, quand on est aussi gâtée, on se doit de servir une cause, c’est en tout cas ce que je pense et essaie d’appliquer.

“9 mois ferme” d’Albert Dupontel, arrive en tête des 1ères séances parisiennes. Il enregistre 2 502 entrées, suivi de très près par “Turbo”, et ses 2 319 entrées. Le film d’animation enregistre une meilleure moyenne par copie (129 entrées par copie, contre 114 pour Dupontel). “Spivet”, le nouveau film de Jean-Pierre Jeunet n’arrive qu’en 3e position, avec 647 entrées.

© Jérôme Prébois / Fox Deutschland

1 – 9 mois ferme : 2 502 entrées (22 copies)

2 – Turbo : 2 319 entrées (18 copies)

3 – L’ Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet : 647 entrées (21 copies)

4 – Au bonheur des ogres : 470 entrées (16 copies)

5 – Omar : 288 entrées (10 copies)

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6 – Gabrielle : 249 entrées (13 copies)

7 – La Ruée vers l’art : 96 entrées (2 copies)

8 – Mademoiselle C. : 79 entrées (2 copies)

9 – Jérusalem : 72 entrées (une copie)

10 – Salvo : 57 entrées (4 copies)

11 – Haewon et les hommes : 51 entrées (3 copies)

12 – La Taverne de l’Irlandais : 16 entrées (une copie)

13 – Riches et célèbres (reprise) : 14 entrées (une copie)

14 – Barton Fink : 12 entrées (une copie)

15 – Leo et Fred : 11 entrées (2 copies)

16 – Salo ou les 120 journées de Sodome : 9 entrées (une copie)

BB avec CBO Box-Office

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Céline Dion pleure la mort de son beau-frère

January 14, 2020 | News | No Comments

C’est une année funeste que traverse tant bien que mal Céline Dion. Après la mort de son époux René Angelil, et la disparition de son frère Daniel, tous deux emportés par le cancer, la chanteuse vient de perdre son beau-frère, Guy Poirier. Le deuil ne semble jamais finir…

Le malheur a encore frappé. Après avoir perdu à quelques jours d’intervalle, en janvier dernier, l’homme de sa vie René Angélil, puis son frère aîné Daniel, Céline Dion doit à présent affronter la disparition de son beau-frère. Guy Poirier, l’époux de Liette Dion, l’une des grandes sœurs de la diva, se battait lui aussi avec courage contre un cancer généralisé. La maladie s’était étendue aux os, aux poumons et au cerveau dans le courant de l’été. Il a finalement été emporté dans la nuit du 27 au 28 août.

Guy Poirier était pris en charge depuis plusieurs semaines à la Maison Adhémar-Dion, à Terrebonne, au Québec. Un institut réputé, nommé d’après le père de Céline, décédé en 2003 d’un cancer des os. Malgré toute l’attention médicale dont Guy Poirier a bénéficié, et le soutien du clan entier, la maladie a fini par gagner le combat. L’époux de Liette était lui aussi très doué pour la musique. Il laisse derrière lui une veuve éplorée et deux enfants nés d’une union précédente.

Céline Dion n’a pas encore réagi publiquement à la triste nouvelle. On ignore encore si elle se rendra aux funérailles. En janvier, elle avait préféré rester à distance et ne pas être présente lors de l’enterrement de son frère, pour ne pas attirer avec elle une foule de photographes. Dans trois semaines, elle devrait remonter sur la scène de Las Vegas pour une série de shows… Encore une fois cette année, elle devra puiser au plus profond d’elle-même, et dans le souvenir des êtres aimés, pour trouver la force de chanter.

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Crédits photos : Graham Hughes/AP/SIPA

DiCaprio dans un polar à la norvégienne

January 14, 2020 | News | No Comments

Leonardo DiCaprio pourrait jouer le rôle principal de l’adaptation de “Blood on snow”, polar à paraître de l’écrivain norvégien Jo Nesbo. L’acteur serait également producteur.

