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A doctor who was drunk during his duty hours operated on a pregnant woman as a result of which she died along with her unborn baby.

The shocking incident which took place in Botad, Gujarat happened on Monday night when a 22-year-old, Kamini Chachia was brought to a government hospital at 11:30 pm. A class two medical officer of Sonavala hospital, Dr Paresh Lakhani was on duty, however in an inebriated state.

After being operated upon the drunk doctor, the pregnant woman and her baby died, TOI reported. The family members of the deceased alleged that the doctor was under the influence of alcohol and the body was sent for a post-mortem examination.

Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? La Rédaction d’AlloCiné vous indique les films et séries à voir à la télé. Au programme : un polar signé James Gray, un fantasme de geek par Edgar Wright et Bruce Willis face à un astéroïde.

« Permis de mater »

The Yards de James Gray avec Mark Wahlberg, Joaquin Phoenix (TCM Cinéma, 20h45) : “La somptueuse photographie et la réalisation tout en sobriété de James Gray font de The Yards l’un des meilleurs films noirs américains de tous les temps. Le casting y est également pour beaucoup, Mark Wahlberg n’ayant jamais, par la suite, retrouvé un rôle aussi fort que ce jeune ex-détenu qui n’aspire à rien d’autre qu’à se ranger. Face à lui, Joaquin Phoenix, Charlize Theron et James Caan complètent ce casting en or.” Laurent Schenck

Scott Pilgrim Bande-annonce VO

Scott Pilgrim d’Edgar Wright avec Michael Cera, Mary Elizabeth Winstead (OCS City, 20h40) : “Adapter un comics sur grand écran n’est jamais évident et pourtant Edgar Wright réussit le pari haut la main avec Scott Pilgrim, tiré des six volumes de Bryan Lee O’Malley. Traversé de bout en bout par une énergie folle, le film relève du fantasme de geek tant il parvient à intégrer les codes et gimmicks du jeu vidéo et de la BD. Wright ne se contente pas de calquer case par case l’œuvre de Lee O’Malley mais y insuffle son sens du timing incroyable et sa mise en scène précise. La richesse du film, nourri d’influences multiples, et son dynamisme font l’effet d’un shot d’adrénaline dont on ressort euphorique.” Emilie Schneider

Armageddon Bande-annonce VF

Armageddon de Michael Bay avec Bruce Willis, Ben Affleck (W9, 21h) : “Après s’être brillamment essayé au buddy movie (« Bad Boys ») et au Die Hard-like (« Rock »), le réalisateur Michael Bay effectue un passage tout aussi réussi par la case « film catastrophe ». Appelé à une ascension irrésistible vers le tout spectaculaire, il signe une échappée spatiale haletante, aux effets spéciaux soignés et respectueuse de ses personnages. Bruce Willis trouve ici un rôle à la mesure du charisme de John McLane, l’idylle entre Liv Tyler et Ben Affleck est touchante, et la dream team héroïque fait preuve d’un appréciable esprit bon enfant. Le tout est bercé par la mélodie ample et frissonnante d’émotion d’Aerosmith (“I Don’t Want To Miss A Thing”).” Guillaume Martin

« Permis de parler »

Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?

Qu’allez-vous regarder ce mardi 12 juin ?

Pour retrouver l’ensemble des programmes, accédez directement à la grille en cliquant ici.

Millions of people die each day all around the globe due to various illnesses. While on one side a newborn breathes its first on the other hand, a person breathes his last. This simultaneous process of birth and death helps maintain life cycle on this planet.

In recent years, organ donation drives have helped generate awareness regarding why is it important for us to have pledged organs. If a person pledges to donate his organs then he can save many lives even after his death.

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Après sa sélection cannoise, et première en compétition officielle pour Yann Gonzalez, “Un couteau dans le coeur” sort dans les salles ce mercredi. Nous avons échangé avec le réalisateur sur ses références, sa mise en scène et tout ce qui l’anime.

AlloCiné : Un couteau dans le coeur est un film qui attire l’oeil par plein d’aspects, sa mise en scène, ses couleurs, sa musique, son casting… On y décèle des références qui donnent presque envie de visionner le film une seconde fois pour considérer à nouveau ses influences…

Yann Gonzalez, réalisateur : Je crois qu’il n’y a pas besoin de références. Peut être qu’on y voit des petits détails en plus qui nous permettent d’apprécier davantage le film, mais je ne crois même pas. Pour moi, ce n’est pas le jeu des 7 erreurs. Il n’y a pas de références à trouver, il y a un univers qui je pense est accueillant et ouvert. Pour moi, c’est la proposition d’un voyage. On peut arriver vierge de toutes références, à 15, 16 ans. Avoir très peu de films jusqu’ici et entrer. C’est un film qui parle du sentiment, avec des personnages intenses, c’est une aventure. C’est un film d’aventure au sens large du terme pour moi.

