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EU plans tax on tech giants’ revenue: report

February 23, 2020 | News | No Comments

People pass by the Google logo at the Web Summit in Lisbon on November 8, 2017 | Patricia de Melo Moreira/AFP via Getty Images

EU plans tax on tech giants’ revenue: report

A revenue tax would mark a shift away from the current standard of taxing corporate profits.

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The European Commission wants to tax digital giants on their revenue at a rate between 1 and 5 percent, according to a draft report seen by Reuters.

The proposal would apply to firms such as Google and Facebook which have more than €750 million of revenue worldwide and EU digital revenues of at least €10 million per year, according to the report.

A revenue tax would mark a radical shift away from the current standard of taxing corporate profits. Under the proposal, taxes would be levied in the place where online advertisement is displayed.

The Commission’s draft proposal, which is subject to change before its publication in March, follows criticism from EU governments that U.S.-based tech giants are not paying enough into national coffers. A French-led plan to tax digital giants on their revenues won support from a majority of European countries last year, but lost momentum due to opposition from low-tax countries including Ireland and Luxembourg.

Authors:
Joanna Plucinska 

and

Nicholas Vinocur 

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Nommée dans la catégorie meilleure actrice dans un second rôle pour LesGarçons et Guillaume à table!, Françoise Fabian, depuis presque soixante ans, traverse ce métier avec une classe sans égale. Et se livre en toute humanité.

Parfois – c’est rare – des gens vous donnent envie de jeter deux trois affaires dans un sac et de partir là, tout de suite, en week-end avec eux. Parce qu’il y a une telle beauté dans leur regard que vous avez envie de le partager. Françoise Fabian est de ceux-là. De ceux qui peuvent incarner au mot près cette phrase de Musset : « J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. »

Gala :Croyez-vous au destin Françoise ?

Françoise Fabian : Je ne crois pas du tout en dieu, à la survivance de l’âme, je pense que l’on va mourir, devenir poussière et c’est très bien ainsi. Mais que l’on soit appelé, propulsé, que quelque chose en nous provoque les événements, oui. C’est ce que je nomme le destin.

Gala : Est-ce le cas pour ce métier ?

F. F. : Il n’y avait aucune raison que je devienne comédienne, si ce n’est que j’aimais la littérature. Mon père qui était prof de français me faisait la lecture, on écoutait les pièces à la radio. Je m’inventais aussi beaucoup d’histoires. Je m’enfermais dans ma chambre et je parlais, parlais, parlais… J’avais une âme très romanesque.

Gala :Vous avez grandi en Algérie. Que vous reste-t-il de l’enfance ?

F. F. : L’essentiel. Tout ce que je suis, ma sensibilité, mon amour des gens, de la nature, la liberté, la nudité, le soleil, l’amitié, la générosité, tout cela, je l’ai appris dans mon enfance. Et je trouve encore mes aliments dans le bonheur que j’ai vécu alors. Un des grands cadeaux que la vie m’a fait, c’est la famille que j’ai eue.

Gala : Dans quelles conditions avez-vous quitté l’Algérie ?

F. F. : Je suis arrivée en France vers dix-sept ans et demi pour préparer le Conservatoire d’art dramatique. Le reste de ma famille a été confrontée à l’OAS, moi non. Je suis retournée un jour à Alger, en 1969. J’y suis restée quatre jours et j’ai pleuré sans discontinuer. C’est l’un des plus gros chagrins de ma vie : on avait massacré mon enfance.

Gala :Vos parents vous ont laissée partir sans inquiétude ?

F. F. : Ma mère était terrifiée à l’idée que je me retrouve seule à Paris, mais mon père avait confiance. Ce qui m’a beaucoup portée d’ailleurs. En revanche, il avait très envie que je rentre à la Comédie Française et m’a donné un tout petit peu tort quand j’ai refusé.

Gala :Pourquoi avoir refusé ?

F. F. : Parce que je ne voulais pas être prisonnière. Je voulais faire ce que je voulais sans avoir à demander la permission. J’étais une rebelle, une sauvageonne.

Gala :Vous avez tourné Ma nuit chez Maud, film culte, d’Eric Rohmer en plein Mai 68. Quelle militante étiez-vous ?

