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Thriller situé dans l’univers du porno gay des années 70, “Un couteau dans le coeur” est le quatrième et dernier film français présenté en Compétition lors de ce Festival de Cannes 2018. Et son équipe est venue le défendre en conférence de presse.

1. Vanessa Paradis
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Première participation à la Compétition pour l’actrice, membre du jury de George Miller en 2016.
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© JACOVIDES-BORDE-MOREAU / BESTIMAGE

Quatrième et dernier film français présenté en Compétition lors de ce Festival de Cannes 2018, Un couteau dans le coeur n’est pas le moins remuant, avec la plongée qu’il nous offre dans la milieu du porno gay des années 70, le temps d’un thriller qui fleure bon le giallo ou le cinéma de Brian De Palma. Le tout porté par Vanessa Paradis, qui fait ses premiers pas dans cette section au même titre que le réalisateur Yann Gonzalez, présent à ses côtés pour le photocall et la conférence de presse.

TOUTE RESSEMBLANCE…

Yann Gonzalez : C’est un point de départ documentaire. J’ai entendu parler d’une productrice violente, alcoolique, extrême. Humiliante parfois, avec ses acteurs. J’ai trouvé que c’était un personnage assez fou, assez fort pour m’inciter à attaquer l’écriture d’un scénario. Elle est morte depuis longtemps mais j’ai rencontré pas mal de gens qui la connaissaient, et on s’est finalement assez peu servis de cette matière documentaire avec Cristiano [Mangione, le co-scénariste], car nous sommes très vite arrivés, tête baissée je dirais, dans la fiction, le romantisme, le romanesque.

UN FILM AU PARADIS

Yann Gonzalez : L’idée de Vanessa s’est imposée à la fin de l’écriture. Tout à coup le visage d’une actrice s’imprime sur le personnage, et c’est un moment magique car on a l’impression que c’est comme un collage évident (…) On appelle ça la cinégénie, quand un visage apparaît à l’écran et provoque tout un tas d’émotions. Il est riche, il a du vécu, il y a quelque chose dans le regard qui traverse l’écran et vous foudroie. Vanessa possède ça. C’est une icône mais pas figée, qui s’anime en permanence. Tout se voit, tout fait sens et tout est bouleversant chez elle. Elle m’a fait un cadeau inouï en acceptant ce film.

Vanessa Paradis : J’étais vraiment consciente de la chance que j’ai eu que l’on pense à moi. Que l’on m’offre ce rôle dans ce film, car c’est vraiment un rôle de rêve. Quand on fait le métier de comédienne, on a envie de jouer. Et jouer un personnage aussi riche, aussi intense, c’est un sublime cadeau. Je l’ai tout de suite accepté et je ne fais pas souvent de cinéma, je fais plus souvent de la musique. J’ai été très surprise que Yann pense à moi, il y a trois ou quatre ans. Cela faisait un moment que l’on ne pensait pas beaucoup à moi au cinéma donc j’ai été encore plus touchée, et je trouvais qu’il était courageux.

Il m’a d’abord présenté son scénario et après on s’est rencontrés. Avec Kate [Moran] et Nicolas [Maury] aussi. Et c’était évident qu’on se plaisait et qu’on allait s’entendre, qu’on avait envie de passer un moment ensemble. En travaillant, en rigolant, mais c’était très évident. Et le fait que le rôle soit violent n’a pas donné un tournage désagréable, bien au contraire. Parce que ce film est tellement créatif, à tous les postes, que chaque personne de l’équipe s’est sentie responsable, créativement parlant. Et c’est passionnant quand on demande à chacun de créer quelque chose. C’est tout le temps le cas, mais c’est aussi dans la personnalité de Yann que de faire les choses de manière joyeuse. Et très concentrée. On a beaucoup travaillé, mais beaucoup rigolé aussi (rires).

MUSIQUE EN FAMILLE

Yann Gonzalez : Pour la musique, nous sommes partis des influences qui ont nourri le film dès l’écriture. Celles de Pino Donaggio pour Brian De Palma, ou d’Ennio Morricone pour certains films de Dario Argento ou de Lucio Fulci. Nous sommes partis de ces compositions très lyriques, très mélodiques, très sentimentales aussi, et qui étaient celles du cinéma de genre de l’époque. On les a évidemment retravaillées pour ne pas être dans le pastiche. Je trouvais important que ce film ne soit pas uniquement référentiel et d’aller vers quelque chose de contemporain, avec des instruments contemporains, et quelque chose qui raconte aujourd’hui d’une certaine manière.