C’est vrai qu’à chaque fois qu’on me rencontre, on me parle beaucoup de ça, parce que je suis très cinéphile, je vois beaucoup de films, donc ça rejailli d’une certaine manière. Mais pour moi ce sont les personnages qui sont au cœur du film, l’histoire aussi abracadabrantesque soit-elle. Oui, il y a quelque chose de farfelu dans ce récit, surement incohérent, mais il faut se laisser guider par les sentiments, les émotions de ces personnages, et c’est en cela qu’on a besoin de rien. Il faut juste se laisser aller, guider. 

J’imagine bien que c’est une tonalité un peu différente de ce que l’on voit d’habitude. Peut être certains y voit une forme de théâtralité, un jeu pas forcément très naturaliste, mais ce ne sont pas des questions que je me pose.

J’ai envie comme un enfant de créer une histoire de toute pièce, avec ses propres dialogues, sa propre grammaire, ses propres éléments de fiction, mais tout en laissant le jeu ouvert, que tout le monde puisse y entrer. Je n’ai pas envie d’exclure des gens en faisant des films, au contraire. J’ai envie que les gens aient le désir en sortant du film de vivre dedans comme dans une maison accueillante et ouverte.  

Je me considère à la fois comme un cinéaste et un cinéphile 

Quand je parlais de référence, cela voulait dire aussi que c’est un film qui peut donner l’envie d’en découvrir d’autres. Vous citez dans vos références un film dont je dois reconnaître n’avoir jamais entendu parler jusqu’ici Simone Barbès ou la vertu, et cela peut susciter la curiosité de le découvrir.

C’est génial. Si ça donne accès à des films dont les gens n’avaient jamais entendu parler, c’est magnifique parce que moi je me considère vraiment à la fois comme un cinéaste et un cinéphile.

Quand je fais mes films, je suis totalement cinéaste, mais évidemment il y a aussi ma mémoire de cinéphile qui traverse mes images, même si je n’y pense pas forcément de manière consciente. Je me sens comme un passeur aussi. Si ça peut inspirer d’autres gens à leur tour, c’est génial. C’est comme un cadeau bonux ! (rires)

Parlons de votre mise en scène. Qu’est-ce qui vous a guidé dans ces choix ?

C’est retrouver une part de risque et une part d’enfance à la fois, avec tous mes collaborateurs. Se délester du poids de cette société qui juge, toujours un peu patriarcale, qui est aussi une société de cinéma patriarcale, qui parfois nous pousse jusqu’à l’auto-censure. Vraiment se libérer de tout ça et faire un cinéma plus intuitif, plus joueur, plus ludique. S’amuser nous-mêmes en espérant amuser nos spectateurs. J’ai beaucoup travaillé en amont avec mon chef opérateur et ma chef décoratrice, et j’ai l’impression qu’on a vraiment délimité ces terrains ensemble, et cherché à faire des paris.

Il fallait qu’il y ait ce goût du danger chaque jour 

Chaque jour sur ce tournage, il y avait des paris à faire, des enjeux, des choses qu’on avait jamais faites. On avait envie de risquer, de tenter. Il fallait qu’il y ait ce goût du danger chaque jour, flirter avec le danger de manière joyeuse. Ca a été un tournage vraiment très joyeux. Donc inventer un mouvement de caméra, inventer un raccord, confronter deux acteurs qui a priori étaient aux antipodes… Tout ça, ce sont des paris de mise en scène qu’on avait envie de faire et qui forcément dépassaient le cadre de la mise en scène pure pour aller vers la lumière, les costumes, les décors, qui pour moi font partie de la mise en scène. 

Avec le recul, comment avez-vous vécu la présentation cannoise et l’annonce d’être en compétition? Etait-ce pour vous le meilleur endroit pour présenter le film?

Oui, oui, c’est le meilleur endroit. Beaucoup de gens nous ont dit que c’est un film qui aurait été davantage protégé à la Quinzaine des réalisateurs ou à la Semaine de la critique ou à Un Certain Regard. Je n’avais pas envie d’être protégé, j’avais envie d’y aller. J’avais envie d’assumer ce film jusqu’au bout et assumer le monde que j’ai créé, mes personnages. Donner un coup de projecteur sur ces personnages de la marge, et les baigner de lumière.

