Henry Cavill, alias Superman, et Amy Adams, alias Lois Lane, ont relevé le grand défi du moment, le Ice Bucket Challenge, sur le tournage de “Batman v Superman: Dawn Of Justice”.

On peut sauver le monde et affronter Batman, mais ne pas faire le fier avec quelques bacs d’eau froide sur la tête ! Henry Cavill, alias Superman, et Amy Adams, alias Lois Lane, ont relevé avec bonne humeur le défi du Ice Bucket Challenge sur le tournage de Batman v Superman: Dawn Of Justice. On remarquera que si la comédienne n’a eu droit qu’à un seul bac d’eau froide, le plus célèbre des super-héros a quant à lui été aspergé à plusieurs reprises. Après tout, c’est Superman !

Le long métrage Batman v Superman: Dawn Of Justice, réalisé par Zack Snyder et également porté par Ben Affleck en homme chauve-souris et Gal Gadot en Wonderwoman, sortira dans les salles françaises le 27 avril 2016.

ALS Ice Bucket Challenge – Amy Adams & Henry Cavill from Cruel Films on Vimeo.

Toujours aussi actif sur les réseaux sociaux, M Pokora vient de dévoiler deux photos où il pose aux côtés de ses parents. L’occasion de découvrir une famille unie.

Pour M Pokora la fin de l’été est plus que jamais synonyme de retour aux sources. Loin des plateaux télé et des studios d’enregistrement, l’ex-juré de The Voice s’est offert une pause bien méritée avec ses parents. Des retrouvailles que Matt, heureux, a tenu à partager avec son million d’abonnés sur Instagram. On l’y découvre poser fièrement à tour de rôle au côté de son père, l’ancien footballeur André Tota et de sa mère Brigitte. Deux photos qui témoignent d’une vraie complicité et qui ont visiblement beaucoup plu à ses fans : « Profite de tes parents car rien ne peut remplacer l’amour des siens. Vous êtes très beaux », a écrit l’une d’entre elles.

Ces photos sont d’autant plus exceptionnelles que les parents de M Pokora sont séparés. Le chanteur avait d’ailleurs évoqué leur divorce dans son album R.E.D sorti en 2015, et confiait à cette occasion au Parisien : « La séparation de mes parents a été un soulagement pour moi parce que ça a toujours été le bazar entre eux. Je ne les ai jamais vus se prendre la main ou s’embrasser. Voir mon père quitter la maison, réaliser que l’on ne dormirait plus tous ensemble sous le même toit, a été un déchirement. »

Une chose est sûre, les parents de M Pokora ont finalement réussi à mettre leurs différends de côté et ce, pour le plus grand bonheur de leur fils.

Crédits photo : Fenty Puma by Rihanna via Bestimage

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Vendredi 22 septembre, Loana publiait une longue lettre sur Facebook où elle annonçait sa séparation d’avec Phil Storm, son compagnon depuis six mois. Peu de temps après elle faisait savoir que sa rupture lui avait été annoncée par sms. Des propos que n’accréditent pas du tout son ex-compagnon.

C’est un homme éploré, tout à fait conscient d’être au cœur d’un emballement médiatique, qui a décidé de prendre la parole. Phil Storm vient de livrer sa vérité à nos confrères de Télé-Loisirs.fr au sujet de sa récente rupture avec Loana. « Je suis un simple gars tombé dans une déferlante médiatique fausse », fait-il ainsi d’emblée savoir. Un entretien pour cesser d’être cloué au pilori et rappeler qu’il n’est guère évident d’entretenir une relation amoureuse avec une personnalité aussi connue et appréciée que Loana.

Cette dernière qui a confié il y a quelques jours en exclusivité pour gala.fr, avoir été quittée par son compagnon par sms. Une confidence murmurée la douleur chevillée au cœur, d’autant que l’ex-star de téléréalité a compris cette décision : « Moi j’ai l’habitude de composer avec le star système, pas lui », nous avait-elle expliqué.

