Gilberto Gil, surnommé le roi de la musique brésilienne, est hospitalisé depuis le 25 février, dans un hôpital de Sao Paulo. Il souffre d’hypertension artérielle, et est maintenu en observation par ses médecins.

L’une des légendes de la musique populaire brésilienne est hospitalisée depuis le 25 février, et c’est tout un pays qui retient son souffle. Gilberto Gil, l’un des meilleurs promoteurs de la bossa nova et de la culture brésilienne, est depuis plus de dix jours après son entrée à l’hôpital syro-libanais de Sao Paulo, toujours en observation. Cet ancien ministre de la culture sous la présidence de Luiz Inacio Lula da Silva, souffre d’hypertension artérielle.

C’est l’établissement de santé de la plus grande ville du pays qui communique cette information aujourd’hui: « le chanteur et compositeur Gilberto Gil a été hospitalisé à l’Hôpital syro-libanais de la ville, en raison de symptômes d’hypertension artérielle qui l’obligent à rester en observation et à suivre un traitement ».

Agé de 73 ans, Gilberto Gil fait chanter le Brésil et le monde entier depuis plus de 50 ans. Il est l’un des fers de lance du mouvement « tropicaliste » et a révolutionné les sonorités de la musique brésilienne, amenant sur ses mélodies des textes populaires et parfois militants en pleine période de dictature militaire au Brésil entre 1964 et 1985. Ses positions lui avaient valu plusieurs arrestations et séjours en prison à l’époque. Symbole de la liberté et du mode de vie brésilien, menant une vie paisible entre yoga et guitare, comme il le disait à l’AFP en juin dernier, il s’est produit de nombreuses fois en France, comme lors de « l’Année du Brésil » en 2005.

L’été dernier, il s’était produit entre autre sur la scène du festival Jazz in Marciac, avec son compère Caetano Veloso. Pour cette tournée baptisée Deux amis, un siècle de musique, il chantaient entre « frères » leurs douces mélodies devant un public toujours plus nombreux. La tournée doit normalement reprendre le mois prochain, si l’état de santé du chanteur le permet.

Jeane Manson, la plus francophile des chanteuses américaines, nous entraîne sous le soleil de Tel-Aviv, chez ses filles, Shirel et Marianne.Par Maryvonne Ollivry

On dirait trois sœurs. Une blonde, une brune, une châtain. Même visage, mêmes pommettes, même silhouette. Pulpeuses, féminissimes, de celles qui sont douées pour croquer la vie. Il faut les voir dans les rues de Tel-Aviv, complices, heureuses d’être ensemble, profitant de chaque instant comme on se gave de soleil. Ce n’est pas si souvent que leur trio est réuni. Si Shirel la brune et Marianne la châtaine vivent en Israël, Jeane Manson, leur blonde mère, a posé ses basques en Espagne en 2012, après trente-huit années passées en France. L’avion et Skype soudent leurs liens avec régularité, mais rien ne vaut ces moments d’intimité familiale. Surtout ces jours-ci.

Avec la sortie de son vingt-septième album, Amour, le 14 mars, Jeane célèbre un événement important: ses quarante ans de chanson. Déjà! Quatre décennies se sont écoulées depuis son célèbre Avant de nous dire adieu… Quatre décennies de succès, de hauts, de bas, de liaisons brûlantes, de passion pour les animaux, de végétarisme, de spiritualité et… de maternité. « Elles sont belles, mes filles! », nous lance Jeane, de sa voix grave à l’accent américain reconnaissable entre mille. Le ton se veut guilleret, l’émotion affleure. « Quand je vois ce qu’elles sont devenues, ces femmes pleines de talent, de force, de moralité, qui donnent corps et âme à leur passion, oui, je suis fière. » Et de nous les présenter à nouveau.

