The modest Belgium international is reluctant to place himself in the same bracket as a French legend, but is happy with the standard he has set

Kevin De Bruyne admits to playing the “best football” of his career at Manchester City but would prefer to avoid comparisons to Real Madrid and France legend Zinedine Zidane.

The Belgium international has established a standing as one of the finest creative influences of the modern era.

A move to the Etihad Stadium in 2015 has allowed him to take his game to even greater heights, with a record-breaking number of assists delivered over the course of four trophy-laden seasons.

The former goalkeeper admits there will be little margin for error for the Red Devils when they arrive at Stamford Bridge next Monday

Manchester United’s clash with Chelsea next week is “lose or bust”, according to Mark Bosnich, with the final Champions League spot in the Premier League table still very much up for grabs.

United’s 0-0 draw at home to Wolves just before the winter break ensured that they remained six points adrift of fourth-placed Chelsea in the top-flight standings after 25 fixtures.

Ole Gunnar Solskjaer’s side have slipped to eighth, with eight draws and eight defeats on their record, having been unable to string together a significant run of victories since the start of the season.

Tout est parti d’une vanne dans les Grosses Têtes, sur RTL. Mais Laurent Ruquier était sérieux par la suite quand il a dit qu’il en avait marre du comportement de Jack Lang qui passe son temps à vouloir se faire inviter partout.

Sans langue de bois et avec un franc parler rare dans le PAF, Laurent Ruquier n’a pas hésité à dire tout le mal qu’il pensait de Jack Lang. Mercredi, dans son émission des Grosses Têtes, sur RTL, une question a permis d’évoquer l’exposition Osiris qui s’est installée à l’Institut du Monde Arabe dont Jack Lang est le président. «Vous irez peut-être voir l’expo Osiris pour compenser, Angélique», dit l’animateur à l’auditrice qu’il a en ligne. Puis il ajoute: «Jack Lang est dans l’exposition, en tant que momie lui-même», provoquant les rires de ses sociétaires.

Certains enchérissent sur la blague, «c’est le seul avec des bandelettes roses», «une momie en col Mao» avant qu’un autre affirme: «Il est rigolo». Un avis que ne partage pas Laurent Ruquier qui confie: «Il est fâché avec moi. Je ne le prends plus, j’en ai marre». L’animateur précise en effet: «Je ne le prends plus comme invité. Lui et sa femme sont toujours là à appeler tout le monde pour qu’on les invite partout, je vous jure, c’est insupportable». Devant les doutes de ses Grosses Têtes, Laurent Ruquier insiste. «Si, si c’est vrai, y a un moment où on peut dire les choses quand même» lance-t-il avant d’en rajouter une couche: «On n’en peut plus de Monique qui vous appelle « oui, alors Jack ceci, Jack cela, et patati et patata »».

L’animateur conclut: «La momie est à l’Institut du Monde Arabe, si vous voulez aller à la voir », avant de partir dans un éclat de rire. Pas sûr que l’ancien ministre de la Culture partage cette hilarité.

Crédits photos : PJB/SIPA

Dans un message publié sur Twitter le 23 septembre puis effacé, Laura Smet vole au secours de son père.

En quelques mots, Laura Smet règle son compte à son ex belle-mère : « Faut qu’on trouve du travail pour Adeline Blondieau, je pense qu’elle a besoin d’argent :)))) pathétique » L’intéressée appréciera…

Publié sur son compte Twitter le 23 septembre mais effacé depuis, ce message fait bien évidemment référence à la sombre histoire dans laquelle s’affrontent ces derniers jours Johnny et son ex-femme.

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Alors qu’elle était entendue la veille devant le tribunal correctionnel du Tribunal de Grande Instance de Paris dans le cadre de poursuites contre Johnny pour diffamation, Adeline Blondieau l’a accusé de l’avoir violé, alors qu’elle était âgée de « 14–15 ans » chez ses parents. Une audience qui se déroulait à la suite de la publication d’une biographie d’Hallyday intitulée Dans mes yeux écrite par Amanda Sthers dans laquelle il revenait sur leurs deux mariages. Adeline Blondieau a en effet été marié à Johnny de 1990 à 1992, puis de 1994 à 1995.

Ni une ni deux, le chanteur avait réagi par la voix de son avocat, déclarant : « Adeline Blondieau est coutumière de propos malveillants à propos de mon client qui ne commentera pas ses nouvelles déclarations calomnieuses et grossières. »

Pour rappel, dans la mesure où les faits dénoncés par Adeline sont anciens, ils sont soumis à prescription. Quant à ses récents propos, ils ne peuvent pas faire l’objet de poursuites en diffamation dans la mesure où ils ont été tenus en audience.

Présidé par Christine Orban, le jury du prix littéraire de La Mamounia, dont le très francophile Douglas Kennedy est un membre assidu, vient de couronner le roman de Leila Slimani, Dans le jardin de l’ogre (éditions Gallimard). Ce Prix, qui récompense d’un chèque de 18 OOO euros, une œuvre de fiction écrite par un(e) auteur(e) marocain de langue française, vient d’être décerné à La Mamounia, le célèbre palace de Marrakech, primé lui aussi cette année au titre de meilleur hôtel du monde.

Gala: Pour la première fois, ce superbe Prix est accordé à une femme…

Christine Orban: L’audace de Leila Slimani nous a tellement séduits que son livre a fait l’unanimité. Le sujet qu’elle traite dans Le jardin de l’ogre, à savoir la dépossession de soi d’une femme soumise à ses addictions sexuelles, est un thème très gonflé pour un premier roman! D’ailleurs le public ne s’y est pas trompé puisqu’elle en a déjà vendu 25 000 exemplaires.