Ce qui était beau sur ce projet, c’est que mon frère, qui est la base de M83, a de nouveau collaboré avec Nicolas Fromageau, son co-compositeur sur les deux premiers albums du groupe. Il y avait quelque chose de très émouvant dans ces retrouvailles. C’était un retour à l’adolescence pour nous trois : nos premières amours, des VHS qu’on regardait en cachette de nos parents, des premières images un peu subersives qui nous faisaient planer à l’époque. Nous sommes partis des ces images et musiques, et nous nous sommes plongés dedans. L’enregistrement de la musique était quelque chose de magique.

Travailler avec son frère fait gagner du temps, mais Anthony est très impatient comme garçon. Beaucoup plus que moi. On n’a pas trouvé la couleur de la BO tout de suite, donc il y a eu une cripastion sur les trois-quatre semaines de montage car nous avions besoin de musique pour avancer. Dès que nous avons trouvé le premier thème, qui est celui de la séquence de pique-nique et de l’un des premiers meurtres, ça a donné le la de tout le film, de toute la BO. Et tout est venu naturellement à partir de ce moment-là. Mais on a bataillé. Pour trouver ce film, la BO, le montage. Je n’ai jamais autant travaillé que sur ce film, qui m’a littéralement vidé.

Je crois qu’on a perdu ce goût des dialogues écrits. Pas totalement car, quand je vois le film de Christophe Honoré [Plaire, aimer et courir vite], il y a cette écriture qui irrigue le film tout du long. Quelque chose de très écrit qui n’est pas naturel. Moi j’aime bien que les personnages ne parlent pas forcément comme dans la vie. C’est du cinéma, on est ailleurs. Je parle souvent de musicalité car j’aime souvent que mes acteurs suivent une mélodie. Je ne sais pas si je les dirige particulièrement, mais j’ai l’impression d’entendre la mélodie du texte à l’oreille, et de les diriger comme le ferait un chef d’orchestre.

Nicolas Maury : Il y a une une tension très intéressante, une hétérogénéité. Qu’il y ait comme une verticalité à trouver entre un texte. Ça n’est pas pour rien que Yann a écrit des paroles de chansons pour son frère. Il y a parfois une perfection dans la réplique, une tenue du langage. Ce qui est intéressant c’est qu’il filme ses acteurs avec un regard vibrant, des coeurs battants.

S’il y a un fétichisme dans le film, c’est celui de la lumière

SUR LA ROUTE DE DE PALMA

Yann Gonzalez : J’ai montré quelques films à Vanessa, notamment Pulsions et Blow Out de De Palma. Mais pas de gialli il me semble. Je sais que j’ai offert deux ou trois Blu-Ray de De Palma à Charles [Gillibert], mon producteur, qui ne connaissait pas si bien, alors que c’est pour moi le maître absolu en matière de thriller sentimental, de sentiments, d’amour et de cinéma de genre. C’est quelqu’un qui me bouleverse et j’avais envie que Charles s’imprègne de ces images pour savoir où on allait. Le scénario était quand même particulier donc c’était bien de donner une première couleur avec les films de De Palma.

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BACK TO THE 70’S

Yann Gonzalez : Tout le travail de reconstitution s’est essentiellement fait par le prisme de la lumière. J’ai regardé beaucoup de films français des années 70 et je suis retombé amoureux de ces lumières urbaines, entre le vert et le bleu la nuit, qui sont très très différentes de celles que l’on voit dans les films aujourd’hui. S’il y a du fétichisme dans le film, c’est celui-ci, celui de cette lumière. Pour moi, elle évoque à la fois le passé mais surtout le cinéma de cette époque. C’est une renconstitution par le biais du cinéma, le biais des films français que j’aime et qui me replongent dans cette époque.

