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“Carol” de Todd Haynes avec Cate Blanchett et Rooney Mara est diffusé ce soir sur Canal +. Voici 5 choses à savoir sur ce portrait de femmes amoureuses.

De quoi ça parle ?

Dans le New York des années 1950, Therese, jeune employée d’un grand magasin de Manhattan, fait la connaissance d’une cliente distinguée, Carol, femme séduisante, prisonnière d’un mariage peu heureux. À l’étincelle de la première rencontre succède rapidement un sentiment plus profond. Les deux femmes se retrouvent bientôt prises au piège entre les conventions et leur attirance mutuelle.

D’après l’œuvre de…

Le film est tiré du roman éponyme de Patricia Highsmith qui a été publié en 1952. Même s’il est aujourd’hui considéré comme un chef-d’œuvre, cet ouvrage a d’abord été publié sous le nom de Claire Morgan, l’un des 40 pseudonymes inventés par Patricia Highsmith tout au long de sa carrière. La raison ? Il s’agit d’une œuvre sur une relation lesbienne dont la thématique et le message vont à l’encontre des valeurs propres à la société américaine des années 1950. Lors de sa sortie, “Carol” a connu un grand succès à la fois commercial (1 million d’exemplaires vendus) et critique (l’auteur s’est rendue compte via de nombreuses lettres à quel point la communauté lesbienne avait apprécié le livre).

Récompenses

Carol a été présenté en compétition au Festival de Cannes 2015 et a obtenu les récompenses suivantes : la Queer Palm et le Prix d’interprétation féminine pour Rooney Mara. Lors de sa présentation, Carol a d’ailleurs été ovationné par le public durant 10 minutes. Le film de Todd Haynes a également été nommé à 6 reprises aux Oscar.

Mia Wasikowska pressentie…

Lorsque le projet en était à ses débuts, Rooney Mara s’est vu offrir le rôle de Therese Belivet mais le refusa parce qu’elle était épuisée. La comédienne venait de terminer le tournage de Millénium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes, et souhaitait se reposer. Mia Wasikowska a donc  été sollicitée mais préféra tourner l’horrifique Crimson Peak. Remise d’aplomb, Rooney Mara a finalement obtenu le rôle.

Côté mise en scène, il était question que John Crowley (à qui l’on doit l’émouvant Boy A qui a révélé Andrew Garfield) réalise le film mais c’est finalement Todd Haynes qui endossa la casquette de metteur en scène.

Inspiré du vécu

L’histoire d’amour dépeinte dans le livre et le film s’inspire de la romance entre l’auteur Patricia Highsmith et une certaine Virginia Kent Catherwood, une femme bourgeoise plus âgée qu’elle qui a perdu la garde de son enfant du fait de ses relations homosexuelles.

Retrouvailles

Todd Haynes collabore ici pour la deuxième fois avec la comédienne Cate Blanchett puisqu’il l’avait fait tourner dans l’original I’m Not There où six acteurs se sont glissés dans la peau de Bob Dylan. Par ailleurs, Carol est le deuxième film dans lequel elle joue qui est adapté d’un roman écrit par Patricia Highsmith après le thriller Le talentueux Mr. Ripley où elle s’affichait aux côtés des très en vogue Matt Damon, Gwyneth Paltrow et Jude Law.

Découvrez une toute nouvelle photo de Gal Gadot dans le costume de Diana Prince alias Wonder Woman.

1. Gal Gadot est Wonder Woman
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© Warner Bros. France

Diana Prince part au combat ! La Princesse Amazone prend la pose sur une nouvelle photo du film et semble bien décidé à mener ses troupes ves la victoire. Juste derrière elle, on aperçoit le pilote américain Steve Trevor, campé à l’écran par Chris Pine. 

Notons que si Wonder Woman cultive son actualité cinématographique, elle est aussi au coeur d’une tempête médiatique : nommée le 21 octobre dernier comme ambassadrice de l’ONU, la super-héroïne vient tout juste d’être destituée de ce titre, suite aux nombreuses protestations.

