Month: December 2019

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La hache de guerre est-elle complètement enterrée entre Cyril Hanouna et Yann Barthès ? Alors que les deux animateurs entament leur rentrée sur leur chaîne respective, le présentateur de Quotidien a récemment souhaité désamorcer les tensions.

Le début d’année 2018 a été marqué par des rivalités entre Yann Barthès de “Quotidien” et Cyril Hanouna aux commandes de Touche pas à mon poste. Deux talk-shows suivis par des plusieurs centaines de milliers de téléspectateurs chaque soir. Durant plusieurs mois, les célèbres animateurs se sont lancés des piques par le biais de leur chaîne respective. L’un sur TMC, l’autre sur C8. Et si la rentrée rime avant nouveaux projets, elle peut aussi être l’occasion d’enterrer la hache de guerre (ou presque). C’est en tout cas ce que semble souhaiter Yann Barthès comme en témoignent ses confidences dans une récente interview pour Le Parisien : “C’est une guerre à sens unique, a-t-il confié. Il est beaucoup plus obsédé par moi que moi je ne le suis par lui. Si vous vous souvenez bien, je n’ai rien dit sur lui l’année dernière. Tout ce que j’espère, c’est que nos émissions ne soient pas résumées en guerre Barthès-Hanouna, parce qu’il n’y a pas de guerre Barthès-Hanouna. Point final“.

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Pas certain cependant que les déclarations de Yann Barthès ne plaisent à Cyril Hanouna. Mais qu’importe, le collègue de Martin Weill est clair : il ne souhaite pas (ou plus) être assimilé à son principal concurrent : “Il n’y a pas de réconciliation à avoir, puisque je ne l’ai jamais vu de ma vie ! Je ne sais même pas s’il est grand ou s’il est petit. C’est comme si vous me disiez : ‘Pourquoi tu ne vas pas boire un coup avec Guy Lagache ?’ Ma vie ce n’est pas la télé…”

Crédits photos : BestImage

The Crow est le remake de l’impossible. Repoussé encore et encore, les acteurs partent les uns après les autres du projet, et c’est à présent le réalisateur Corin Hardy qui pourrait laisser le projet en plan.

Le projet The Crow perd ses plumes les unes après les autres. Après les départs successifs de Luke Evans puis Jack Huston pour incarner Eric Draven, c’est le réalisateur Corin Hardy qui pourrait partir. Le film est produit par Relativity Media qui a récemment fait faillite, et le contrat avec Hardy pourrait en pâtir.

Un peu de détails

Relativity a acheté les droits cinématographiques de The Crow (remake, prequel et suites) pour plus de 7 millions de dollars au producteur Edward R. Pressman. Ces droits resteront la propriété de Relativity si un nouveau film est produit dans un délai de trois ans à compter d’aujourd’hui. Autrement, ces droits reviendront à Pressman qui ira les vendre ailleurs.

The Crow sauvé des eaux ?

Rappelons qu’il y a un mois le créateur du comics The Crow annonçait que si Relativity ne pouvait plus suivre, il y a “une douzaine de studios à la porte pour s’emparer du projet”. Alors qui emportera la mise ? Warner ? Universal ? L’outsider Lionsgate ?

Pressman espère qu’il s’agira d’un studio capable de sortir le film dans de bonnes conditions (au moins 1000 écrans), et donc capable de mettre sur la table les 10 à 12 millions de dollars que coûterait une telle opération.

The Crow : un film maudit ?

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Merci Qui ? Emissions Bonus

 

La jeune fille sage et discrète de l’ancien président des Etats-Unis ne cesse de gagner en confiance en elle. Depuis qu’elle a commencé ses études, Malia Obama s’illustre comme une jeune femme affirmée, pleine de joie de vivre. La preuve avec ce clip auquel elle a accepté de participer.

Malia Obama est peut-être la fille d’un ancien président des Etats-Unis, mais cela ne l’empêche pas d’être une étudiante comme les autres. La jeune femme âgée de 20 ans a fait sa rentrée à Harvard, prestigieuse école où ont étudié ses parents, et où elle s’est très vite fait des amis. Alors, forcément, quand ces derniers ont eu besoin d’elle, la fille de Michelle et Barack Obama n’a pas hésité une seule seconde. Elle a accepté de participer au clip musical d’un groupe de son école, les New Dakotas, leur offrant ainsi un très joli coup de pub.