Dès lors Phil Storm, conscient d’apparaître comme le vilain de l’histoire, avait déclaré ne pas être prêt à dire sa vérité « pour ne pas faire de mal. Alors c’est moi qui en prend plein la gueule ». Mais l’homme tient autant au fond qu’à la forme et ne supporte pas l’idée d’être estampillé du sceau du lâche. Ainsi déclare-t-il à Télé-Loisirs.fr : « Ce SMS n’existe pas. Oui, il y a un texto qui dit que je veux du recul… Par rapport à des choses peu jolies. Mais ce SMS de rupture n’existe pas. Et j’ai répondu à tous ses SMS tous les jours ». Et d’ajouter : « Tout est déformé ». Un bref entretien conclu par un souhait : « redevenir le simple Phil que les gens aimaient pour (s)es vraies valeurs. Et pas tous ces mensonges, ces choses erronées… »

Crédits photos : Agence / Bestimage

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Le renouveau de la saga Star Wars par J.J. Abrams, le pouvoir d’Apocalypse dans X-Men, un réalisateur français pour Blanche Neige et le Chasseur 2, un court métrage Superman…

Bienvenue dans la FanZone, l’émission geek et héroïque d’AlloCiné. Au sommaire de cet épisode 336, le renouveau de la saga Star Wars par J.J. Abrams, le pouvoir d’Apocalypse dans X-Men, un réalisateur français pour Blanche Neige et le Chasseur 2, un court métrage Superman…

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Protesters set fires in front of the U.S. Embassy compound in Baghdad on Tuesday.

Updated Tuesday at 8:30 a.m. ET

An angry mob protesting American airstrikes in Iraq and Syria tried to storm the U.S. Embassy in Baghdad on Tuesday, smashing through the main entrance and setting fire to a reception area as Marines guarding the compound fired tear gas to hold them back.

The protesters reportedly were made up of supporters of a Shia group, the Kataib Hezbollah militia, that was targeted in the Sunday airstrikes, which killed about two dozen fighters. The U.S. strikes were carried out as a retaliation against the group for the killing of an American contractor in Iraq on Friday. Kataib Hezbollah called for retaliation after the strikes but has denied any involvement in the contractor’s death.

Fighters from the Kataeb Hezbollah militia inspect the destruction of their headquarters on Monday in the aftermath of a U.S. airstrike in Qaim, Iraq.

The sprawling, heavily fortified U.S. Embassy compound in the Iraqi capital covers 104 acres. It was not immediately clear whether the protesters had managed to breach anything but the outermost ring of security.

Earlier, protesters gathered carrying what they said were coffins of some of the fighters killed in the airstrikes. They marched near government buildings and then to the embassy, where they lit fires to show their anger, chanting, “America, leave, leave!”

On Tuesday morning, President Trump tweeted: “Iran killed an American contractor, wounding many. We strongly responded, and always will. Now Iran is orchestrating an attack on the U.S. Embassy in Iraq. They will be held fully responsible. In addition, we expect Iraq to use its forces to protect the Embassy, and so notified!”

After the U.S. launched the series of airstrikes inside Iraq and Syria over the weekend, the government in Baghdad condemned the action as an attack on its sovereignty and said it would summon the U.S. ambassador.

“We stress that Iraq is an independent country, and its internal security takes priority, and serious attention, and will not be allowed to become a battlefield, or a route for launching attacks,” Iraq’s Foreign Ministry said in a statement about what it planned to tell the U.S. ambassador.

It added that Iraq planned to discuss the future presence in the country of the U.S.-led coalition fighting ISIS.

KH and more than two dozen other Iranian-backed militias have a complicated position within Iraq. The paramilitary has fought against ISIS and is formally part of Iraq’s security forces — though U.S. officials have raised concerns about whether the Iraqi government actually has control over it and other Iranian-backed groups.

A U.S. State Department official said the airstrikes were “designed to protect American forces and American citizens in Iraq, but it is also aimed at deterring Iran.”

As NPR’s Tom Bowman reported, KH “has been for months now firing mortars and rockets at U.S. forces at locations throughout Iraq.” The U.S. government blames it for the recent attack on an Iraqi base near the city of Kirkuk in which a U.S. contractor was killed. The attack on the base used by U.S. and Iraqi forces, which involved more than 30 rockets, also injured four U.S. service members and two Iraqi troops, according to the Defense Department.

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The U.S. military says it launched “precision defensive strikes” against three of the militia’s facilities in Iraq and two in Syria. Jonathan Hoffman, an assistant to the secretary of defense, said in a statement that the locations “included weapon storage facilities and command and control locations that KH uses to plan and execute attacks on [Operation Inherent Resolve] coalition forces.” Some of these strikes led to large secondary explosions, Bowman reported.

Hoffman said that KH has a strong link to Iran’s elite Quds Force and said it has received weapons and other support from Iran that it turned on coalition forces.

“The U.S. and its coalition partners fully respect Iraqi sovereignty, and support a strong and independent Iraq,” Hoffman stated. “The U.S., however, will not be deterred from exercising its right of self-defense.”

