Michel & Michel affrontent David Dunn, Mister Glass et la Horde. Leur super-pouvoir ? Détecter les faux raccords…

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Reuters

In May, 900 million Indians are going to decide the next prime minister of the country. India is the world’s biggest democracy and upcoming Lok Sabha elections are set to be the biggest in the world, considering the mammoth population of the country. Read more

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Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? La Rédaction d’AlloCiné vous indique les films et séries à voir à la télé. Au programme : Cameron Diaz en prof déchaînée, un huis clos aérien et François Cluzet à poil.

« Permis de mater »

Bad Teacher de Jake Kasdan avec Cameron Diaz, Justin Timberlake (TFX, 21h) : “Pas aussi trash que Bad Santa porté par un Billy Bob Thornton déchaîné, Bad Teacher constitue tout de même une référence au rayon des comédies américaines qui osent. Le personnage de Cameron Diaz est hilarant et en même temps touchant.” Laurent Schenck

Red Eye / sous haute pression Bande-annonce VO

Red Eye / Sous haute pression de Wes Craven avec Cillian Murphy, Rachel McAdams (RTL9, 20h40) : “Wes Craven délaisse le registre de l’épouvante et de l’horreur pour s’essayer à un thriller de facture plus classique. Ce qui en résulte est un habile huis clos aérien aux rebondissements efficaces et dont l’atmosphère oppressante repose entièrement sur le magnétisme de Cillian Murphy.” Guillaume Martin

« Permis de zapper »

Normandie Nue Bande-annonce VF

Normandie Nue de Philippe Le Guay avec François Cluzet, Toby Jones (Canal +, 21h05) : “Même si l’on prend toujours plaisir à voir François Cluzet, Toby Jones ou encore François-Xavier Demaison livrer des performances de qualité, le problème de cette comédie dramatique de Philippe Le Guay réside dans le fait que son intrigue est trop prévisible. Dommage, parce que film soulève des questions importantes par rapport à la crise agricole dans la France rurale.” Laurent Schenck

« Permis de parler »

Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?

Pour retrouver l’ensemble des programmes, accédez directement à la grille en cliquant ici.

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Qui m’aime me suive, une comédie mettant en scène Daniel Auteuil et Catherine Frot, s’offre une bande-annonce savoureuse. Rendez-vous le 20 mars en salles pour découvrir ce film.

Après avoir remporté un César pour Marguerite en 2016 et donné la réplique à Catherine Deneuve dans Sage femme l’année suivante, Catherine Frot retrouve le cinéaste José Alcala pour Qui m’aime me suive.

Les deux artistes ont déjà collaboré en 2011 sur Coup d’éclat. La comédienne y campait une capitaine de police traquant les sans-papiers et clandestins de tous horizons. Cette fois, Catherine Frot interprète Simone, une toute jeune retraitée vivant avec son mari, Gilbert (Daniel Auteuil), dans une charmante bourgade du Sud de la France.

Mais Simone ne se sent pas bien au sein de cette relation, son époux étant d’un naturel aigri. De plus, son voisin et amant, Etienne (Bernard Le Coq), est sur le point de partir. Acculée, Simone décide de fuir le foyer. Gilbert prend alors conscience qu’il est prêt à tout pour retrouver sa femme, son amour.

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Vu récemment dans le costume de Vitalis dans Rémi sans famille, Daniel Auteuil sera prochainement à l’affiche de La Belle époque de Nicolas Bedos. Quant à Catherine Frot, elle tiendra le rôle principal du drame Voyage en hiver. Elle y jouera une femme oscillant entre l’accès aux distributions alimentaires gratuites et l’errance dans les rues. En attendant, le public les retrouvera dans Qui m’aime me suive dès le 20 mars au cinéma.

Après “Bohemian Rhapsody”, c’est le biopic sur Elton John, “Rocket Man”, qui pourrait se voir amputer d’une scène de câlin dénudé entre Taron Egerton et Richard Madden, afin de s’assurer que le film reste grand public aux yeux du studio…

L’industrie hollywoodienne reste décidément extrêmement frileuse quant il s’agit de rendre hommage comme il se doit aux stars LGBTQ+ à qui elle consacre un biopic. Après Bohemian Rhapsody, qui avait une très nette tendance à se focaliser davantange sur la relation de Freddie Mercury avec sa femme plutôt que sur sa bisexualité, ses écarts et ses soirées orgiaques, ce serait au tour de Rocketman de subir le même sort.

Selon les informations du Daily Mail, le studio Paramount aurait demandé qu’une scène de 40 secondes soit coupée au montage afin de permettre au film de rester grand public et ne pas choquer. Si la vie d’Elton John semble d’emblée moins sulfureuse que celle de Freddie Mercury, son homosexualité, qu’il assume depuis très longtemps, n’aurait le droit de citer que de la manière la plus soft possible. La scène en question montrerait Taron Egerton (Elton John) et Richard Madden (John Reid) en plein câlin tendre dans un lit et dans le plus simple appareil, les fesses à l’air. Paramount demanderait à la transformer en un simple “Bonjour !” tout habillé… Pour le moment, le studio n’a pas réagi.

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La nouvelle nouvelle version des drôles de dames se dévoilent dans des premières images. L’occasion de retrouver Kristen Stewart, Naomi Scott et Ella Balinska dans le rôle des célèbres anges de Charlie.

