Patrick De Carolis croit en la justice. Mis en examen en tant qu’ancien dirigeant de France Télévisions, il profite de sa retraite dans le Lot pour écrire, avec son épouse, Carol-Ann, sur une autre figure du pouvoir. Rencontre.

Gala: Comment votre famille a-t-elle réagi à votre mise en examen?

Patrick de Carolis: Mon épouse et mes quatre enfants ont été très forts, très présents. Je mesure ma chance d’avoir une famille comme la mienne. Je suis marié depuis trente-quatre ans. Carol-Ann est assurément la femme de ma vie. Nous sommes complémentaires, comme les pièces d’un puzzle. Quand je repense à toutes nos années de vie commune, je me dis que je n’ai pas perdu mon temps.

Carole-Ann de Carolis: Nous avons bravé toutes les tourmentes. Nos enfants ont été adorables pendant toute cette période.

Gala:Avez-vous été soutenu par vos amis?

P.de C.: Certains, les vrais. Il y a aussi des anonymes dont je n’imaginais pas le solide soutien.

Gala:Etes-vous rancunier?

P.de C.: Non. Mais j’ai de la mémoire… (rires.)

(…)

Gala:Envisagez vous d’écrire votre autobiographie?

P. de C.: On me l’a proposé mais je ne pense pas encore que ce soit le moment. Ces dernières années, j’ai tenu un journal intime. Pour l’instant, je le garde pour moi.

Gala:Vous gambergez beaucoup?

P. de C.: C’est mon moteur et mon problème. Trop d’idées. Il faut savoir choisir et trier.

Gala:Comment faites-vous pour le suivre, Carole-Ann?

C-A. de C.: Ce n’est pas toujours évident. Il faut accepter ses moments de doute. Patrick a parfois tendance à se replier sur lui-même pour réfléchir. Le silence est toujours facteur de création chez lui. Au bout de trente-quatre ans, on fini par s’y habituer.

Gala:Patrick, si tout s’arrêtait demain, qu’aimeriez-vous que l’on retienne de vous?

P. de C.: l’image d’un homme qui a essayé d’être créatif dans son domaine à travers un certain nombre de magazines qui ont jalonné mes quarante ans de télévision. Je n’ai jamais cherché à être à la mode, ni dans mon propos ni dans mon look. J’ai toujours voulu être dans le vrai et la sincérité.

Gala:Comment vous définiriez-vous?

P. de C.: Je suis un angoissé optimiste. Je ne pense qu’à l’avenir, donc je suis angoissé. Mais comme je sais qu’il y a un avenir, je suis très optimiste.

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Crédits photos : FRANCIS DEMANGE

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En novembre dernier alors qu’il était l’invité de l’émission « Thé ou Café » sur France 2, Florent Pagny avait expliqué qu’il était en froid avec Olivia Ruiz. Il avait remis ça dans une interview à Gala quelques jours plus tard. Hier, c’est sur France Info qu’il en a rajouté une couche.

Invité de l’émission « Tout et son contraire » de Philippe Vandel sur France Info, Florent Pagny a accepté d’en dire plus sur son différend avec la chanteuse Olivia Ruiz. «Cette gamine, j’étais parrain du premier Star Ac’ où elle était, rappelle-t-il. Depuis, je la croise parfois sur des plateaux, je la vois et elle m’évite. Elle ne veut pas me dire bonjour, elle ne veut pas croiser mon chemin. Je l’ai vu une fois, deux fois, trois fois, et je me suis dit : ‘Oh toi, j’ai compris’. (…) Je ne l’aime pas, mais en fait, c’est elle qui a commencé. C’est elle qui ne m’aime pas d’abord, et moi, quand on ne m’aime pas, c’est plus facile pour moi de ne pas t’aimer…».

