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CLEARWATER, Fla. – Mississippi State captured the 2020 NFCA Division I Leadoff Classic presented by Rawlings at the Eddie C. Moore Complex. The Bulldogs (4-0) went undefeated and earned the title on run differential average. Joining Mississippi State with undefeated weekends were Illinois (4-0), Kentucky (4-0) and Missouri (5-0).

The U.S. National Women’s Team, as part of its “Stand Beside Her” Tour presented by Major League Baseball, wrapped up its five-game set at the tournament, defeating Texas State, 5-2. The highlight of the contest was Bobcat Hailey MacKay cracking a home run off her pitching coach and USA starter Cat Osterman. MacKay finished the game with both RBI.

The Bulldogs, under the guidance of first-year head coach Samantha Ricketts, concluded play with a 9-0, five-inning win over North Carolina State. Chloe Malau’ulu started the fireworks with a first-inning grand slam and Candace Denis capped off the victory with a three-run shot to end the game in the fifth. Denis, who also had a sacrifice fly, finished with four RBI. Grace Fagan twirled a one-hit shutout for the Bulldogs. She struck out eight and walked two. Over the four games, Mississippi State led the tournament with a .343 batting average, seven doubles, and 26 RBI. Their pitching staff also had the lowest ERA at 0.52 with two shutouts, 36 punchouts and a .160 batting average against.

For all the results, box scores and other tournament information visit the Tournament Central.

Missouri capped off its 5-0 weekend with a 5-1 triumph over Louisville. Jazmyn Rollin and Kimberly Wert each recorded two hits for the Tigers, while Taylor Roby went yard for the Cardinals. Mizzou hit .321 with a tournament-best nine home runs and .575 slugging percentage.

Behind a two-hit shutout by Sydney Sickels, Illinois headed home undefeated, following a 2-0 win over No. 23 Auburn. She struck out seven and walked two batters. Kailee Powell and Shelby Stauffenberg each drove in a run for the Illini, who finished the weekend with a 1.25 ERA and a .200 batting average against. 

No. 14 Kentucky blanked No. 8 Minnesota, 7-0 in its finale. Meghan Schoman and Grace Baalman combined on a four-hit shutout. Schoman earned the win, allowing all four hits with four strikeouts. Baalman closed out the final 2.2 innings with three punchouts. Tatum Spangler was 2-for-2 with a home run and three runs scored. Rylea Smith added two hits and Kayla Kowalik drove in two runs. UK’s staff posted a 0.72 ERA with 26 strikeouts and held their opposition to a .204 average. Offensively, they hit .305 with five home runs and a .524 slugging percentage.

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Notre Dame, Missouri State and Liberty were also triumphant on Sunday with the latter two programs picking up their first wins of the season. The Bears blanked Baylor, 3-0, while Liberty edged No. 21 Ole Miss, 4-2. The Fighting Irish topped South Alabama 3-1, winning their final three contests to finish 3-2 overall.

All-Tournament Team

Tannon Snow – Auburn

Taylor Ellis – Baylor

Sydney Sickels – Illinois

Rylea Smith – Kentucky

Denay Griffin – Liberty

Taylor Roby – Louisville

MaKenna Partain – Minnesota

Fa Leilua – Mississippi State

Jazmyn Rollin – Missouri

Steffany Dickerson – Missouri State

Tatyana Forbes – North Carolina State

Alexis Holloway – Notre Dame

Mikayla Allee – Ole Miss

Shelby Sloan – South Alabama

Dalilah Barrera – Texas State

Ardent contestataire de la politique de François Hollande, Jean-Luc Mélenchon prone depuis longtemps déjà la passage à une 6e République. Il a lancé une pétition en ligne déjà signée par plus de 35 000 personnes dont de nombreuses personnalités comme Sonia Rolland, Christophe Alévèque, Ariane Ascaride, Yvan Le Bolloc’h…

«Il est temps de passer la sixième» affirme Sonia Rolland vendredi sur son compte Twitter. L’ancienne Miss France est l’une des nombreux artistes qui ont signé la pétition mise ligne pour le passage à une 6e République. Un combat que mène Jean-Luc Mélenchon depuis de nombreuses années mais pour lequel il a décidé de mettre un coup d’accélérateur.

