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It is an unprecedented scenes in Delhi and across northern India, people are wearing masks as they venture out of homes, something that till now was a common sight only in winters.

But now in the middle of the hot burning summers, the masks are back, thanks to a dip in air quality. It has become so bad that in many parts of Delhi and NCR, the Air Quality Index is hovering over the 500 mark, which is categorized as “severe” with PM 10 being the primary pollutant.

PTI

A schoolboy saved his friend from a watery grave at Gadinje in Venur, 60km from here, on Thursday.

Sujaya, 11 and Adithya, 12, both students of Government Higher Primary School, were walking home after class. As they were crossing a swollen stream, Adithya missed a step on the temporary narrow footbridge and slipped. Sujaya rushed to his aid and grabbed him as he was hanging from the bridge.

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Without losing hope, Sujaya used all his strength to hold on to Adithya. As the duo started screaming for help, locals rushed to the spot and pulled up Adithya. Eyewitnesses said if Adithya had fallen into the water, he would have been injured and got washed away.

Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? Les membres de notre rédaction vous indiquent les films à voir à la télévision. Au programme : un super-héros sans pouvoirs, la révélation Tahar Rahim et une mère à la recherche du fils qu’elle a abandonné.

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« Permis de mater »

Chaque soir, la rédaction d’AlloCiné vous indique les programmes incontournables à ne pas rater.

Un prophète de Jacques Audiard avec Tahar Rahim, Niels Arestrup (Canal + Cinéma, 20h45) : “Jacques Audiard a formidablement réussi à réinventer le genre ultra balisé du film de prison grâce à un scénario malin (les permissions de sortie faisant partie des nombreuses bonnes idées du film) et une ambiance carcérale très réaliste. Doté d’une interprétation haute gamme, Un prophète a également révélé plusieurs comédiens talentueux comme Tahar Rahim bien sûr, mais aussi Reda Kateb, Adel Bencherif ou encore Karim Leklou.” Laurent Schenck

Kick-Ass Bande-annonce VO

 

Kick-Ass de Matthew Vaughn avec Aaron Taylor-Johnson, Nicolas Cage (W9, 20h50) : “Connu à époque pour Layer Cake, Matthew Vaughn nous offre avec Kick-ass un film de super-héros sans super-héros. C’est irrévérencieux, drôle et sombre à la fois. Porté par d’audacieux jeunes acteurs, encore inconnus du grand public, Kick-ass est un film d’action vraiment jubilatoire. Les scènes s’enchaînent et on prend un vrai plaisir ce qui est tout de même assez rare avec ce genre de films. On fera mine d’oublier d’un second volet (raté) existe.” Laëtitia Forhan

Philomena Bande-annonce VO

 

Philomena de Stephen Frears avec Judi Dench, Steve Coogan (France 3, 20h45) : “Le scénario, contenant quelques morceaux de comédie british bien sentis, reste très finement écrit, évitant la plupart du temps le pathos à outrance en restant dans une certaine pudeur et une belle retenue, notamment via Philomena et la douce incarnation qu’en fait Judi Dench. Cette petite femme frêle va réussir à ébranler tout un système (médiatique, administratif et religieux) afin de découvrir la vérité sur son fils et donner une leçon de courage et de dignité.” Vincent Formica

« Permis de parler »

Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?

Pour retrouver l’ensemble des programmes, accédez directement à la grille en cliquant ici.

Jugée trop mince par de nombreux fans qui commençaient à s’inquiéter de cette perte de poids, Céline Dion a tenu à les rassurer. Dans une interview accordée à Good Morning America, la chanteuse s’est, en effet, confiée sur sa nouvelle silhouette.

A 51 ans, Céline Dion est au top de sa carrière et de sa vie de femme. Plus épanouie que jamais, la chanteuse internationale multiplie les projets. Alors qu’elle s’apprête à donner à partir du 14 mai prochain sa dernière salve de concerts au Caesars Palace, beaucoup évoque un nouvel album en préparation. En plus de la musique, l’interprète de Pour que tu m’aimes encore a annoncé ce mardi 2 avril qu’elle rejoignait la cohorte de grandes stars ambassadrices L’Oréal.