Une manière de dire que cette marge de cinéma pouvait un moment donné redéfinir la norme 

Pour moi, la lumière du film, c’est Vanessa Paradis. J’ai l’impression qu’elle inonde de lumière tous les personnages. Pour moi, la mise en Théâtre Lumière de Thierry Frémaux, c’était une manière de dire que cette marge de cinéma pouvait un moment donné redéfinir la norme. Mettre la marge au centre. C’est un geste presque politique de la part de Thierry Frémaux que je trouve très fort. Même si effectivement ça nous met en danger, ça clive encore plus, ça énerve… Ca irrite un peu les pudibonds et les grenouilles de bénitier, je trouve ça jouissif. 

Je me demandais si vous aviez envisagé à un moment de faire participer Vanessa Paradis à la bande-originale ?

Non, non, je l’ai engagée en tant qu’actrice, même si j’aime beaucoup sa musique. Pour moi, elle était là en tant qu’actrice et il ne fallait pas que ça déborde sur le reste. Je n’avais pas envie de convoquer la chanteuse, mais l’actrice. Donc, non, il n’en a pas été question.

J’ai vraiment besoin de me remettre à rêver, à imaginer des choses, des personnages, des récits. Besoin de paresser aussi, c ‘est important !  

Avez-vous déjà un projet en écriture pour la suite ?

Pas encore. J’ai vraiment besoin de me remettre à rêver, à imaginer des choses, des personnages, des récits. J’ai juste besoin de me poser, d’écouter de la musique, de lire des livres, de voir des films, de vivre des choses dans ma vie personnelle, de faire l’amour, de rencontrer des personnes… Me re-nourrir pour être regonflé à bloc pour que des histoires puissent sortir de mon vécu et de mes nourritures culturelles. Je ne suis pas du genre à faire un film par an, j’ai besoin de souffler, de me régénérer et tout ça, ça prend du temps. Besoin de paresser aussi, c ‘est important ! 

La bande-annonce d’Un Couteau Dans le Coeur  :

Un Couteau Dans le Coeur Bande-annonce VF

 

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Godzilla, Mothra, Rodan ou encore Ghidorah : les monstres sont de sortie dans la bande-annonce du prochain volet de la saga, qui réunit notamment Kyle Chandler, Vera Farmiga et Millie Bobby Brown dans une ambiance d’apocalypse.

Un peu d’apocalypse et de mythologie dans cette première bande-annonce de Godzilla – King of the Monsters, suite du long métrage signé Gareth Edwards en 2014. Car l’Humanité y apparaît au bord de l’extinction, et son salut semble reposer sur une réunion de titans. Mais pas de Kraken en vue, puisqu’il s’agit de Mothra la Mite, Rodan le ptérodactyle et de Ghidorah le dragon à trois têtes, sans oublier le célère lézard radioactif, qui nous fait une fois de plus admirer son souffle bleuté dans ces images spectaculaires et bluffantes.

L’ambiance y est étouffante à souhait voire angoissante, comme sur ces plans qui voient Millie Bobby Brown faire face à un nuage qui engloutit la ville ou hurler à la mort, et les créatures sont davantage teasées, avec des jeux d’ombres et des silhouettes, que dévoilées sous toutes les coutures. Mis en scène par Michael Dougherty, réalisateur du conte noir Krampus en 2015, Godzilla – King of the Monsters semble donc avoir encore quelques secrets sous sa patte mais paraît d’ores et déjà bien armé pour faire sensation dans les salles obscures à partir du 20 mars 2019.

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Ceux qui n’en attendent qu’un affrontement de grosses bestioles risquent d’être déçus, car ce n’est pas ce que promet le film avec cette bande-annonce. Mais peut-être cache-t-il bien son jeu et cherche avant tout à nous attacher aux personnages humains, incarnés Kyle Chandler, Vera Farmiga, Zhang Ziyi ou Ken Watanabe (déjà présent dans l’opus précédent) autour de Millie Bobby Brown, pour que la partie spectaculaire n’en soit que plus prenante. Et il faudra bien que Godzilla s’échauffe, car ensuite, c’est à King Kong qu’il sera confronté sur grand écran, à l’horizon 2020.

Al Pacino se produira sur les planches du Théâtre de Paris les 22 et 23 octobre prochains lors de deux représentations exceptionnelles. Dans “Pacino on stage”, le comédien se mettra en scène et échangera avec le public dans un spectacle hybride.

Pour la première fois, Al Pacino se produira au théâtre en France les 22 et 23 octobre prochains. L’acteur américain donnera deux représentations exceptionnelles au Théâtre de Paris, où il se mettra en scène et échangera avec le public dans Pacino on stage, un spectacle hybride et en pajeure partie improvisé.

