En plus d’un demi-siècle de carrière, il a bâti un royaume enchanté. A 75 ans, le PDG manouche défend le droit de rire et de faire les fous… Roulez jeunesse ! Par Laurent del Bono

Le cheveu blanc, l’œil bleu vif, une fine moustache à la David Niven… L’homme qui vient d’entrer chez le pâtissier Lenôtre, sur l’avenue des Champs-Elysées, a fière allure. Il en impose. Au personnel, comme à la directrice de l’établissement qui, sourire empesé, s’empresse de lui faire sa cour. « Comment vont les affaires du Marché de Noël, monsieur Campion ? Ces 200 chalets taillés dans le sapin et acheminés sur place par semi-remorques, quelle merveille ! 16 millions de visiteurs en six semaines, en période de crise, mazette ! » Quoique sobre, Marcel Campion ne boude pas son plaisir. Non pas que ce contempteur de la nature humaine soit sensible à la flatterie. Mais de voir sa création tourner avec la précision d’un mécanisme d’horlogerie suisse, ça lui donnerait presque envie de croire en Dieu. Pour monter une attraction pareille, il lui a fallu bien plus que sept jours : l’expérience d’une vie de dur labeur ! Le marché gourmand représentant la gastronomie de toute nos régions, les 40 artisans d’art triés sur le volet, le théâtre pour les enfants, le Dj du restaurant panoramique, les 20 chars qui défileront pour la grande parade du 1er janvier sur les Champs…

Au paradis de Noël selon « Saint Cecel », les associations caritatives ont leur part au bénéfice, l’écolo attitude stipule l’interdiction de distribuer des sacs plastiques, et, face caméra, les hommes politiques arborent un sourire angélique ! Que diriez-vous d’une succulente pomme d’amour ? Sinon, un tour sur la grande roue ? A quelques centaines de mètres d’ici, elle dresse son imposante silhouette place de la Concorde, devant les Tuileries, depuis que Marcel l’y a installée en 1999. Le p-dg manouche a beau traiter ses affaires dans son bureau roulant (une magnifique caravane américaine Airstream des années soixante), même s’il sévit dans toute la France, il a décidemment un faible pour Paris. D’est en ouest, au rythme des saisons, il règne à la Foire du Trône, à la Fête des Tuileries, au Marché de Noël, à la Fête du Bois (ex-Fête à Neuneu)… Au Monopoly des investissements, il a également acheté plusieurs appartements de luxe rue de Rivoli. Au grand dam des riches propriétaires qui, depuis des années, déploient en vain leurs banderoles afin qu’il dégage ses manèges du célèbre jardin situé en face de leurs fenêtres. Il en rigole : « L’un de mes plus virulents opposants m’a finalement vendu le sien ». C’est que la roue tourne.

Du haut de ses 74 ans, Marcel n’a jamais oublié que bien longtemps avant de parvenir au faîte de la gloire, il a commencé tout en bas, dans l’exiguïté de la caravane d’une famille de saltimbanques échouée vers Maisons-Alfort (Val-de-Marne), son père déporté par les nazis, sa mère fauchée par un obus allemand, le 8 septembre 1944. « C’est ce jour-là que mon histoire commence », explique-t-il. Première famille d’accueil à sept ans. Premier larcins presque dans la foulée. A quatorze ans, le petit Marcel a déjà tout les talents d’un chef de bande : les tripes d’un bagarreur, les méninges qui fument, le cœur ardent et généreux. « A 17 ans, j’ai acheté ma première baraque, se souvient-il. Je l’ai offert à mon père qui en a vécu jusqu’à sa mort ». Comme disait Bossuet, « l’homme, c’est le style ». Dans le monde obtus des forains, celui de Marcel Campion le prédisposait à accomplir de grandes choses. « Il a la force d’un buffle et la ruse d’un renard », explique Jack Lang, son ex-pire ennemi. « C’est un voyant », préfère Linda, son épouse.