Dans la grande lessiveuse hollywoodienne, certains remakes ou reboots sont plus alléchants que d’autres. C’est le cas de la version de Charlie’s Angels par Elizabeth Banks avec Kristen Stewart, Naomi Scott et Ella Balinska dans les rôles principaux. Elles devront faire oublier la précédente incarnation sur grand écran, ce formidable objet pop dans lequel s’amusaient Cameron Diaz, Lucy Liu et Drew Barrymore (on oubliera volontier l’horrible série des années 2000, très rapidement annulé).

Au programme, du style, des déguisements, du second degré et de l’action, soit les ingrédients nécessaires pour une bonne adaptation des Drôles de Dames !

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Good morning, Angels! ?? We have an exclusive first look at Kristen Stewart, Naomi Scott, and Ella Balinska in Elizabeth Banks’ updated #CharliesAngels movie. Link in bio for more details. ?: Nadja Klier/Sony; Chiabella James/Sony

Une publication partagée par Entertainment Weekly (@entertainmentweekly) le 11 Avril 2019 à 8 :50 PDT

Charlie’s Angels doit sortir sur les écrans français le 20 octobre 2019.

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Lando Norris reckons he could have snatched sixth from Daniel Ricciardo in Austin, had he not been hampered in the final laps of Sunday’s race by a yellow flag brought about by Haas’ Kevin Magnussen.

Norris made the most of his soft tyres in the opening laps of the race, moving up from eighth to fifth as he steered clear from trouble at the first corner after the start and then impressively dispatched both Renault’s Daniel Ricciardo and Ferrari’s Sebastian Vettel.

Ricciardo nevertheless regained the upper hand over the McLaren driver who shadowed the Aussie for most of the afternoon.

US Grand Prix: Sunday’s action in pictures

Norris’ two-stop strategy versus Ricciardo’s one-stopper meant the young Briton was on fresher tyres in the closing stages of the 56-lap race, and ready to pounce.

Alas, a yellow flag brandished when Magnussen slid deep into the gravel trap at Turn 12, put an end to Norris’ ambition of staking a claim for sixth, leaving the McLaren charger with “mixed feelings” after the race.

“Up and down, mixed feelings,” Norris admitted. “Obviously P7, P8 as a team is a good result and for myself, P7, I gained one place.

“A bit frustrated that it was Daniel who was ahead of me as those are the guys we want to beat.

“Today I think we were expecting them to be faster, the Renaults, especially Daniel who was closest to us.”

Norris said the two-stop strategy and a final stint on the medium compound had been the best way to go.

“We decided to box for Mediums and go for the two-stop – which turned out to be really good,” he added.

“We almost got him with the alternate strategy, the two-stop. One more corner maybe and I could have had a chance.

“If there weren’t the yellow flags there, I would have given it a shot then. I’m happy, good points for us.

“No unlucky moments, no problems, it was nice to have a clean race and just focus on my job.”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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The fact that Jolyon Palmer merely completed last Sunday’s Chinese Grand Prix was no consolation for the Renault driver who finished last after what he labeled as a “catastrophically bad” performance.

While Renault racing director Frédéric Vasseur pointed to tyre degradation as the main culprit for the team’s underperformance, Palmer believes an aero deficiency affecting the RS16 is also to blame.

“I’m down on aero, but we could only see it in qualifying,” Palmer told Autosport.

“The safety car was definitely not good for the strategy. But I think we need to understand what’s going on with the car first and then focus on the strategy.

“But overall, for me personally, I think the whole weekend was maybe my worst ever as a racing driver. It’s been very bad.”

Palmer vowed to keep his head down however and was at least pleased to get some race mileage under his belt after failing to run in Bahrain following a massive hydraulic failure.

“It’s good experience, but a tough experience because it’s looking pretty bad,” he said.

“There’s more stuff I’m learning and I’ve only done two Grands Prix in my life, so there are positives, but at the moment the negative is that the pace is pretty bad and that’s obviously what the whole result comes down to.

“I will be pouring through data myself and in the simulator, but basically trying to analyse myself what’s going on.”

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Chinese Grand Prix lap-by-lap as it happened

Eric Silbermann has breakfast with photographer Crispin Thruston

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Formula 1 has started its final act of the 2019 season, an epilogue now traditionally associated with Abu Dhabi and its popular Yas Marina venue.

The venue’s end-of-season appeal and magical atmosphere ensure things are smooth around Yas Marina, including the track’s surface which isn’t particularly demanding on tyres, which is why Pirelli has brought its softest combination of tyres, meaning its C3, C4 and C5 compounds.

The range – nominated for the fourth time this season – offers the best compromise between performance and grip around the 5.5km track and its well-balanced mix of corners.

Pirelli to boost tyre pressures to cope with Zandvoort banking

Historically, Abu Dhabi is a one-stopper, with low wear and degradation, and this should be the case again on Sunday.

“Abu Dhabi marks the end of another very long season, but the work still continues for us after the grand prix, with a series of tests for both Formula 1 and Formula 2, using 13-inch tyres as well as 18-inch tyres,” said mario Isola, Pirelli’s head of car racing.

éIn total, we’ll be bringing around 4500 tyres to Abu Dhabi, for racing and testing: more than double the usual quantity.

“The two-day official F1 test after the race will be particularly important, as it gives a chance for the teams to compare 2019 to 2020 tyres in representative conditions and with specifically adapted cars for the first time. Before then, we have one final grand prix to complete.

“There’s a strong chance that we could see more lap records broken again over the weekend, with the teams now having maximised their knowledge of the 2019 tyres.”

©Pirelli