C’est son ami Jean Reno qui lui a présenté le producteur et codirecteur du Théâtre de Paris, Richard Caillat, et Laurent Morlet, son collaborateur pour les États-Unis. Tous deux étaient venus le voir sur scène aux Etats-Unis et lui ont proposé de venir jouer en France, ce que Pacino a accepté immédiatement.

Al Pacino n’est pas qu’un grand acteur de cinéma, c’est aussi un immense acteur de théâtre, qui a joué aussi bien Tennessee Williams que Sophocle, Mamet ou Shakespeare, et qui n’a jamais rompu avec les planches malgré sa carrière sur le grand écran. Celui pour qui « tout est inné » a été formé par Charles Laughton, son mentor, au début des années 1960. Il a rapidement formé une troupe avec d’autres acteurs comme Martin Sheen ou Penny Allen et ils se sont illustrés dans des multiples cafés du Village new-yorkais dans différents registres et pendant des années. 

Ce qui me plait est qu’il ne s’agit jamais du même spectacle.

Le comédien le dit lui-même dans un grand entretien livré au Figaro Culture, Pacino on stage est un spectacle inclassable, à mi-chemin entre le théâtre et la rencontre avec le public : « Ce n’est en rien une masterclass. C’est plus informel que cela. Il est même difficile d’expliquer car chaque soirée est différente. Les pièces que je choisis d’interpréter ne sont pas les mêmes chaque soir. Certaines scènes viennent de films, d’autres de pièces que j’ai aimé voir ou que j’ai jouées depuis des années. »

« Ce qui me plait est justement qu’il ne s’agit jamais du même spectacle », ajoute-t-il en expliquant que la part d’improvisation est énorme et qu’il peut décider à chaque instant de changer ce qui est préparé en fonction de son inspiration et des réactions du public. Pour cette raison, le spectacle se jouera en anglais, sans surtitrage. 

Les places seront mises en vente le 11 et 12 septembre, uniquement sur vente-privee.com. 

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The Gunners have several options to consider as successor to Unai Emery, with a former defender intrigued to see which approach the club favours

Massimiliano Allegri or Carlo Ancelotti can be quick fixes for Arsenal if they look to go down that route, says Lee Dixon, with Stan Kroenke needing to decide what the club’s long-term strategy is.

The Gunners find themselves at another crossroads after parting company with Unai Emery.

A calculated gamble on the Spaniard as a successor to the legendary Arsene Wenger failed to pay off, with the north London giants needing to get their next appointment right.

The list of mooted candidates includes plenty of Premier League experience, in the likes of Brendan Rodgers and Mauricio Pochettino, along with future potential, as Mikel Arteta, Patrick Vieira and Nuno come into the mix.

If the Gunners decide to go European again, then former Juventus boss Allegri and ex-Chelsea chief Ancelotti could be in the frame.

Dixon believes either of the Italians would be suitable options, given their respective CVs, but is intrigued to discover what Kroenke’s plans are for a team that is considered to have underachieved under his ownership.

The former Arsenal defender told Premier League Productions: “Where does he see the club going? Does he just look at balance sheets?

“Is he integral to the fabric of the club about how they play, what they play, what they produce, what the academy’s like? I don’t know those answers.

“So if he came out and said ‘Right, this is what we want to do with this football club’ – but we don’t hear from him, we don’t hear what the strategy long term is.

“If he’s just developing a cash cow in order to have something to be able to get money out and have his thing there, because he’s obviously now in complete control of the club from the top, then that’s it.

“If he comes out and says ‘No actually, we want a project, we want to bring Patrick Vieira in, we want to go Arsenal orientated, old school, he knows the club, and we want to build the academy and build this amazing football club’ then go down that road.

“If he wants a quick fix then he’s going to have to go for somebody like an Allegri or somebody who can come in, or an Ancelotti, and go ‘Right, we’ve fixed it for now, we’ll get into the Champions League’, but the long-term view of the club is all down to the owner.”

Arsenal are currently working under the interim guidance of Freddie Ljungberg, with the Swede’s first game at the helm having delivered a 2-2 draw away at Norwich.

Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? La Rédaction d’AlloCiné vous indique les films et séries à voir à la télé. Au programme : l’Oscar de Jennifer Lawrence, une jeunesse écossaise sous drogue et Vincent Lacoste à l’hôpital.