Wonder Woman : sa nomination comme ambassadrice de l’ONU fait polémique

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Gal Gadot, étonnée de la tournure des choses, a tenu à réagir : “Il y a tant de choses horribles qui se passent dans le monde, et c’est ce pour quoi vous protestez, sérieusement ? Quand les gens disent que Wonder Woman devrait se couvrir, je ne comprends pas. Ils disent, ‘Si elle est intelligente et forte, elle ne peut pas être aussi sexy.’ Ce n’est pas juste. Pourquoi ne pourrait-elle pas être les deux ?”

Rappelons que le film de Patty Jenkins sortira sur les écrans français le 7 juin. 

Wonder Woman, épique et guerrière

Wonder Woman Bande-annonce officielle VO

 

Ce vendredi 24 mai sera diffusé un nouvel épisode de Koh-Lanta : la guerre des chefs. Mohamed, l’un des candidats encore en lice, s’est confié à France Dimanche. Et s’il est très discret sur le camp, il n’en est pas moins vigilant. Explications.

Ils ne sont plus que neuf sur le camp. Suite à la réunification, les candidats des trois équipes initiales sont désormais réunis pour former une tribu « blanche ». Parmi les restants, chaque candidat a sa personnalité. Il y a Cindy, la blonde du Sud que tout le monde a sous-estimé, Maxime, le professeur qui agace, Cyril, le trentenaire parisien souriant et positif, mais également Mohamed.

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Dans la vie de tous les jours, ce chef d’entreprise de 37 ans – qui travaille avec son frère – a l’habitude de tout gérer. Et pour arriver là où il en est aujourd’hui, il s’est battu. « J’ai effectivement grandi dans une cité HLM. Je suis moi-même très fier de mon parcours. Au départ, rien n’était acquis. Je garde néanmoins bien les pieds sur terre, parce que je sais pertinemment que, dans le monde des affaires, on peut retomber aussi vite que l’on est monté », a-t-il confié dans une interview accordée à France Dimanche et parue ce jeudi 23 mai. Pour arriver à ses fins, il a fait preuve d’une « énorme motivation ».

“J’observe beaucoup”

Une motivation qui lui a servi aux Fidji, où il s’est rendu pour participer à Koh-Lanta : la guerre des chefs.Mohamed voulait « au moins attendre le stade de la réunification », mais il est allé beaucoup plus loin. Sur le camp, le père de Yanis et Anissa ne fait pas beaucoup parler de lui. Il est en effet l’un des plus discrets. « Mon entourage et moi-même nous réjouissons de constater que je suis à l’écran tel que je suis dans la vraie vie », affirme Mohamed. « Je suis effectivement quelqu’un d’assez réservé, j’observe beaucoup. Je ne suis pas du genre à me mettre en avant naturellement », explique-t-il. Un calme olympien qui lui a valu un surnom de la part de Maxime : « la force tranquille ».

Certes, Mohamed ne fait pas partie des leaders sur le camp. Mais il n’est pas dupe pour autant. S’il reconnaît que la stratégie « n’est pas son truc », il est resté vigilant sur le camp : « Qu’on le veuille ou non, on doit toujours être aux aguets. Alors je ne vais pas être celui qui va instaurer une démarche collective à suivre sur le camp, mais je reste très attentif à ce qu’il se passe. J’ai appris, au fil du temps, qu’il fallait se méfier tout le monde », confie-t-il. A bon entendeur.

Durant l’aventure, Mohamed a même dû éliminer Brice, son allié de toujours, pour sauver sa peau. Car c’est aussi ça Koh-Lanta.

Crédits photos : Capture TF1

Un petit selfie pour Jean Dujardin, Johnny Hallyday et Antoine Duléry ! La 1ère photo de “Chacun sa vie”, le prochain film de Claude Lelouch, vient d’être dévoilée. Le film sort dans nos salles le 15 mars.