La littérature scandinave continue de fasciner Hollywood. Deadline nous apprend que Leonardo DiCaprio pourrait jouer le rôle principal de Blood on snow, adaptation d’un ouvrage en deux volets à paraître du Norvégien Jo Nesbø.

Considéré comme un des grands noms du roman policier nordique grâce à des ouvrages comme Le Léopard ou Les Cafards, Jo Nesbo raconte dans Blood on snow l’histoire d’un tueur à gages chargé d’assassiner l’épouse de son patron… mais qui ne tarde pas à tomber amoureux d’elle. Les deux volets de Blood on snow seront publiés à quelques mois d’écart, et sous le nouveau pseudonyme de l’auteur, Tom Johansen.

Leonardo DiCaprio serait également producteur du film développé par la Warner, qui a acheté les droits de Blood on snow. A noter que Martin Scorsese, vieux complice de Leo, avait envisagé il y a deux ans d’adapter un autre ouvrage de Nesbo, Le Bonhomme de neige, mais le projet n’a pas abouti.

JD

L’oeuvre de Jo Nesbo a été portée à l’écran dans Headhunters, avec entre autres Nikolaj Coster-Waldau, qui vient de sortir en DVD chez nous…

Headhunters

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Rencontre entre deux amis, une actrice et un écrivain engagés. L’une, au travers des rôles qu’elle choisit, l’autre avec son association, qui mène des actions sociales de terrain.

Depuis trois ans, Alexandre Jardin sillonne la France avec son association Bleu Blanc Zèbre (1), une bande d’« optimistes qui lancent un appel aux citoyens bienveillants, à celles et ceux qui par leur action refusent la fatalité ». Il organise des rencontres, les cafés de zèbres, les zèbres étant pour lui les « faizeux », ceux qui font, concrètement. Chaque fois, deux à trois cents personnes y expliquent ce qu’elles tentent pour guérir les fractures du pays. Pour Isabelle Adjani, les actions de son ami écrivain représentent l’amour de l’autre par excellence. Discussion à bâtons rompus sur un thème qui les passionne autant l’un que l’autre : la solidarité.

Gala : On pense tous à aider l’autre… Comment passer à l’acte ?

Alexandre jardin : J’ai juste appliqué une méthode simple : puisque je ne sais pas comment agir, allons chercher ceux qui savent. Et regardons si je vais pouvoir en aider certains de par mon influence d’écrivain bénéficiant d’une certaine notoriété. J’ai commencé en 1999, en tombant par hasard sur l’Office des retraités de Brest. Un type hors du commun, à la tête de l’association, embarquait les retraités, depuis quinze ans, pour qu’ils transmettent le plaisir de la lecture aux élèves de maternelle et de primaire. Dans les écoles où ils passaient, les emprunts de livres étaient multipliés par cinq ! Cet homme, dans son coin, a mis en place une vaccination contre l’échec scolaire des enfants des classes populaires. J’ai trouvé cela tellement important que je suis allé voir deux grandes fédérations, la Ligue de l’enseignement et l’Union nationale des associations familiales, j’ai levé des fonds, et ces réseaux ont soutenu l’action de Lire et faire lire, qui aujourd’hui s’occupe de 600 000 enfants, avec 19 000 bénévoles. Il y a toujours quelqu’un de bienveillant quelque part, qui n’accepte pas la fatalité et va raisonner autrement. La France est un pays furieusement intelligent. J’ai fait de cette expérience une force, et au travers de mon association, je suis sur tous les fronts : l’emploi des jeunes défavorisés, l’insertion, le développement des petits entrepreneurs, etc.

Isabelle Adjani : Ce que tu dis, Alexandre, prouve que l’on est dans une société civile qui peut gouverner et aussi qu’il y a la possibilité de s’autosuffire si l’on s’organise, si on est solidaires, si on se fait confiance. Tout doit partir de la bienveillance, le mot amour est difficile à employer dans ces cas-là… Même si je suis convaincue que ces actions ont l’énergie de l’amour avec un grand A. Ce dont tu parles est assez inattendu, ça ne sonne pas très français comme attitude, non ?