Si la discrète Olivia Ruiz a pour l’heure toujours refusé de s’exprimer sur le sujet, c’est déjà la troisième fois en 10 mois que Florent Pagny revient sur cette histoire. Il avait lancé les hostilités dans l’émission « Thé ou Café » sur France 2 en novembre 2013. «Avec qui vous refuseriez de chanter un duo?» lui avait demandé Catherine Ceylac. «Avec Olivia Ruiz », avait-t-il répondu avant de préciser : « Parce que je l’aime pas. Mais bon, elle me le rend bien. Elle m’aime pas. C’est elle qui a commencé d’ailleurs ». Bis repetita dans Gala un mois plus tard. «Depuis le début, cette gamine me prend pour un idiot, avait-il lancé. Elle m’évite, ne veut pas me dire bonjour. On se croise depuis la première Star Academy à laquelle elle a participé en 2001. Cette année-là, j’étais le parrain de l’émission et je dois lui rappeler de mauvais souvenirs… Tant pis pour elle si elle n’aime pas les chanteurs populaires !”.

La rancœur est visiblement tenace!

Laurent Ruquier ne se laisse pas faire. Quand Mathilde Seigner attaque son émission On n’est pas couché et ses chroniqueurs, l’animateur n’hésite pas : il répond. Dans Télé Star, il revient sur les provocations de l’actrice, qui avait déclaré ne plus vouloir être son invitée.

« Je n’irai plus parce que les chroniqueurs sont là juste pour vous débiner. » Mathilde Seigner expliquait en mai dernier ne plus vouloir se rendre sur le plateau de l’émission On n’est pas couché, accusant l’équipe de l’émission de n’être présente que pour attaquer les invités. Cette semaine Laurent Ruquier a répondu à l’actrice dans une interview donnée au magazine Télé Star.

L’animateur, qui n’est jamais le dernier pour critiquer les personnalités du PAF, a déclaré avec humour que Mathilde Seigner ne savait pas ce qu’elle disait : « Vu le nombre de conneries qu’elle sort… Elle le dit elle-même ! Je vous parie que dans trois ans, on la reverra dans le programme. » Un optimisme qui se heurtera peut-être aux résolutions de l’actrice, qui estime avoir « fait l’audimat de la télévision pour des années. »

Soucieux, Laurent Ruquier précise quand même en parlant de l’actrice qu’il l’apprécie : « Je l’aime bien, et je crois qu’elle m’aime plutôt bien ». Un moyen de s’assurer de ne pas être trop en froid avec Mathilde Seigner : après tout, l’animateur ne peut pas faire d’émission sans invités !

Crédits photos : Abaca

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Comme lors de sa première grossesse, Kate Middleton vit assez difficilement le début de la deuxième. Malade, elle est suivie par les médecins, mais doit se résoudre à annuler certains rendez-vous prévus à son agenda.

Même s’ils se réjouissent de l’heureux événement qu’attend Kate, ses admirateurs risquent d’être déçus. Du moins, ceux qui espéraient l’approcher lors des différents événements inscrits à son agenda de princesse. La duchesse de Cambridge connaît en effet des premières semaines de grossesse délicates, comme lorsqu’elle attendait George. Elle est obligée de rester chez elle, soignée de près par d’éminents médecins.

Il lui faudra patienter jusqu’à sa douzième semaine de grossesse avant de voir les symptômes dont elle souffre disparaître. En attendant, Kate est trop faible pour sortir et honorer ses différents engagements. Ainsi, elle n’assistera pas ce mercredi soir à la cérémonie d’ouverture des Invictus Games, une compétition sportive pour soldats blessés. La nouvelle est tombée par le biais d’un communiqué publié par Kensington Palace. «La duchesse de Cambridge n’assistera pas à la cérémonie d’ouverture des Invictus Games» dit le texte.

La princesse ne se tiendra donc pas au côté des autres membres de la famille royale qui assisteront à l’Olympic Park de Londres à cette manifestation soutenue par le prince Harry. Elle a également dû annuler sa participation demain à une cérémonie au centre Lee Valley Athletics en l’honneur de tous ceux qui sont morts ou ont été blessés pendant un conflit. Kate n’ira pas voir non plus quelques épreuves de la compétition des Invictus, comme elle avait prévu de le faire jeudi soir.