Côté vie privée, Céline Dion n’a pas à se plaindre non plus. Après avoir surmonté la tragique perte de René Angélil, son mari et mentor, décédé en janvier 2016, elle est bien décidé à aller de l’avant et à s’amuser. Chanteuse reconnue, maman comblée, Céline Dion n’a plus rien à prouver. Alors elle tente, ose, prend des risques, en matière de mode notamment. Poussée sans doute par son complice Pepe Munoz avec qui on l’a encore vue récemment au premier rang de nombreux défilés de la Fashion Week de Paris.

Mais face à tous ces changements, la star québécoise n’a pas manqué de susciter les interrogations de ses fans ou même de vives critiques. Certains lui ont même reproché sa maigreur. Une critique à laquelle elle a tenu à réagir au cours d’une interview accordée à Good Morning Amercia ce mardi 2 avril. “Je suis mince ?” a répondu faussement étonnée Céline Dion alors que la journaliste Deborah Roberts l’interrogeait à ce sujet. “Je suis gentille aussi, vous savez,” a-t-elle également ajouté.

“C’est vrai que je suis un peu plus fine. Mais tout va, il n’y a pas d’inquiétude à avoir,” a déclaré plus sérieusement Céline Dion, avant de préciser qu’elle s’était découvert “une nouvelle passion”, à savoir “la danse”. Et comme on sait que Céline Dion ne fait jamais les choses à moitié, cela pourrait expliquer sa perte de poids. Une passion qui pourrait lui avoir été insufflée par Pepe Munoz, qui était danseur avant de devenir le style de la chanteuse.

Crédits photos : Agence/Bestimage

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Dans “Radin !”, Danny Boon porte l’avarice au sommet avec un personnage ayant de gros oursins dans les poches… Prétexte à passer en revue les 7 péchés capitaux aux coeurs de certains films.

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Elle a connu une notoriété fulgurante avec la série Sex Education diffusée sur Netflix. Emma MacKey, 23 ans, a attiré tous les regards, au bras de son chéri Dan, sur le tapis rouge de Canneseries.

Quel joli duo. Elle, c’est Emma MacKey, actrice franco-britannique de 23 ans. Son premier rôle dans Sex Education l’a propulsée sous le feu des projecteurs. Lui, c’est Dan Whitlam, acteur également. Sa chevelure rousse, ses yeux noisette et son mètre 95 ne sont pas passés inaperçus sur le “pink carpet” de Canneseries.
Le couple a été immortalisé mercredi soir, alors qu’Emma MacKey, venait achever sa mission de jurée de la compétition officielle et dévoiler le palmarès de cette deuxième édition du festival cannois de séries. Un peu plus tôt dans la semaine, les photographes avisés avaient surpris le couple en pleine promenade romantique sur la Croisette. L’actrice, que nous avons interviewée, ne cache d’ailleurs pas son bonheur et indique être en couple avec le jeune homme depuis maintenant trois ans.

Lui-même acteur, Dan a étudié à la très reconnue Guildhall School de musique et comédie, participé au téléfilm britannique The First Great Escape, et s’est également produit plusieurs fois au théâtre. Il a par ailleurs bien d’autres compétences puisque son profil d’étudiant indique qu’il chante, joue du saxophone, pratique des danses aussi diverses que le ballet et le hip hop. Il se montre particulièrement habile pour reproduire les accents, joue au basket, au rugby, monte à cheval, et a un très bon niveau en escalade! Dan a toutes les clés pour accéder à la célébrité. Dan était déjà au côté d’Emma lorsqu’elle tournait Sex Education – et ses scènes parfois osées encadrées par une coordinatrice d’intimité -, dans le rôle de Maeve, le premier de sa carrière.