1. Antoine Duléry, Johnny Hallyday et Jean Dujardin
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© Valérie Perrin

Deux ans après Un + Une et trois ans après Salaud on t’aime, Jean Dujardin et Johnny Hallyday sont de retour devant la caméra de Claude Lelouch dans Chacun sa vie. Le rockeur français, Dujardin et Antoine Duléry apparraissent en train de se prendre en photo sur le premier visuel du film.

Le metteur en scène, que nous avions rencontré durant le dernier Festival international du film policier de Beaune, confiait : “C’est un faux film à sketchs. Il y a 12 histoires qui n’ont rien à voir entre elles, mais qui ont tout à voir bien sûr, puisqu’on les retrouve dans la 13e. Ça me permet de parler de la très intime conviction, c’est-à-dire ce qu’il reste dans chacun de nous quand on a écouté tous les discours.”

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Chacun sa vie – qui s’est tourné cet été à Beaune – réunit plus de 50 comédiens français parmi lesquels Eric Dupond-Moretti, Julie Ferrier, Christophe Lambert, Nadia Farès, Francis Huster, Déborah François ou encore Béatrice Dalle. Le film sort dans nos salles le 15 mars prochain.

Dans l’émission Affaire conclue ce samedi 1er juin , il était question d’une jolie méridienne. Un fauteuil provenant d’un “hôtel coquin” qui a tapé dans l’oeil de Sophie Davant, mais également de sa complice Caroline Margeridon.

Un fauteuil qui n’a pas laissé de marbre. Denise, retraitée de la fonction territoriale participait à l’émission Affaire conclue ce samedi 1er juin. La candidate originaire de Limoges était venue vendre un fauteuil, avec une petite particularité : il a appartenu à un hôtel “coquin” parisien selon ses mots. “Là, ça représente un autre intérêt alors… ça réveille tout à coup a glissé avec malice Sophie Davant à la candidate, qui avait déjà apprécié s’asseoir dans un fauteuil en rotin rappelant le film érotique Emmanuelle. L’expert, mais aussi l’animatrice ne se sont donc pas privés pour le tester. Un fauteuil datant du 19ème siècle qui a eu l’air à leur goût. Un bien estimé à 150 euros.

En salle des ventes, Caroline Margeridon a également eu un coup de coeur, d’autant plus quand elle a eu connaissance du lieu où il se trouvait. “Ca, ça me plaît a lâché l’antiquaire l’oeil coquin, en testant à son tour le joli fauteuil rouge. Affaire conclue à 200 euros pour Caroline Margeridon, ravie de son achat. “Profitez en bien !” a lancé Denise, amusée. “Vous allez me voir, je vais être dedans, je vais faire ma petite sieste en boutique” a confié l’antiquaire, sur le ton de la confidence.

Crédits photos : France 2

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La chanteuse canadienne interprétera l’un des titres de “La Belle et la Bête”, au cinéma le 22 mars.

Et de 2 pour Céline Dion ! L’artiste québécoise, qui avait déjà chanté dans le dessin animé La Belle et la Bête, a révélé sur son compte twitter qu’elle interprèterait le titre “How does a moment last forever” dans la version live de Bill Condon. 

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Rappelons qu’en 1991, le film d’animation avait remporté l’Oscar de la meilleure chanson et l’Oscar de la meilleure musique, remis à l’époque au compositeur Alan Menken. Ce dernier, épaulé par Tim Rice, reprendra ici la partition pour composer ce titre. Sera-t-il aussi inspiré ? 

Notons par ailleurs que la Belle du film Emma Watson poussera elle aussi la chansonnette et devrait interpréter notamment les titres “Belle” et “Something There”.

La Belle Emma donne de la voix 

La Belle et la bête – Spot TV "Belle"

 

Alexandra Rosenfeld, Miss France 2006, possède une plastique de rêve. Sa dernière publication sur Instagram a mis le feu sur le réseau social au point de déclencher l’ire d’Hugo Clément, le chéri de la sublime Biterroise.