Dans la vidéo du titre, qui s’intitule “Walking On Air”, à l’instar de nombreux autres élèves, elle passe une audition pour intégrer le groupe de rock. Vêtue d’un large sweatshirt noir et d’un bonnet, elle se déchaîne, chantant en playback et jouant de l’harmonica de la façon la plus rock’n’roll possible. Ses apparitions ne durent que quelques secondes, mais elles suffisent à marquer l’esprit : on sent que la Malia Obama s’éclate à jouer les actrices d’un jour.

Au final, les deux apparitions de la jeune femme ont été coupées au montage du clip final. Mais le site américain TMZ a néanmoins pu se procurer la vidéo pour permettre au monde entier de découvrir la prestation de la fille aînée des Obama. Une chose est sûre, sa renommée a permis aux New Dakotas de se faire connaîre auprès du grand public. Les membres du groupe, Alasdair MacKenzie, Chris Haley, Scott Roberts et Juan Carlos Fernandez del Castillo, doivent se réjouir d’avoir une star pour les soutenir.

Crédits photos : Capture d’écran TMZ

Kill Your Friends est une plongée sans concession dans l’industrie du disque des années 90 au moment où la britpop explose. Nicholas Hoult est le héros du film, jeune loup accro à la cocaïne et aux dents qui rayent le parquet.

Kill Your Friends retrace l’histoire de Steven Stelfox (Nicholas Hoult), un jeune producteur de musique de 27 ans cupide, ambitieux et sans scrupules traquant les nouveaux talents susceptibles de lui rapporter un maximum d’argent. Nous sommes en 1997 et le mouvement britpop est en pleine expansion. Les Spice Girls cartonnent, Blur, Radiohead ou Oasis explosent, l’époque est synonyme d’excès en tous genres et voit nombre de producteurs avides faire main basse sur toute l’industrie musicale pour la transformer en une gigantesque usine à divertissement.

Derrière la caméra, on retrouve Owen Harris qui signe avec Kill Your Friends son premier long-métrage. Le film est inspiré d’un livre de John Niven, ancien producteur de musique anglais qui balance tout ce qu’il a pu voir comme comportements inhumains et terribles lors de ces années passées à gangréner lui-même l’industrie musicale.

Dans l’extrait ci-dessus, on se rend compte de la manière dont les choses fonctionnaient entre ces dénicheurs de talents, sous l’emprise de la cocaïne, entourés de prostitués et gonflés d’un ego surdimensionné. On peut donc voir Nicolas Hoult pénétrer dans un antre du vice et du péché pour y rencontrer Rudi, incarné par un Moritz Bleibtreu complètement barré. Ce dernier lui présente un nouveau tube qu’il a déniché d’une manière…particulière. On peut déjà déceler dans ce court extrait les influences de Danny Boyle (Trainspotting) et de Bret Easton Ellis (American Psycho), Hoult incarnant une sorte de Patrick Bateman british. Kill Your Friends sort sur les écrans français le 2 décembre 2015.

Let’s Rock’N’Roll !

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Près de deux ans après sa présentation au Festival de Cannes à la Semaine de la Critique, FLA – Faire l’Amour de Djinn Carrenard, le réalisateur de Donoma, sort en salles. AlloCiné a interrogé le cinéaste sur cette sortie “tardive”…

AlloCiné : Le film a été présenté à Cannes en 2014 et il sort en ce mois de février 2016. S’il n’est pas inhabituel qu’il y ait un délai entre la présentation en festival et la sortie publique, l’écart est particulièrement grand dans ce cas. Pourquoi a-t-il fallu attendre tant de temps avant de voir FLA ?

Djinn Carrenard : Salomé Blechmans et moi-même avons pris du temps afin de remonter le film, nous avons organisé des projection-test, laissé décanter les images, nous avons demandé l’avis de collègues réalisateurs, remis toutes les scènes du film au mur. Ce temps a été nécessaire afin d’arriver à une version avec laquelle nous étions définitivement en accord.

Quel a été votre état d’esprit durant ces deux années pendant lesquelles le film existait sans vraiment exister ?

Ce n’était pas véritablement deux années, le film a été présenté en mai 2014, il devait sortir en novembre 2014 avec un précédent distributeur, et puis finalement nous avons décidé de le sortir nous-mêmes début 2015. Pendant cette année j’étais très concentré sur le film, et puis je pensais aussi à mes futurs projets. Je pourrais dire que j’étais dans un état d’esprit de transition, car Donoma et Faire l’amour sont un diptyque expérimental, un nouveau cinéma s’ouvre pour moi dorénavant.

“Donoma” et “Faire l’amour” sont un diptyque expérimental, un nouveau cinéma s’ouvre pour moi dorénavant.