Simple tout en étant “branchée”, Emma a conquis un public de “millenials” venus grossir les rangs de sa communauté insta en un clin d’oeil. Elle a gagné plus de 500000 followers au lendemain de la diffusion de Sex Education le 11 janvier dernier sur Netflix. (Son compte @emmatmackey est aujourd’hui suivi par 1,6 millions de personnes) Mais ses fans ne sont parfois pas très tendre avec le beau Dan. “J’ai regretté avoir posté une photo – c’était lors de la Saint-Valentin ndlr – avec mon amoureux, car il s’est pris une volée de commentaires négatifs, de la part de jaloux et je déteste le placer dans cette situation.” nous a-t-elle confié. Qu’elle se rassure, sa belle complicité avec “boyfriend” finira bien par faire taire les mauvaises langues.

Crédits photos : bestimage

Après un passage remarqué à San Sebastian et St Jean de Luz, Compte tes blessures, premier long métrage très réussi de Morgan Simon, était présenté hier en avant-première au Festival International du Film Indépendant de Bordeaux. Rencontre.

Compte tes blessures commence tout juste sa carrière en festivals, et cumule déjà les distinctions : deux prix au Festival de Saint Jean de Luz (dont le convoité prix du jury jeunes), une mention spéciale du jury à San Sebastian… Ce week-end, le film était présenté en avant-première (hors compétition) au Festival International du Film Indépendant de Bordeaux, où le film a été chaleureusement accueilli. 

Porté par Kévin Azaïs (Les Combattants), dans un rôle physique, (très) tatoué, et impressionnant en chanteur de post hardcore, Nathan Willcocks (qui a déjà tourné à plusieurs reprises pour les courts métrages de Morgan Simon) et Monia Chokri (Les Amours imaginaires, Réparer les vivants), ce premier long métrage impressionne par sa maitrise et son intensité. La sortie du film est prévue le 1er févier 2017. Rencontre avec son réalisateur Morgan Simon. 

AlloCiné : Vous êtes devenu cinéphile “sur le tard”. Pouvez-vous nous raconter votre cheminement vers le cinéma, et donc ce premier long métrage, Compte tes blessures, présenté au 5ème Fifib ?

Morgan Simon, réalisateur et scénariste : Jusqu’à l’âge de 20 ans, je n’allais jamais au cinéma. Ca ne m’intéressait pas trop. Mes parents ne viennent pas du tout de ce milieu artistique et n’ont pas du tout cette culture-là. Et je n’avais pas forcément l’argent pour aller au cinéma. J’ai fait des études de biologie. Je m’engageais plutôt dans une carrière scientifique. J’ai fait deux ans de biologie, j’ai eu mon diplôme, mais j’ai senti que je n’allais pas faire ça toute ma vie, disséquer les grenouilles.

Je me suis un peu réorienté dans une autre filière qui est la communication. C’est là où j’ai rencontré un professeur qui nous a demandé de faire des films. C’était dans le cursus. J’y ai pris goût, il m’a soutenu, la classe aussi. J’arrivais à raconter des choses alors que je n’avais aucune notion de ce qu’était une caméra, la grammaire du cinéma. Je me suis alors dit que ça pourrait être intéressant de continuer. Je faisais plein de choses tout seul : tourner, monter… Mais j’avais l’impression d’être arrivé au bout de ce que je pouvais apprendre tout seul.

J’ai tenté le concours de la Fémis, j’ai pris un petit temps pour y réfléchir et me nourrir surtout de films. En entrant à l’école, c’est là où les choses se sont vraiment ouvertes. J’ai pu grappiller tout ce que je pouvais pour faire des films. Mais sans forcément au départ me dire que je voulais être réalisateur. Je suis entré en scénario, je voulais écrire des films, c’est ça qui m’intéressait, et je me suis rendu compte au fur et à mesure que j’aimais bien travailler avec les acteurs surtout. Et finalement les films que j’allais écrire, personne n’allait les réaliser vraiment.