A. J. : Les populations se réveillent partout, Isabelle…

I. A. : J’adore ton côté messianique ! Pour moi, ce mouvement fait partie du réveil de l’amour pour l’autre. Ça m’interpelle car si c’est un véritable soulèvement, cela prouve qu’il y a de l’espoir. Cela peut paraître idéaliste, utopique, mais j’y crois, les résultats sont déjà là grâce à toi. Tes actions n’ont jamais été vues en France. Tu défies tout le raisonnement politicien qui va devenir de plus en plus impuissant. J’aime beaucoup cette idée, j’ai toujours été fascinée, dans les films de science-fiction, par les gouvernements constitués de sages. C’est comme si on exhortait à la sagesse et à la solidarité tous ceux qui sont capables de se mettre en action, localement. Ils font chez eux, avec ceux qui sont autour, sans un chef sur le dos. Sauf que leurs actions s’additionnent et se propagent. C’est viral, c’est une des plus belles choses qui se passent dans le pays en ce moment.

Gala : Pourquoi en parle-t-on si peu dans les médias ?

A. J. : Parce que l’ancien monde n’est pas structuré de la sorte. L’an dernier, Frédéric Lopez m’a proposé de venir défendre une cause par semaine dans son émission. J’ai présenté vingt-cinq personnes. Les audiences ont explosé. Un jour, j’ai fait expliquer à un maire des Vosges comment il a fait passer sa commune rurale, à l’agonie – 300 habitants et une école sur le point de fermer – à 600 personnes, avec un territoire prospère. Des centaines de milliers de personnes ont visionné la vidéo sur Facebook. C’est la meilleure des publicités. Le journal de 20 heures passe à côté de ce phénomène.

I. A. : Vous savez, il y a toujours une sorte de moment de suspension qui précède la prise de conscience. Nous y sommes actuellement. C’est magnifique à vivre, Alexandre, car toi tu connais la suite. Je pense que dans un futur proche, les gens comprendront enfin l’importance de se mobiliser, l’adhésion se fera de plus en plus nombreuse, et les médias finiront par s’intéresser à ce que tu as provoqué dans le pays. Tout le monde comprendra alors que quelque chose se passe et voudra faire partie de l’aventure. En ce moment, c’est le calme avant un énorme coup de vent, et ça va décoiffer tout le monde ! J’ai hâte de voir comment les politiques vont réagir sur le terrain. Ce mouvement est une véritable promesse de déstabilisation.

Gala : Isabelle, vous semblez très concernée…

I. A. : Ce qui me déboussole, dans le bon sens, c’est que jusqu’à présent je me sentais dans une impuissance incroyable.

A. J. : Je ne suis pas d’accord, tu as fait ta part avec tes propres armes : en incarnant une prof de banlieue à bout dans La journée de la jupe.

I. A. : Oui, mais quoi d’autre ? Il est vrai qu’on parle beaucoup de l’impact de La journée de la jupe, et je viens de tourner Carole Matthieu(2), un film sur la souffrance au travail et le harcèlement moral. Je l’ai présenté à Angoulême et à Montréal, et je trouve magnifique de pouvoir mesurer les réactions à un travail authentique, engagé et quasiment militant que l’on fait en tant qu’artiste. Alors ce dyptique, j’en ferais bien un tryptique, en tournant un troisième film social, pour témoigner de ce qu’il se passe en ce moment, des actions d’Alexandre et leurs conséquences sur la société. Dieu merci, le cinéma social en France rattrape son retard sur l’Angleterre. Depuis Costa Gavras, nous avons Lioret,Dumont, Brizé, Djaïdani,Cantet et bien d’autres…

Gala : En quoi cela vous touche-t-il, Isabelle ?