Shirel, trente-sept ans, née de sa brève union avec le producteur de cinéma franco-israélien André Djaoui, partie vivre en Israël à l’âge de dix-huit ans. Celle qui fut l’Esmaralda de la comédie musicale Notre-Dame de Paris sort un nouvel album de sept titres, intitulé tout simplement 7. Maman l’a conviée pour deux duos dans son album anniversaire. Marianne, vingt-sept ans, fille d’Allain Bougrain-Dubourg aurait aussi, aux dires des deux autres, une superbe voix. Mais elle a opté pour la production télé, débutant sa carrière à Paris, avant qu’un poste lui soit offert par la chaîne i24news… à Tel-Aviv. Maman venait de quitter la France, écœurée, empêtrée dans une sordide histoire d’impôts – « et pourtant je n’ai jamais voulu truander! », assure Jeane. Papa adoré, lui, parcourt le monde pour servir la cause animale. Alors, pourquoi ne pas se rapprocher de sa sœur et de ses neveux, les enfants de Shirel, Liam, huit ans et Luna Jeane, cinq ans? Non seulement Marianne s’est installée près de son aînée, mais les voilà chroniqueuses dans la même émission. L’une y parle de musique – et non, ce n’est pas Shirel, mais Marianne! L’autre, de déco – Shirel, dont le père a une société de décoration intérieure à Tel-Aviv. Jeane ne résiste pas à la tentation de nous montrer un extrait de leur émission sur le plateau d’i24news. Cocasse en effet, les deux se renvoyant la balle d’un: « Et vous, Marianne Bougrain-Dubourg, qu’en pensez-vous? » « Eh bien, Shirel, je vous dirai… »

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Amusant comme la vie parfois offre de jolis dénouements. Il aura fallu un peu de temps, bien sûr. De la maturité, de part et d’autre, pour que les incompréhensions s’éloignent. « Depuis que j’ai lu la biographie de maman, Une Américaine à Paris (éd. du Rocher), tout s’est apaisé, nous confie Shirel qui a surtout été élevée par son père. J’ai pris la juste mesure de ce que furent ses difficultés de femme et de chanteuse. Quand on est enfant, on a envie d’être dans les normes, on souffre d’être différent. Aujourd’hui, j’accepte cette différence, j’en mesure même la richesse. Ma mère est une femme extraordinaire. Et une grand-mère merveilleuse pour mes enfants! Quant à ma sœur, nous sommes devenues inséparables. » Shirel parle hébreu, Marianne, qui n’est pas de confession juive, l’apprend, et Jeane, notre chanteuse de gospel, tout ce qu’il y a de plus goy mais férue de spiritualité, suit elle aussi des cours via Internet. Union de cœurs et des esprits depuis l’ex-cloître du village médiéval de Peralada, en Catalogne, où Jeane s’est installée. Elle vit dans ce qui fut la maison de la mère supérieure, ça ne s’invente pas. Elle y a même ouvert une boutique où sont vendus ses disques d’or, ses tenues de scène, ses souvenirs. Fi de la nostalgie, seuls comptent l’avenir, ses filles, ses projets de chansons et de tournée, les balades à cheval, le coup de fil quotidien à sa maman, Chris Stevens, quatre-vingt-dix ans – “Maman est une artiste, elle a une voix extraordinaire, elle chante toujours dans son groupe The Hottsi Totsis aux Etats-Unis…” Ceci explique cela. Trois générations reliées par le chant. Et, cela ne fait plus de doute, par l’amour.

Crédits photos : FREDERIC MONCEAU/SIPA

Un an après avoir quitté les One Direction, Zayn Malik revient avec un premier album en solo. Et en profite pour dévoiler les raisons qui l’ont poussé à s’éloigner du groupe qui l’a fait connaître.

Quand Zayn Malik a quitté One Direction, le monde a retenu son souffle – et Twitter a tremblé. Le choc passé, il a fallu se rendre à l’évidence : il n’était plus à sa place dans le groupe. « C’est quelque chose qui m’a toujours posé problème au fond, et qui est devenu la raison principale de mon départ, a-t-il confié ce mois-ci au magazine Complex. On me demandait de nier qui j’étais, ce que j’aimais vraiment dans la musique, et pourquoi j’avais voulu faire ce métier. Ça a toujours été un souci. Et ça n’allait pas changer ni s’arrêter, alors c’est moi qui ai arrêté. »

Certains ont alors estimé qu’en s’écartant du groupe qui l’avait fait connaître, le jeune chanteur manquait de respect aux fans de la première heure. « Personne ne peut dire que j’ai été ingrat, même si on peut le penser quand je dis que j’étais frustré par le groupe, répond-il désormais. Mais je ne suis pas ingrat. J’ai juste eu besoin de m’en éloigner, et avec la musique que je fais maintenant je peux enfin m’exprimer pleinement, alors toute tension créative a disparu. »