Je pense à des films d’Alain Corneau, des séries B que beaucoup de gens ont oubliées, et notamment un film un peu bis que j’adore : Le Couteau sous la gorge, avec Brigitte Lahaie et Florence Guérin, qui a un peu inspiré notre titre aussi. Il y a un hommage à ce cinéma un peu déviant mais qui, pour moi, regorge de poésie, de trouvailles et d’érotisme. Et ces lumières apportent aussi quelque chose de l’électricité urbaine et de celle des personnages.

Il y avait pour moi la volonté de montrer un hédonisme, un jouir ensemble qui a disparu avec les années SIDA. Un hédonisme qui est en train de renaître. Je le vois dans la génération des 20-25 ans aujourd’hui. Il y a cet espoir d’un hédonisme qui est en train de renaître sur les décombres du monde. C’est donc un film qui n’est pas seulement ancré dans cette époque, mais raconte quelque chose que je sens vraiment autour de moi.

“Un couteau dans le coeur” sortira le 27 juin dans nos salles

Un Couteau Dans le Coeur Bande-annonce VF

For the first time in 10 years, the U.S. Supreme Court has heard a major gun-rights case. But the drumroll of anticipation seemed to fade, as the debate in the high court Monday focused almost exclusively on whether the case should be dismissed as moot.

At issue was a New York law that allowed New York City residents to have a permit for a gun at home but barred them from transporting the gun elsewhere except to seven New York City shooting ranges. Three handgun owners who had such “premises licenses” challenged the law as a violation of their Second Amendment right to bear arms because they could not transport their guns to shooting ranges and competitions outside the city or to second homes.

“So what’s left of this case?”

The problem for those gun owners was that New York state and New York City abandoned the challenged law this year after the Supreme Court said it would review it.

“New York City and New York state actually gave them everything that they had asked for before this argument,” said New York City corporation counsel James Johnson after the argument. “That was made very plain in this argument today.”

Indeed, it was, and the court’s liberals drove home the point.

Justice Ruth Bader Ginsburg pointedly asked: “So what’s left of this case?”

Justice Sonia Sotomayor piled on: You’re asking [the court] to decide a case “in which the other side has thrown in the towel and completely given you every single thing you demanded in your complaint.”

Can you transport a gun and stop for coffee?

But lawyer Paul Clement, representing the gun owners, fought back. He argued that the new regulations for New York City still permit only “continuous and uninterrupted” gun transport within the city. That, he suggested, might put in doubt a stop for coffee or a bathroom break.

Justice Stephen Breyer didn’t take that argument seriously, saying he doubted that any police officer would arrest someone for stopping for coffee.

Representing the Trump administration, Deputy Solicitor General Jeffrey Wall tried to argue that the case is still alive because the plaintiffs could be awarded damages.

Ginsburg came to bat again, pointing out that the gun owners never asked for damages. Has “the solicitor general ever asked this court to allow such a late interjection of a damages” claim to save a case from being thrown out as moot? she asked.

Wall conceded he knew of no such case.

That is the “democratic process”

Next up to the lectern was Richard Dearing, who serves as deputy counsel for the city of New York. He emphasized that this lawsuit challenged a premises license, not a carry license. A premises license, he noted, is granted for the home only, though it must allow certain limited transport of the licensed handgun.

Dearing said that the plaintiffs asked only for specified additional transport of these guns and that the city in the end gave the handgun owners everything they had asked for.

That the city changed its laws, he suggested, “is a good thing, not a bad one. The government should respond to litigation, should assess its laws … when they are challenged.” That, he said, is the “democratic process.”

“So then why is this case moot?”

But suppose that, in addition to stopping for a cup of coffee, the gun owner stops to visit his mother for a couple of hours, posited Justice Samuel Alito. “Would there be any law that would violated?”

Dearing replied that those kinds of questions were never at issue when the old law was challenged.

“So then why is this case moot?” wondered Alito. “Because [the plaintiffs] didn’t get all that they wanted,” he insisted. “They wanted a declaration that the old law was unconstitutional, period.”

Dearing replied that the plaintiffs framed the case they brought; they asked for a court order that allowed them to transport handguns to shooting ranges outside the city and to homes outside the city. And they got what they asked for.

With Alito and Justice Neil Gorsuch overtly seeking to blunt the city’s mootness argument, at the end of the day the question was where the rest of the court stood.

