Category: News

Home / Category: News

Kev Adams a un frère mais il ne fait pas beaucoup parler de lui. Pourtant, on pourrait les confondre.

Après la statue de Kev Adams très ressemblante au vrai jeune homme au Musée Grévin , c’est aujourd’hui son frère qui vient semer le doute. Noam a en effet les mêmes expressions que l’humoriste de 25 ans, à une différence près : ce jeune homme de 20 ans n’a pas choisi d’adopter la même coiffure. Resté dans l’ombre de celui qui enchaine les sketches à succès en France, Noam n’est pourtant pas mis à l’écart. Au contraire, si Kev Adams a beaucoup à faire, puisqu’il est notamment en pleine tournée avec Gad Elmaleh, il a toujours une tendre attention envers lui et multiplie les messages envers sa famille. Ces derniers temps, les internautes l’auront remarqué, les garçons Adams passent beaucoup de temps ensemble. Et c’est d’ailleurs cette complicité qui nous empêche de les différencier physiquement.

Comme s’ils avaient voulu perturber leurs followers, Kev et Noam ont les cheveux et les yeux de la même couleur et portent aussi le même type de barbe. Alors sauriez-vous dire si Kev Adams est le vrai garçon qui affole le public sur scène, ou bien est-ce sa doublure affective qui prend ses fonctions en secret ? Trop facile de semer le doute. Mais Gad Elmaleh, qui travaille avec le jeune homme, semble en tout cas moins facile à duper. Ils ne doivent certainement pas avoir le même caractère…

Crédit photo: Starface

En direct du tournage de #Gangsterdam avec la mif ! @dj_noyz #HaveAGoodDay #Love

A post shared by Kev Adams (@kevadams) on

Click Here: Putters

Le célèbre photographe, accusé de viols par Flavie Flament et trois autres femmes, s’est donné la mort chez lui ce soir.

Le choc. Selon les informations d’Europe 1, le photographe britannique David Hamilton, accusé de viols par plusieurs femmes, a mis fin à ses jours à son domicile parisien situé dans le 6e arrondissement vendredi soir.

L’homme était au cœur d’une sombre affaire. Flavie Flament avait en effet affirmé, dans son livre La Consolation (Ed. JC Lattès), sans le citer – à cause de la prescription des faits – mais avec force détails permettant de l’identifier, avoir été violée par le photographe dont elle avait été l’un des modèles à l’âge de 13 ans. Ce dernier, dont le nom avait rapidement surgi dans la presse, avait fermement nié ces accusations et avait menacé d’attaquer en diffamation l’animatrice. Peu de temps après, trois autres femmes sortaient de leur silence et corroboraient, dans l’Obs et dans Elle, les propos de Flavie Flament, expliquant que, par le même mode opératoire, elles avaient elles aussi été victimes du photographe lorsqu’elles étaient mineures.

David Hamilton avait alors réitéré ses menaces de porter plainte pour diffamation. « Aujourd’hui je ne fais l’objet d’aucune poursuite, avait fait savoir le photographe le mardi 22 novembre à l’AFP. Nous sommes au-delà de ma présomption d’innocence. Je suis innocent et doit être considéré comme tel. » Lors de cette déclaration, il s’en était pris directement à Flavie Flament, remettant en cause sa parole : « L’instigatrice de ce lynchage médiatique cherche son dernier quart d’heure de gloire. Par la diffamation. » Avant de conclure : « Je déposerai plusieurs plaintes dans les jours à venir. »

Mais il en aura finalement décidé autrement. A 83 ans, l’homme a finalement décidé de se donner la mort. Retrouvé inanimé par son voisin qui avait prévenu les secours, son décès a été constaté « quelques minutes plus tard », nous apprennent nos confrères. Ironie du sort, le 25 novembre, jour où il s’est éteint, est celui contre les violences faites aux femmes.

Le comédien irlandais Peter O’Toole, rendu célèbre pour “Lawrence d’Arabie” de David Lean, s’est éteint ce samedi 14 décembre à l’âge de 81 ans.