En 50 ans d’une trajectoire survoltée, cet organisateur hors pair a fédéré les clans d’un milieu souvent sans foi ni loi. En France, l’activité foraine représente quelque 35.000 entreprises et 200.000 emplois. Il prévient : « Je mobilise 3.000 personnes en un rien de temps. Si je me donnais du mal, je pourrais atteindre 50.000 ». Pour en arriver là, ce meneur a distribué force bourre-pifs, multipliant les coups de force et autres opérations commandos contre les pouvoirs publics et les maires récalcitrants. Selon sa propre expression : il a l’art de détourner la loi pour qu’après, ça devienne la loi. Quand on ne lui dit pas non, Campion considère que c’est oui. Le Marché de Noël s’est installé ainsi, la grande roue a été montée en un week-end, à la faveur d’une entourloupe, sans la permission de quiconque. A l’en croire, il est à l’origine du statut d’autoentrepreneur. Connu pour ses bons et ses moins bons mots (il a rebaptisé le journaliste Bernard de la Villardière, « Bernard de la Merdière »), l’ex-terreur des baraques de lutte n’a pas peur de révéler les dessous d’un système pas forcément irréprochable.

En 2012, il a été condamné pour avoir déclaré que DSK lui avait proposé, contre autorisation, de lui verser un pot-de-vin de 750 000 euros. Quoique chevalier de la légion d’honneur, l’ami des stars et des politiques – Julie Gayet et François Hollande auraient caressé l’idée d’annoncer leur mariage sur le site du Marché de Noël – n’a jamais été fidèle qu’à l’ordre du « Hérisson », l’emblème des forains.

En sus de la fête, Campion n’a que deux passions : le jazz manouche et sa famille. Soudé en amour, il vit depuis plus de quarante ans avec Linda. Son fils, Philippe, déplorait parfois sa personnalité étouffante, butée, autoritaire. Marcel en avait fait l’héritier de son royaume. Maintenant que Philippe est décédé, le patriarche s’emploie à assurer le futur de sa fille Singrid, de son fils Chriss, de ses nombreux petits-enfants. « N’allez pas où le chemin peut mener. Allez là où il n’y a pas de chemin et laissez une trace », les prévient-il au début de son autobiographie D’où viens-tu forain (Ed. Jacob-Duvernet), parue en 2009. Plus facile à dire qu’à faire, Marcel.

Crédits photos : Cyrille GEORGE JERUSALMI

Dans le creux de la vague depuis l’arrêt de la série Friends, David Schwimmer s’apprête à faire son grand retour sur le petit écran. L’acteur incarnera Robert Kardashian, avocat célèbre pour avoir défendu O.J Simpson, qui n’est autre que le père de Kim…

Certainement le héros de Friends le plus discret de la troupe – contrairement à son ancienne collègue Jennifer Aniston -, David Schwimmer a trouvé un rôle à fort potentiel de buzz : celui de Robert Kardashian. En 1994, presque dix ans avant le début de leur téléréalité familiale, le grand public américain prend connaissance pour la première fois du nom Kardashian. Avocat réputé, Robert, le père de famille, défend alors O.J Simpson. Ancien joueur professionnel de football américain, converti dans le cinéma, ce dernier est accusé d’avoir tué violemment sa femme Nicole et son amant supposé. Le fait divers impliquant une célébrité, noire, et son épouse, blanche, passionne États-Unis et introduit un climat tendu.

À la fin d’un procès ultramédiatisé, l’homme s’en sort acquitté. Robert Kardashian quant à lui assoit sa notoriété de rapace des tribunaux. Pour la nouvelle série American Crime Story, qui revient sur plusieurs célèbres affaires judiciaires outre-Atlantique, David Schwimmer interprètera Robert Kardashian, décédé en 2003 d’un cancer de l’œsophage. Cuba Gooding Jr, vu dans les films Gladiator et Le Majordome se glissera dans la peau d’O.J. Simpson et Sarah Paulson (Twelve Years a Slave) celle du procureur. Samuel L. Jackson devrait aussi faire partie du casting. On n’a donc pas fini d’entendre le nom Kardashian…

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Crédits photos : D Dipasupil

Meryl Streep a beau être mariée depuis plus de 35 ans, cela ne la rend pas insensible aux charmes de certains comédiens. L’Américaine vient de révéler l’identité de l’un d’entre eux.