Justice Clarence Thomas, a forceful advocate for gun rights, asked no questions, as usual.

Justice Brett Kavanaugh has a far more gun-friendly record than the justice he replaced last year, Justice Anthony Kennedy. But Kavanaugh, too, asked no questions.

New York City is committed to “closing the book” on its old law

Chief Justice John Roberts asked just a few questions, and only of the city of New York’s lawyer. He wanted to know if the city could deny a premises gun license to the plaintiffs in this case because they had admitted to previously violating the law.

“Is the city committed to closing the book on that old rule?” asked Roberts.

Yes, replied lawyer Dearing, noting that the plaintiffs have already had their licenses renewed twice since challenging the old New York law.

Only once on Monday did any justice directly address the question posed by the original New York case: whether the city’s justification for its regulations were constitutional. Alito asked, “Are the people of New York City and state less safe now” under the new law than they were under the previous law that was challenged?

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“No, I don’t think so,” replied Dearing. “We made a judgment, expressed by our police commissioner, that it was consistent with public safety to repeal the prior rule.”

Alito pounced. “So you think the Second Amendment permits the imposition of a restriction that has no public safety benefit?”

Dearing replied that the new regulations — allowing for more transport of premises licensed guns — will make enforcement more difficult. But he said it is still doable.

That hardly appeased Alito, but organizations advocating stricter gun laws were breathing easier. Their relief may be only temporary.

With Kavanaugh replacing the more moderate Kennedy, there now seems to be a conservative majority on the court — justices who will in the future treat gun regulations with far more suspicion than in the past. And even if that day does not come this term, more test cases are waiting in the wings.

The Portuguese star’s representative backed his client as the greatest to ever play despite missing out on the Ballon d’Or

Cristiano Ronaldo’s agent Jorge Mendes has insisted that the Juventus forward should still be recognized as “the best player in history”, despite his Ballon d’Or defeat.

Ronaldo came third in this year’s Ballon d’Or voting, finishing behind Lionel Messi and Virgil van Dijk for the award.

Messi claimed the honour on the heels of a La Liga-winning campaign, as the Argentine took home the prize for a record sixth time.

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Van Dijk, meanwhile, finished ahead of Ronaldo due to his contributions to Liverpool’s Champions League-winning campaign, although the Juventus star was able to lead Portugal past the Liverpool star’s Netherlands team in the Nations League final.

The 34-year-old Ronaldo, who scored 21 goals and helped guide Juventus to the Scudetto last season, did not attend Monday’s ceremony in Paris.

And the Juventus star’s agent was quick to state that he disagrees with anyone that doesn’t give his client recognition as the best to ever play, despite Monday’s Messi triumph.

“Cristiano is the best player in history, and you know it!” he told reporters at the Gran Gala del Calcio, an event recognising the best players in Italian football from last season.

Barcelona president Josep Maria Bartomeu, unsurprisingly, has a different viewpoint as he backed his star Messi as the best he’s ever seen.

The Argentinian forward, who moved one clear of Ronaldo’s five Ballons d’Or mark, reclaimed the title he last won in 2015, with the Portuguese winning the award in 2016 and 2017 before Luka Modric surged to the award in 2018 off the back of a standout World Cup campaign.

Un poster 2.0 pour la suite des “Mondes de Ralph”, l’affiche de “Mektoub my love” d’Abdellatif Kechiche, une première photo de Jean Dujardin dans “I Feel Good”… Les visuels cinéma qu’il ne fallait pas rater cette semaine.

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1. Ralph 2.0 de Rich Moore et Phil Johnston avec John C. Reilly, Sarah Silverman et Jack Mc Brayer
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Le pitch : Ralph quitte l’univers des jeux d’arcade pour s’aventurer dans le monde sans limite d’Internet. La Toile va-t-elle résister à son légendaire talent de démolisseur ? Ralph et son amie Vanellope von Schweetz vont prendre tous les risques en s’aventurant dans l’étrange univers d’Internet à la recherche d’une pièce de rechange…

Tout savoir sur Ralph 2.0
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© The Walt Disney Company France

Le réalisateur français Bertrand Bonello présidera le jury de la Cinéfondation et des courts métrages lors du Festival de Cannes, qui se déroulera du 8 au 19 mai.