L’ancien président du Parti de Gauche défend donc son projet dès qu’un média veut bien lui donner la parole et il a surtout mis en ligne cette pétition qui permet à tous les citoyens de découvrir son projet et de l’appuyer en la signant. Depuis sa mise en ligne le 12 septembre, 35 063 personnes (à 16h30 vendredi) l’ont déjà signée.

Parmi les signataires, on retrouve une cinquantaine de personnalités, indispensables pour attirer la lumière des projecteurs et l’attention des médias non politiques. Dans la liste, on retrouve ainsi l’humoriste Christophe Alévêque, la comédienne Ariane Ascaride et le réalisateur Robert Guédiguian, Laurent Binet, l’écrivain dont on a dit qu’il avait co-écrit le livre de Valérie Trierweiler, la réalisatrice Dominique Cabrera, l’imitateur Gerald Dahan, le comédien Yvan Le Bolloch, le journaliste Daniel Mermet, l’écrivain Gérard Mordillat, l’humoriste Didier Porte, la comédienne Sophie de la Rochefoucauld , ou encore l’ancienne Miss France aujourd’hui comédienne Sonia Rolland, sans compter de nombreux intellectuels, historiens, philosophes…

Le communiqué du bureau de presse de Jean-Luc Mélenchon annonce la prochaine mise en place d’un comité d’initiative.

Crédits photos : VILLARD/NIVIERE/SIPA

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Guerre ouverte chez les Chirac

February 18, 2020 | News | No Comments

Les candidatures de Nicolas Sarkozy et Alain Juppé à la présidence de l’UMP, en vue de l’élection présidentielle de 2017, divisent la droite. Et même certains couples. Chez les Chirac par exemple, Jacques et Bernadette ne soutiennent pas le même homme et le font savoir.

L’ambiance ne doit pas être toute rose chez les Chirac. Déjà parce que ce n’est pas leur couleur politique, mais surtout parce qu’en ce moment Jacques et Bernadette ne semblent pas partager le même avis sur les candidats à la présidence de l’UMP et, au-delà, à l’élection présidentielle. Jacques Chirac vient en effet de prendre position pour Alain Juppé, tandis qu’en début de semaine Bernadette Chirac a affiché son soutien à Nicolas Sarkozy, flinguant au passage le maire de Bordeaux.

Dans Le Figaro de jeudi, Jacques Chirac a ainsi déclaré: «J’ai toujours su qu’Alain Juppé serait au rendez-vous de son destin et de celui de la France. Peu de choses pouvaient me faire plus plaisir, pour moi-même, pour lui et surtout pour notre pays». Il a même ajouté: «Si j’en avais l’énergie, j’aurais déjà réservé ma place, même une petite, à son QG».

Emanant d’un ancien président de la République dont les prises de paroles sont plutôt rares ces derniers temps, pour ne pas dire inexistantes – on sait Jacques Chirac affaibli physiquement et peu bavard en public -, le soutien a du poids. On sait qu’il ne porte pas Nicolas Sarkozy dans son coeur depuis sa trahison en faveur d’Edouard Balladur en 1995. En 2002, il s’était même prononcé en faveur de François Hollande. Une boutade -peut-être?- mais qui en disait long sur son aversion vis-à-vis de celui qu’il surnomme «le nain». Jacques Chirac avait tout de même précisé «sauf si Alain Juppé se présente», rappelant ainsi son estime pour celui qu’il a toujours qualifié de «meilleur d’entre nous».

Un avis que ne partage pas du tout Bernadette Chirac comme elle l’a rappelé en début de semaine sur Europe 1. Elle avait en effet affirmé à propos du maire de Bordeaux: «Il est très très froid et il n’attire pas les gens, les amis, les électeurs éventuels». Puis l’ancienne première dame avait répété son admiration pour Nicolas Sarkozy qu’elle a soutenu pendant la campagne de 2012, participant même à des meetings. «Mais vous savez, Juppé peut courir avant de faire des succès comme ça sur les planches. Quand on approche des élections de plus en plus importantes, il faut des qualités très exceptionnelles et il y a très peu de gens, je le sais puisque mon mari a été deux fois président de la République, il y a très peu de gens qui peuvent faire ça».

Alain Juppé avait ensuite réagi en confiant qu’il voyait régulièrement Jacques Chirac et que ce dernier l’avait «encouragé à persévérer». Ajoutant, un brin malicieux: «Il m’a confirmé son jugement, que j’étais « le meilleur d’entre nous ». Il persiste…». Bernadette Chirac devait être absente ce jour-là.