F. F. : Je n’étais pas sur les barricades, mais j’allais à la Sorbonne, je suivais tout et j’ai milité à Choisir, pour l’indépendance des femmes. J’ai signé le fameux manifeste des 343 salopes. Au procès de Bobigny (une jeune fille était jugée pour avoir avorté après un viol, ndlr), j’étais là aussi. J’ai témoigné. Je disais au juge : « Si ma fille était enceinte et n’était pas capable de l’assumer, je la ferais avorter ! ». Il criait : « Je ne veux pas vous entendre ! Taisez-vous ! ». Je criais plus fort encore : « Je veux que vous sachiez que je pense comme ça, que je me suis fait avorter plusieurs fois, que je revendique la liberté de l’avortement. » En plein prétoire, c’était surréaliste !

Gala :Vous étiez déjà mariée et maman à l’époque. Votre mari, Jacques Becker a compris votre combat ?

F. F. : Il était mort à cette époque. Je suis restée quatre ans mariée avec lui. Il est décédé en 1960, Marie, notre fille, avait treize mois. Les hommes que je connaissais alors trouvaient ce combat tout à fait légitime.

Gala :Par la suite, vous avez épousé l’acteur Marcel Bozzuffi. Vous qui n’êtes pas croyante, qui êtes une femme libre, pourquoi vous être mariée deux fois ?

F. F. : Avec Marcel nous avons vécu vingt ans ensemble avant de nous marier pour des questions administratives. Quant à Jacques, il y tenait, c’était une preuve d’amour.

Gala :Etes-vous une grande amoureuse ?

F. F. : Je le fus. Mais à mon âge… J’ai eu beaucoup d’amants, d’aventures, j’ai profité de la liberté sexuelle que l’on revendiquait, mais j’ai avorté souvent – c’était terrible. Et puis après Marcel (il est mort des suites d’un cancer, en 1988, ndlr), je n’ai plus aimé d’autres hommes. Je ne peux pas me séparer de Bozzu. On continue notre histoire : il me fait de la peine, je pleure, je l’engueule, on se dispute, on se rabiboche, on s’adore, c’est comme dans la vie. Je continue à rêver d’un homme que j’ai perdu.

Gala :Il était votre âme sœur ?

F. F. : On dit « perdre sa moitié », peut-être cela avait-il une réalité nous concernant. Et j’essaie dans mes rêves de retrouver cette moitié. J’ai passé vingt-cinq ans avec lui, j’ai attendu deux enfants que j’ai perdus. C’était un homme complet. Vraiment. On riait beaucoup ensemble.

Gala :A sa mort, comment avez-vous résisté au chagrin ?

F. F. : Par le travail. J’avais ma fille aussi. Sans elle, je ne sais pas… Et puis par le raisonnement. Je n’avais plus vraiment envie de vivre finalement, mais je me disais que ce ne serait pas bien car lui tenait tant à la vie. Quand il a compris qu’il allait mourir, il était tellement triste. Pendant deux ans, j’ai eu de la difficulté à parler, parce que j’étais incapable de dire « je », je ne savais que dire « nous ». J’ai fait une dépression grave, grave… Et puis, peu à peu, avec le travail, c’est revenu. Je portais un masque au début, je faisais semblant, j’étais un peu dans le brouillard… Quand je repense à cette époque, j’ai la sensation qu’il s’agit d’une autre que moi. Quand on arrive à mon âge, on a le sentiment d’avoir plusieurs vies.

Gala :Actuellement vous êtes sur scène dans Sonate d’automne, qui parle du rapport passionnel et douloureux mère-fille. Vous avez beaucoup bataillé pour obtenir les droits de ce film d’Ingmar Bergman. Qu’y a-t-il de votre propre histoire dans cette pièce ?

F. F. : Beaucoup de choses… Ma fille m’a beaucoup reproché ma passion pour mon métier. Elle me disait avec une espèce de hargne, de colère contre elle-même : « Tu as une passion toi, tu es mobilisée par elle, moi je n’ai rien ! ». C’était pour elle une douleur terrible.

Gala :Aurait-elle voulu que votre passion ce soit elle ?

F. F. : Sans doute. J’ai aimé, j’ai adoré ma fille, adoré, vraiment… Ce que je lui reproche – car j’ai aussi des reproches à lui faire – c’est d’avoir abîmé l’amour que j’avais pour elle. Elle l’a un peu gâché à force de méchancetés. Elle me reprochait Bozzu, le cinéma, le théâtre, elle me reprochait tout. J’ai cru tout bien faire, je l’emmenais partout avec nous, mais en fait elle s’en fichait. Un jour elle m’a dit : « Vous, vous êtes deux et je suis seule. » Moi, je pensais qu’on était trois. Je m’étais trompée.