“Our battle with America and its mercenaries is now open to all possibilities,” KH said in a statement after the strikes, according to The Associated Press. “We have no alternative today other than confrontation and there is nothing that will prevent us from responding to this crime.”

Previous KH strikes had not caused serious injuries. But they were enough to worry U.S. officials. In May, as Bowman reported, “Secretary Mike Pompeo abruptly canceled a trip to Germany and flew to Baghdad because, I’m told, intelligence showed the possibility of a large attack on U.S. forces, presumably by these militias.” That threat did not materialize at the time.

Iraqi Prime Minister Adel Abdul-Mahdi’s office said in a statement that he received a call from U.S. Defense Secretary Mark Esper shortly before the airstrikes and asked for them to be called off. Abdul-Mahdi decried the strikes as a unilateral act by the U.S.-led coalition that is considered a violation of Iraq’s sovereignty.

A State Department official told reporters that the U.S. is not worried about the potential consequences of the strikes. The official added that it’s the Iraqi government’s “responsibility and duty to protect us, and they have not taken the appropriate steps to do so.” The State Department reports that there have been 11 attacks on Iraqi bases that host coalition forces in the past two months. “This obviously is a campaign,” the official said.

The Iranian Embassy also published a statement in Iraqi local media, calling the strikes against militias a violation of Iraqi sovereignty.

ATLANTIC CITY, N.J. – The second day of the 2019 NFCA Convention featured the sold-out, record-setting Exhibit Show, the membership getting down to business, an entertaining and engaging mentoring session, highly-attended fireside chats and the first two speaker sessions on Thursday at Harrah’s Resort Atlantic City. 

Following early morning Boardwalk Bootcamp and Shore Stretch Yoga sessions and a hearty breakfast provided by Schutt Sports, the membership got down to business with their respective caucus meetings. After spending three hours discussing the latest hot topics in softball, attendees headed over to the largest Exhibit Show in NFCA Convention history. 

With 136 vendors and brand-new Exhibit Hall education, it allowed members to mingle with vendors and learn about the latest in equipment, apparel and innovative products. The final hour was capped off with the Scrap Yard Sports Happy Hour and Exhibit Hall raffle. In conjunction with the Exhibit Hall, the digital silent auction is back and the bidding wars started at 11 a.m. and will conclude at 1:00 p.m. on Friday. Find your favorite companies andbid on your favorite items from the comfort of your phone by stopping by each booth and scanning the company’s QR code.

Click on the Schedule or download the Convention App to see a complete list of Thursday’s activities.

The newest endeavor was the education in the Exhibit Hall. Between 1:00 and 4:45 p.m., large crowds gathered around the batting cage in the back corner of the hall to learn from different companies about their latest technology.

Coaches checked out the first of two Drills, Drills, Drills sessions followed by a packed house for the UCLA coaching staff of head coach Kelly Inouye-Perez and assistants Lisa Fernandez and Kirk Walker in “An Exclusive Look Inside the Bruin Bubble: Coaching Staff Dynamics.” India Chiles (Tennessee) and Caitlin Lowe (Arizona) followed with “Accelerate Your Offense.”

Emceed by Indiana head coach Shonda Stanton, the Mentoring Session opened with a touching address by Pfeiffer’s Vada Blue Sherrill, the first recipient of the Geri Ann Glasco Memorial Scholarship. Stanton brought her high-energy and entertaining personality, as mentors volunteered to give advice and life lessons to young head and assistant coaches. 

Additionally, mentors were asked to “pay it forward” donating money toward great prizes and educational opportunities for the mentees, which included 2019 convention, NFCC and NFCA Clinic registrations as well as regional and national coaching staff visits. This year featured fund-raising activities such as a dance off between Michigan’s Carol Hutchins and Alabama’s Pat Murphy to NFCA Hall of Famer Sharon Drysdale “asking” coaches to donate after “losing” their credential.

The evening was capped off by the Diamond/PGF Social Pool Party at Harrah’s Pool After Dark.

Be sure to check out day two of the sold-out Exhibit Show, which opens its doors to members at 7:30 a.m. and runs through 2:00 p.m. Batting education continues, along with the Sports Attack raffle and the conclusion of the Digital Silent Auction at 1:00 p.m.

Friday features a full boat of speakers starting at 9:00 a.m., The lineup also includes the Softball Summit sponsored by USA Softball and the Grassroots Summit with a college coaches panel and educational (offense & defense) offerings. The night is capped off by the Convention’s marquee event, the 2019 Hall of Fame banquet.