« Permis de mater »

Happiness Therapy de David O. Russell avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence (C8, 21h) : “Non, le film ne vaut pas seulement pour la magnifique Jennifer Lawrence dans un pantalon blanc moulant, il vaut surtout pour la prestation de ses acteurs, tous plus excellents les uns que les autres, Bradley Cooper en tête. A noter également qu’il s’agit sûrement du meilleur rôle de Robert De Niro depuis… longtemps ! David O. Russell évite l’écueil de la romance à l’eau de rose pompeuse pour nous offrir une belle comédie dramatique déjantée, tendue et caustique.” Vincent Formica

Trainspotting Bande-annonce VO

Trainspotting de Danny Boyle avec Ewan McGregor, Ewen Bremner (OCS Choc, 20h40) : “Film culte des années 90, Trainspotting est un concentré d’énergie sur une jeunesse écossaise apathique et droguée jusqu’au trognon. Danny Boyle prouve qu’il est un maître de la mise en scène avec des plans toujours plus vertigineux et hallucinogènes. C’est sale, brut et rock’n’roll. Servi par l’une des meilleures bandes son du cinéma, toujours amenée de façon très pertinente (rarement une scène d’overdose n’aura été aussi puissante que celle de Renton, bercée par Perfect Day de Lou Reed), Trainspotting excelle dans sa dépiction du climat social pesant d’Edimbourg, parfaitement mise en valeur. Les images sont mémorables, tellement qu’on aimerait parfois les oublier (la scène des toilettes du bar, les hallucinations de Renton …), et elles mettent surtout en lumière quatre talents en début de carrière. Quatre vraies gueules : l’attachant Ewen “Spud” Bremner, le sournois Jonny “Sick Boy” Lee Miller, le colérique – et franchement génial – Robert “Begbie” Carlyle et bien sûr le paumé Ewan “Rent Boy” McGregor.” Caroline Langlois

Hippocrate Bande-annonce VF

Hippocrate de Thomas Lilti avec Vincent Lacoste, Reda Kateb (Cine + Premier, 20h45) : “Auréolé du César du Meilleur acteur dans un second rôle pour Reda Kateb, ce film à tout point de vue réaliste de Thomas Lilti dépeint avec une justesse et une crudité sans pareilles le quotidien d’un hôpital parisien, les conflits intérieurs et les doutes d’un personnel tenaillé par des questions éthico-administratives. On est très loin du romanesque de “Grey’s Anatomy”.” Guillaume Martin

« Permis de parler »

Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?

Qu’allez-vous regarder ce mardi 26 juin ?

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Quels sont les plus gros échecs au Box Office américain au regard de leurs budgets de production, parfois pharaoniques, et des pertes engendrées ? Réponse en 25 films.

1. Pluto Nash (2002)
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Budget de production : 120 millions $
Recettes au Box Office US : 4,42 millions $
Recettes mondiales : 7,10 millions $
Pertes : 113 millions $

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© Warner Bros.

Si les recettes mondiales des films de cettes liste semblent à peu près couvrir -sur le papier- les frais engagés dans leurs budgets de production, cette perspective est évidemment toujours faussée par les budgets marketing, parfois équivalents aux films qu’ils doivent promouvoir. Mais aussi (surtout ?) par la pratique toujours douteuse, borderline mais néanmoins curieusement légale par les Majors de ce que l’on appelle le Hollywood Accounting

De quoi s’agit-il ? L’idée, c’est de gonfler le plus possible le montant des frais dits “généraux” d’un film, grâce à une société montée pour l’occasion, qui va absorber ces dépenses. Une somme qui est donc déduite des profits générés grâce aux recettes du film au Box Office.  Les Majors mettent le plus souvent sur pied une société pour chaque film qu’elles produisent. Comme n’importe quelle société, elle calcule ses profits en soustrayant les dépenses des revenus. Le studio charge alors cette société / entité avec d’énormes frais, qui couvrent / camouflent ainsi les revenus des films. D’un point de vue comptable, le film devient un “Money Loser”, et n’a donc techniquement pas de profits à reverser… Tout est bon pour gonfler ces fameux frais généraux, que ce soit à la production, au marketing ou à la distribution.

Ca vous semble obscure ? Les exemples pour illustrer ne manquent pas… Car à Hollywood, on ne compte plus les victimes de ces pratiques, des acteurs aux scénaristes notamment, mais pas seulement. Nous en avions d’ailleurs longuement parlé dans un article de 2015, à relire ou découvrir ici. Nous citions l’exemple édifiant du film Harry Potter et l’Ordre du Phénix, sorti en 2007 et produit par Warner. Un film qui avait engrangé au Box Office mondial près de 940 millions de $, pour un budget de 150 millions environ. Très officiellement, le film était en fait… Déficitaire; de 167 millions de $ très exactement…

NOTA : sauf mention contraire, les chiffres sont donnés sous forme brut; ils ne tiennent pas compte de l’inflation.

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