Click Here: Spain Football Shop

© D.R.

Peter O’Toole est mort… L’acteur irlandais, éternel Lawrence d’Arabie, s’est éteint ce samedi 14 décembre, à l’âge de 81 ans. Ironie du sort, il avait annoncé vouloir sortir de sa retraite il y a quelques jours à peine.

Elevé à Leeds, Peter O’Toole entame une carrière de journaliste avant de se lancer dans le théâtre au début des années 50. Il étudie à la Royal Academy of Dramatic Arts où ses camarades de classe sont Alan Bates et Richard Harris. Puis il devient membre de l’Old Vic de Bristol.

Il fait ses premières apparitions au cinéma en 1960 dans L’ Enlèvement de David Balfour de Robert Stevenson et Les Dents du diable de Nicholas Ray. Mais c’est avec Lawrence d’Arabie (1962, David Lean) qu’il connaît la consécration. Il y incarne le célèbre aventurier-écrivain et trouve là un rôle des plus charismatiques. Il est par la suite tout désigné pour tenir des rôles historiques et de stature imposante. Il est le roi Henri II d’Angleterre dans Becket de Peter Glenville (1962), aux côtés de Richard Burton et John Gielgud avec lesquels il forme un trio so british de premier ordre. De formation théâtrale, il appartient à cette génération d’acteurs anglais partagés entre les planches et le grand écran.

Après de grands rôles dramatiques, il enchaîne avec des comédies à succès telles que Quoi de neuf Pussycat ? (1965) ou encore Comment voler un million de dollars (1966). Dans ces comédies, il côtoie les plus grandes stars de son époque. C’est l’époque du glamour et du burlesque. Il n’en oublie pas pour autant des personnages plus denses comme dans La Bible de John Huston (1965). Il est nommé à sept reprises aux Oscar mais n’a pas encore reçu la prestigieuse récompense.

Il navigue entre théâtre, cinéma et télévision où il incarne tour à tour des personnages dramatiques ou plus légers, parfois ambigus. Il se fait plus rare au cinéma dans les années 70. Dans les années 80 et 90, il revient dans des films tels que Supergirl (1984), Club Paradise (1986, Harold Ramis), Le Dernier Empereur (1987, Bernardo Bertolucci), Ralph Super King (1991) et Phantoms (1998). Il apparaît donc tour à tour dans un film de super-héros, deux comédies, un drame historique et un film d’horreur. Il confirme ainsi sa tendance à osciller d’un genre à l’autre, entre pur divertissement et films historiques. Il se consacre ensuite davantage à la télévision mais renoue avec le 7ème Art en 2003 puisqu’il figure au générique de Bright young things avant d’incarner l’année suivante le roi Priam dans Troie de Wolfgang Petersen. Il se distingue enfin en 2007 en prêtant sa voix à l’inquiétant critique culinaire Anton Ego dans Ratatouille des Studios Pixar.

Décès : ils nous ont quittés en 2013…

La bande-annonce de “Lawrence d’Arabie” :

La Rédaction

Suivez-nous sur Twitter pour connaître l’actu ciné & séries d’AlloCiné Follow @allocine

Sharon Stone ne s’était pas affichée avec un homme depuis le journaliste Phil Bronstein, son deuxième mari. Son cœur n’est désormais plus à prendre. L’actrice de Basic Instinct et Casino a été aperçue le 29 novembre dernier sur une plage de Saint Barthélémy aux côtés d’un certain Lonnie Cooper, agent sportif connu dans le monde du basket américain.

L’heureux élu se nomme Lonnie Cooper. Il a 62 ans et le crâne quelque peu dégarni. Businessman influent, c’est l’un des meilleurs agents de la NBA. Les tourtereaux se sont prélassés à nouveau le 1er décembre sur une plage de l’île antillaise avant d’aller faire du shopping dans la boutique « Suggest by Pain de Sucre »à Gustavia. L’actrice a également été vue visitant le cimetière de Saint-Jean avec son nouveau compagnon.