Crédits photos : VILLARD/CHESNOT/SIPA

Mercredi soir, l’émission Un soir à la Tour Eiffel s’est offerte un coup de pub de mauvais goût. Invité de l’émission, Nicolas Bedos y a déclaré avoir eu une liaison avec Valérie Trierweiler, provoquant un incroyable buzz sur les réseaux sociaux. Il s’agissait en fait d’un canular avoué à la fin du programme et organisé avec la complicité d’Alessandra Sublet.

L’émission a beau se dérouler au premier étage de la Tour Eiffel, mercredi soir elle n’a pas tutoyé les sommets et au contraire touché le fond. Un soir à la Tour Eiffel recevait en effet Nicolas Bedos, réputé bon client des plateaux télé pour son bagout et parfois ses provocations. Il n’a pas déçu les attentes de son hôte puisqu’au cours de l’interview menée par Alessandra Sublet il parle de son nouveau livre qui révèle sa liaison avec Valérie Trierweiler.

Dans Les serments déchirés, il détaille les dix-sept mois de cette improbable romance, depuis leur rencontre au cours d’un dîner en 2012 jusqu’aux rendez-vous secrets et les promesses de mariage. Très rapidement les réseaux sociaux répercutent l’info. Certains s’indignent, d’autres s’interrogent, mais beaucoup flairent le mauvais canular. Le Parisien contacte même Valérie Trierweiler qui dément.

Bref, c’est le flou le plus complet, et au final ce sont les partisans du canular qui ont eu raison. A la fin de l’émission, Nicolas Bedos et Alessandra Sublet révèlent dans un mauvais dialogue qu’il s’agit d’une «grosse connerie». Les deux complices sont visiblement fiers de leur coup et l’écrivain se justifie en affirmant qu’il voulait ainsi dénoncer «la peoplisation de la politique que certains nous imposent». Il estime que «la société subit de plus en plus un espèce de mélange et de bouillabaisse entre le privé et le public, le glauque, l’intime». Et de conclure, avec classe: «je n’ai pas eu d’aventure avec Valérie Trierweiler pour une raison très profonde c’est que ce n’est pas du tout mon genre physiquement». Eclat de rire d’Alessandra Sublet qui lui lance: «Non, il faut arrêter maintenant». Un accès de lucidité qu’elle aurait peut-être dû avoir avant l’émission, lorsque Nicolas Bedos lui a proposé son idée de canular.

C’est en effet une bien mauvaise publicité que s’est offerte une émission qui a besoin de conquérir le public et de s’installer. Au vu des réactions sur Twitter, les téléspectateurs n’ont pas goûté la blague. Pas sûr que le message de Nicolas Bedos soit passé non plus. Il faudra de meilleures idées à Un soir à la Tour Eiffel pour s’élever un peu. Et s’installer au deuxième étage du monument ne suffira pas.

Crédits photos : DESSONS/JDD/SIPA

Fraîchement séparée de Chris Martin, Gwyneth Paltrow devrait prochainement trouver l’amour… si l’on en croit sa voyante Jill Willard. Cette dernière lui prédit d’ailleurs un nouveau mariage.

Gwyneth Paltrow n’a aucun souci à se faire sur son avenir sentimental. Si son ex, Chris Martin, leader des Coldplay, roucoule tranquillement avec la jeune Jennifer Lawrence, elle est également en bonne voie pour retrouver l’amour. C’est ce qu’affirme en tout cas son amie médium, Jill Willard, dont elle a dressé un portrait élogieux sur son site Goop. Pour la voyante, une chose est sûre : l’actrice va prochainement à nouveau convoler en noces. “Gwyneth est une femme formidable et je vois de belles choses dans son avenir, confie t-elle au magazine Grazia. Elle va se remarier et retrouvera l’amour parce qu’elle est ouverte à cela.” C’est le fruit de nombreuses sessions depuis sa séparation au printemps dernier durant lesquelles elle a pu “débloquer” ses sentiments et se préparer à aller de l’avant. “Quand quelqu’un se sépare d’un partenaire, je suis généralement en mesure de lui montrer pourquoi ils ont rompu. Je vais voir des choses et les aider à puiser dans leurs pensées et leurs émotions les plus profondes.”