A première vue, Meryl Streep peut sembler intimidante. Après 38 ans de carrière, 18 nominations aux Oscars et trois statuettes remportées, l’interprète du Diable s’habille en Prada en impose. Elle s’est pourtant toujours tenue à l’écart des strass et des paillettes. Et à 65 ans, la comédienne a également la réputation d’être dotée d’un humour à toute épreuve. Une qualité démontrée une fois de plus lors d’une interview accordée à W Magazine.

Au cours de son entretien, Meryl Streep a dû dire quel comédien la faisait craquer: « J’ai un véritable faible pour Will Ferrell », a-t-elle confié au grand étonnement du journaliste qui lui posait la question. Il faut dire que l’humour de ce comédien américain rencontre un énorme succès aux Etats-Unis depuis des décennies mais il semble bien éloigné de l’image renvoyée par Meryl Streep. Difficile d’imaginer la comédienne hilare devant Moi, député ou Les Rois du patin. L’actrice est pourtant formelle, « Je l’aime dans tous les films qu’il fait. Celui qui me fait pleurer de rire est Légendes vivantes ». Une comédie potache sur la vie d’un présentateur télé macho et arrogant.

Le charme et l’humour de Will Ferrell ont donc fait mouche chez Meryl Streep. A tel point d’ailleurs qu’elle écarterait sans la moindre hésitation l’un des sex-symbols de notre époque: Ryan Gosling (Drive). « Ryan Gosling pourrait être mon enfant, se justifie-t-elle. Et je ne vais pas avoir un faible sur un enfant. Will Ferrell, lui, est un homme ». Voilà le genre de compliments qui ne devrait pas laisser le comique de marbre. A défaut de créer un nouveau couple, rappelons que Meryl est très heureuse dans son mariage, cette déclaration pourrait poser les bases pour une collaboration future. Quel bonheur ce serait pour les fans de Will Ferrell que de le voir débiter ses inepties face au visage de cette comédienne de talent. Il n’y a plus qu’à croiser les doigts.

Crédits photos : Abaca

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Pour sa deuxième semaine d’exploitation, “Boule et Bill” figure toujours en tête du box-office français. Suivi de près par deux autres comédies hexagonales : “20 ans d’écart” et “Au bout du conte”.

Cette semaine, le cinéma français s’adjuge les trois premières places du box-office national, Boule & Bill étant toujours en tête avec déjà plus de 1,4 million de spectateurs en deux semaines. Continuant de bénéficier des vacances d’hiver, cette adaptation de la célèbre bande dessinée interprétée par Franck Dubosc et Marina Foïs a attiré 539 970 fans supplémentaires dans 623 cinémas. A la deuxième place, 20 ans d’écart engrange 433 517 entrées pour 371 écrans. Soit le meilleur démarrage d’une comédie romantique emmenée par Virginie Efira. Troisième du classement hebdomadaire, le duo Agnès Jaoui / Jean-Pierre Bacri, à l’affiche de Au bout du conte, a attiré en première semaine 369 847 spectateurs dans 335 salles.

Hansel & Gretel: Witch Hunters de Tommy Wirkola comptabilise lui 357 266 fauteuils, tandis que Spring Breakers d’Harmony Korine récolte 277 968 tickets dans 237 salles. Le film choc de ce printemps obtient ainsi la meilleure fréquentation du classement avec une moyenne de 1 173 personnes par copie. A signaler enfin la contre-performance de Vive la France qui voit sa fréquentation chuter de 46 % cette semaine (169 000 nouveaux spectateurs en troisième semaine).

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La bande-annonce de “Boule et Bill”

G.M. avec CBO Box Office

Fin 2013, Julien Doré sortait LØVE. Un bel album couronné d’un double disque de platine, et peut-être d’une Victoire de la musique lors de la prochaine cérémonie, en février. Pour l’écrire, le chanteur s’est inspiré de son amour pour Marina Hands, dont il venait de se séparer ; l’actrice a confié cette semaine à L’Express Styles combien être la muse derrière LØVE lui paraissait étrange.