Si je me réfère aux informations à l’époque de Cannes et celles fournies pour la sortie, la durée du film est passée de 2h45 à 1h59. Là encore, un “remontage” de film après une projection en festival n’est pas exceptionnel. Mais là les coupes semblent importantes. Quelles ont été les motivations pour des changements aussi drastiques ?

J’aime bien expérimenter au cinéma. Pour Donoma, par exemple, j’avais fait 4 versions successives du film, la 4ème version avait été faite 2 jours avant la sortie en salles, alors même que le film avait déjà été visionné par la presse, qui l’avait aimé. Sur Donoma, j’avais été plus drastique, car j’avais même ajouté de nouveaux personnages entre les versions. J’ai été dans le même état d’esprit pour Faire l’amour : travailler mon oeuvre jusqu’à être complètement en accord avec ce que j’amène au public.

A quel point le film est différent de celui présenté à Cannes ?

Très différent. Il est plus concis, plus efficace, on y comprend aussi mieux mes intentions en tant que réalisateur. Je me suis rendu compte qu’il fallait sûrement être plus bref et didactique avec cette inhabituelle histoire d’amour qui met en scène un rappeur. J’ai décidé d’accompagner un peu plus mon public afin qu’il ne se perde pas dans cette vision pessimiste et urbaine de l’amour.

La nouvelle version de Faire l’amour est très différente, plus concise, plus efficace.

Après le succès (médiatique et critique) de “Donoma”, tourné en mode “guérilla”, “FLA” creusait ce même sillon, farouchement indépendant. Est-ce que vous pensez que, compte tenu de l’évolution de la distribution, des films de ce genre ont encore de l’avenir en salles ?

Je pense que, tôt ou tard, le cinéma effectuera sa révolution numérique. Comme dans l’univers des réseaux sociaux, des VTC ou des locations de logement, je crois qu’il arrivera des protagonistes modernes qui créeront un nouveau modèle qui bousculera tout le système tel que nous le connaissons. L’avenir en salles des films “guérilla” (ndlr : des films faits avec une logique de production beaucoup plus libre que le cinéma “traditionnel”) ne fait que commencer, car ils participent à la démocratisation du cinéma, cet univers tellement fermé que tellement de personnes veulent et doivent pénétrer.

Est-ce que l’avenir de ces films passe par un autre mode de diffusion ou de distribution ? Via le e-cinéma ou la SVOD par exemple ?

A l’heure actuelle, certains films sortent directement en DVD, cela ne dépend pas de leur budget ou de la façon dont ils ont été produits, mais de l’intérêt que l’on prête au public pour ces films. Je crois que Toy Story 2, par exemple, devait sortir directement en DVD. Ce sera la même chose pour les films “guérilla”. De plus en plus de films seront créés, une promotion de plus en plus efficace sera mise sur pieds afin qu’ils atteignent leur public. A ce moment, il se produira un effet de décantation, certains films ne sortiront pas en salles, parmi eux il y aura des films “guérilla” et d’autres non.

Tôt ou tard le cinéma effectuera sa révolution numérique.

Quel est votre prochain projet ?

Mon prochain projet c’est FYMO, une communauté qui promeut l’ouverture d’esprit. Je vais commencer par faire des courts métrages au sein de cette communauté, et par la suite tout ce que je créerai se fera dans le cadre de cette communauté.

“Faire  l’amour” sort en salles ce mercredi 3 février…

Faire l'Amour Bande-annonce VF

 

The Spaniard has admitted that he nearly took over at the Emirates two summers ago, but was pipped to the post by Unai Emery

New Arsenal boss Mikel Arteta has revealed that he was ‘close’ to taking the top job in the summer of 2018, after Arsene Wenger’s 22-year reign as manager finally came to an end.

However, former Sevilla and Paris Saint-Germain boss Unai Emery was appointed instead, and despite a promising start, he was sacked in November after a 2-1 defeat to Eintracht Frankfurt capped off a run of woeful form and poor football.

Arteta, 37, admits that it could all have been very different, as he was a strong contender for the post before Emery was hired, but concedes that it was not the right moment for him and that the experience he has gained since puts him in a better position now.

“I was a little bit close [to replacing Wenger],” Arteta admitted. “It wasn’t the right time. The right time came now. I’m glad I learned a lot from that experience. It was great to be part of the process. I was very prepared for this one and it helped.”

The Spaniard hailed his former coach for bringing him to Arsenal as a player and claims he would not be in this job if not for the Frenchman.

He went on to explain his vision for his time as head coach as he learns a new role in his career.

“I wouldn’t be sitting here if [Wenger] didn’t have the vision to join this incredible club.

“I have my ideas that I would like to keep for myself. I have to corroborate myself when I see them act and behave.

