C’est à Paris qu’avait commencé leur aventure en mai dernier, et c’est là qu’elle se terminera aussi, ce dimanche. Pour leur dernier spectacle musical, Louis Chedid et ses enfants, Matthieu, Joseph et Anna, ont apporté leurs instruments et leurs cordes vocales à l’Opéra Garnier. Ils y donneront ce soir une représentation unique qui sera retransmise en direct dans une centaine de cinémas en France.

A quelques heures du début de leur concert à l’Opéra de Paris, les joyeux membres de la famille Chedid sont impatients de retrouver leur public. Depuis le printemps et leur première date à guichet fermé sur les planches mythiques de l’Olympia, Louis, Matthieu, Joseph et Anna, ont sillonné ensemble la France, reprenant en cœur les titres des uns et des autres et leur donnant une toute nouvelle couleur.

Une rencontre intime, inédite et sympathique qui a régalé les fans. Et si la plupart étaient d’abord venus applaudir le plus populaire de la bande -Matthieu Chedid, alias M- et ses chansons Le Baptême, Matchistador ou La bonne étoile, ce sont bien les mélodies des autres Chedid qu’ils ont continué de chantonner après les concerts. Notamment On ne dit jamais assez, Ainsi soit-il (signés Louis), Je suis moi (d’Anna, alias Nach), ou encore L’infini (de Joseph, alias Selim).

En passe de remettre ça ce soir pour la der des ders avant la sortie d’un album best-of, le fier papa et sa progéniture n’en reviennent toujours pas d’investir le Palais Garnier. « C’est vraiment incroyable que ce concert ait été possible, dans ce lieu inspirant et beau. On vit un rêve un peu fou » lance Anna. Matthieu remercie quant à lui : « Quel cadeau pour une dernière en salle ! ». Et d’ajouter : « On pensera aussi à vous dans les salles de cinéma. Soyez fous et envoyez-nous des photos et vidéos ! ».

En pleine promotion de son dernier album, No place in Heaven, Mika était l’invité de Michel Drucker dans Vivement dimanche sur France 2. L’animateur s’est procuré de vieilles images du chanteur encore adolescent…

Il y a sept ans, le monde entier se déhanchait sur l’air entraînant de Relax, take it easy. On découvrait Mika, son air candide et son univers onirique dans lequel il continue de nous faire voyager. Quatre albums et deux saisons de The Voice plus tard, le chanteur est toujours aussi populaire. Rien d’étonnant à le voir assurer la promo de No place in Heaven en famille sur le plateau de Vivement dimanche.

Accompagné de sa mère, Joannie, ses soeurs Yasmine et Zuleika ainsi que de son petit frère Fortuné, Mika a rapidement regretté de les avoir fait venir avec lui. Les fourbes se sont en effet révélés être beaucoup moins timides qu’ils ne le lui avaient laissé penser et n’ont pas hésité à lâcher de nombreuses anecdotes gênantes sur l’artiste. Sans grande surprise en le voyant aujourd’hui si à l’aise sur scène, on apprend ainsi par sa maman que Mika avait l’habitude de transformer régulièrement l’appartement familial en salle de spectacle.

Mais cette confidence n’est qu’une petite trahison en comparaison à la vidéo diffusée juste après. Mika y apparaît en chemise, cravate et veston, paré d’une couronne en papier. Il a 14 ans. Avec la voix aussi aiguë que puissante qu’on lui connaît encore aujourd’hui, il entonne un chant de Noël un peu naïf, intitulé Little Donkey. Joues pleines, grands yeux bruns et appliqué sur son interprétation, Mika est facilement reconnaissable, et sur le plateau de Michel Drucker, son sourire généreux ne suffit pas à dissimuler sa honte.

Visage dans les mains, il attend patiemment la fin du supplice avant d’exploser hilare que tout est de la faute de sa mère! “A chaque fois qu’il y avait des invités, elle me disait ‘chante!’. Je disais ‘non’ et je restais dans ma chambre. Finalement, elle me prenait par le bras et elle me disait ‘chante!’ “ raconte-il avec tendresse. Et c’est faussement contrit qu’il déplore la diffusion de cette vieille casserole sur France Télévision.

Nous, on est ravis, car il faut l’admettre, ça ne le rend qu’encore plus attachant.

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Actuellement sur scène au théâtre Montparnasse à Paris, dans Le Cancre, Michel Galabru répondait aux questions du journal Libération, pour un article publié ce lundi. Le moral n’est pas très bon.