Il faut dire que Jill Willard se positionne en experte. “Je suis capable de décrypter pourquoi les choses se sont passées de la sorte et diminuer leurs craintes. Mes informations permettent à mes clients d’avancer, puis de sortir et de trouver de nouveaux soutiens – des conseillers en divorce, des thérapeutes, etc.” Gwyneth Paltrow, lentement mais sûrement, prête pour le rebond.

Crédits photos : NBC

Le tandem Kad et Olivier revient avec On a marché sur Bangkok, un film d’aventure traité sur le ton de la comédie. Derrière la caméra, Olivier Baroux prend un vrai plaisir à suivre un tandem inédit au cinéma, son fidèle complice Kad Merad et Alice Taglioni.

Après le retour de Pamela Rose, Olivier Baroux quitte la comédie parodique policière pour revenir vers un film d’aventure. Toujours humoristique, que les fans se rassurent, dans la veine de Safari, mais en plus réussi et plus abouti.

L’histoire démarre sur un pur délire à savoir découvrir ce qui s’est passé sur la lune pendant les deux minutes d’interruption de la retransmission du premier pas de Neil Armstrong, le 20 juillet 1969. Pour récupérer la vidéo, deux journalistes que tout oppose, le ringard Serge Renart et l’intrépide Natacha Bison, mènent une course poursuite effrénée à travers la Thaïlande. Le film enchaîne les scènes d’action et les gags sans temps morts. Le scénario pêche un peu parfois, mais On a marché sur Bangkok est une vraie comédie populaire familiale emportée par la puissance comique d’un Kad Merad toujours à 200%.

Le duo est entouré d’excellents seconds rôles, notamment un étonnant Etienne Chicot et la très touchante Chawanrut Janjittranon. Sorti pendant les vacances de la Toussaint, le film est à aller voir en famille et devrait ravir les petits et les grands.

De Olivier Baroux. Avec Kad Merad, Alice Taglioni, Etienne Chicot, Gérard Jugnot… 1h33

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A 65 ans, Jacques Weber dévoile sa vie, ses coups de gueule et ses coups de coeur, dans un livre aussi truculent que lui. Propos recueillis par Françoise Smadja.

Gala:Vous étiez un cancre à l’école, vous refusez d’entrer à la Comédie-Française, vous quittez la troupe de Robert Hossein en pleine gloire, vous renoncez à jouer dans Rabbi Jacob, et votre voix fout le camp dans Cyrano alors que c’est un triomphe. Fuyez-vous toujours le succès dès que vous le touchez?

Jacques Weber: Si je le savais! (Rire.) Je n’ai aucune réponse à ça. Je le constate aussi. Il y a chez moi cette sensation de me dire « c’est trop beau pour être vrai ». Est-ce que je le mérite? Toute ma vie, j’ai été comme ça. C’est très paradoxal. D’une part, je largue les amarres, je prétends à la liberté absolue, à l’indépendance à l’état suprême de l’acteur et d’un autre côté dès que je suis libre, je fais parfois des erreurs dans mes choix. On pourrait schématiquement dire que je ne suis pas à l’aise dans le succès.

Gala:N’est-ce pas un peu suicidaire, surtout pour un acteur?

J.W.: A l’époque, je n’étais pas marié. Je n’avais pas quelqu’un qui me montrait à quel point il ne fallait pas confondre un coup de nerf, un coup de gueule ou un coup de courage. Aujourd’hui, j’ai la chance d’avoir Christine, ma femme, dans ma vie. Ça s’apparentait aussi à des espèces de pulsions, de révoltes que je n’arrivais pas à dominer. C’était violent de balancer au téléphone à Pierre Dux, le directeur du Français: « Je n’aime pas ce que vous faites, je n’aime pas les gens qui font partie de cette troupe, je n’aime pas votre maison. » J’ai vécu d’autres choses. J’avais sans doute besoin de cela pour essayer de m’affirmer seul et conquérir d’autres endroits. Je n’ai aucun regret.

Gala:Vous avez une forte inclinaison à l’outrance… « Si je bouffe, je bouffe dix fois plus que tout le monde, je bois dix fois trop, si je me mets à ne rien faire, je dors comme personne ne dort… » Pourquoi êtes-vous toujours dans la démesure?

J.W.: Et quand je dis ça, c’est aussi outrancier puisque que je ne bouffe pas réellement dix fois plus que les autres. Mais je mange vite, très vite, je me fais tout le temps engueuler. A une époque, j’ai été très volumineux. J’étais dans l’excès. Aujourd’hui, je fais attention, je fais du sport. Mon problème, c’est l’impatience. Je veux tout et tout de suite. C’est terrible et très enfantin. En revanche, à côté d’un Gérard Depardieu, j’ai une outrance de nain.