Les plus beaux albums naissent des tragédies, et une rupture amoureuse en est définitivement une. Si LØVE de Julien Doré est si réussi, c’est parce qu’il est né de la séparation entre le chanteur et l’actrice Marina Hands – une séparation douloureuse faisant suite à une relation qui a « transfiguré » l’interprète de Paris-Seychelles.

Interviewée par L’Express Styles cette semaine, Marina Hands a pour sa part confié qu’il était très particulier pour elle d’être devenue une muse a posteriori. « C’est une sensation curieuse, étrange, a-t-elle expliqué. Il s’agit de moi et, en même temps, c’est comme si cela ne me regardait pas. » Une dissociation difficile à accepter pour l’actrice à l’affiche de Chic !, qui ne se reconnaît pas dans un album écrit après son départ et la fin de sa relation avec Julien Doré.

Malgré ses réticences, Marina Hands n’a pas fini d’entendre LØVE : Julien Doré est en effet nommé cette année dans la catégorie Artiste masculin de l’année des Victoires de la Musique, face à Calogero et Johnny Hallyday. Le chanteur pourrait d’ailleurs bien remporter la mise cette année, ses concerts ayant été encensés au même titre que son album.

Crédits photos : Jean-Claude Cohen / VISUAL Press Agency

Des rumeurs persistantes annoncent la participation de Nicole Kidman au Jury du prochain Festival de Cannes qui se tiendra du mercredi 15 au dimanche 26 mai 2013.

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Nicole Kidman pourrait apporter sa touche glamour au Jury du prochain Festival de Cannes. C’est en tout cas ce que laisse présager une information publiée par Le Parisien ce week-end. Une annonce non démentie par le Président du Festival Gilles Jacob qui s’est amusé à poster ce message sur son compte Twitter : « Tout ce que je peux dire à ce moment précis, c’est que Nic est une femme adorable et une actrice formidable. J’aime les rumeurs, sources de rêves… » Si la participation de l’actrice au Jury présidé par Steven Spielberg devait se confirmer, cela pourrait laisser penser que Grace de Monaco, le biopic d’Olivier Dahan dont elle est l’interprète principale, sera présenté sur la Croisette. Pour rappel, durant ces quinze dernières années, la comédienne aujourd’hui âgée de 45 ans a eu à trois reprises l’occasion de fouler le fameux tapis rouge : en 2001 pour Moulin Rouge, en 2003 pour Dogville et en 2012 pour Paperboy. On la retrouvera le 1er mai prochain à l’affiche de Stoker, un thriller signé Park Chan-wook.

G.M. avec Le Parisien et Paris Match

La bande-annonce de « Stoker »

Lance ‘Pinocchio’ Armstrong a une nouvelle fois fait étalage de son talent de menteur. L’ex-champion a fait porter le chapeau d’un accident à sa compagne, Anna Hansen.

Erigé en model d’intégrité et en héros national américain durant plus d’une décennie, Lance Armstrong a depuis prouvé que le seul domaine dans lequel il excelle vraiment est le mensonge. Une qualité dont l’ancien champion a fait un art. Fier de sa capacité à embobiner son monde, il clamait en août dernier être le dépositaire de la « fuck you attitude ». Une affirmation confirmée par son dernier fait d’armes, selon le journal Aspen Daily News.

En décembre dernier, à l’occasion des fêtes de Noël, le recordman de titres retirés par une fédération se trouvait dans la station de ski très huppée d’Aspen, au Colorado. Un soir, éméché, Lance Armstrong prend le volant de sa voiture au retour d’un vernissage d’exposition. Sous la neige, il percute deux véhicules et, plutôt que de faire un constat, prend son courage à deux mains pour fuir la scène de l’accident. La marque d’un grand champion. Mais dès le lendemain, un officier de police se présente devant la maison que le cycliste partage avec sa compagne, Anna Hansen, après avoir remarqué que le véhicule garé dans l’allée était endommagé. Au lieu de sortir de son domicile, Lance Armstrong envoie alors sa compagne à la rencontre du policier. Anna avoue alors être la conductrice responsable de l’accident survenu la veille.