I. A. : Je suis comme Alexandre : je ne peux plus supporter de sentir la misère, ni la complète défection de ceux qui sont supposés rendre vivable un pacte social possible. J’ai honte ! Quand je marche dans Paris, je ne sais plus quoi faire : donner de l’argent ou pas, donner de la nourriture ou pas… C’est horrible, je n’ai jamais eu un tel sentiment. Le Français se vit comme envahi aujourd’hui, ce qui fait le lit du Front national. Il y a urgence, il faut que quelque chose s’arrête. Ou se produise.

A. J. : Je trouve que les films qu’Isabelle incarne et porte peuvent avoir un impact énorme. On ne va pas tout sauver, mais si chacun à son niveau fait sa part avec ses propres outils, on peut alors espérer faire avancer les choses. Il est vrai que le cinéma impacte beaucoup car je pense sincèrement qu’une révolution culturelle est en route.

I. A. : C’est génial de le penser et de nous pousser à le croire, Alexandre. Tu n’es pas dans un doux rêve, tu es sur le terrain, dans une forte réalité, alors que moi je fais partie des gens paumés qui ne savent plus qui suivre, ni qui croire. Ni comment participer à un changement que l’on n’a pas l’obligation de faire dans la violence, sans passer par la révolution de rue pour terminer dans une espèce de néo-guerre civile.

A. J. : Oui, cette explosion est latente. On peut le constater sur tout le territoire.

Gala : Le Front national part des mêmes constats, il est lui aussi sur le terrain… comment faire la différence avec vos actions, Alexandre ?

A. J. : C’est très simple : on est soit pour l’exclusion, soit pour l’inclusion. On est bienveillant ou on ne l’est pas.

I. A. : J’aime beaucoup le mot bienveillance… Mes deux derniers films (La journée de la jupe et Carole Matthieu, ndlr) ont été faits pour Arte car on n’avait ni besoin ni envie de gros budgets, et on voulait s’adresser au plus grand nombre tout de suite. Les téléspectateurs vont sur une chaîne dont ils savent qu’elle s’adresse à eux avec respect. Et les thèmes abordés ne sont pas compatibles avec une sortie cinéma ensuite, que si l’on n’a pas à traquer le nombre d’entrées. L’authenticité de la démarche fait que l’on n’a pas à s’embarrasser de la rentabilité.

Gala : En conclusion ?

I. A. : Ses actions me font un bien fou. C’est frais, concret et novateur. Ça prouve que les gens sont disponibles, prêts pour changer les choses. L’adage dit que s’occuper des choses, c’est toujours le début des emmerdes… Alexandre prouve que c’est au contraire, en sortir.

Gala : S’occupe-t-on des autres comme on s’occupe de sa famille ?

I. A. : Oui, Alexandre est un excellent père de famille, et regardez comme il s’occupe bien des autres !

I. J. : Je te retourne le compliment. Comment donner de l’amour à l’extérieur si on n’en donne pas chez soi ?

I. A. : En fait, tu es un patriarche dans l’âme, non ?

(1) bleublanczebre.fr (2) film de Louis-Julien Petit.

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Près de vingt ans après “Usual Suspects”, le réalisateur Bryan Singer s’est amusé à imaginer ce qui serait, à ses yeux, le casting idéal d’un remake de son film culte.

Usual Suspects / © Spelling Entertainment

C’est arrivé de manière totalement impromptue. En plein milieu d’une séance de questions/réponses sur Twitter autour de son prochain X-Men: Days of Future Past, un fan a posé une drôle de question au réalisateur Bryan Singer : “Qui engageriez-vous si vous deviez faire Usual Suspects demain ?” La question aurait pu rester sans réponses et Singer de se contenter de suivre l’ordre du jour, sauf que… le cinéaste s’est prêté au jeu et s’est amusé à imaginer ce qui serait, à ses yeux, le casting idéal d’un remake de ce film culte sorti il y a près de vingt ans. Le nouveau Usual Suspects version Bryan Singer mettrait donc en scène :