Depuis qu’il est parti de One Direction, Zayn Malik s’est notamment fait remarquer pour ses teintures de cheveux. Une fantaisie qu’il ne pouvait pas se permettre auparavant. « Il y avait des limites, du côté de ce qu’on pouvait se permettre en dehors de notre look de jeunes ados, explique-t-il. Ma barbe, notamment. J’avais pas le droit de la garder ! Et puis, j’ai vieilli, je me suis rebellé contre cette décision, et j’ai décidé de la garder malgré tout. C’est un des trucs qui sont vraiment cool maintenant : j’ai le droit de garder ma barbe. J’avais aussi déjà envie de teindre mes cheveux quand j’étais dans le groupe, mais je n’en avais pas le droit. »

Après avoir fait table rase du passé, le chanteur s’est lancé dans sa carrière solo. Avec un mot d’ordre : être enfin lui-même. « Le plus important c’est pas d’avoir du succès, c’est d’être soi-même, assure-t-il. Je pense que le succès vient de l’authenticité. Les gens voient bien quand on leur ment. Ils veulent pas voir ça : ils veulent voir la vraie personne. C’est pour ça que Kanye West a tant de succès : il dit ce qu’il pense, et peu importe qui se sent offensé, il s’en fout. C’est quelque chose que j’admire. »

A 16 ans, Lily-Rose Depp vite sa première love story avec un mannequin anglais… déjà père de famille! En couple avec Florent Pagny au même âge, Vanessa Paradis s’attendrit. Mais reste vigilante…

Le 21 mars dernier, au moment d’embarquer à l’aéroport LAX de Los Angeles pour leurs vacances parisiennes, ils formaient une joyeuse et sympathique assemblée. En tête de cortège, Vanessa Paradis avait fière allure en cheftaine de choc. Pantalon noir bouffant, veste en tweed gris, lunettes noires, cheveux attachés en chignon, elle posait successivement un œil sur son fils Jack, un autre sur sa fille Lily Rose… qui n’en avait, elle, que pour son compagnon, Ash Stymest, un jeune et beau top model anglais de vingt-quatre ans. En couple depuis l’automne dernier, l’adolescente et son boyfriend n’avaient jamais affiché aussi librement leur amour. Encore moins en présence de Vanessa. Intelligence de la mère et de la fille qui ont ainsi officialisé un flirt qui n’allait pas forcément de soi au départ. Comme beaucoup d’autres mères, Vanessa aurait pu tiquer lorsque Lily-Rose lui a présenté Ash pour la première fois. Maman a beau avoir l’esprit large, l’obsession de Ash pour les tatouages et son oreille déformée par un immense cercle de métal ne plaidaient pas forcément en sa faveur. Une gueule d’ange, un style rebelle à la James Dean avec sa clope toujours au bec. Le beau gosse ne manque pas de sex appeal.

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A l’âge où la plupart de ses potes jouent encore à la Wii et n’ont pas encore quitté le domicile familial, le nouveau Narcisse de la mode ne se contente pas d’avoir séduit le styliste Heidi Slimane qui l’a découvert il y a huit ans, ni de dynamiter les défilés Balanciaga ou les campagnes de pub Doc Martens. Il croque aussi dans la vie et les femmes avec une fureur impétueuse, passionnée, instinctive. Il est ainsi le père de Summer, une fillette de quatre ans, fruit de sa relation avec le mannequin Maille Doyle dont il a divorcé, en 2013, un an et demi à peine après l’avoir séduite et épousée… Depuis, la jeune femme accuse le coup. La semaine dernière, Ash n’a même pas pris la peine de se rendre à l’anniversaire de Summer… De quoi semer le doute?

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Vanessa Paradis en a vu d’autres. Et des plus coriaces. Elle n’est pas femme à s’inquiéter du blouson noir en cuir que porte régulièrement Ash en guise de seconde peau. A quarante-trois ans, elle préfère en sourire. Ses jeunes années se rappellent à son bon souvenir. Comment ne pas faire le parallèle ? Vanessa avait seulement quinze ans, lorsqu’elle s’est éprise de Florent Pagny. Lui aussi traînait une réputation peu recommandable, avec son goût pour la fête, sa ronflante collection de grosse cylindrées, son vestiaire de loulou bourré de bandanas et de perfectos. Il était pourtant transi d’amour pour Vanessa. Gentil. Galant. Protecteur. « Je vis avec un homme de onze de plus que moi, alors je me sens plus femme, s’émerveillait-elle à l’époque, dans le magazine Elle. Je sais ce que c’est que l’amour. » Sous l’emprise de sa première passion, la « lolycéenne » était allée bien plus loin que Lily-Rose. Alors que sa fille se contente pour l’instant de multiplier les sorties amoureuses mais chastes dans les rues de Paris et les boutiques branchées de West Hollywood à Los Angeles, alors que son fait d’arme le plus audacieux a été de poster un cliché d’elle et de Ash enlacés chez des amis à la veillée de Noël, l’interprète de Joe le Taxi, au même âge, s’était émancipée depuis longtemps de ses parents Corinne et André. Elle vivait chez son amoureux.