La belle Alexandra Rosenfeld, 32 ans, possède une plastique de rêve. Pas étonnant qu’avec ses abdos en béton et ses jambes interminables, Miss France 2006 ne soit l’objet de nombreux commentaires et compliments. Et la dernière photo postée postée le 10 juin a fait monter d’un cran la température sur Instagram. Parmi ses 186 000 followers, la sublime trentenaire proche de Valérie Bègue, originaire de Béziers, a comptabilisé pas moins de 9689 likes.

Un succès qui n’a cependant pas fait l’unanimité. Son compagnon, Hugo Clément, de trois ans son cadet, a en effet rabroué un follower qui semblait vraiment apprécier la silhouette atomique de cette maman d’une petite Ava, née de son union avec le rugbyman, Sergio Parisse, le troisième ligne centre du Stade Français.

Le journaliste a écrit sur le fil des commentaires de sa belle : “Je te vois liker enflure“. Même si la remarque s’adresse à l’un de ses copains et est donc à prendre sur le ton de l’humour, la sentence reste sans appel. On ne touche pas à un cheveu de sa belle. Et inversement, la jeune femme était de la même manière montée au créneau pour défendre son amoureux, critiqué alors qu’il était à l’aube de publier un nouvel ouvrage. Leur histoire débutée sur le tournage de Fort Boyard, en mai 2018 et officialisée quelques temps après, n’a assurément rien perdu de son intensité. Chaud bouillant.

Crédits photos : BESTIMAGE

Une nouvelle recrue rejoint l’équipe de commissaires-priseurs d’Affaire Conclue sur France 2 : Diem Crenaix. La jeune femme, qui a fait sa première apparition au côté de Sophie Davant cette semaine, affiche un parcours impressionnant.

Sophie Davant va pouvoir taquiner une nouvelle commissaire-priseur. Alors que l’animatrice s’amusait à découvrir des objets anciens et parfois loufoques avec Harold Hessel, Marie Renoir, Enora Alix et Jérôme Duvillard, elle le fera aussi avec la nouvelle recrue d’Affaire conclue : Diem Crenais. L’experte a fait sa première apparition dans l’émission de France 2 ce mardi 2 juillet, pour priser un ensemble de faïences de la manufacture de Gien datant du XXème siècle. La voix-off nous offre une courte présentation de la jeune femme, spécialisée dans les objets de la Haute époque (du XIVème au XVIIème siècle) et du XIXème siècle : “Diplômée en 2015, elle a fondé en 2017 sa propre maison de vente.

Si elle a été embauchée dans le programme présenté par Sophie Davant, c’est parce qu’elle a fait un très beau parcours. Après des études de droit des affaires, droit et fiscalité du marché de l’art et de management de projet à Paris puis Lyon, elle est devenue élève commissaire-priseur pendant deux ans au sein de la maison Morand et Morand à Drouot.

C’est à la suite de cette expérience que Diem Crenais s’est lancée à son compte au côté de son associée rencontrée lors de cette dernière expérience, Cristina Mouraut. Ensemble, elles ont fondé en avril 2017 Yellow Peacock, une maison d’enchères en ligne, puis Crenais-Mouraut et associés en 2019, leur cabinet à Enghein-les-Bains. Avec cette première apparition à la télévision, Diem Crenais ajoute une belle ligne dans son CV déjà bien rempli.

Crédits photos : Capture d’écran France 2

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Dans une nouvelle featurette de Rock’n Roll, Marion Cotillard revient sur le coaching qui lui a permis de façonner son accent québécois. Le film est actuellement en salles.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Marion Cotillard s’investit à fond dans ses rôles. Rock’n Roll est un nouvel exemple de son implication puisque dans cette mise en scène de sa vie personnelle, son personnage adopte l’accent québécois pour les besoins d’un film. Pas n’importe quel film d’ailleurs : la prochaine réalisation de Xavier Dolan, dans laquelle elle tiendra le rôle principal !