Benedict Cumberbatch dans le rôle de Verbal Kint (tenu à l’époque par Kevin Spacey)

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Michael Fassbender dans le rôle de Kobayashi (tenu à l’époque par Pete Postlethwaite)

Chris Hemsworth dans le rôle de Dean Keaton (tenu à l’époque par Gabriel Byrne)

Joseph Gordon-Levitt dans la rôle de Fred Fenster (tenu à l’époque par Benicio Del Toro)

Dane DeHaan dans le rôle de Michael McManus (tenu à l’époque par Stephen Baldwin)

Jonah Hill dans le rôle de Todd Hockney (tenu à l’époque par Kevin Pollak)

Jennifer Lawrence dans le rôle de Edie Finneran (tenu à l’époque par Suzy Amis)

Edward James Olmos dans le rôle de Dave Kujan (tenu à l’époque par Chazz Palminteri)

Si les noms de Michael Fassbender et Jennifer Lawrence n’ont peut-être pas été très difficiles à trouver pour Bryan Singer, puisqu’il les dirige tous deux dans X-Men: Days of Future Past, le cinéaste a en revanche fait preuve d’une belle imagination pour le reste du casting. Reste à savoir ce qu’en pensent les fans…

Clément Cuyer

La “Merci Qui ?” consacré à “Usual Suspects” :

Usual Suspects

Arnaud Montebourg fait sa rentrée médiatique ce soir dans l’Emission politique sur France 2. Focus sur le couple de pouvoir qu’il forme avec Aurélie Filippetti.

Leur chemin était pavé de roses. Forcément. Il y a un an, l’itinéraire d’Aurélie Filippetti et d’Arnaud Montebourg, couple emblématique de la politique française, s’est cependant infléchi avec la naissance prématurée de leur petite Jeanne. Le couple attendait son arrivée pour Noël, mais, pressée, elle s’est imposée mi-septembre. Aujourd’hui, la députée de Moselle et l’ancien turbulent ministre du Redressement productif célèbrent leur retour aux affaires politiques et plongent à nouveau dans la mêlée. Du festival d’Avignon à Frangy-en-Bresse, ils ont offert cet été des visages triomphants. Habitués à défendre farouchement leur vie privée, ils ont accepté, sans se faire prier, de poser avec des badauds ou les militants qui ont croisé leur chemin. Les longs mois d’hôpital et l’état de santé préoccupant de leur petite fille semblent derrière eux. Les voilà prêts à conquérir les cimes.

Après un petit tour dans le privé, Arnaud Montebourg s’est remis de son limogeage du gouvernement en 2014. Dans ce duo, la répartition des rôles est claire. A lui la quête de l’exécutif avec, en ligne de mire, la présidentielle de 2017. A elle, le champ législatif. Aurélie Filippetti est de toutes les réunions stratégiques de son compagnon. « Je veux être un élément dans le débat, a-t-elle reconnu courant août dans L’Obs.Il est, en revanche impossible que je sois dans un organigramme. Ce n’est pas ma place, et il ne peut pas y avoir de lien de subordination quel qu’il soit. Il n’y en a jamais eu. »

Leur complicité est palpable. C’est ensemble qu’ils ont surmonté l’épreuve personnelle qui les a frappés. Elle les a durablement marqués. « La prématurité surgit dans la vie des parents d’une manière totalement impromptue. On se retrouve totalement démuni », soulignait il y a peu à La Dépêche du Midi Aurélie Filippetti, en marge d’une visite dans l’unité de néonatalogie de l’hôpital pour enfants de Purpan. « On a eu une grande inquiétude. Cela conduit à beaucoup de retenue. J’ai eu quatre mois de tergiversations profondes », confiait pour sa part Arnaud Montebourg il y a quelques semaines dans L’Express. Soixante mille enfants sont concernés chaque année. « Ils nécessitent un suivi hospitalier très important. Mais surtout, beaucoup de problèmes surviennent après la sortie d’hôpital, a témoigné la députée. Et selon que l’on soit puissant ou misérable, on n’est pas tous égaux face à cette situation. »