Gala :Aimeriez-vous qu’elle voie cette pièce ?

F. F. : Pourquoi pas… Je crois qu’elle serait assez solide maintenant pour la voir.

Gala :Que fait-elle aujourd’hui ?

F. F. : Elle vit en Inde. Elle est hindouiste, végétalienne. Elle est très heureuse à présent. Je vais souvent la voir.

Gala :A-t-elle des enfants ?

F. F. : Elle n’en a pas voulu. Maintenant on s’entend mieux. Mais je l’ai peut-être aimée trop passionnément…

Gala :Pensez-vous lui avoir quand même transmis quelque chose ?

F. F. : Je ne sais pas… En tout cas j’aurais aimé lui transmettre le respect des autres, la générosité…

Gala :La joie de vivre ?

F. F. : Hélas, je crois que cela ne se transmet pas…

Gala : L’âge vous a-t-il rendu plus forte ?

F. F. : Plus forte et plus vulnérable. Je suis plus philosophe, je ne m’accroche plus, et plus vulnérable aussi, ne serait-ce que du point de vue de la santé. Mais j’ai moins peur. Je n’ai d’ailleurs peur de rien, excepté de perdre mes amis. Vous savez, je suis une grande solitaire et je m’accommode très très bien de cette solitude, même si j’ai beaucoup d’amis. J’ai un côté viriloïde : j’ai toujours vécu un peu comme un garçon, je suis très indépendante. Aujourd’hui, je sais que je n’en ai plus pour très longtemps et c’est bien. Je profite de toutes les choses qui se présentent, je ris plus facilement. Avant, je vivais dans l’angoisse de ne pas plaire, de perdre quelque chose, de ne pas être à la hauteur, là, je m’en fiche.

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Elodie Gossuin était l’invitée des Maternelles sur France 5 le 5 mars. Heureuse d’être sur le plateau (« Depuis le temps que je vous regarde ! »), l’ex-Miss s’est confiée sur sa vie de mère de famille.

Elodie Gossuin a laissé ses quatre enfants chez elle le temps de participer à l’émission les Maternelles sur France 5. Un déchirement? Pas du tout. Organisée, la jeune femme explique qu’elle s’en sort très bien : « Le papa prend le relais, c’est pour ça que je le garde ! » déclare-t-elle en riant.

Plus sérieusement, le mannequin précise son mode de garde en insistant sur le fait qu’elle n’a pas de nourrice pour ses enfants : « Les grands sont en CP, les deux autres vont à la crèche trois jours par semaine. Après, on jongle » raconte l’ex-Miss France 2001 qui peut compter sur sa maman et sa petite sœur pour faire office de baby-sitters.

Heureuse avec ses deux paires de jumeaux (Jules et Rose, six ans, et Joséphine et Léonard, cinq mois), Elodie Gossuin reconnaît avoir peu de temps à consacrer à sa vie de couple (« Le temps est restreint »), qu’elle considère pourtant comme la base d’un équilibre familial. Et avoue être triste à l’idée de ne pas avoir d’autres enfants : « J’ai adoré être enceinte » confie-t-elle sans l’ombre d’une larme, en se souvenant avoir été très pessimiste et très angoissée lors de sa deuxième grossesse. « Être enceinte de jumeaux pour la deuxième fois, c’est très rare ». Finalement, tout s’est bien passé.

« C’était mon rêve absolu d’avoir des jumeaux ET mixtes » assure la conseillère régionale UMP de Picardie dans un sourire qu’elle ne quitte jamais. À 33 ans, Élodie semble plus que jamais bien dans sa peau.

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Quelques jours après l’annonce de leurs fiançailles, Olivier Sarkozy et Mary-Kate Olsen ont fait leur première apparition publique lors d’une soirée à New York. L’occasion pour eux d’afficher leur amour et pour la future madame Sarkozy de montrer sa belle bague de fiançailles.

Pendant que Nicolas Sarkozy se retrouve empêtré dans des affaires politico-judiciaires en France, son demi-frère Olivier Sarkozy est sur un petit nuage. Depuis plus de deux ans, il file le parfait amour avec Mary-Kate Olsen, de 17 ans sa cadette, et contre toute attente, les deux tourtereaux ont franchi un pas, décisif puisqu’il mène au mariage, en se fiançant.