Gala : Vous êtes incapable de faire une addition, gérer un compte, vous servir d’un ordinateur, ranger une voiture dans un parking. Pourquoi vous complaisez-vous dans cette ignorance ?

J. W. : Je n’aime pas le réel et son organisation. C’est Christine qui gère tout. Si je veux être totalement honnête, c’est aussi parce que socialement cela m’est permis, et je réalise combien je suis privilégié. J’ai eu cette chance extraordinaire de vivre de mon métier dès l’âge de quinze ans. Je suis issu d’une famille de la toute petite bourgeoisie assez rigide. Je revois encore le cahier de compte de ma maman. Cette espèce de désinvolture par rapport à la réalité est aussi une caractéristique sociale, mais également une question de caractère. Certains savent très bien le faire, moi pas.

Gala : Avec Weber, « c’est jamais sans ma femme » ?

J. W. : (Rires.) On partage tout. Elle fait de nombreuses adaptations, dont celle de la correspondance de Baudelaire. Elle m’assiste, quand je mets en scène. Je ne suis pas rigolo, je suis même bougon et silencieux. Pour la pièce de BHL (Hôtel Europe, ndlr), nous sommes allés à Sarajevo avec Kim, ma fille. J’avais envie de vivre cette expérience avec elles. J’en garde un souvenir inouï. Je peux aussi partir deux jours en tournée et bouffer seul. Nous nous sommes mariés deux fois. La première à la mairie en 1981, la seconde, dix ans plus tard dans une petite église de Bretagne. Ce fut une très grande cérémonie.

Gala : Vos trois enfants ont aussi la fibre artistique dans le sang.

J. W. : Tomy écrit des scénarios, Stanley est comédien et Kim est photographe. Tomy a réalisé deux films, Stanley a tourné dans de nombreux films. Très objectivement, je pense que mes deux fils ne se sont pas trompés de métier. Quant à Kim, ses photos dénotent une grande sensibilité.

Gala : Les encouragez-vous ?

J. W. : J’aide, je n’encourage pas. J’essaye de dire toujours très honnêtement ce que je ressens. Je me méfie des conseils. Mes enfants m’apportent énormément dans leur regard et moi j’en fais tout autant avec eux. Tomy et Stanley m’ont un jour écrit pour me dire que c’est grâce à moi qu’ils ont choisi ce métier. Je m’en souviendrais toute ma vie. J’étais extrêmement touché.

Gala : Votre physique de jeune premier soulevait des éloges ou des railleries. « Attention planquons-nous, planquons nos femmes, voilà le beau Weber, il va toutes nous les piquer ». Mais cette belle apparence cachait un grand complexe. Racontez-nous ?

J. W. : (Il rit). Le regard des autres me troublait, je ne m’en rendais pas compte. Aujourd’hui, ça se reproduit aussi avec mon fils Stanley. Quand j’ai tourné le Monte Christo, ça m’énervait vraiment. Personne ne se doutait que je souffrais d’un gros problème d’acné sur le tout le torse. Je le vivais comme une infirmité. Je me disais : « Comment vais-je faire dans l’intimité, dans la vraie nudité ». J’étais persuadé que mon acné était la chose la plus effrayante du monde. Tout le monde connaît ça. Mais, contrairement à d’autres, mon complexe était pire, il ne se voyait pas. Cela explique aussi ma timidité et mon manque d’assurance. A trente ans, j’ai tourné avec Signoret dans un film de Jeanne Moreau. Je jouais le rôle d’un boucher et Signoret m’a dit : « Louis Jourdan dans le rôle d’un boucher, ce n’est pas crédible ». Une réflexion qui m’a beaucoup marqué.

Gala : Justement, avez-vous peur du temps qui passe ?

J. W. : Aujourd’hui, à soixante-cinq ans, je peux évoquer tous ces souvenirs. Mais le rapport au temps qui passe est aussi très paradoxal. C’est quelque chose d’effrayant. « On va vers le naufrage », disait De Gaulle. Mais en même temps, des choses magnifiques se mettent en place. Sans doute qu’avec l’âge, je me rapproche aussi du réel.