Dès qu’elle a pu reprendre son activité politique, après s’être vouée totalement à sa petite fille, l’élue s’est emparée de cette problématique qui l’avait percutée si violemment à l’automne dernier. Elle a participé à diverses réunions de travail sur le suivi des enfants prématurés et des nouveaux-nés vulnérables, avec du personnel hospitalier dans le cadre du groupe d’études créé par Catherine Lemorton, présidente de la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale.

Avant de se mettre en ordre de bataille, en vue de 2017, le couple a tenu à offrir à Jeanne un baptême républicain, digne de ce nom, dans la Nièvre. C’était en avril dernier. Toute la famille recomposée – Aurélie Filippetti est déjà maman d’une adolescente et Arnaud Montebourg a un garçon et une fille de sa précédente union – entourait la fillette qui portait, pour l’occasion, un joli bonnet immaculé. Tendu vers l’objectif de la présidentielle, l’ancien ministre de François Hollande, qui a présenté un premier bilan de son Projet France à Frangy-en-Bresse fin août, sait pouvoir compter sur le soutien sans faille de sa compagne. Ceux qui ont été surnommés, par Manuel Valls, les « Bonnie and Clyde » du PS, n’ont pas fini de faire parler d’eux. Ils comptent bien opposer quelques épines à leurs concurrents de gauche.

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Ce dimanche 9 octobre, Nicolas Sarkozy a tenu un meeting au Zénith de Paris et a pu compter sur le soutien de son clan, installé en tribunes. Depuis quelques années, la famille Sarkozy est plus soudée que jamais et il semblerait que Carla Bruni soit à l’origine de ce rapprochement.

Alors que Nicolas Sarkozy défendait son programme en vue des prochaines primaires de droite, M6 diffusait sa rencontre avec Karine Le Marchand dans Ambition intime. Un entretien durant lequel l’ex-président de la République s’est livré sur son histoire d’amour avec Carla Bruni. Entre eux, tout est allé très vite. Fous amoureux, l’homme politique et l’ex-mannequin italien se sont mariés après quatre mois de relation et ont relevé le défi que représente la famille recomposée avec brio. Avec cinq enfants, il fallait veiller à ce que tout le monde trouve sa place et Nicolas Sarkozy n’aurait jamais pu y arriver sans l’aide de sa bien-aimée : « Carla, elle est italienne, donc elle partage. Elle a beaucoup fait pour rapprocher tout le monde », a-t-il déclaré.

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Cet avis, tous les membres de la famille Sarkozy semblent le partager, à commencer par Jean, son fils aîné qu’il a eu avec Marie-Dominique Culioli : « Elle a vraiment cherché à ce que tout le monde puisse se parler, à ce que tout le monde se sente à sa place dans cette famille, ça c’est important. Ça a beaucoup soulagé mon père parce que quand tu sais que ta femme est là et aide à pacifier toutes les relations, c’est quand même une épine du pied en moins ».

Pour preuve, le clan Sarkozy est apparu plus soudé et uni que jamais lors du dernier meeting du candidat à la primaire de droite. Alors que Carla Bruni semblait totalement hypnotisée par l’homme qui partage sa vie, ses fils Pierre, Jean et Louis, qui était accompagné de sa petite-amie, ont fièrement applaudi leur père et lui ont réservé une véritable standing ovation. Le petit frère de Nicolas Sarkozy, François, sa mère Andrée Mallah et sa belle-mère Marisa Bonrini étaient également de la partie.

Diaporama réalisé par Nathalie DUCHESNE

Mercredi, pour ses premiers pas dans l’équipe du Real Madrid entrainée par son père Zinedine Zidane, le jeune Enzo, 22 ans, s’est fait remarquer en inscrivant un but.