Olivier Sarkozy aurait fait sa demande lors d’un récent voyage romantique en Jamaïque et l’ancienne actrice, désormais reconvertie dans le stylisme, aurait accepté. La date du mariage n’est pas encore connue, mais en attendant le couple s’affiche en soirée et n’a pas l’intention de taire cette idylle pour faire mentir l’adage «pour vivre heureux vivons cachés».

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Lundi soir, Olivier Sarkozy et Mary-Kate Olsen ont assisté à la soirée organisée pour la sortie du livre de Bob Colacello, Holy Terror: Andy Warhol close up. L’événement s’est déroulé à New York, au studio Diane von Furstenberg. Les amoureux ont joué le jeu des photographes et discuté avec les nombreuses personnes présentes. Lorsque Mary-Kate Olsen s’est assise à une table pour échanger quelques mots avec l’auteur Bob Colacello, les invités n’ont eu d’yeux que pour les mains de la jeune femme, notamment la gauche dont l’annulaire portait une magnifique et imposante bague de fiançailles.

La future madame Sarkozy et son chéri préparent leur avenir tranquillement donc. Ils ont prévu de s’installer dans un appartement de 400 m2 qu’Olivier Sarkozy vient d’acheter pour abriter leur amour. Un espace suffisamment grand pour également accueillir Julien et Margot, les deux enfants nés de son précédent mariage avec Charlotte Bernard.

Invitée de l’émission Le Tube de Canal + ce week-end, Alexia Laroche-Joubert a laissé sous entendre que les candidats de Loft Story se droguaient en salle CSA. Des affirmations démenties par l’animateur du programme Benjamin Castaldi et certains des candidats.

«Je dis toujours, il y a une salle qui est atroce dans les programmes de téléréalité, c’est la salle CSA. C’est une salle qui n’est pas filmée sauf pour des raisons de sécurité, il y a quand même une caméra de surveillance, a expliqué ALJ. Donc oui, on sait qu’ils ont fumé du shit mais là, dans la mesure où c’était un lieu clos où il n’y avait pas d’intervention de la production, je considère que ça fait partie de leur domaine privé.»

Cette réponse d’Alexia Laroche-Joubert à la question de l’animatrice Daphné Bürki qui lui demandait si de la drogue circulait dans l’émission de téléréalite Loft Story n’en finit pas de faire réagir.

Le premier à riposter fut l’un des candidats phares de l’émission, Steevy Boulay, sur son compte Twitter. «Alexia Laroche-Joubert dit qu’il y avait de la drogue de le loft! C’est complètement faux! Absurde… Sur mon Honneur, aucune drogue! (…) J’aimerais qu’elle me dise, droit dans les yeux, qu’elle m’a donné de la drogue, que je rigole. Elle dit n’importe quoi! Elle a surtout envie de faire parler d’elle à mon avis.»

Si Steevy semble pleinement assumer son tweet, ce n’est pas le cas de l’ancien animateur du programme Benjamin Castaldi. Ce dernier a effacé son post («Alexia, Il n’y avait pas de salle CSA dans la saison 1 de Loft Story. Elle a été inventée pour la 2e saison, tout comme les 2 heures de repos») quelques heures après l’avoir publié. Même procédé pour l’ancienne candidate du Loft, Kenza Braiga qui a démenti les propos d’Alexia Laroche-Joubert sur son compte personnel Facebook avant d’effacer son post dans la foulée.

Loin des polémiques Alexia Laroche-Joubert (l’actuelle directrice d’ALJ Productions, filiale du groupe Banijay de Stéphane Courbit) semble pleinement assumer ses propos. Sur Twitter elle s’est ainsi contentée de poster : «Viens de voir le replay de @LeTubeCanal merci @Daphne_Burki01 pour ce moment où j’ai pu prendre le temps.»

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Scarlett Johansson et sa future vie de maman

February 22, 2020 | News | No Comments

Actuellement en pleine promotion du film Captain America: Le Soldat de l’Hiver, Scarlett Johansson se confie au compte-goutte sur sa maternité. Le magazine WSF a cependant réussi la prouesse de recueillir quelques confidences de la star sur le sujet.