English record champions end the decade a long way from their fabled perch and there have been only a few encouraging signs that things will improve

Manchester United’s trip to Arsenal is a chance to take stock of the club’s progress this year under Ole Gunnar Solskjaer.

The club travel for a New Year’s Day fixture in north London with their opponents now headed up by Mikel Arteta. His appointment brings with it some of the same goodwill that Solskjaer carries with him – but it has been far from easy for the former striker at Old Trafford. 

There are clearly differences in the situations between Solskjaer and Arteta and the latter’s time under Pep Guardiola marks him out as a manager with potential. There is insufficient evidence to suggest Arteta is the right or wrong choice for Arsenal, while after a year Solskjaer has demonstrated both his limitations and his promise.

His greatest achievement is that he still retains the support of the dressing room, no small feat with a squad of players which has seen off one manager after another. If anything, the exuberant spirit that came with United’s initial resurgence under Solskjaer has been rekindled. Recently, there have been indications that lesser teams are more vulnerable to United’s attack after a frustrating period of results against the league’s smaller clubs.

Admittedly, doubts persist. United might be close to the Champions League spots but they are barely clear of mid-table. A tight chasing pack suggests that United are on the fringes of Premier League mediocrity. But there is no guarantee that they are not also firmly embedded in it.

If there is to be a tactical improvement, it must come with the club’s existing players proving that Solskjaer is not just an encouraging figurehead, but a coach who can do more than just assemble a starting XI.

“Starting XI” is the pertinent phrase, too, because there remain justified doubts that his substitutions change matches.

Mason Greenwood’s excellence means that if you need a goal, put him on the pitch. The doubts creep in when Andreas Pereira is seen as a superior option to James Garner, or if Jesse Lingard continues to play ahead of Angel Gomes.

Solskjaer is somewhat trapped; he can’t risk damaging the confidence of young players he eventually wants to use but is punished for using senior players he knows for certain are not capable. A more aggressive manager – more confident in his ability to not only play but improve youngsters – might approach a game with more swagger.

It is well established that United exploit the spaces granted to them by better sides but struggle to break down teams who are ready to launch their own counter-attacks. Solskjaer should be able to figure this conundrum out with the players at his disposal.

Going into the opening of the transfer window, there is a chance for executive vice-chairman Ed Woodward to paper over the cracks, and to give an as-yet unproven manager the chance to learn on the job. Signing, for example, a James Maddison or a Christian Eriksen would obviate the need for Solskjaer to find his own solutions from Juan Mata and Lingard.

Against Arsenal, Solskjaer will have no new players to use. He may have Paul Pogba back, and, just as it was for Jose Mourinho, finding a way to get the best out of him could be the difference between success and failure.

Solskjaer’s approach has probably been the best one at hand. He has been unrelentingly positive and fulsome in his praise of the World Cup winner. Instead of subbing him or dropping him pointedly, he has put him at the centre of the team whenever possible.

When these two sides met earlier this season, Pogba featured for the last time before his lengthy injury problems kicked in. If he were to return at his best then a top-four finish would seem more likely. However, there is no guarantee that Pogba will even be at the club by the end of the transfer window.

Whether Solskjaer can engender the much-needed application from Pogba for the rest of the season is far from clear. After a year in charge it is a testament to the intractable nature of the problems facing him that he has made only negligible headway to overcoming his biggest obstacle.

Installée depuis 2 mois à l’Elysée, Brigitte Macron prend ses marques. A sa manière, elle entend peser en tant que Première Dame et essaye de répondre à ce que les Français attendent d’elle.

Alors que le statut de première dame est en voie de définition légale par le gouvernement, et qu’un budget officiel a été annoncé (même si on n’en connait pas encore le montant exact), Brigitte Macron semble prendre la tache qui lui a été attribuée par la force des choses avec beaucoup de gravité : « Rien ne s’improvise. Il faut beaucoup de sérieux, de la proximité sur le terrain. J’entends ce que disent les gens et j’apprends »

Selon des propos rapportés dans le magazine Paris Match en kiosque ce jeudi, Brigitte Macron aurait confié à ses proches : “C’est un ‘job’ que je fais avec plaisir en essayant de répondre à ce que les Français attendent de moi” Lorsque par exemple la femme du président colombien accompagne son mari, elle me parle de l’Amérique latine, je comprends mieux alors ce qui s’y passe. Rien de cela n’est anecdotique, c’est un vrai “job” que je fais avec plaisir en essayant de répondre à ce que les Français attendent de moi. ».