Plus rayonnante que jamais, l’actrice apparaît dans un maillot une pièce noir décolleté qui dévoile un corps irréprochable. A 58 ans, Sharon Stone n’a rien perdu de son sex-appeal depuis son rôle de Catherine Tramell dans Basic Instinct, le film sulfureux de Paul Verhoeven datant de 1992.

Fière de son corps, Sharon Stone avait affiché un beau deux pièces sur Instagram en août dernier. L’actrice dévoilait sa plastique parfaite en sortant d’une piscine, au naturel ou presque, puisqu’elle avoue avoir recours à quelques petites injections d’acide hyaluronique.

L’an dernier, elle avait pris la pause, nue, pour une série de photos en noir et blanc dans le magazine Harper’s Bazaar. Sharon Stone ne se prive pas de faire parler d’elle. Récemment, Paul Verhoeven a raconté qu’elle lui avait offert sa petit culotte à l’époque de la scène mythique de Basic Instinct où elle dévoile son entrejambe.

Depuis son divorce avec Phil Bronstein en 2004, la belle quinquagénaire s’était consacrée à l’éducation de ses trois enfants adoptés : Roan, Laird et Quinn. Après la rupture d’anévrisme en 2001 qui lui avait causé une sérieuse hémorragie cérébrale, elle s’était engagée dans plusieurs causes humanitaires, notamment la lutte contre le Sida dont elle est l’ambassadrice.

Click Here: Spain Football Shop

Le film d’horreur “The Amityville Horror: The Lost Tapes” vient d’être daté eu mois de janvier 2015 aux Etats-Unis.

© Twentieth Century Fox France

 

Fans de films d’horreur et d’Amityville réjouissez-vous !

 

Dimension Films vient d’annoncer la date de sortie américaine de The Amityville Horror: The Lost Tapes (sobrement rebaptisé “Amityville”) : le 2 janvier 2015.

 

Ecrit et réalisé par Casey La Scala et Daniel Farrands, le film se déroule deux ans après les événements du long métrage de Stuart Rosenberg, Amityville, la maison du diable (et par conséquent de son remake de 2005 emmené par Ryan Reynolds).

En 1976, une jeune journaliste ambitieuse trouve une cassette vidéo pouvant expliquer les phénomènes qui se sont déroulés dans La maison de l’horreur. Elle décide de s’y rendre accompagnée d’un groupe d’ecclésiastiques et de chercheurs spécialisés dans les événements paranormaux afin de mener l’enquête. Mais son inconscience va ouvrir une porte vers un monde qu’elle ne pourra jamais refermer….

 

 

“Avengers”, “Star Wars” : 2015, l’année-blockbuster !

Les bandes-annonces 2014 : sélection “Science-Fiction et Fantastique”

 

Laëtitia Forhan avec Ciomingsoon

 

 

Revoir la bande-annonce d'”Amityville” version 2005

 

Amityville

Click Here: pinko shop cheap

Louis de Funès que l’on retrouve aux côtés de Bourvil dans Le corniaud (le 19 décembre, sur France 2), fut la plus belle histoire de Macha Béranger, la voix des nuits de France Inter. Une passion adultère, puisque l’acteur était marié et passait aux yeux du grand public pour un mari modèle. Mais le cœur ne connait pas la raison. Et l’épouse de l’acteur s’était résolue à faire avec cet amour plus fort que tout.

On est en 1970. Un cocktail est organisé à la Maison de la Radio, à Paris. Macha Béranger a alors 27 ans. Toutes les nuits, elle recueille les confidences des auditeurs souvent en mal d’amour. Louis de Funès est invité. C’est un coup de foudre entre la rousse flamboyante et pleine de vie et l’acteur déjà célèbre, certes, mais d’une nature inquiète que l’animatrice sait apaiser d’un seul regard.