Tout à l’heure, à l’issue de la projection, vous encouragiez les festivaliers à aller voir le film Grave de Julia Ducournau, issue de La Fémis comme vous. Diriez-vous qu’il y a une forme de solidarité entre anciens de La Fémis ?

Je ne sais pas si c’est de la solidarité, c’est juste que la Fémis a souvent été associée, et sans doute à raison, à un certain type de cinéma français, un peu gris, un peu chiant… Finalement on se rend compte depuis quelques années qu’il y a un autre type de cinéma qui émerge de cette école, qui soit vers le film de genre, ce qui est le cas de Julia Ducournau, soit vers des films plus esthétisants et qui recherchent autre chose, par exemple avec le film de Jonathan Vinel qui est là avec Caroline Poggi, et qui sont au Fifib cette année aussi. Ca amène une autre dynamique, quelque chose qui n’est pas ce qu’on attendait de l’école il y a quelques années en fait.

Quelles sont vos références chez les réalisateurs français ?

Maurice Pialat par exemple, qui est un peu une référence pour beaucoup, en terme purement de personnages. Des films qui ne fonctionnent que sur des sentiments. Ca me touche beaucoup. Il y a le pendant américain avec Cassavettes. Dans le cinéma français, je pourrais aussi citer Jean Vigo. C’est une façon de traiter la réalité qui est très différente, qui est beaucoup plus douce, belle.

Pour Compte vos blessures, vous citez comme référence Shotgun Stories de Jeff Nichols et Il était une fois un père d’Ozu.

Oui, ce sont des références pour écrire le scénario, dans sa simplicité. Comment avec une histoire très très simple, on arrive à aller assez profondément finalement. Pour le film d’Ozu, c’est un peu l’inverse de mon film, dans le sens où c’est une relation père-fils qui est idéalisée. C’est très beau, très simple. Dans Compte tes blessures, c’est au contraire des conflits permanents qui amènent à une forme de catharsis.

Comment présenteriez-vous l’intrigue du film ?

C’est une histoire de famille bercée par du rock alternatif. Le cœur du film étant vraiment les relations père-fils, l’amour, et finalement la musique, elle intervient autour du film. Elle fait jaillir des choses de ces relations aussi.

Et c’est d’ailleurs un genre de musique, le post hardcore, que vous affectionnez particulièrement…

Oui, j’en écoute toujours, depuis une dizaine d’années. Il y a différents styles par rapport à cette musique là. Il y a un album de Dance Gavin Dance qui vient de sortir que j’écoute en boucle en ce moment. Ce qui me permet aussi d’avoir un point de vue critique sur la musique : dans ce type de musique alternatif, les groupes sont sponsorisés, il y a quand même quelque chose de marketing, ce qui n’était pas le cas il y a des années. Le propos politique est moins présent. 

Cette musique a aussi guidé le choix du titre…

Le titre du film, c’est vraiment le point de départ du film. En général, je pars toujours d’un titre, ce qui me donne une énergie, ce qui lance vraiment vers ce qu’est le film. Dans le film, Kévin Azaïs porte un tatouage qui est un détournement d’une expression anglo-saxone qui est Count your blessings, qui est aussi le titre d’un album d’un groupe très important dans ce style de musique, Bring Me The Horizon. C’est comme un pied de nez au titre de cet album.

Il y a quelque chose d’assez instinctif qui se dégage de votre film…

C’est un cinéma de jaillissement en fait. Avec ses maladresses possibles. Mais aussi avec ces découvertes qui sont au fond de nous. Tout l’enjeu du tournage, c’est de dépasser le scénario et de découvrir ses trucs qui sont au fond de nous. Il y a des scènes qui ont jailli du tournage qui n’étaient pas écrites. On ne s’est pas contenté de suivre le scénario, même si c’était solide, et que c’était le film que je voulais faire. Le scénario est une base et le tournage est l’étape suivante. C’est un piédestal pour aller ailleurs.