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Il est déjà sûr que la première dame s’investira dans la culture, l’éducation et le handicap. Sa notoriété certaine, avec le public, les personnalités politiques et les instances officielles, devront sans aucun doute être un atout dans la réussite de ses objectifs.

En attendant, Brigitte Macron reste un soutien certain, voire un argument de poids, dans la politique de son mari. Et la moindre de ses apparitions est largement commentée. Elle recevrait déjà plus de courrier que l’ex-première dame Carla Bruni.

Lors de son concert à Lille, le samedi 1er juillet, Céline Dion laissait sans voix les spectateurs en s’essayant à une chorégraphie très sexy sur la chanson Le Ballet. Un show endiablé exercé en compagnie de Pepe Munoz, son danseur préféré. Cette danse semble faire l’unanimité puisqu’elle a été ajoutée à la setlist internationale de la tournée de la star.

Ils ne se quittent plus. Depuis le début de sa tournée mondiale, Céline Dion s’affiche avec son bel espagnol Pepe Munoz. A la ville comme sur scène, ou bien de jour comme de nuit. L’homme de 32 ans a été aperçu, à plusieurs reprises, sortant de l’hôtel de Céline Dion au petit matin. S’ils ne se cachent pas, ni Céline ni Pepe ne révèlent la nature de leur relation. Qu’importe que celle-ci soit amicale ou amoureuse, la star retrouve le sourire. Selon sa biographe, Céline Dion serait “dans l’épanouissement d’elle-même”.

Et cela se reflète même lors des chorégraphies des concerts de Céline Dion. En effet, le 1er juillet, l’interprète de My heart will go on provoquait la stupéfaction des spectateurs en proposant une danse très sexy avec Pepe Munoz sur le titre Le Ballet. Vêtue d’une légère tenue de dentelle noire et transparente, la chanteuse était envoûtante et sensuelle, à l’instar de l’Espagnol. Cette scène a véritablement provoqué l’émoi chez les Canadiens qui s’interrogent.

Une nouvelle pourrait bien susciter une fois de plus la curiosité des fans de Céline Dion. Pepe Munoz vient d’obtenir une promotion. Réservé jusqu’alors au public Européen, le show réalisé sur Le Ballet s’applique désormais à tous les concerts puisqu’il a été ajouté à la setlist internationale. Après Lille, Nice ou encore Berlin, chaque spectateur pourra admirer le duo. L’information a été dévoilée hier dimanche 23 juillet sur le compte Facebook « The Red Heads », une page dédiée à Céline Dion. Au vue des commentaires, cela semble ravir tout le monde.

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Alors qu’Emmanuel Macron recevait Bono puis Rihanna, François Hollande côtoie lui aussi des people. Moins bling-bling mais tout aussi sympathique, l’ancien président a été aperçu au restaurant avec l’acteur français Gérard Jugnot.

Le plein de people. Ces derniers jours, l’Elysée a accueilli deux stars de la chanson. En effet, Emmanuel Macron recevait d’abord Bono, chanteur du groupe U2 et grand ami des présidents de la République, puis, c’est Rihanna qui a pu rencontrer le couple Macron pour promouvoir le Partenariat mondial pour l’éducation. L’américaine et Brigitte ont toutes deux fait preuve de style devant les photographes. Pendant ces instants showbiz qui en agacent certains, il y en a un qui passe du bon temps en compagnie de personnalités bien connues du grand public, en toute discrétion. Actuellement en vacances, François Hollande, ex président de la République, profite d’être loin du tourbillon médiatique pour côtoyer des acteurs français.

D’après des photos exclusives de Closer, François Hollande et sa compagne Julie Gayet ont retrouvé Gérard Jugnot ainsi que son épouse Patrica Campi, tout près de la Côte d’Azur le week-end du 22 juillet. Les jeunes mariés ont partagé un dîner avec l’homme politique dans un charmant restaurant de l’île de Proquerolles. Un repas bien moins bling-bling que celui organisé entre Emmanuel Macron et Donald Trump à la Tour Eiffel.
L’ancien président surnommé « Monsieur Petites Blagues » et l’acteur comique se connaissent depuis plusieurs années. Leur point commun n’est sans aucun doute l’humour. Celui qui jouait Félix dans Le père Noël est une ordure déclarait même: « François Hollande aurait pu faire partie du Splendid » Ensemble, ils ont été scolarisés au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine, situé dans les Hauts-de-Seine.

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