Bon sang ne saurait mentir. A 22 ans, Enzo Zidane semble lancer dans une carrière qu’on lui souhaite aussi riche que celle de son père. Mercredi, Zinedine Zidane, entraineur du Real Madrid, a fait entrer son fils sur le terrain en seconde mi-temps du match qui opposait les Merengue à la Cultural Leonesa, pour le compte des seizième de finale de la Coupe du Roi. Une bonne inspiration de la part du papa coach puisque Enzo Zidane a marqué son premier but avec l’équipe professionnelle. Une joie intense pour la famille Zidane qui dépassait la large victoire du Real (6 à 1). Au micro de la chaîne de télévision du club, le jeune homme a sobrement déclaré: «Débuter avec le Real Madrid et marquer un but est un rêve et je suis très content que cela se soit produit au Bernabeu et avec une victoire au bout». Plutôt avare en confidences, surtout pour parler de sa famille, Zinedine Zidane a de son côté confié: «Si j’enlève mon costume d’entraîneur, je suis content pour le fils, comme un père. Quand je serai avec lui tout seul, je lui dirai deux ou trois choses. Mais là, c’est l’entraîneur qui parle et je suis content parce qu’il est bien rentré». Zinedine Zidane et Enzo se savent attendus au tournant. Il n’est jamais facile pour un père d’entraîner une équipe dans laquelle évolue son fils. Les soupçons de favoritisme sont inévitables. Sauf lorsque c’est la talent qui parle. Et le jeune Enzo semble en avoir à revendre.

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Amber Heard s’est octroyé un moment de détente avec deux copines, ce jeudi à Londres. Après de longs mois de tensions autour de son divorce, l’actrice qui a reversé l’intégralité de l’argent reçu de Johnny Depp à l’association American Civil LibertiesUnion, qui lutte contre les violences faites aux femmes, elle a pu fêter sa liberté retrouvée en compagnie de Margot Robbie, et de la mannequin Cara Delevingne.

Après des mois surmédiatisés, en marge de son divorce avec l’acteur Johnny Depp, Amber Heard a bien besoin de se détendre. Maintenant qu’un accord a été trouvé avec celui qu’elle accuse d’avoir été violent avec elle, et que Johnny Depp lui a versé 7 millions de dollars, aussitôt offerts à l’association américaine American Civil Liberties Union, pour qui elle milite depuis une dizaine d’années pour lutter contre les violences faites aux femmes, Amber Heard peut retrouver le sourire.

Et comment la belle actrice tente-t-elle de retrouver goût à la vie rapidement? En faisant la fête, … avec ses copines. Jeudi soir, elle a été vue en compagnie de Margot Robbie, l’actrice qui donne la réplique à Leonardo DiCaprio dans le Loup de Wall Street, et qui était encore récemment à l’affiche de Tarzan. Aux côtés des deux blondes, lors de cette virée nocturne, l’aristo-punk Cara Delevingne, bonnet rose bien vissé sur la tête, malgré une température estivale dans la capitale britannique cette semaine.

Les trois jeunes femmes, à l’actualité toujours très remplie, ont profité de ces retrouvailles pour faire le tour d’une exposition dédiée aux Rolling Stones. Puis elles ont, d’après le magazine américain E!news, été dîner dans le quartier de Kensington avant d’aller danser au Chiltern Firehouse, un club huppé londonien.

En plus du divorce mouvementé d’Amber Heard, il est fort probable que les trois actrices aient parlé travail, et plus précisément secrets de tournages. Amber Heard s’apprête en effet à tourner avec Ben Affleck (Batman), dans Justice League. Ce même Ben Affleck avec qui Margot Robbie et Cara Delavingne ont récemment tourné dans Suicide Squad. Avec son costume de Super-héros, Ben Affleck a peut-être été rhabillé pour l’hiver par Amber Heard et ses copines…

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