Son voyage à Malte, le premier officiel, seule, sans William, est pour l’instant compromis, mais Kate attend de voir l’évolution de son état de santé avant de prendre une décision.

Crédits photos : Non renseigné

Jusqu’à présent, il s’agissait presque d’un sans-faute pour le ministre de l’Économie du gouvernement Valls II. Emmanuel Macron vient pourtant d’être pris à parti suite à son interview au micro d’Europe 1. Evoquant les employées d’un abattoir, il a utilisé le mot «illettrées», alors qu’il tentait pourtant de défendre leur position.

Tout semble bon pour tirer à boulet rouge sur le gouvernement en ce moment. Si l’on ne bat pas un homme déjà à terre, les détracteurs de la majorité n’ont pourtant pas hésité à relever une déclaration du nouveau ministre de l’Économie, Emmanuel Macron. Alors que cet ancien banquier de 36 ans fait ses premiers pas auprès de Manuel Valls, il a évoqué sur Europe 1 sa volonté de «créer de l’activité partout où c’est possible», prenant en exemple les abattoirs Gad dans le Morbihan en liquidation judiciaire. «Il y a dans cette société une majorité de femmes, il y en a qui sont pour beaucoup illettrées, a confié le ministre. Pour beaucoup, on leur explique : ‘Vous n’avez plus d’avenir à Gad ou aux alentours. Allez travailler à 50 ou 60 kilomètres’. Ces gens-là n’ont pas le permis de conduire. On va leur dire quoi? Il faut payer 1 500 euros. Il faut attendre un an. Voilà, ça, ce sont des réformes du quotidien.»

Bien que le ministre évoque une vérité – selon Europe 1 l’illettrisme concerne 20% des salariés de cette société -, tout en gardant à l’esprit une façon de leur retrouver du travail, nombreux sont ceux à avoir dénoncé le terme «illettrées». Une situation aussitôt désamorcée par l’entourage du ministre de l’Economie, qui s’est confié au Télégramme. «Il n’y avait aucun mépris pour les salariés», précisant qu’il s’agissait d’un «mot malheureux» et «extrêmement blessant». «On peut comprendre que cela suscite une certaine émotion, mais il n’y avait aucune volonté de stigmatiser qui que ce soit. Le souhait du ministre est plutôt d’illustrer la difficulté d’un certain nombre de salariés de se reclasser.»

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En pleine disgrâce, le gouvernement Valls II doit faire face à de nombreuses attaques et se doit d’être irréprochable. Même si la critique systématique n’inversera pas la courbe du chômage…

La disparition de Robin Williams le mois dernier a provoqué une onde de choc à Hollywood, et même bien au-delà. Sa fille, Zelda a été la première à avoir été heurtée de plein fouet par ce drame familial. La jeune femme a fait une nouvelle apparition en début de semaine sur Twitter, pour remercier personnellement les internautes l’ayant aidée à passer ce cap difficile.

L’annonce de son décès a eu les mêmes effets dévastateurs qu’un tsunami. Robin Williams nous a quittés à la mi-août, quand la police l’a retrouvé sans vie chez lui, au nord de la Californie. Aussi doué qu’il était, le comédien avait pourtant sa part d’ombre, puisqu’il était dépendant à l’alcool et aux drogues depuis de longues décennies. Titulaire de quatre Golden Globes, dont celui de meilleur acteur pour Good Morning, Vietnam en 1988, la mémoire du défunt interprète de Mrs Doubtfire a été saluée à maintes reprises par les célébrités.

Les témoignages de respect par une masse d’anonymes ont également afflué sur les réseaux sociaux. Mais l’hommage le plus poignant reste celui de la fille de Robin Williams, Zelda. Elle avait publié une lettre émouvante sur son site web, quelques heures après avoir clôturé son compte sur le site de micro-blogging. Mais la jeune femme est revenue sur ses pas, puisqu’elle a décidé de briser le silence via son fil Twitter.