Obtenir une confidence de Scarlett Johansson sur sa grossesse n’est pas une mince affaire tant la star tient à préserver le plus possible sa vie privée. Les journalistes français qui ont eu la chance de l’approcher lors de son passage à Paris la semaine dernière (pour la promotion du film Captain America: Le Soldat de l’Hiver) ont d’ailleurs pu s’en rendre compte. Il leur était fortement recommander de ne pas questionner la pulpeuse blonde sur son futur heureux événement.

Nos confrères du magazine WSF ont eu plus de chance. Scarlett s’est confiée de manière sibylline sur sa maternité en abordant la façon dont elle entendait organiser sa carrière prochainement. «Cela semble très stressant de ne pas pouvoir être en mesure de passer du temps avec sa famille parce qu’on cherche toujours à booster son propre succès, a-t-elle souligné. Il doit exister un monde dans lequel je peux équilibrer les choses. Et ainsi, être à même d’élever une famille et de tourner au moins un film par an. (…) Je veux continuer de recevoir des projets, de travailler sur des nouvelles et aussi de faire du théâtre même si cela parait un peu égoïste. Je sais qu’il y aura des sacrifices”.

Également très discrète sur le futur père de son enfant, le français Romain Dauriac, Scarlett a également concédé qu’elle avait quelques progrès à faire dans la langue de Molière pour pouvoir mieux dialoguer avec lui. «Quand vous êtes avec quelqu’un vous avez envie que vos mots soient les plus percutants possibles, remarque-t-elle auprès du magazine WSF. Nous essayons de parler français un peu, mais ça se résume surtout à : ‘J’aime ce sandwich’ et ‘C’est une belle couleur’.”

Pas de doute, Scarlett voit la vie en rose.

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Les alliances, c’est dépassé! Pour aller plus loin que la tradition – ce qui n’est pas étonnant de la part de Brad Pitt et Angelina Jolie – le couple a décidé de s’offrir des tatouages de mariage.

C’est une source du magazine Female First qui a révélé le grand secret. Les deux acteurs, qui devraient se marier juste après le Festival de Cannes, auraient prévu quelque chose d’unique pour célébrer leur union: des tatouages assortis.

« Brad veut quelque chose de vraiment spécial, raconte la source. Quelque chose d’un peu bizarre! Ils veulent exactement le même motif, exactement au même endroit sur leurs deux corps. Ils sont en train de réfléchir à ce qui leur conviendrait à tous les deux. »

Une réflexion qui prend du temps, les deux stars ayant un emploi du temps assez chargé. Angelina Jolie est en effet en train de dessiner une ligne de vêtements pour enfants inspirée de son prochain film Maléfique ; Brad Pitt est lui en pleine promotion de son documentaire Big Men – ce qui ne l’a pas empêché de faire un petit détour à Miraval, son vignoble français.

Inutile a priori d’espérer découvrir la nature exacte des tatouages : « N’imaginez pas que ce sera quelque chose de visible dans la vie de tous les jours. Ils vont certainement dire à la presse qu’ils se sont tatoués, mais ils ne diront pas quoi. Ce sera leur petit secret. »

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Natalia Vodianova, maman pour la quatrième fois

February 22, 2020 | News | No Comments

Déjà maman, le top Natalia Vodianova vient d’accoucher d’un petit garçon. Avec son compagnon Antoine Arnault, ils ont partagé la nouvelle sur Facebook. Félicitations.

«La nuit dernière à 2h45 du matin, notre petit garçon Maxim est né et il porte déjà bien son nom avec ses 4,2 kilos pour 55 cm! Le bébé et moi nous portons magnifiquement bien, à la grande joie du papa». Natalia Vodianova vient d’accoucher, et déjà elle partage la nouvelle avec ses fans sur les réseaux sociaux. Maman de trois enfants, Lucas Alexander, 12 ans, Neva, 8 ans et Viktor, 6 ans, tous le fruit de son union avec son ex-mari le Britannique Justin Portman, l’ambassadrice de la marque de lingerie Etam agrandit sa famille.

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En couple depuis trois ans avec Antoine Arnault, PDG de la marque de luxe Berlutti et fils de Bernard Arnault, propriétaire du groupe de luxe LVMH, le top russe a tenu à remercier ses fans : «Merci pour tous vos vœux que j’aimerais maintenant transmettre à toutes les femmes qui attendent un enfant. Profitez de chaque minute de votre grossesse». S’il s’agit de son troisième enfant à elle, pour le «jeune» papa de 36 ans c’est le premier, et le Français semblait, au moment d’annoncer la grossesse, très heureux: «Nous allons avoir notre premier bébé l’année prochaine!!! Le 4e pour elle mais le 1er pour moi… Je suis un peu stressé. J’espère qu’il ou elle aura les looks de sa maman et le sens de l’humour de son papa». C’est tout le mal qu’on lui souhaite.