Gala: Cela fait cinq ans que vous présidez ce prestigieux “Goncourt” marocain. Vous êtes ici chez vous…

C.O.: Je suis née au Maroc car mon père, spécialiste en droit maritime, dirigeait le port de Casablanca. J’ai vécu ici jusqu’à l’âge de 18 ans. Lorsque j’ai quitté la pays pour venir étudier à Paris, je me suis sentie totalement déracinée. J’ai ressenti à ce moment-là la souffrance des exilés.

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Gala: Où se déroulent les délibérations du jury?

C.O.: Dans la bibliothèque où sont passés De Gaulle et Churchill. Un lieu très inspirant. Ce palace, qui soutient les écrivains, reste fidèle à l’esprit du lieu, unique au monde.

Gala: Enfant, vous passiez vos Noëls avec vos parents à la Mamounia…

C.O.: Y revenir est ma petite Madeleine de Proust. Quand j’aperçois les palmiers qui se dessinent dans le ciel et le Haut Atlas en arrière-plan, je me dis qu’il n’y a pas d’endroit plus sublime au monde. Sentir le parfum du jasmin et des fleurs d’oranger m’émeut toujours autant.

Crédits photos : gettyimages

L’Orquesta Buena Vista Social Club deviendra jeudi le premier groupe cubain à sa produire à la Maison-Blanche depuis plus d’un demi-siècle. Un symbole de plus du rapprochement en cours entre La Havane et Washington.

Ils font chanter et danser le monde entier depuis 19 ans. Les papis et mamies du Buena Vista Social Club, en plus d’être consacrés dans tous les festivals du monde, deviendront ce jeudi, des symboles du rapprochement entre les peuples.

Ce sera à l’occasion d’une cérémonie en l’honneur de la communauté hispanique américaine, organisée par le président Barack Obama, et en présence de l’ambassadeur de Cuba aux Etats-Unis. Les meilleurs représentants de la musique cubaine, la diva Omara Portuondo en tête, se produiront dans l’un des salons de la Maison Blanche.

Il s’agit d’un véritable moment historique. Depuis plus d’un demi-siècle, aucun groupe cubain ne s’est produit dans la demeure du président américain. Mais les relations entre les deux pays, au point mort depuis l’indépendance cubaine, se détendent. C’est l’un des derniers chantiers du président américain, avant la fin de son mandat. Quoi de mieux que la musique pour adoucir un peu plus encore les rapports entre Barack Obama, et Raul Castro, le frère de Fidel, actuel président de la république cubaine.

L’orchestre, qui a perdu plusieurs de ses membres depuis son succès, représente toujours la culture cubaine dans le monde. Leur premier disque paru en 1997, s’est vendu à plus de 9 millions d’exemplaires. Vainqueur d’un Grammy award, dans la catégorie Musique du Monde, il a été classé par le magazine Rolling Stones, dans les 500 albums de tous les temps. Le grand public avait découvert les sourires de Compay Segundo, Ibrahim Ferrer, ou encore du pianiste Ruben Gonzales dans le documentaire que Wim Wenders leur avait consacré en 1998.

Emmenez vos maris et vos femmes, vos compagnes et vos compagnons, vos amis, vos amies. Votre mère, éventuellement, vos soeurs évidemment: la création des Filles de Simone, qui se joue jusqu’à fin octobre au Théâtre du Rond-Point puis en novembre dans les Yvelines, est une merveille.

Devenir mère, cette catastrophe. Une ligne sur un test de grossesse. Elle veut que la ligne apparaisse, elle ne veut pas qu’elle apparaisse. Renoncer à sa liberté? Sûrement pas. Faire cet enfant, maintenant, absolument. Dans cette pièce, la comédienne joue une comédienne, enceinte, “c’est un peu me faire un enfant dans le dos, l’expression s’impose”, lui lance l’autre comédienne, qui joue la metteur(e) en scène. Crises de sanglots et angoisses, préparation à l’accouchement, venue au monde du bébé et les injonctions contradictoires se multiplient tandis que la vie du monstre procréateur, obscène quand elle évoque son épisiotomie, bascule. Perdues dans ce tumulte de questions et de doutes, les mères d’aujourd’hui convoquent Beauvoir, Edwige Antier, Yvonne Knibiehler, Badinter – “bad-inter”, mais aucune solution ne se fait jour, tout est à réinventer. “La femme est libérée mais la mère est piégée” clament-elles finalement et c’est vrai, car comme souvent, le privé est politique.

Dans C’est (un peu) compliqué d’être l’origine du monde, Claire, Tiphaine et Chloé racontent la maternité: les mères s’y reconnaîtront, bien sûr, les presque-mères, les pas-mères-par-choix, les pères aussi, bien entendu. On rit aux larmes – hilarante scène avec la sage-femme libérale alternative -, et l’on passe du rire aux larmes, aussi, dans ce spectacle envisagé comme une utopie de création théâtrale et pensé comme un cri de colère, où elles parviennent à réconcilier, expliquent les trois Filles de Simone, “la mère et l”artiste”.

Chloé, Tiphaine et Claire travaillent, disent-elle, dans “l’urgence de dire et la nécessité de faire”, à trois, vont et viennent du plateau à l’écriture, la recherche est permanente. On sent l’énergie qui circule sur scène, et bien au-delà ; d’ailleurs ne partage-t-on pas, dans cette petite salle du Théâtre du Rond-Point, des morceaux de placenta et quelques gobelets de lait maternel?

Crédits photos : Photographer:Giovanni CITTADINI CESI