Une apparition furtive pour celle qui essaie de se reconstruire petit à petit et ce, dans la plus grande discrétion. Zelda Williams a posté dans la matinée du 23 septembre : “Je tiens juste à vous remercier pour les témoignages et les lettres que j’ai reçus, en particulier de ceux qui ont perdu également un des leurs”. Et d’ajouter: “Je ne me connecte pas souvent, mais lire comment vous avez surmonté la perte d’un être cher et continué de vivre pleinement heureux m’a été d’une grande aide. Sincèrement”. Moins de dix minutes après son premier message, Zelda Williams retweete un portrait de son père, chantant à tue tête à côté des personnages de Sesame Street.

Espérons pour Zelda Williams qu’elle ne fera pas de nouveau l’objet de commentaires malveillants, raison pour laquelle elle avait été amenée à fermer provisoirement son compte Twitter. La fille de Robin Williams a déjà fait un premier retour sur la Toile au début du mois, en postant un simple “Thank you”, agrémenté d’un lien vers son Tumblr.

Crédits photos : Jon Kopaloff

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Deux mois avant la sortie de son nouvel album, ACDC vient de diffuser sur sa page Facebook le premier single. Intitulé Play Ball, il n’apporte rien de neuf mais confirme que le groupe n’a rien perdu de son rock.

Les papis du rock ont encore des choses à dire. Un mois après la sortie du premier album studio depuis vingt ans des Pink Floyd, auquel participera Stephen Hawking,ACDC signera début décembre son grand retour dans les bacsavec le disque Rock or Bust. Pour patienter jusque là, les Australiens comblent leurs fans avec la diffusion d’un premier single. Intitulé Play Ball, il reprend la recette qui a fait le succès d’ACDC, du bon vieux rock qui envoie. A défaut d’être original et novateur, le titre confirme que même sans Malcolm Young, qui n’a pu participer à l’enregistrement de l’album pour la première fois depuis la création du groupe, son frère Angus Young et Brian Johnson ont encore du coffre. Malgré leur âge, 59 et 66 ans, le guitariste et le chanteur conservent la même énergie. Play Ball donne le ton et figurera sans doute en bonne place lors des concerts que ACDC s’apprête à donner en 2015.

Les dix autres chansons seront dévoilées le 2 décembre lorsque sortira Rock or Bust, un album enregistré à Vancouver et produit par Brenden O’Brien qui a déjà travaillé avec Rage against the machine, Bruce Springsteen ou encore Pearl Jam. Il s’est donc fait sans Malcolm Young qui a dû arrêter pour se soigner. Le guitariste souffre en effet de démence et suit un parcours de soins dans un établissement spécialisé situé à Sydney. Raison de plus pour ceux qui sont restés pour tout donner et rendre le plus beau des hommages à l’un des piliers du groupe.

Grâce à “Spring Breakers”, la fin de l’hiver sera plus chaude que prévu. Et en attendant la sortie du film, le 6 mars prochain, découvrez les affiches-personnages.

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Vous les avez peut-être vues dans les rues de Paris, les voici maintenant chez vous (ou presque) : les affiches-personnages de Spring Breakers ! Aussi court vêtues que dans le film, Vanessa Hudgens, Selena Gomez, Ashley Benson et Rachel Korine y vont chacune de leur petite pose, tandis que James Franco fait admirer ses dents à la JoeyStarr (époque NTM) et son look de bad boy. Choisissez votre préféré(e), en attendant la sortie du long métrage, le 6 mars prochain.

Maximilien Pierrette

La bande-annonce non-censurée du film

C’est l’évènement de ce nouvel album pour le Sidaction : Jean-Jacques Goldman y chante en duo avec Claire Keim. Un fait rare pour l’artiste, qui reste très discret en dehors de ses tournées avec les Enfoirés – il n’a pas sorti de nouvel album depuis Chansons pour les pieds, paru il y a plus de dix ans.