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Reconnaissante de l’éducation qu’elle a reçue, Vanessa adopte la même ligne de conduite avec Lily-Rose. Avec humour, elle synthétise pour un site belge internet: « J’aurai préféré que ça n’arrive pas aussi vite. Mais je suis mal placée pour le lui dire. » Moins libertaire que ses parents, la star ne laisse pas pour autant sa fille n’en faire qu’à sa guise. Elle connait l’importance de son rôle. Elle entend l’exercer avec ouverture mais vigilance. Elle précise: « J’ai eu la chance d’avoir des parents formidables qui m’ont conseillé sans m’étouffer. Sans eux, je n’aurais pas tenu. »

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Par Laurent Del Bono

Dès demain dans Gala, découvrez la façon dont Vanessa Paradis veille sur les amours de son ado.

Crédits photos : WWD/REX Shutterstock/SIPA

Geneviève de Fontenay est revenue dans Le Parisien sur la polémique autour de la « mode islamique ». Selon elle, ces tenues sont certes très recouvrantes mais restent « très classes », et mettent en valeur la femme.

Elle a tourné la page des Miss au début de l’année, remettant sa dernière écharpe Miss Prestige National en janvier dernier, mais Geneviève de Fontenay garde un oeil attentif et un avis tranché sur toutes les questions de mode. Dernier épisode en date, autour de la polémique sur la mode islamique, née des propos de Laurence Rossignol, la ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes.

Cette dernière avait affiché son mécontentement au sujet de ces marques d’habillements qui adaptaient leurs tenues pour les femmes musulmanes. Elle les jugeait “irresponsables” de se mettre à cette mode et critiquait ces griffes qui investissent ce marché parce qu’il est « lucratif ». Plus couvrants que la plupart des autres vêtements, les habits de cette « mode islamique » créent un malaise chez de nombreuses personnalités, telles que le dessinateur Plantu, qui par son dessin (ci-dessous) a été accusé de faire l’amalgame entre islam et terrorisme, ou encore la philosophe Elisabeth Badinter, qui s’y oppose, et évoque même un boycott de ces marques internationales. Même Joey Starr avait donné son avis sur la question, preuve que le sujet est au coeur de la tempête médiatique.

Pour l’ancienne apôtre de l’élégance française, “certaines de ces tenues sont très classe et (lui) conviendraient bien !” C’est ce qu’elle explique au Parisien. Ces tenues très couvrantes, notamment celles de la marque so british Marks & Spencer, n’ont rien de choquantes. Au contraire, elles montrent la tolérance de nos sociétés occidentales vis à vis d’autres cultures. Elle s’explique:

« Moi, je les soutiens ces femmes musulmanes ! Quand on voit la mode »française« avec ces jeans troués et rapiécés, tout cet exhibitionnisme, soyons au moins tolérants. Ces femmes souvent très belles ont le droit de se mettre en valeur. Je ne vois pas ce qu’il y a de provocant là-dedans! »

Le sujet est loin d’être clos. Si pour Geneviève de Fontenay, il s’agit de mettre en valeur, pour Pierre Bergé, très influent dans le monde de la mode, ces vêtements »enferment la femme”. L’avis de l’ancienne reine des Miss permettra peut être de trouver un terrain d’entente sur le sujet.

Mardi matin, Benoît Magimel comparait devant le tribunal correctionnel de Paris. Il devra s’expliquer sur son délit de fuite après avoir renversé une piétonne dans une rue de Paris en mars dernier, mais aussi sur une autre affaire, survenue en 2014, lorsqu’il a été contrôlé alors qu’il conduisait sous l’emprise de stupéfiants.