En secret, Macha Béranger commence à retrouver Louis de Funès dans la suite que ce dernier loue à l’année à l’Hôtel Intercontinental, près de la place Vendôme, à Paris. Attaché à sa famille -marié à Jeanne depuis 1943, ils ont deux fils-, l’acteur a mis ses conditions : il ne divorcera pas, il ne l’assumerait pas. La jeune femme accepte. Elle qui console si bien les maux des autres, va vivre en sourdine l’absence, le manque… Elle se glisse dans le rôle de la maitresse. Officielle certes, mais illégitime quand même.

Louis de Funès s’installe donc dans une double vie. La passion, le feu d’un côté, la famille, l’attachement de l’autre. Jeanne, n’est pas dupe très longtemps. Elle a des doutes, puis des certitudes, mais se dit que cette liaison prendra vite fin. Seulement les années passent et ne délacent pas les amants.

En 1982, sur le tournage des Gendarmes et les gendarmettes, la production de la série looue un studio en rez-de-chaussée pour que Louis de Funès et Macha Béranger puissent « travailler » (selon la version officielle), ensemble, sans être dérangés. Comme Jeanne vient fréquemment et sans prévenir rendre visite à son mari, des gardes du corps postés à proximité sont chargés de donner l’alerte si cette dernière arrive. Vaine précaution, puisque Jeanne sait. Cette année-là, elle décide d’ailleurs de ne plus quitter le plateau, de ne plus lâcher son mari d’une semelle, au point que Macha Béranger n’a d’autre choix que celui de rentrer à Paris.

Seule la mort de Louis de Funès, en 1983, met fin à cette histoire passionnelle. Macha est dévastée par le décès de l’acteur. Courtisée par les éditeurs qui lui demandent de raconter son amour secret, elle refuse. Elle ne veut pas blesser cette famille que Louis a toujours tenu à protéger. Férue de spiritisme, à plusieurs reprises, elle va essayer de communiquer avec celui qui fut l’homme de sa vie… et finit par le rejoindre en 2009, emportée par un cancer.

Crédit photos (Macha Béranger/ Louis de Funès et sa femme Jeanne/ Louis de Funès en famille) : Bestimage

Le très attendu “12 Years A Slave” de Steve McQueen débarque aujourd’hui dans les salles françaises. L’occasion idéale de se plonger dans les secrets de tournage du film…

Chiwetel Ejiofor © Tobis Film

 

Une fascination pour le livre de Solomon

Avant même d’avoir lu le livre, Steve McQueen souhaitait déjà pouvoir réaliser un film traitant de l’esclavage et de ces Noirs livrés “illégalement” dans le Sud. Sa femme lui fit alors découvrir les mémoires de Solomon Northup. Pour lui, ce fut la révélation : “J’ai été choqué et fasciné par cette histoire extraordinaire. Ça me rappelait presque Pinocchio ou un conte des frères Grimm – l’histoire de cet homme arraché aux siens et soumis à une longue succession d’épreuves, mais pour qui brille encore une lumière au bout du tunnel (…) Ce récit a beaucoup plus d’ampleur que tout ce que j’ai pu lire ou voir récemment”, dit-il, en poursuivant : “Je n’arrive pas à croire que je n’aie jamais entendu parler de ce livre. Comment est-ce possible ? La plupart des gens aux États-Unis à qui je l’ai mentionné n’en ont jamais entendu parler non plus. Pour moi, ce livre – récit incroyable d’un homme plongé dans un monde d’une inhumanité absolue – est aussi essentiel à l’histoire américaine que le Journal d’Anne Franck l’est à l’histoire européenne.”