L’histoire aurait pu s’arrêter là. La jeune femme aurait été punie pour excès de vitesse et délit de fuite si elle n’était pas tombée sur un enquêteur peu crédule. Après avoir recoupé plusieurs témoignages, l’officier revient à la charge et parvient à faire craquer Anna Hansen. Oui, Lance Armstrong était bien au volant lors de l’accident. «Le nom de notre famille a été étalé dans les journaux du monde entier ces dernières années et honnêtement, j’ai des adolescents, je voulais juste protéger ma famille», explique-t-elle aux forces de l’ordre. Elle ajoute alors que Lance ne lui a pas demandé de se dénoncer mais que cette décision a été prise à deux. Toujours est-il qu’Armstrong se retrouve alors convoqué au commissariat local. Après avoir donné sa version des faits, l’ex-champion a été convoqué par la justice. Il devra se présenter le 17 mars prochain devant la magistrate Andrea Bryan et sera jugé pour excès de vitesse et pour avoir omis de signaler l’accident aux forces de l’ordre. Caramba, encore raté !

L’américaine Jane Fonda n’est jamais à court de confidences. Ainsi, lors d’une rencontre avec le magazine Du Jour, l’actrice a révélé consommer de la marijuana.

Il n’y a pas d’âge pour… fumer! Pas vrai Jane Fonda? A l’occasion d’une longue interview pour le magazine américain Du Jour, l’actrice s’est confiée sur sa vie d’actrice, ses mariages et ses petits plaisirs. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’à l’âge de soixante-dix-sept ans Jane Fonda a su rester jeune dans sa tête. L’égérie L’Oréal Paris confie « fumer un joint de temps en temps ». Preuve qu’il n’y a pas que le botox à Hollywood: “Je ne peux pas regarder un film en ayant fumé” déclare-t-elle avec humour puis s’explique: « Tous ceux que j’ai vus dans ces circonstances m’ont fait dire: »C’est certainement le meilleur film que je n’ai jamais vu.” Ensuite, une fois sobre, je les revois et je me dis: Mais à quoi je pensais?”.

Après cette audacieuse confidence, elle n’en dira pas plus sur le sujet. L’actrice aux trois divorces et aux deux Oscars file désormais le parfait amour avec Richard Perry—son compagnon qu’elle évoquait dans une interview exclusive à Gala au mois de janvier. Pour Du Jour, Jane Fonda ne tarit pas d’éloges à l’égard du producteur dont elle semble très amoureuse: “C’est quelqu’un de bien. C’est dur. Il a Parkinson. C’est une personne très gentille. L’une des choses que vous devriez rechercher lorsque vous cherchez un partenaire, c’est la gentillesse. On ne vous le dit pas quand vous êtes jeune, mais on devrait”. Toujours de bon conseil, Jane!

L’amour et la marijuana ne sont pas les seuls secrets de beauté de Jane Fonda. Contrairement à Halle Berry qui ne souhaite pas céder à l’appel du bistouri, la féministe n’a quant à elle jamais renié le fait d’avoir eu recours à la chirurgie esthétique. « Les gens me disent toujours: Oh mon dieu! Comment faites-vous pour rester tellement bla bla bla… J’ai fait de la chirurgie esthétique, j’en ai parlé. ça n’a pas d’importance ». Une déclaration qui devrait ravir Catherine Zeta-Jones, apparue le visage transformé aux Golden Globes.

Crédits photos : Getty Images

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Un acteur oscarisé dans un clip de l’interprète de Call Me Maybe? C’est possible. La preuve en image avec cette participation insolite de Tom Hanks dans I really like you de Carly Rae Jepsen.

Il y a quatre ans, Carly Rae Jepsen réalisait le carton plein avec son tube planétaire Call Me Maybe. Alors que ce premier hit réunit aujourd’hui plus de 650 millions de vues sur Youtube, son interprète se fait bien discrète dans les médias. Le vent est cependant en train de tourner puisque la jeune Canadienne signe son grand retour au premier plan avec un nouveau titre intitulé I really like you. Et pour être sûre que le clip cartonne, la chanteuse de 29 ans a fait appel au talentueux Tom Hanks.