Benoît Magimel joue gros ce matin devant le tribunal correctionnel de Paris. Alors qu’il y a un peu plus d’un mois l’acteur recevait les honneurs de la profession avec un César du meilleur acteur dans un second rôle pour La tête haute, aujourd’hui il devrait plutôt faire profil bas devant ses juges. Benoît Magimel devra en effet répondre de son délit de fuite en mars dernier,après avoir renversé une piétonne alors qu’il faisait une marche arrière avec son véhicule. Les faits sont survenus dans une rue du XVIe arrondissement de Paris, juste après que le comédien a quitté l’école de sa fille. La dame de 62 ans, qui traversait en dehors du passage piéton, souffrait d’une douleur à la jambe gauche.

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Benoît Magimel est descendu de sa voiture pour s’occuper de la victime avant que les pompiers n’arrivent pour la prendre en charge. Puis il est allé garer son véhicule avant de revenir sur les lieux et discuter avec les pompiers. Un version des faits confirmée par différents témoins qui précisent que jamais Benoît Magimel n’a voulu cacher son identité ni fuir. Mais c’est ensuite que les choses se compliquent: l’acteur décidé de rentrer chez lui mais lorsque la police se présente à son domicile pour l’entendre, il n’y est pas. Il se présente de lui-même au commissariat du XVIe un peu plus tard dans la soirée et c’est au cours de sa garde à vue que des traces de cocaïne et d’héroïne sont détectées dans son sang.

Des charges qui viennent s’ajouter à celle que la justice pourrait retenir contre Benoît Magimel suite à d’autres faits datant cette fois de 2014. Selon La Parisien, l’acteur va devoir répondre ce matin d’une infraction routière commise dans le XIVe arrondissement. L’acteur est contrôlé par la police après avoir brûlé un feu rouge. L’alcotest est négatif mais le test salivaire démontre qu’il conduit sous l’emprise de stupéfiants. Une prise de sang réalisée plus tard au commissariat confirme la présence de cocaïne et d’un produit de substitution dans son organisme.

La matinée risque donc d’être longue pour un Benoît Magimel déjà éprouvé par ses deux jours de garde à vue en mars dernier. Depuis, il s’est mis au vert pour se ressourcer et tenter de décrocher de ses addictions.

Crédits photos : ABACA

Le film d’Anthony Chen, lauréat de la Caméra d’Or à Cannes en mai dernier, a été choisi pour représenter Singapour pour la course à l’Oscar du Meilleur film étranger.

Plébiscité sur la Croisette en mai dernier où il reçut la Caméra d’Or de la part du jury d’Agnès Varda, plébiscité par la Presse aujourd’hui alors que son film dans les salles françaises, le jeune réalisateur Anthony Chen a également (et évidemment) séduit son pays, Singapour.

Son long métrage, Ilo Ilo, a ainsi été retenu pour représenter le pays dans la course à la nomination à l’Oscar du Meilleur film étranger : rappelons en effet, qu’une fois les différents films choisis (à raison de un par pays), l’Académie des Oscars en retient cinq pour la grand-messe hollywoodienne

Le candidat français à la statuette sera quant à lui annoncé le 16 septembre prochain. Candidat logique, Palme d’Or oblige, La Vie d’Adèle – Chapitres 1&2 ne devrait toutefois pas être retenu par la commission de sélection : le règlement des Oscars impose en effet aux films étrangers de sortir dans leur pays entre le 1er octobre 2012 et le 30 septembre 2013. Or le long métrage d’Abdellatif Kechiche est attendu sur les écrans le 9 octobre.

Organisée le 2 mars 2014, la 86e cérémonie sera présentée par Ellen DeGeneres.

Notre interview d’Anthony Chen

YS avec Le Film Français

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En attendant les sorties très attendues de ses deux prochains films prévues pour cet été, Vincent Cassel fait l’actu en devenant la nouvelle égérie d’une célèbre marque française de lunettes de soleil. Vuarnet a en effet embauché l’acteur pour la représenter. Extrait du tournage de la campagne de publicité de la marque, au Brésil, pour un Cassel au look décontracté. C’est déjà l’été chez Vuarnet.

Vincent Cassel est un acteur très demandé. Il sera cet été à l’affiche du nouveau Jason Bourne, dans la peau du méchant, c’est étonnant! Il sera également sur le tapis rouge du palais des festivals de Cannes, pour la présentation du dernier film de Xavier Dolan en sélection officielle, Juste la fin du monde.