Michel Galabru c’est une carrière longue comme le bras qui commence au début des années 1950 et court encore à ce jour. Une carrière où se côtoient nombre de comédies cultes, de films à succès et à la qualité parfois discutables (que le comédien qualifie lui-même de “merdes”), autant que de prestations telles que Le Juge et l’assassin qui lui ont valu un César en 1977. Michel Galabru, c’est un personnage tonitruant, à la carrure imposante et à la personnalité forte. C’est aussi un homme, avec sa conscience, ses blessures et ses états d’âmes. Auprès de nos confrères de Libération, c’est lui qui s’est confié sans filtre, aussi bien sur son parcours que ses tracas du moment.

Lorsqu’on demande au comédien de 92 ans de se décrire à un jeune qui ne le connaîtrait pas, il ne pratique ni l’auto-flagellation, ni la vanité. “Un vieux cabot qui ne s’estime ni médiocre, ni au-dessus de la moyenne. Un pitre pas loin de la retraite, un peu éculé mais pas si con. Déformé par ce métier voulant qu’à force de se montrer, on en fasse un peu trop…” voilà comment il se voit.

Et s’il assure que son intellect reste “réglé comme un coucou suisse”, son moral en revanche est loin de l’image souriante qu’on a de lui. Il y a quelques semaines, coup sur coup, Michel Galabru a vu disparaître sa femme et son frère “dans des circonstances atroces des suites de la maladie de Parkinson”. Un choc qui l’a laissé sombrer dans la morosité. “La vie commence à ne plus m’intéresser, j’ai d’ailleurs songé quelques fois à me supprimer, n’y renonçant que faute de courage.” Il en remet une couche dans le dénigrement de sa propre personne, expliquant avoir toujours manqué de cran: “Je ne suis qu’un lamentable velléitaire, capable de rester des heures à rêvasser ou méditer, assis sans rien faire, repoussant toujours les choses à faire au dernier moment.”

Espérons que ce coup de blues ne soit que passager et que Michel Galabru reprenne goût à la vie.

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“Joséphine” débarque aujourd’hui dans les salles… mais c’est avant tout l’adaptation d’une bande dessinée homonyme signée Pénélope Bagieu. Découvrez le premier chapitre grâce au site My Little Book Club.

A l’occasion de la sortie de Joséphine, comédie de Agnès Obadia pour laquelle Marilou Berry a prêté ses traits à l’héroïne, le site My Little Book Club vous propose de découvrir les premières planches de l’oeuvre de Pénélope Bagieu parue chez Delcourt. La suite est à lire en librairie…

©Delcourt

La bande-annonce de « Joséphine »

Elle l’assure, c’est le « best of best ». On confirme. On l’a trouvé tellement bon qu’on n’a pas résisté à l’envie de lui en soutirer la recette.

Parfois, les interviews réservent de bonnes surprises. Particulièrement lorsqu’elles ont lieu chez des cordons-bleus, comme Julie Andrieu. Lorsqu’elle nous a reçus pour nous parler de sa grossesse, l’animatrice, enceinte de son deuxième enfant, nous a proposé de goûter à son cheescake. Déjà largement entamé la veille par son gourmand époux, le célèbre neurochirurgien Stéphane Delajoux, ce petit bijou de pâtisserie nous a mis l’eau à la bouche à sa simple vue. Restait à savoir s’il était aussi bon que beau. Maquilleur, coiffeur, journaliste, attaché de presse… Nous avons tous eu droit à notre petite part de cette merveille. Et, on peut vous le dire, jamais on n’a dégusté un aussi bon cheesecake. Face à notre enthousiasme, la jolie Julie, partageuse, nous a proposé de nous livrer les secrets de sa préparation (qui figurent également dans son livre, « All my Best Dessert », paru le 1er octobre 2015 chez Alain Ducasse Edition, 29€). Les voici donc, pour vous.

NY CHEESECAKE BEST OF THE BEST

POUR 8 à 10 PERSONNES

PRÉPARATION : 20 MIN – CUISSON : 1 H 40 – REPOS : 1 H + 1 NUIT

INGRÉDIENTS

PÂTE

350 g de galettes bretonnes

80 g de beurre fondu

1 c. à s. de sucre

CREME

600 g de cream cheese (Philadelphia® ou St-Môret®)

250 g de fromage blanc à 20 % de MG

250 g de crème fraîche épaisse

180 g de sucre

1 ou 2 gousses de vanille

4 très gros œufs (ou 5 moyens)

PRÉPARATION

La veille, préchauffez le four à 200°C (th. 7) en chaleur ventilée. Mixez les biscuits jusqu’à l’obtention d’une poudre. Ajoutez le beurre fondu et le sucre, puis mixez de nouveau. Étalez la préparation dans le fond d’un moule à fond amovible de 24cm de diamètre, puis enfournez pour 10 min. Laissez refroidir et (idéalement) entreposez au congélateur le temps de préparer la suite. Baissez la température du four à 120°C (th. 4) et arrêtez la ventilation.