Dans ce bonus inédit, la comédienne se confie sur son apprentissage de l’accent, nouvelle démonstration de son investissement, ce que son compagnon et metteur en scène Guillaume Canet tenait à souligner à travers un personnage qui prend ses rôles très à cœur, peut-être même de façon un peu excessive.

Résultat : des situations amusantes dans lesquelles Marion Cotillard est sous-titrée pour faciliter la compréhension à la fois de son entourage, mais surtout du spectateur.

Ne manquez pas Rock’n Roll, actuellement au cinéma.

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Members of Parents For Peace gathered in Washington recently for its annual summit. The group is made up of former extremists and their families.

It was a busy fall morning at Reagan National Airport near Washington, D.C. Myrieme Churchill found a clearing in the arrivals hall and scanned the crowd.

One by one, her people showed up: a black father and daughter from Tennessee. A white couple from Georgia. A Somali immigrant. Two South Asians — one from Canada, one from Britain. Churchill greeted them in a blend of languages: Salaam! Bonjour! Welcome to D.C.!

The travelers embraced and began chatting about the weather, barbecue, kids. Anything but the unseen thread that brought them together in Washington: extremism. That would come later, in private, at the fourth annual summit of the nonprofit Parents For Peace. Nearly everyone in the group is a former extremist or the relative of one.

“They were each isolated by their own stories,” said Churchill, the group’s executive director. “They were suffering on their own.”

Parents For Peace began in 2015 mainly as a support group. Now, in response to resurgent extremist violence, the focus is shifting to policy and prevention work. Members came to Washington to put human faces to a problem typically addressed as a national security issue. They want to reframe extremism as a public health emergency that cuts across race, religion, geography.

Churchill, a longtime psychotherapist, said she is inspired by the activists who swayed public perceptions of HIV in the 1980s and ’90s. They took what was then a socially untouchable, poorly understood condition and chipped away at the stigma by humanizing HIV patients, showing Americans that the disease can affect anyone. Churchill said she hopes Parents For Peace can do the same with extremism.

That was the message she delivered to members from a podium later that evening, at the opening of the summit.

“We are all here, part of a movement, to help others be better responders to extremism,” Churchill said. “We have a long journey ahead of us but we’re doing it together.”

The members introduced themselves, each packing years of anguish into a minute or two:

“I really am one of the lucky ones because everyone I know from 10 years ago is either in prison or dead,” said Tania Joya, the ex-wife of a high-ranking ISIS propagandist.

“I’m here with a bunch of parents that know exactly what I’ve been through, so it makes me kind of feel at home,” said Melissa Buckley, the wife of a former Klansman.

“I got involved in this because of my nephew. In 2008, when he went missing overnight, with six, seven other young men,” said Abdirizak Bihi, a Minnesotan whose nephew died in Somalia.

Next up was a brown guy in his 40s with a neatly trimmed goatee: “I’m Mubin Shaikh. I’m a former neo-Nazi.”

The members erupted in laughter. The joke is that Shaikh isn’t a former neo-Nazi — he is a former Islamist extremist. It’s the kind of dark humor they can indulge only here, with others who get it. Parents For Peace gives them that room to breathe, to commiserate, to be themselves.

“I know many of you are still grieving,” Churchill told them. “But I would like to make sure that each of you sees the incredible source of strength that you have.”

A no-judgment zone

Carlos Bledsoe grew up in a black, churchgoing Baptist family in Memphis, Tennessee. After getting into trouble with the law, he underwent a spiritual transformation and converted to Islam in college. No big deal, his family thought. They already had Muslim relatives.

Carlos changed his name and his lifestyle. Slowly, guided by newfound friends, he began drifting toward Islam’s extremist fringe.