 

Michael Fassbender, Steve McQueen © Mars Distribution

 

Des affiches italiennes qui font polémique

Fin 2013, le studio Lionsgate a ordonné le retrait des salles des affiches italiennes du long métrage 12 Years A Slave, jugées racistes par plusieurs observateurs. Sur les affiches américaines, le comédien noir Chiwetel Ejiofor, acteur principal du film, était mis en avant. Mais sur les affiches transalpines incriminées, ce sont Brad Pitt et Michael Fassbender qui sont en gros plan, Chiwetel Ejiofeor étant en petit à droite de l’affiche. Pour justifier sa demande auprès du distributeur italien BMI, Lionsgate n’a pas évoqué les accusations de racisme, arguant seulement de motifs légaux.

 

Chiwetel Ejiofor, Lupita Nyong’o, Michael Fassbender © Mars Distribution

 

Chiwetel Ejiofor, 16 ans plus tard…

Savez-vous que 12 Years A Slave n’est pas le premier long-métrage sur l’esclavage dans lequel on retrouve l’acteur ? Il y a 17 ans, on avait pu l’apercevoir dans… Amistad, réalisé par Steven Spielberg.

 

Lupita Nyong’o, Chiwetel Ejiofor Copyright : © Tobis Film

 

Retrouvailles

Après Inglourious Basterds, Brad Pitt et Michael Fassbender partagent l’affiche de deux films, de façon consécutive. Ils jouent dans 12 Years A Slave et The Counselor, de Ridley Scott, qui en France est le premier des deux à sortir en salles. “12 Years A Slave” marque aussi  la troisième collaboration consécutive entre le réalisateur Steve McQueen et l’acteur Michael Fassbender. Ainsi, le comédien a jusqu’à présent joué dans tous les longs métrages du cinéaste.

 

© Mars Distribution

 

Arrête de faire ton Epps !

Jusqu’ici, Steve McQueen avait donné à Michael Fassbender des rôles torturés, qui suscitaient la compassion. C’est un peu le même genre de cas ici, en ce qui concerne le personnage d’Epps, sauf qu’il l’accompagne cette fois d’une aura diabolique. En effet, Edward Epps était un propriétaire d’esclaves alcoolique et extrêmement violent. Le comportement du véritable Epps était d’ailleurs tellement épouvantable qu’encore de nos jours, en Louisiane, les habitants de la région utilisent l’expression : « Arrête de faire ton Epps ».

McQueen explique : “Michael a su cerner ce personnage dans toute sa complexité d’une manière extraordinaire, commente Ejiofor dont le personnage est aux prises avec Epps tout au long du film. Il ne fait pas d’Epps un type méchant, car ce serait trop facile de l’interpréter ainsi, mais il le joue comme un être qui souffre intérieurement, qui voit le monde comme étant contre lui et qui essaie de rectifier cette situation en s’en prenant à ce qu’il considère lui appartenir – autrement dit, les gens comme Solomon et les autres esclaves de sa plantation. Michael a donné à Epps un caractère « équilibré », d’une qualité constante qui est à la fois attirante et effrayante.”

 

En savoir plus…

 

Louis-Charles Kolyardo

 

A LIRE EGALEMENT

PGA Awards 2014 : “Gravity” et “12 Years a Slave” vainqueurs !

 

A NE PAS MANQUER EN CE MOMENT

“Avengers 2” : “plus sombre” mais toujours fun selon Mark Ruffalo !


12 Years a slave : “Raconter l’esclavage de l’intérieur”

Suivez-nous sur Twitter pour connaître l’actu ciné & séries d’AlloCiné Follow @allocine

Comme pour les familles princières, la famille Obama est scrutée à chacuns de ses faits et gestes. Ce mardi, alors que son père Barack Obama récitait son discours et rendait hommage à son clan dont sa femme Michelle, et ses deux filles, Malia et Sasha, la cadette de la famille n’apparaissait pas sur les écrans de télévision. Une absence remarquée, et commentée sur les réseaux sociaux tout au long de la soirée.

Barack Obama était à Chicago, ce mardi 10 janvier, pour prononcer son discours d’adieu au peuple américain, en tant que président des Etats-Unis. Dans une partie du discours politique, il a appelé à faire vivre l’esprit d’ouverture américain, et dans une autre partie du discours, plus personnelle celle-là, il s’est tourné vers sa famille, toujours unie, malgré les épreuves générées par l’exercice du pouvoir.