Mixez le cream cheese avec le fromage blanc et la crème fraîche. Ajoutez le sucre, les graines de la gousse de vanille, les œufs, puis mixez de nouveau pendant 1 min. Beurrez les parois du moule et versez la crème sur les biscuits. Enfournez pour 1 h 30.

À la fin de la cuisson, éteignez le four sans ouvrir la porte et laissez le gâteau y tiédir pendant 1 h. Laissez-le reposer 1 h à l’extérieur du four, puis placez-le au réfrigérateur pour au moins 1 nuit sans le couvrir.

Le jour même, servez frais, mais pas trop froid. Le mieux est de sortir le cheesecake du réfrigérateur 1h à l’avance. Saupoudrez-le éventuellement de sucre glace. Vous pouvez également l’accompagner d’un coulis de fram- boise ou de mangue, mixez alors les fruits frais avec un peu de sucre et passez à tra- vers un chinois. Ou servez avec du lemon curd dilué dans du lait et de la crème.

CONSEIL

Ajoutez quelques éclats d’amandes dans le fond de biscuits. Plus le cheesecake sera préparé à l’avance, plus il sera dense. Le fait de passer le fond de biscuits au congélateur permet à la crème de cuire sans le détremper.

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Lors de l’enregistrement de The Voice UK, Boy George, coach de l’émission, a fait une révélation très surprenante. Le chanteur clame haute et fort avoir “couché” et un peu plus avec Prince.

Il fallait que ça sorte. Depuis trop longtemps, Boy George avait gardé pour lui un secret très croustillant. À 54 ans, l’ex-leader de Culture Club ne veut plus mentir ni prendre de pincettes pour dire ses vérités. Lors de l’enregistrement d’un nouvel épisode de The Voice UK, le Britannique a donc levé le voile sur l’une de ses aventures sexuelles.

Paloma Faith, une chanteuse anglaise, elle aussi jurée du télécrochet, s’est d’abord vantée d’avoir partagé une scène avec la superstar américaine, Prince, 57 ans. Toujours prêt à se faire remarquer, Boy George lui a répondu: “ok ma chère, mais moi j’ai couché avec Prince”. L’audience, sous le choc de la révélation, n’a pu contenir ses commentaires. La production de l’émission a donc décidé de stopper l’enregistrement pour demander à Boy George des précisions sur son annonce.

L’interprète de Do you really want to hurt me semblait très fier de sa sortie. Mais finalement, après quelques minutes, le fantasque chanteur a avoué qu’il avait simplement “dormi avec un poster de Prince” au dessus de son lit. Une blague très british qui a pourtant bien failli virer au malaise. Si Boy George n’a jamais caché son homosexualité et s’amuse aujourd’hui d’avoir eu Prince comme obsession sexuelle, son homologue américain est lui, très arrêté sur les relations entre personnes du même sexe. En 2008, l’interprète de Purple rain s’est clairement opposé au mariage gay, estimant qu’il allait contre les principes de Dieu. Boy George n’avait peut-être pas eu vent des positions de son fantasme…

Crédits photos : Brian Rasic

Pour les besoins d’une émission de la BBC, Adele s’est glissée parmi les candidates à un concours de sosies. Ses fans n’ont pas reconnu leur idole, maquillée et affublée d’un faux nez. Jusqu’à ce qu’elle se mette à chanter…

Joli coup de la part d’Adele qui a prouvé qu’elle avait de l’humour et savait rire de son image. A l’occasion d’un concours de sosies organisé par l’émission anglaise The Graham Norton Show, diffusé sur la BBC, la chanteuse s’est glissée parmi les candidates. Pour que personne ne la reconnaisse, c’est une star maquillée et affublée d’un faux nez et d‘un faux menton qui s’est présentée au casting.