“We were blindsided,” said Melvin Bledsoe, Carlos’ father. “We had no idea that someone was lurking to do harm to our family.”

Melvin Bledsoe (right) and his daughter, Monica Holley, founded Parents For Peace in 2015. Bledsoe’s son Carlos is serving a life sentence for a deadly 2009 shooting at a military recruiting office in Arkansas.

Carlos traveled to Yemen, ostensibly to teach English. When he came back, his family welcomed him with a limo and a party. But the man who returned, Melvin said, wasn’t the son he knew.

“When he came back to America,” he said, “we had no idea that he was fully loaded. Like a bomb.”

On June 1, 2009, Carlos Bledsoe, by then known as Abdulhakim Muhammad, opened fire on a military recruiting office in Arkansas. He killed one soldier and wounded another. Today, he is serving a life sentence. His father, Melvin, said he stays up at night envisioning his son in a cell, stuck there forever because he was brainwashed by “the hunters.”

“They changed his name, his behavior, his thoughts,” Melvin said. “He was no longer Carlos Bledsoe.”

Melvin said he didn’t want anyone else to feel what he calls the “everlasting pain” of losing a child to extremism. So he and his daughter, Monica Holley, founded Parents For Peace in 2015. Holley said the idea was to provide something her family had wished for during their ordeal: support through periods of intense grief and shame. One of the first priorities was creating a toll-free help line.

“This is a no-judgment zone,” Holley said. “And I think that’s the most comforting thing, to know that you can talk to someone and not be judged by what your loved one did.”

Parents For Peace now has about 20 members across the country, plus a few in Canada and Europe. For years, they have quietly worked with tech companies, terrorism researchers and politicians who seek a better understanding of extremist movements. This year, though, the group is raising its profile.

Through funding from Twitter, Parents For Peace obtained ad space on the New York City subway last fall. It was unprecedented exposure for a tiny group based out of Churchill’s home near Boston. The families’ busy Washington schedule included an event at the Embassy of Belgium and a panel discussion introduced by Rep. Bill Keating, D-Mass.

“I’m on a mission,” Melvin said. “I want to help others. No one should have to go through the pain. No one.”

The stories behind the Parents For Peace members are compelling. As the group becomes more visible, Churchill, the executive director, fights to keep it independent. She accepts no government money — the organization runs on a shoestring budget through grants and donations. She cajoled her husband, a filmmaker, into doing the promotional videos.

Churchill recalls feeling physically ill after turning down a big government grant at a time when the organization was broke. She says it was the right decision — the work’s credibility hinges on its independence — even though private donors aren’t exactly lining up.

“It’s incredibly difficult when we are not attractive,” Churchill said. “It’s a complicated issue; it’s too politicized.”

She is also careful about partnerships. She tries to protect families from partisan and anti-Muslim groups that seek to exploit the stories for their own agendas. On top of all that, Churchill also faces hostility in some Muslim quarters, where Parents For Peace is seen as a vehicle for the controversial practice of CVE, or countering violent extremism. That’s a catchall term for terrorism prevention strategies that critics say stigmatize Muslims and yield few or no measurable results.

Churchill said the diversity of Parents For Peace members is the best defense against the criticism. No one kind of radicalism is singled out. The members come from all different backgrounds. At the summit, a Somali Muslim with henna patterns on her hands sat next to an ex-skinhead with tattoos across his knuckles. They have political and religious differences; sometimes they squabble like family members.

“These are all individuals who’ve come face to face with extremism and paid the price,” Churchill said.

On the eve of the group’s trip to the U.S. Capitol, Churchill gently reminded them to set aside partisan differences and present a unified front against extremism.

“We know that we vote differently from one another,” Churchill said. “I love all of you members that are conservative and that are liberal and independent or you don’t care. We are on the same page.”

A voice interrupted from the back of the room.

“I’m a felon, so I don’t vote at all!” said Chris Buckley, a former member of the Ku Klux Klan.