En attendant d’autres éventuels projets “français”, l’ex-mari de Monica Bellucci redevient le temps d’une campagne l’égérie d’une célèbre marque française. Il a été l’ambassadeur d’Yves Saint Laurent, pour son parfum La nuit de l’homme, avec réussite. Alors qu’il est très convoité, il a choisi Vuarnet, la célèbre marque de lunettes françaises pour renouveler l’expérience dans le monde la mode. Dans une vidéo, la griffe de lunettes de soleil et masques de ski montre les coulisses de la réalisation de sa nouvelle campagne publicitaire. Direction le Brésil pour Vincent Cassel, amoureux et résident assumé du pays de la Bossa Nova.

« Pourquoi le Brésil? Est-ce que vous y êtes déjà allés? »

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C’est à la fois une déclaration d’amour au plus grand pays d’Amérique du Sud, et une vraie marque d’affection pour ces lunettes « made in France » que fait ici le comédien. Entre deux séances photo, sur les plages do Abricó et Grumari, ainsi que sur les hauteurs de Rio de Janeiro, avec le fameux quartier d‘Ipanema, l’homme décrit ses souvenirs sur cette marque qui date des années 50, et qui tente un retour et une modernisation de son image, comme Lacoste avant elle. « Iconographique », « classe », « la lunette qu’il fallait avoir », le comédien est fier de « participer à la renaissance de cette marque ».

Nul doute que l’acteur et ses lunettes traverseront l’Atlantique, et seront visibles à Cannes dans moins d’un mois maintenant.

Le tournage de ce feel good movie avec Karin Viard et François Damiens vient de débuter.

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© Pathé Distribution

Après Rien à déclarer, Karin Viard et François Damiens seront à nouveau réunis dans La Famille Bélier sous la direction d’Eric Lartigau. Le tournage de cette comédie, avec également Eric Elmosnino, a démarré ce lundi 9 septembre et devrait durer neuf semaines, entre région parisienne et Mayenne.

Le synopsis du film : Monsieur et Madame Bélier sont sourds. Heureusement leur fille Paula (jouée par Louane Emera) est entendante et leur sert d’interprète. Elle est aussi très douée pour le chant. Tellement brillante même, qu’elle se décide à passer le concours de Radio France. Et cette compétition pourrait bien changer la vie de toute la tribu…

Après un été maussade, la comédie française aurait bien besoin d’un petit, voire mieux, d’un gros succès. La famille Bélier, avec ses comédiens populaires et son pitch aux allures de feel good movie, pourrait bien être celui-là. Réponse en 2014…

François Damiens est au générique de la comédie Tip Top, dans les salles ce mercredi 11 septembre :

Tip Top

Thomas Destouches avec Le Film Français

Une confidence… fumeuse. Invité sur le Divan de Marc-Olivier Fogiel, Florent Pagny a confié à l’animateur qu’il consommait du cannabis… et a expliqué quelques uns des bienfaits que cette drogue a pour lui. Mais attention : selon le chanteur, il faut en réserver l’usage aux adultes.

« Ça grille un peu la mémoire, ce qui n’est pas hyper grave puisqu’à la fin tu gardes que les bons souvenirs. » Invité dans l’émission Le Divan présentée par Marc-Olivier Fogiel, Florent Pagny s’est laissé aller à confier qu’il consommait du cannabis… et que cette drogue avait selon lui de sacrés bienfaits. « Je pense que ça me stabilise, a ainsi expliqué le coach de The Voice. C’est-à-dire que lorsque j’étais petit ma mère a passé en revue tous les pédopsychiatres qu’on a trouvés dans la région. J’étais un môme hyperactif, très très speed. » Depuis, grâce à sa consommation de drogue, le chanteur se serait calmé et assagi.

Pas question toutefois pour Florent Pagny de faire « la promotion » du cannabis : à ses yeux, la drogue fonctionne avec sa « vie d’adulte », mais il ne faut surtout pas se plonger dedans quand on est jeune. « Que ce soit l’alcool, que ce soit la drogue, que ce soit le cul ou que ce soit le jeu, tout ça il faut attendre d’être formé à la vie avant de faire ses expériences, assure le caméléon capillaire préféré des Français. Sinon tu peux que te griller. Fumer des pétards à 15 ans, c’est des conneries. » Citoyen modèle qui paie « au moins un million d’euros d’impôts par an », Florent Pagny ne compte certainement pas pousser la jeunesse – une partie de son public grâce à The Voice – vers l’illégalité.

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