Entre Bertrand Bonello et le Festival de Cannes, c’est une longue et belle histoire d’amour : elle débute en 2003 avec Tiresia, se poursuit en 2011 avec L’Apollonide – souvenirs de la maison close puis en 2014 avec Saint Laurent. A chaque fois, Bonello présente son film en compétition et repart avec les éloges de la critique. Présider le jury de la Cinéfondation et des courts métrages est donc une suite logique pour ce metteur en scène audacieux, que Gilles Jacob désigne comme l’un “des plus grands réalisateurs français contemporains qui préside cette année, un artiste iconoclaste et singulier. Il ajoute à son art des qualités humaines qu’on trouve donc encore aujourd’hui.”

Sa mission : dénicher de nouveaux talents parmi la jeune génération de cinéastes, dont les courts métrages seront sélectionnés. 

Je suis extrêmement fier cette année de pouvoir les accompagner.

Bertrand Bonello, qui succède au réalisateur roumain Cristian Mungiu, s’est à son tour exprimé dans un communiqué :

“Qu’attendons-nous de la jeunesse, des cinéastes inconnus, des premiers films ? Qu’ils nous bousculent, qu’ils nous fassent regarder ce que nous ne sommes pas capables de voir, qu’ils aient la liberté, le tranchant, l’insouciance et l’audace que parfois nous n’avons plus. La Cinéfondation s’attache depuis 20 ans à faire entendre ces voix et je suis extrêmement fier cette année de pouvoir les accompagner.”

Le 71e Festival de Cannes se déroulera du 8 au 19 mai et sera présidé cette année par l’actrice Cate Blanchett. 

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Circuler dans la DeLorean de “Ready Player One” et “Retour vers le futur”, c’est possible jusqu’au 30 mars dans le cadre d’un jeu organisé par l’appli VTC SnapCar.

Inoubliable machine à voyager dans le temps entrée au panthéon de la SF en 1985, la DeLorean de Retour vers le futur revient sur les écrans ce 28 mars dans le Ready Player One de Steven Spielberg, ode futuriste à la culture pop adaptée du roman de Ernest Cline.

Cette voiture mythique circule “pour de vrai” dans Paris jusqu’au 30 mars, dans le cadre d’une opération de promotion orchestrée par l’application VTC SnapCar, en partenariat avec Marques & Films et Warner Bros.. En réservant un véhicule, les utilisateurs SnapCar auront ainsi peut-être la chance de rouler sur les oeufs de Pâques dissimulés dans la capitale, et de remporter des lots (places de cinéma, goodies…) mais aussi et surtout une course en véritable DeLorean !

Un véhicule dans lequel nous avons eu la chance d’embarquer nous-mêmes, réalisant pour l’occasion un rêve de gosse (et de geek) : découvrez les images ci-dessous… en attendant votre tour ?

Ready Player One : on a fait un tour dans la DeLorean de Parzival

Ready Player One : on a fait un tour dans la DeLorean de Parzival

 

While the country is still under shock after the killing of tigress Avni in Maharashtra, yet another big cat has been killed mercilessly, this time in Uttar Pradesh. According to police, the incident took place in Dudhwa Tiger Reserve on Sunday. It has been reported that the villagers were angry after the tigress allegedly killeda 50-year-old man in Pilibhit district.

The villagers crushed the tigress under the tractor in the Kishanpur sanctuary of the Dudhwa Tiger Reserve.

Mahavir Kaujlagi, Deputy Director, Dudhwa Tiger Reserve said the villagers killed the tigress in retaliation.

“While we were busy in rushing the injured man to thehospital, the villagers surrounded the big cat and crushed it to death under a tractor,” he told HT.Click Here: new zealand rugby team jerseys

Maoists have disrupted the lives of people living in Chhattisgarh. The Naxals have been successful in curbing any development and progress, especially of the rural areas in the state.

Villagers remain uneducated and unaware of any political scenario and are even afraid to come out and participate in the electoral process. Just a few weeks ago, a Doordarshan reporter was killed by Naxalites as his cameraman took cover in a ditch.

Photo: esamskriti/ Yuva call centreClick Here: NRL Telstra Premiership