Parlons du casting. Comment avez-vous eu l’idée de faire appel à Kévin Azaïs ?

J’ai rencontré Kévin Azaïs dans un atelier qui s’appelle Emergence, qui me permet de réaliser deux ou trois scènes de son premier long métrage. Je l’ai associé à Nathan Willcocks et j’ai vu qu’ensemble il y avait comme des étincelles. Ca présageait des choses vraiment fortes. Il faut aussi rendre hommage à Nathan qui est un acteur avec qui j’ai fait beaucoup de courts métrages. Lui, au contraire du personnage de Kévin Azais, ne peut pas montrer beaucoup de facettes. Il doit rester très ferme. Monia Chokri est aussi vraiment magnifique dans le film. Elle apporte beaucoup de profondeur au film et aussi beaucoup d’humour.

Comment avez-vous découvert Nathan Willcocks ?

Je l’avais rencontré en première année à la Fémis. Il a un parcours assez particulier. Il est britannique, il est passé en Espagne, en France. Il a un côté très anglo-saxon tout en jouant en français. Il a quelque chose de très physique, qui amène beaucoup de tension et d’humanité. 

Un extrait du film :

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 Propos recueills par Brigitte Baronnet le 15 octobre 2016, au Festival International du Film Indépendant de Bordeaux

Louis Ducruet, le fils aîné de la princesse Stéphanie de Monaco, est un homme amoureux. Et il tient à ce que tout le monde le sache…

A 27 ans, Louis Ducruet mène une vie discrète, loin des projecteurs. Le fils de Stéphanie de Monaco et Daniel Ducruet apparaît rarement en public, se contentant de quelques apparitions au côté de sa mère, notamment lors du festival du cirque de Monte-Carlo. Mais Louis Ducruet, comme tous les jeunes gens de son âge, est un adepte des réseaux sociaux et notamment d’Instagram où il poste régulièrement des photos de son quotidien mais aussi des clichés où il apparaît avec sa compagne Marie Chevallier. Le premier mars dernier, à l’occasion de leurs 7 ans de relation, il lui avait fait une très belle déclaration d’amour : “Aujourd’hui cela fait 7 ans que je vis un rêve avec toi, Marie. Bientôt tu seras ma femme. Je t’aime tellement ma chérie“.

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Louis Ducruet a d’ailleurs mis à jour son profil Instagram avec cette mention craquante “Presque marié“, juste au-dessus d’autres informations concernant son âge, son travail ou le nom de son animal de compagnie. Si certaines admiratrices envisageaient de tenter leur chance auprès du jeune, les voilà prévenues !

Le mariage des deux amoureux a été annoncé par le palais dans un communiqué en novembre dernier et devrait se tenir l’été prochain à Monaco. Louis avait confié à ce propos que son père Daniel Ducruet, qui a récemment épousé sa compagne et mère de sa plus jeune fille, avait été très heureux d’apprendre la nouvelle, comme le confiait Louis à Point de vue il y a quelques mois : Il m’a demandé ‘Es-tu sûr de ton choix, es-tu certain de vouloir te marier, certain que le mariage te plaira ? Mais je sentais qu’il était fier, content pour moi. Je le sentais très ému”. Louis Ducruet quant à lui, n’a pas l’ombre d’un doute : il épousera bientôt l’amour de sa vie.

Instagram Louis Ducruet

Crédits photos : CYRIL MOREAU / BESTIMAGE

Stan Lee a déclaré il y a quelques semaines que plusieurs de ses fameux caméos étaient déjà en boîte. C’est maintenant au tour de James Gunn de nous en dire plus sur ces petites surprises !