Il a d’abord rendu un hommage appuyé à sa femme, sa « meilleure amie » Michelle. Puis son discours s’est orienté sur ses filles, et le président américain a manié l’humour pour décrire ces deux adolescentes qui ont grandi à la Maison Blanche avec lui, devenues « dans des circonstances les plus étranges » des jeunes femmes “intelligentes et magnifiques, mais surtout bienveillantes et attentionnées et pleines de passion”.

« Vous avez porté le fardeau de ces années sous les projecteurs si aisément. De tout ce que j’ai fait dans ma vie, ma plus grande fierté est d’être votre père »

Les caméras montrent alors Malia, l’aînée, au bras de sa mère, très émue. Mais aucune trace de Sasha, la cadette de 15 ans. Où pouvait-elle bien être alors que son père prononçait l’un des discours les plus émouvants de sa vie? Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que la jeune fille rate une sortie familiale officielle.

Les réseaux sociaux s’en mêlent, et cherchent la trace de Sasha. Un mystère qui a pris fin dans la soirée, lorsqu’un porte-parole de la Maison Blanche a expliqué sur la chaîne CBS que Sasha n’avait pas fait le déplacement Washington DC – Chicago pour la simple et bonne raison qu’elle avait un contrôle le lendemain à Washington DC, et souhaitait réviser sans avoir à faire des allers-retours.

Reste à savoir si la jeune fille était ravie de passer une soirée seule à la maison sans ses parents, ou si elle a regardé, triste, le discours de son papa à la télévision, privée de voyage par sa mère.

Crédits Photo: The White House via BestImage

Click Here: Cheap France Rugby Jersey

En attendant la nouvelle bande-annonce de “Transformers : l’âge de l’extinction”, un poster inédit a été dévoilé avec Optimus Prime.

Dans 3 jours, une nouvelle bande-annonce de Transformers : l’âge de l’extinction sera dévoilée. En attendant, Paramount Pictures continue à régaler les fans avec des photos et posters inédits.

Après quelques clichés hier, un poster inédit avec Optimus Prime en plein affrontement a été mis en ligne…

Pour rappel, “Transformers : l’âge de l’extinction” sortira sur les écrans français le 16 juillet 2014.

Click Here: Christian Dior perfume

 

Pour revoir la première bande-annonce du film :

Transformers : l'âge de l'extinction Bande-annonce (3) VOST

Un terrible accident a eu lieu sur le tournage de Mary Poppins, a révélé l’actrice Julie Andrews sur la chaîne américaine CBS. Il a même failli lui coûter la vie…

Une grande dame vêtue de noir descend gracieusement du ciel, sous le regard émerveillé de deux jeunes enfants. Elle atterrit en souplesse au pas de la porte, avec son parapluie et son sac rempli de trésors. La scène culte du film Mary Poppins reste l’un de nos meilleurs souvenirs d’enfance. L’actrice Julie Andrews, qui campe la super nounou, s’en rappelle aussi : elle a failli mourir lors du tournage !

Elle a raconté l’épisode à Stephen Colbert dans The late show, sur la chaîne américaine CBS. « J’étais accrochée en l’air depuis très longtemps avec le parapluie, s’est rappelé l’actrice, qui effectuait elle-même ses cascades. J’ai senti un câble lâcher et descendre d’une quinzaine de centimètres. » Nerveuse et inquiète, Julie Andrews a demandé aux techniciens de la faire redescendre doucement. Ils n’en ont pas eu le temps : tous les câbles ont lâché d’un coup ! La suite, l’actrice l’a racontée avec une pointe d’humour : « J’ai plongé droit vers la scène ! Il y a eu un silence atroce pendant une minute et j’ai laissé sortir quelques gros mots, je dois l’admettre ». Elle s’en heureusement sortie sans blessure grave. Plus de peur que de mal !