Chris Buckley, a former member of the Ku Klux Klan, greets Myrieme Churchill, the executive director of Parents For Peace. The group is made of up of former extremists and their families.

The others laughed. Buckley is one of the newest members. He is here because his wife, Melissa, decided in 2016 that she was tired of the toxic world of the KKK. She could no longer watch her 4-year-old son do the “white power” salute to be like his dad.

“I went into Google and I typed in: ‘How do you get your spouse or loved one out of a hate group?’ ” Melissa said.

She found an email address for an ex-skinhead named Arno Michaelis. He is well-known in the world of “formers,” a term for former extremists who sometimes help rehabilitate others. Michaelis works closely with Parents For Peace.

“It’s a shot in the dark, you know,” Melissa said of her thinking at the time. “I could email him, tell him my story, see what he says, and next thing I know, he responded. And I was like, OK, I just opened a can of worms for myself.”

Arno flew to the family’s home in Georgia for an intervention. Buckley was furious. But Melissa stood her ground. She gave her husband, the love of her life, an ultimatum.

“I said: ‘This is your choice. You stay in, me and the kids are gone.’ “

It took about seven months, but Buckley finally left the Klan. He doesn’t want to gloss over how hard it was. Leaving was like kicking an addiction.

“When you’re coming off of hate and extremism, it’s the same process,” he said. “You’ve got to have a support group. You’ve got to have a network.”

Through Parents For Peace, he is already doing intervention work of his own. He says it is small atonement for all the hate he has put into the world. The kind of hate that was on display in Charlottesville, Va., in 2017. A white supremacist rammed his car into a crowd and killed 32-year-old Heather Heyer. Buckley wasn’t there for the rally, but he still takes personal responsibility for the death.

“I might not have been driving the car, but I pushed the narrative. So I carry that,” he said. “So if I’m willing to sit here at this table and I’m willing to sit here in front of Congress tomorrow, and I’m going to tell them that, I ask them: What are they doing that’s responsible?”

A trip to the Capitol

The next day, the Parents For Peace members filed through security at the Capitol. They were all dressed up, gazing at the ornate architecture.

“The dream is coming true,” Melvin Bledsoe said.

Members of Parents For Peace pose for a group photo during a recent trip to the U.S. Capitol. The families say the group gives them the chance to find support and heal.

The visit was in the early days of the impeachment proceedings. The Capitol was in a frenzy. But the Parents For Peace members still managed to pack a meeting room for a panel on extremism.

Even congressional staffers who popped in for the free food ended up staying to hear the testimonials. Michaelis, the ex-skinhead who helped get Buckley out of the Klan, riveted the audience with the story of how his exit from the white-power movement started with a TV show.

“The sitcom Seinfeld was instrumental in my turnaround,” Michaelis said.

Michaelis is tall, blond, tattooed, but with the easygoing demeanor of a surfer dude. It’s hard to imagine him in his racist days, screaming into a mic as the lead singer in a white-power metal band. That was in the early ’90s, when Seinfeld was a hit. Like much of the country, Michaelis was hooked. But there was a problem: Jerry Seinfeld is Jewish. Arno Michaelis was an anti-Semitic white nationalist.

Michaelis said he began asking himself questions that made him uncomfortable. He began to doubt everything he believed.

“Hey, does Jerry Seinfeld get to live in your whiter and brighter world? If he does, do you think he’d be very funny if you’re killing all the other Jews?” Michaelis recalled thinking. “And the only answer to that is that I was full of s***.”

Michaelis has done this kind of outreach the longest; he was at ease with an audience. For the others, the pain is fresher. They looked uncomfortable being gawked at by Hill staffers.

They didn’t seem to relax until much later, when they were back at the hotel, together, veterans of an invisible war.

“We’ve all been hurt. We’ve all been manipulated,” Buckley said. “Some of us went one way; some of us lost; some of us ended up in different directions. But we all ended up here, for a reason.”

Senior producer Walter Ray Watson contributed to this report.