Andrew Garfield: après les collants, la robe

February 22, 2020 | News | No Comments

Alors que The Amazing Spider-Man 2 cartonne depuis le 30 avril au cinéma, Andrew Garfield a été sollicité par le groupe Arcade Fire pour incarner un jeune homme en quête d’identité sexuelle dans le clip de We Exist.

Andrew Garfield a beau avoir commencé sa carrière il y a dix ans, sa notoriété est pourtant toute récente. Révélé au grand public en 2010 dans The Social Network, puis aperçu l’année suivante au côté de Keira Knightley dans Never Let Me Go, il a connu la consécration en 2012 grâce à son rôle de l’homme-araignée.
Depuis la sortie en salles il y a quelques semaines du deuxième volet de The Amazing Spider-Man, Andrew Garfield semble avoir un emploi du temps bien chargé. Cette année devrait sortir 99 Homes, puis encore trois autres films programmés d’ici à 2016, dont, on l’espère, deux nouveaux opus de la franchise Marvel, qui lui permettront de revêtir son costume en Lycra bleu et rouge.
Malgré tout, The Amazing Andrew a trouvé le temps de répondre présent à l’appel de Win Butler, leader et chanteur du groupe Arcade Fire, pour incarner un jeune homme transgenre, malmené par son entourage. Le dernier clip du groupe, We Exist, fait office de come-back suite à un silence long de huit mois depuis leur dernier album, Reflektor, sorti en octobre dernier.
Dans cet hymne à la tolérance, le jeune homme s’adresse à son père pour lui demander de l’accepter tel qu’il est, et exprime son désarroi face aux brimades dont il est victime. Pendant plus de six minutes, Andrew Garfield livre une émouvante performance pour illustrer le clip. Il ne peut dissimuler le malaise et la douleur engendrés par le regard des autres.
On l’y voit s’effondrer devant le miroir tandis qu’il revêt des habits féminins, puis se rendre dans un bar sordide en adoptant une démarche maladroitement chaloupée, trahissant son corps d’homme. Enfermé dans sa solitude, le jeune homme est envahi d’espoir lorsqu’un autre l’invite à danser… pour mieux lui faire subir des violences, durant lesquelles il se recroqueville dans ses rêves.
On le voit alors se mettre à danser dans un jeu de lumières faisant référence à une des scènes cultes de Fame, tandis qu’un groupe de barbus bedonnants au nombril découvert se dandine à la manière des danseurs de The Full Monthy. Après être passés devant le jeune homme ébahi, ils lui indiquent le chemin vers une porte lumineuse: direction la scène du festival de Coachella où se produit le groupe Arcade Fire. Le leitmotiv semble alors retentir en silence: en lettres clignotantes qui envahissent l’écran, on lit simplement «WE EXIST».

Aucun doute en effet, ils existent, le talent d’Andrew Garfield aussi.

Le tournage de “Salaud, on t’aime !”, le prochain film de Claude Lelouch avec Johnny Hallyday en vedette, vient de débuter. La preuve avec une pré-affiche composée d’images du premier jour de tournage.

Le tournage de Salaud, on t’aime !, le prochain film de Claude Lelouch avec Johnny Hallyday en vedette, vient tout juste de débuter. La preuve avec la pré-affiche visible ci-dessous, composée d’images du premier jour de tournage. Salaud, on t’aime !, c’est l’histoire de Jacques Kaminsky, le salaud du titre, un photographe de guerre qui, pendant tout sa carrière, s’est davantage préoccupé de son travail que de ses enfants… et qui finit par le regretter. Egalement au casting : Eddy Mitchell, son meilleur ami, Sandrine Bonnaire, qui viendra bousculer leur belle amitié, mais aussi Christa Theret, Irène Jacob, Pauline Lefevre, Rufus ou encore Valérie Kaprisky. La sortie du long métrage, produit et distribué par Les Films 13, est prévue pour 2014.

Clément Cuyer

Salaud, on t’aime ! / © Les Films 13

Salaud, on t’aime ! / © Les Films 13

Salaud, on t’aime ! / © Les Films 13

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