A 58 ans, avec deux Oscars (Philadelphia et Forrest Gump) et plus de 70 récompenses en poche, Tom Hanks n’était pas forcément la première personne sur laquelle les fans de Carly Rae Jepsen auraient osé miser. Le comédien a pourtant accepté l’invitation de la jeune femme. La vidéo débute avec le réveil de l’acteur à 5 heures du matin et le suit ensuite tout au long de sa journée jusqu’à ce qu’il rejoigne finalement Carly Rae sur le tournage de son clip. La vidéo se conclut avec une grande chorégraphie digne d’un film de Bollywood. Dans les 20 dernières secondes, les observateurs les plus attentifs peuvent apercevoir Justin Bieber en personne sortir de la foule et rejoindre les deux stars du clip pour quelques pas de danse. L’apparition de l’interprète de Baby est brève mais le Canadien ne pouvait y déroger. Bieber est en effet l’artiste qui a découvert et donné sa chance à Carly Rae au début de sa carrière.

Tom Hanks prouve ici qu’il a encore de l’humour à revendre. Le texte qu’il chante en playback rappelle en effet d’avantage le discours d’une jeune femme que celui d’un homme de 60 ans, et ce décalage apporte un ton humoristique au produit final. Mais le mystère reste cependant total sur la raison pour laquelle Tom Hanks a accepté de tourner dans ce clip. Le comédien va en tout cas enchaîner avec une production d’une toute autre ampleur, celle du prochain volet des aventures de Robert Langdon. Après Da Vinci Code et Anges et Démons, le héros de Dan Brown reprendra du service en Italie pour l’adaptation d’Inferno. Au côté de Hanks et de l’actrice britannique Felicity Jones (Une merveilleuse histoire du temps), le public retrouvera le frenchy Omar Sy. Rendez-vous en salle le 19 octobre 2016.

Découvrez ici le fameux clip I really like you de Carly Rae Jepsen, avec Tom Hanks et Justin Bieber:

Crédits photos : Evan Agostini/AP/SIPA

Vendredi 24 avril, François Hollande était en Arménie, entouré de plusieurs chefs d’Etat et de personnalités pour commémorer le centenaire du génocide arménien. Charles Aznavour faisait partie de la délégation.

Dans la nuit du 23 au 24 avril 1915, en Arménie, le ministre de l’intérieur des Jeunes-Turcs donne l’ordre à ses troupes d’arrêter les intellectuels arméniens. C’est le début d’un épouvantable massacre, qui verra la mort de plus d’un million et demi de personnes.

C’est pour commémorer le centième anniversaire de ce tragique épisode de l’Histoire que François Hollande s’est rendu ce matin à Erevan, capitale de l’Arménie. La quarantaine de personnes composant la délégation officielle a été accueillie par le président Serge Sarkissian, puis s’est rendue sur les lieux de souvenir pour assister entre autres au discours de François Hollande.

Seul un membre du gouvernement, faisait partie du voyage, le secrétaire d’Etat aux anciens combattants, Jean-Marc Todeschini. En revanche, des personnalités culturelles d’origine arménienne étaient aux côtés du président François Hollande, comme les historiens Vincent Duchert et Annette Becker, le producteur Alain Terzian, l’auteur de livres pour enfants Sophie Audouin-Mamikonian, ou encore André Manoukian.

L’un d’eux, personnage emblématique du paysage culturel franco-arménien, était aux premières loges: Charles Aznavour. Concerné et visiblement ému lors du discours présidentiel, le chanteur qui aura bientôt 91 ans, a reçu une salve d’applaudissements lorsque François Hollande a évoqué ces rescapés recueillis en France, dont ils ont fait leur patrie. “Cette patrie, ils l’ont faite rayonner à travers le monde, mais jamais en oubliant leurs origines. (…) Ils sont la France autant qu’ils sont l’Arménie, et ils font briller nos deux pays, comme Charles Aznavour qui est notre fierté commune.”

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Crédits photos : Christelle ALIX