Certes, ce n’est pas une chanson originale. Certes, il ne la porte pas de sa seule voix. Mais le retour de Jean-Jacques Goldman est un événement. Sous l’impulsion de Pascal Obispo et pour le Sidaction, la personnalité préférée des Français participe à un duo avec Claire Keim. Les deux artistes reprennent Ça, une chanson tirée de l’album Totem sorti par Zazie en 2007.

« C’est une très belle chanson de Zazie au départ qui s’appelle Ça, qui est extrêmement émouvante, racontait ce matin Claire Keim sur RTL. Quand Pascal Obispo m’appelle et me dit ‘Voilà tu vas chanter cette chanson si tu es d’accord, avec Jean-Jacques Goldman’, je lui dis ‘Ah bon, mais Jean-Jacques va chanter ?’. Je suis infiniment touchée d’avoir la chance de partager une chanson avec lui. » Un morceau qui s’annonce très chargé émotionnellement, et dont un premier extrait est déjà disponible.

Claire Keim s’est par la suite mise à la place de tous les Français : « Moi aussi je rêve que Jean-Jacques refasse un disque, confiait-elle. Je rêve qu’il rechante sur scène. À chaque fois qu’il fait des petites apparitions, même dans Les Enfoirés, c’est toujours magique. Ça serait bien qu’il remette un peu de magie dans ce monde, on en aurait bien besoin. » Son vœu sera peut-être bientôt exaucé : Jean-Jacques Goldman avait déjà surpris cet été en se produisant sur scène pour quatre chansons au festival des Vendanges du cœur – peut-être annonce-t-il à sa manière son grand retour.

Crédits photos : T.F.1-CHOGNARD/SIPA

Un appel est lancé aux cinéphiles désireux de souhaiter apporter leur soutien financier à la restauration des “Parapluies de Cherbourg” de Jacques Demy, qui sera projeté lors du prochain Festival de Cannes.

Alors que le soleil fait son apparition dans l’Hexagone, c’est un appel aux amoureux des parapluies qui est lancé. Via le site participatif Kisskissbankbank, la société Ciné-Tamaris demande aux internautes de contribuer financièrement à la restauration des Parapluies de Cherbourg, en vue notamment de la projection du chef d’oeuvre de Jacques Demy au prochain Festival de Cannes. Nettoyage, étalonnage des couleurs, remixage du son : ce long et minutieux travail représente un coût de 115 000 euros. Des partenaires tels que le Festival de Cannes, LVMH ou la ville de Cherbourg ont mis la main à la poche, mais le financement n’est pas complet. Et même si Mme Emery acceptait de vendre tous ses bijoux (mais si, vous savez, la mère de Geneviève, qui dirige le magasin de parapluies !), il manquerait encore un peu d’argent. Agnès Varda et son équipe s’adressent donc aux Demyphiles, qui ne manqueront pas d’être remerciés de leur geste. Contre 10 euros, vous recevrez une carte postale personnalisée et aurez vos nom et photo sur le site de Ciné-Tamaris ; contre 25 euros, vous aurez droit à un morceau de 9 images d’une copie 35mm des “Parapluies ” ; contre 60 euros, vous serez invité à une soirée avec projection et surprises (pour ne citer que les premières contreparties…). A ce jour, environ 3000 euros ont été collectés, l’objectif de Ciné-Tamaris étant d’atteindre les 25000 euros d’ici à la mi-avril. Alors, si ça vous chante…

Julien Dokhan

Toutes les infos sur la collecte ici

Le 10 avril, coup d’envoi de la grande exposition Jacques Demy (accompagnée d’une rétrospective) à la Cinémathèque Française. Tous les détails ici.

VIDEO : Ma scène préférée : la scène finale des “Parapluies de Cherbourg” par Olivier Père, directeur d’Arte France cinéma, ex-critique de cinéma et ex-directeur du Festival de Locarno et de la Quinzaine des Réalisateurs

Ma scène préférée