Dans une récente déclaration faite à Toronto, à l’occasion de la Fan Expo Canada, Stan Lee avait annoncé que ses caméos étaient déjà en boîte pour Doctor Strange, Les Gardiens de la Galaxie 2 et Spider-Man : Homecoming. On apprend aujourd’hui grâce à James Gunn qu’il aurait non seulement filmé ces trois scènes, mais qu’une quatrième serait déjà en boîte, elle aussi !

Marvel : Stan Lee dévoile le personnage qu’il aime le moins au cinéma

Il s’agit sans doute de l’apparition de l’éditeur et scénariste doyen de chez Marvel dans Thor : Ragnarok, mis en scène par Taika Waititi, dont le tournage vient juste de toucher à sa fin. Sur Facebook, le réalisateur James Gunn a déclaré :

“Pour être tout à fait honnête, je crois que je n’ai tourné que trois des prochains caméos – l’un d’entre eux l’a été par quelqu’un d’autre. (…) Si vous avez vu son caméo dans Doctor Strange, il s’agit d’une des multiples versions que j’ai tournées ce jour-là, et Scott Derrickson s’est chargé de choisir la bonne. Si j’écris pour Stan, pourquoi se contenter d’une réplique quand je peux lui en offrir mille ? Je lui fais juste dire des phrases les unes après les autres jusqu’à ce qu’on soit tous morts de rire. Peut-être qu’un jour, quand vous aurez vu le film, Marvel me laissera vous révéler les différentes versions.”

Stan Lee, qui soufflera bientôt ses 94 bougies, semble toujours au sommet de sa forme et plus prêt que jamais à apparaître dans les productions Marvel. Il est présent d’ailleurs dans les franchises élaborées par Disney, mais aussi celles de la Fox (X-Men, Deadpool, Les 4 Fantastiques) et de Sony (The Amazing Spider-Man).  Un biopic fantaisiste sur Stan Lee verra d’ailleurs sans doute le jour prochainement.

De son côté, James Gunn a également précisé dans une vidéo filmée en direct sur Facebook qu’il n’est en rien impliqué dans un projet de suite à la saga Tron, comme aurait pu le suggérer une photo qu’il a postée récemment sur Twitter.

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Prenez des cours de caméo avec Stan Lee…

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Le royal baby Archie Harrison, né ce lundi 6 mai, dort dans une chambre dernier cri. Dans leur nurserie au Frogmore Cottage, Meghan Markle et le prince Harry ont installé un objet des plus modernes.

Frogmore Cottage a beau être une bâtisse vieille du 17ème siècle de l’extérieur, elle est en fait une maison du 21ème siècle comme on en fait peu. Meghan Markle et le prince Harry ont emménagé dans leur nouvelle maison en avril, et ont fait d’énormes travaux : des rénovations estimées à 3 millions de livres, soit environ 3,3 millions d’euros. Ils ont réhabilité les espaces extérieurs, en renforçant les dispositifs de sécurité et en installant un potager biologique.

Quant à l’intérieur, il a été transformé pour devenir leur foyer familial, à leur image. On peut notamment y trouver un studio de yoga, et un spa. Côté nurserie, avant d’accueillir leur royal baby, le duc et la duchesse de Sussex ont mis les petits plats dans les grands. En mère moderne, Meghan Markle a décoré la chambre du petit Archie Harrison Mountbatten-Windsor en utilisant les dernières technologies.

Dans notre hors-série collector dédié au royal baby, en kiosques depuis ce vendredi 10 mai, on apprend que pour endormir son enfant, Meghan Markle a adopté un écran d’ambiance mural. Quant aux murs, ils sont décorés d’une peinture végétale, respectueuse de l’environnement. Le prince Harry et Meghan Markle sortent encore une fois des sentiers battus royaux, cette fois-ci du côté de la décoration.

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Retrouvez ici tout ce qu’il faut savoir sur la grossesse de Meghan Markle.

Retrouvez aussi notre podcast Meghan et Harry : la saga – à l’occasion de la naissance du royal baby.

Crédits photos : Bestimage