Crédits photos : SIPA

Grizzly: une ode à la nature signée Disney **

February 18, 2020 | News | No Comments

Après Félins et Chimpanzés, Disneynature se penche sur les ours d’Alaska. Grizzly suit le voyage d’une maman ours et de ses deux petits pendant six mois à travers l’Alaska. Passionnant et rafraichissant.

Avant d’être le doudou préféré des enfants, l’ours est un animal sauvage dont la vie n’est pas des plus tranquilles. C’est ce que démontre Grizzly, produit par Disney, en suivant l’histoire d’une femelle grizzly et de ses deux petits, depuis leur sortie d’hibernation jusqu’à la suivante.

Six mois qui se résument à la recherche de nourriture, vitale, malgré les dangers que représentent les loups et les autres ours. On suit avec émerveillement, et effroi parfois, le voyage de ce trio attendrissant, dans les neiges des hautes montagnes d’Alaska jusqu’au cours d’eau remplis de saumons, en passant par les plaines et les prairies verdoyantes.

Une véritable ode à la nature, sensible et attachante, au message écologique évident mais distillé sans lourdeur, avec délicatesse et intelligence. Grizzly est un film à découvrir en famille et qui ravira autant les grands que les petits

De Alastair Fothergill et ska Keith Scholey. 1h18

Crédits photos : Photo: Keith Scholey

Gad Elmaleh: tant qu’il aura des idées…

February 18, 2020 | News | No Comments

Fortement moqué lors de la diffusion de sa publicité LCL, Gad Elmaleh n’en reste pas moins l’humoriste le plus apprécié du public français. Il se livre aujourd’hui sur son erreur de parcours.

Le 10 décembre 1994, âgé de 23 ans, Gad Elmaleh débute sa carrière de comédien. Pas encore de one man show pour le Casaoui, simplement une apparition dans un court métrage intitulé Manivelle. 20 ans plus tard, l’acteur est devenu l’humoriste préféré des Français. Il leur a déjà présenté cinq spectacles et est apparu dans des dizaines de longs métrages. Et malgré ces nombreuses aventures artistiques, Gad Elmaleh assure ne pas ravoir le moindre regret, même s’il avoue avoir commis quelques erreurs au cours de sa carrière.

Lors d’une interview livrée au site Metronews, le comédien a abordé tous les aspects de ces 20 années sans user une seconde de la langue de bois. « Je ne regrette rien, même la pub LCL, assure-t-il. Je pensais que c’était bien ». La publicité en question avait pourtant suscité de nombreuses critiques, le Plus de l’Obs allant jusqu’à titrer que Gad Elmaleh était devenu la risée du web. « Le public s’est beaucoup exprimé dessus, concède l’intéressé, mais ça veut dire qu’il ne me laisse pas faire n’importe quoi. Ça me touche ». Pourtant, Gad ne se désolidarise pas du projet de départ. Il en parle même avec une étonnante franchise, « je l’assume, je ne vais pas cracher dans la soupe, je pensais que ça allait être bien, j’ai été super bien payé, je n’ai rien caché ».

Aujourd’hui, l’humoriste compte bien remercier le public pour ces 20 années de fidélité. Il organise donc un show inédit afin de marquer cet anniversaire. 20 ans sur scènes sera joué à 20 reprises au Palais des Sports de Paris, entre le 25 novembre et le 20 décembre prochains. « Mon spectacle ne tournera pas en province mais il sera enregistré », précise Gad. Il faut dire que le comédien reprendra la tournée de son one man show précédent, Sans tambour, dès le mois d’avril 2015. Et tant qu’il aura des idées, il y aura des spectacles. « J’ai peur parfois de ne pas avoir d’idées originales, confie-t-il. C’est ça qui m’inquiète le plus. Il n’y a rien de pire qu’un comique qui n’a plus d’idées. Le jour où ça m’arrive, j’arrête. Sans faire d’adieux ».

Crédits photos : Abaca

“Iron Man 3” : l’affiche du Mandarin !

February 18, 2020 | News | No Comments

L’affiche de Ben Kingsley dans “Iron Man 3” vient d’être dévoilée ! Le comédien tient le rôle du grand méchant : Le Mandarin !

Après l’affiche personnage d’Aldrich Killian (Guy Pearce) dans Iron Man 3, dévoilée en début de semaine (voir l’affiche), c’est au tour de celle du Mandarin, incarné par Ben Kingsley, d’être dévoilée. Iron Man 3, sortira sur nos écrans le 24 avril prochain.

Iron Man 3