“I want to do things my way by convincing them that this is the right way. I want people who are comfortable with what I’m asking them to do.

“I want people who deliver passion and energy to the football club. Anybody who doesn’t buy into it is not good enough for this club and culture.

“I need to understand how they’re feeling, what they’re lacking. If I reach that point I can help them, they will trust me and follow me.”

Arteta also admitted that he was convinced by the stature of the club to take on what is a sizeable task of restoring Arsenal to the top of English football.

“Sometimes in this industry you can have a plan and an idea of how to develop. And then emotions get involved. When Arsenal knock the door, and it touches my heart, it makes it very difficult [to say no].

“It was a very difficult decision. But I felt the club needed someone to appoint. They were so convinced they wanted me that I said I have to take the challenge.”

Carla Bruni et Nicolas Sarkozy se sont mariés il y a 10 ans, en 2008, alors que l’ancien président était encore locataire de l’Elysée. L’ancien mannequin reconverti dans la chanson revient pour Gala sur sa relation avec l’homme politique.

En 2008, il y a dix ans, Nicolas Sarkozy, alors locataire de l’Elysée, surprenait le pays en se mariant avec Carla Bruni. L’ancien mannequin et croqueuse d’hommes, reconvertie dans la chanson avec succès, avait conquis le coeur du président de la République. Entre la belle brune longiligne à la voix de velours et le solennel chef de l’Etat, c’est l’amour fou. Un coup de foudre qui n’aura pas manqué d’étonner les Français, tant les univers des amoureux respectifs semblent opposés.

Dans les colonnes de Gala, en kiosques ce mercredi 1er août, Carla Bruni est revenue sur ce mariage hors norme, célébré sous les ors de la République, et leurs différences. “Quand on est un homme d’action, la mélancolie n’est pas une option. Et pourtant… J’ai choisi de l’épouser car j’ai toujours senti que, chez lui, le sentiment prenait le pas sur tout, nous avoue-t-elle. Je ne sais pas pourquoi on s’accorde à ce point. On est très différents : quand j’ai chaud, il a froid. Il se couche à 22 heures, quand je commence à composer…

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Malgré les divergences de leurs caractères, Carla Bruni et Nicolas Sarkozy s’aiment, indiscutablement. De leur union est née une fille, Giulia, âgée de 6 ans. “On s’est rencontrés au bon moment. Dans une vie, le timing est essentiel. Entre nous, il y a un équilibre, une force. Nous avons beaucoup de chance“, glisse la chanteuse dans nos colonnes.

Retrouvez l’intégralité de cette interview dans le nouveau numéro du magazine Gala, en kiosques ce mercredi 1er août.

Crédits photos : BESTIMAGE

Elles ont quasiment le même âge et ont presque grandi comme des soeurs. Darina Scotti-Vartan parle du lien très fort qu’elle partage avec ses deux demi-nièces Ilona et Emma Smet.

Bien que plus discrète que ses deux illustres demi-nièces Ilona et Emma Smet, Darina Scotti-Vartan, la fille adoptive de Sylvie Vartan connaît une notoriété grandissante sur les réseaux sociaux. Pourtant aucune jalousie entre les trois jolies blondes. Même si Darina Scotti-Vartan est en réalité la demi-tante des filles de David Hallyday et Estelle Lefébure, elles se considèrent presque comme des soeurs. La fille de Sylvie Vartan vient d’ailleurs d’évoquer ce lien particulier qui la lie à ses demi-nièces sur son compte Instagram.

Alors qu’elle répond à des questions posées par ses abonnés sur son compte Instagram, l’un d’entre eux l’interroge sur son plus beau souvenir. “Les vacances à Malibu avec maman, Ilona et Emma Smet,” répond-elle alors en joignant une photo souvenir de ce moment. Sur le cliché, on découvre, en effet, Sylvie Vartan entourée de sa fille Darina et de ses deux petites-filles Ilona et Emma, alors qu’elles ne sont encore que des enfants. Les trois petites têtes blondes tiennent d’ailleurs toutes les trois dans les mains des poupées.

Il faut dire que Darina née le 9 octobre 1997 a moins d’un mois d’écart avec sa nièce Emma qui a vu le jour le 13 septembre de la même année. Quant à Emma, elle est née le 17 mai 1995. Cette proximité dans l’âge explique en partie leur amitié quasi fraternelle, mais pas que. Il faut dire que lorsque David Hallyday vivait à Los Angeles, les trois jeunes femmes ont presque été élevées ensemble. D’ailleurs, Darina a récemment partagé une autre photo d’elle et d’Emma alors qu’elles n’étaient encore que des bébés. “Tu me manques follement, quand est-ce que tu reviens en France?” lui avait alors demandé Emma.