Pour l’occasion, Adele s’est fait appeler Jenny et expliquait qu’elle était assistante maternelle. Faisant preuve de certaines qualités d’actrice, peut-être celles qui ont tant plus à Xavier Dolan qui prévoit de la faire jouer dans son prochain film, elle surjouait le stress, n’hésitant pas à se plaindre auprès des autres candidates qu’elle n’y arriverait pas. Et lorsqu’une d’elle a confié qu’elle avait hâte de découvrir le nouvel album d’Adele, 25 sorti la semaine dernière, la chanteuse répliquait: «Elle prend son temps quand même».

Aucune des jeunes femmes qui l’entourait ne s’est donc rendue compte de la supercherie, pas même lorsque la fameuse Jenny est montée sur scène. Mais lorsqu’elle a saisi le micro et commencé à entonner les premières phrases de la chanson Make you my love, les candidates ont dû se rendre à l’évidence: c’était bien Adele qui était en face d’elles. Passé le moment de surprise (rien que pour voir leurs têtes, la vidéo vaut le coup d’œil), c’est l’émotion qui a pris le dessus. La séquence a été postée vendredi dernier et vue plus de 22 millions de fois, témoignant de l’incroyable popularité d’Adele à travers le monde. Même avec un faux nez.

Crédits photos : INF/Starface

Mardi 23 février la reine Elisabeth a inauguré la Elizabeth Line, la ligne de métro londonienne actuellement en construction.

Le plaisir de de la reine Elisabeth au volant de sa Jaguar n’est plus un secret pour personne, mais à bientôt 90 printemps, elle a récemment dû se séparer de son précieux bolide. Si à cheval sur les protocoles mais secrètement avide de liberté a trouvé un recours pour continuer à se déplacer sans n’avoir rien à demander à personne. Le métro.

Et pas n’importe lequel puisque Elisabeth II aura sa propre ligne, éponyme, qui ralliera d’ici décembre 2018 la ville de Shenfield à l’Est de la capitale britannique à celle de Reading à l’Ouest, via Londres. En réalité, on imagine assez mal The Queen emprunter les transports souterrains pour se déplacer, d’autant moins qu’on attend sur cette nouvelle branche entre 500000 et 600000 passagers par jour. Or les bains de foule, très peu pour la reine qui n’aime pas bien qu’on la touche.

Le nom de la ligne et son logo —violet, curieusement raccord avec la tenue de la monarque—ont été dévoilés hier, lors de l’inauguration à la station Bond Street par la reine elle-même et le maire de Londres, Boris Johnson. Les internautes n’ont pas manqué de réagir… L’un en profite pour mettre en doute la nécessité de la reine: “La ligne s’appellera Elizabeth parce qu’elle coûte beaucoup aux contribuables mais ne fait pas grand chose.” l’autre ironise sur l’aberration de “donner à un transport en commun le nom de quelqu’un qui ne l’utilise jamais”. Et puis il y a encore ceux qui refusent le changement et préviennent leurs proches d’un possible conflit s’ils prennent l’Elizabeth line quand ils continueront à l’appeler Crossrail.

Crédits photos : getty images

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The German giants face the prospect of losing a number of key players soon if they don’t lock them down

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Hasan Salihamidzic insisted Bayern Munich were in no rush to enter contract talks with their stars, preferring to focus on challenging on several fronts.

Bayern moved into the DFB-Pokal quarter-finals by overcoming Hoffenheim 4-3 on Wednesday.

They are top of the Bundesliga and into the last 16 of the Champions League, and that is the focus for the German giants despite the likes of Manuel Neuer, Thomas Muller, Javi Martinez, David Alaba and Thiago Alcantara coming to the end of their deals in June 2021.

Mercedes boss Toto Wolff is expecting to have his first round of contract talks with Lewis Hamilton at some point this month.

Hamilton is in the last year of his current deal with Mercedes and while there appears to be no doubt about the fact that the six-time world champion will remain an F1 driver in 2021, a courtship by Ferrari could eventually lure the Briton away from the Silver Arrows squad.

Recent rumors suggested that Hamilton and Mercedes had already engaged in talks and that F1’s star driver was seeking a $60M plus annual deal with his employer.

Coulthard doesn’t expect Hamilton to join Ferrari

But the 35-year-old subsequently denied that negotiations about his future had started, a fact that Wolff has also confirmed.

“The last time we met was at the Christmas party,” Wolff told Auto Motor und Sport’s Michael Schmidt.

“We chatted a bit about the future. Since then we have only talked on WhatsApp.

“When you’re on the go for ten months, it’s also important to give it a rest. That’s why we decided to leave ourselves alone in December and January.

“When things start again in February, we will sit down and talk.”

©Mercedes