Darina Scotti-Vartan, Ilona et Emma Smet partagent également un autre lien. En effet, à leur majorité, Sylvie Vartan leur a toute offert le même bijou, un pendentif en forme de trèfle à quatre feuilles, qui se transforme en cœur. Je l’ai eue en même temps que mes deux petites-filles, Ilona et Emma. Elles sont unies et j’espère qu’elles le seront de plus en plus en devenant femmes. C’est le bonheur parfait quand on est toutes rassemblées dans ma maison de Los Angeles. Elles y ont leurs habitudes, leurs recoins,” avait d’ailleurs déclaré la mère de David Hallyday dans une interview accordée à Gala.

Instagram Darina Vartan Scotti

Crédits photos : VEEREN / BESTIMAGE

Nouveau conflit en perspective entre Angelina Jolie et Brad Pitt ? Les deux acteurs se sont engagés dans une nouvelle bataille judiciaire.

Depuis l’annonce de leur séparation en 2016, Angelina Jolie et Brad Pitt traversent des hauts et des bas. Après s’être longtemps disputé la garde de leurs enfants, ils avaient fini par trouver un accord, et leur relation semblait s’être apaisée… Avant de se dégrader à nouveau. Récemment, une proche du couple affirmait que l’acteur refusait que ses enfants, Shiloh et Knox, n’apparaissent dans “Maléfique 2” au côté de son ex-épouse.Ils ne sont absolument pas en bons termes et ne sont pas du tout aimables l’un avec l’autre“, avait affirmé une source à Us Weekly.

Mais depuis quelques jours, c’est une nouvelle bataille que les ex se livrent, et cette fois-ci, elle est d’ordre juridique et financière. Selon le site américain Page Six révèle qu’Angelina Jolie aurait déposé auprès du tribunal des papiers affirmant que la star de “Fight Club” ne lui aurait pas payé une “pension alimentaire suffisantepour leurs six enfants depuis leur séparation. Lui affirme le contraire et a également fait une déclaration, affirmant qu’il lui a déjà versé plus de 9 millions de dollars : 8 millions pour l’aider à acheter sa nouvelle maison, et 1,3 million pour régler des factures diverses concernant son ex-femme et leurs enfants.

Brad Pitt affirme que la plainte de son épouse est “un effort à peine voilé de manipuler la couverture médiatique” autour de leur séparation. La guerre entre les Brangelina semble plus forte que jamais. Cette nouvelle bataille pourrait une fois de plus repousser leur divorce, qui n’est toujours pas officiellement acté.

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“Majesté”, “madame”, lorsque l’on parle avec la reine, il convient de s’adresser à elle en des termes précis, conformément au protocole. Qu’en est-il au sein de sa famille ?

92 ans, 66 ans à la tête du Royaume-Uni et du Commonwealth, cela force le respect. Les sujets de la couronne appellent ainsi Elisabeth II en des termes très révérencieux – sa Majesté si on s’adresse à elle pour la première fois, puis “Ma’am” (“madame”) les fois suivantes. Sa famille, en revanche, préfère des mots bien plus affectueux. Enfant, ses parents et grands-parents la surnommaient “Lilibet”, car elle n’arrivait pas à prononcer son prénom lorsqu’elle était petite, comme l’explique le magazine Hello.

C’est ainsi qu’elle signait les lettres adressées à ses proches. Son père le roi George VI disait d’ailleurs d’elle et sa soeur : “Lilibet est ma fierté, Margaret et mon bonheur“. Le prince Philip a usé de ce surnom pour s’adresser à son épouse, alternant parfois avec l’affectueux “cabbage”, “chou” en français.

Les générations suivantes, qui ont dû conjuguer entre son statut suprême et son rôle de parente, ont utilisé d’autres petits noms, tout aussi emprunts de tendresse. Sans surprise, le prince Charles appelle ainsi sa mère “mummy” (“maman”). Cela a d’ailleurs valu une scène amusante : lors du 92e anniversaire de la reine, son fils, durant son discours, l’a appelée ainsi, une familiarité en public qui a provoqué la surprise d’Elisabeth II, roulant des yeux avant d’éclater de rire. Ses petits-enfants William et Harry la nomment “Granny” (“mamie”), et ses arrière-petits-enfants, tel George, “Gan Gan”. Des surnoms affectueux quoi que bien traditionnels, preuve que la reine n’exige pas de ses proches une approche trop stricte du protocole. Monarque, mais humaine avant tout.

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