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Coup de tonnerre hier à Roland Garros avec la deuxième défaite en onze ans de Rafael Nadal. Malgré les encouragements de sa belle Maria Francisca Perello dite «Xisca», Rafa s’est incliné contre le serbe Novak Djokovic.

Terriblement déçu après sa défaite hier face à Novak Djokovic, Rafael Nadal aura bien besoin du soutien inconditionnel de sa belle Xisca pour digérer son 2e revers en 11 ans sur la terre battue de Roland Garros. L’Espagnol, neuf fois vainqueur Porte d’Auteuil, n’a rien pu faire contre le numéro un mondial (7–5, 6–3, 6–1). Pour se changer les idées, le natif de Manacor va sans doute s’offrir un break de quelques jours avec sa fiancée. Ensemble depuis 11 ans, Rafa et Maria Francisca Perello dite «Xisca» se montrent très pudiques sur leur vie privée. Xisca (née le 7 Juillet 1988) n’a ainsi jamais accordé la moindre interview depuis qu’elle fréquente son champion. Rafa n’est guère plus disert. Il faut se contenter de déclarations sibyllines. En 2011, il lâchait dans un magazine people espagnol. “Elle a toujours été très importante pour moi. Elle m’a toujours beaucoup aidé. Sans elle et ma famille, ç’aurait été impossible d’arriver où je suis aujourd’hui« . En 2013 dans un entretien accordé au magazine péruvien Cosas, il confiait aussi : «Je voudrais avoir une famille mais rien ne presse, expliquait-il. Vous savez, il est beaucoup plus facile de fonder une famille quand vous avez une vie stable que quand vous avez une vie instable.Nous les joueurs de tennis, nous avons une vie instable. Nous voyageons chaque semaine à travers le monde. Nous ne rentrons pas chez nous régulièrement. Par exemple, hier j’étais à Shanghai, demain à Majorque et après à Paris. Ma vie est donc trop désordonnée pour imaginer une vie de famille ».

Alors qu’il vient de fêter ses 29 ans hier, Rafa devrait revoir ses priorités dans un futur proche. Pour le plus grand plaisir de sa belle Xisca ?

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Jeudi, la bataille de Waterloo fêtera son bicentenaire. Pour l’occasion, Jean-Pierre Elkabbach interviewera sur Europe 1 l’empereur Napoléon en personne.

«Le meilleur moyen de tenir sa parole est de ne jamais la donner» disait Napoléon. Demain, Jean-Pierre Elkabbach va faire mentir le célèbre empereur puisqu’il va l’interviewer sur Europe 1. Un entretien exceptionnel pour celui qui est habitué à rencontrer les grands de ce monde, son dernier fait d’arme étant son interview de Vladimir Poutine en juin dernier.

La station de la rue François 1er précise que Napoléon répondra aux questions du journaliste en direct du champ de bataille de Waterloo dont on célèbre ce 18 juin le bicentenaire.

Malgré la défaite de l’armée française face à une alliance composée de Britanniques, d’Allemands et de Néerlandais auxquels se sont ajoutés les Prusses, Waterloo reste une date importante de l’Histoire de France. Elle marque la fin de la période des Cent-Jours au cours desquels Napoléon a repris le pouvoir. A son retour en France, il est obligé d’abdiquer et contraint à l’exil.

Europe 1 ajoute que l’interview sera l’occasion pour Napoléon d’aborder «la bataille imminente face à Wellington et Von Blücher, les exercices de tirs et l’entretien des armes». Avec le recul historique, il évoquera également «le retour de l’île d’Elbe, la campagne des Cents Jours» et son destin après Waterloo. Il analysera également les conséquences de cette bataille pour la France et l’Europe.

L’interlocuteur de Jean-Pierre Elkabbach sera en fait Frank Samson, un avocat parisien passionné de Napoléon, qui incarne régulièrement le personnage lors de reconstitutions historiques dont celle de Waterloo, qui se déroulera en Belgique du 18 au 20 juin. Le journaliste se félicite de cette opération comme il l’a exprimé sur son compte Twitter en disant: «Demain 8h20, Napoléon me reçoit au bivouac impérial sur les lieux de la bataille de Waterloo. Il n’a jamais accordé un tel entretien!!». Europe 1 rappelle que Jean-Pierre Elkabbach a déjà interviewé Mozart en 2006 lors du 250e anniversaire de sa naissance.

Crédits photos : Leemage

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Invitée dans l’émission Oprah’s Master Class, Cindy Crawford est revenue sur un épisode douloureux de son enfance : la mort de son petit frère Jeff, alors qu’il n’avait que 3 ans.

« Quand mes parents nous on annoncé que mon frère était malade pour la première fois, nous n’avons pas vraiment compris ce que ça pouvait signifier. » Cindy Crawford a parlé avec émotion du décès de son petit frère, alors qu’il n’avait que 3 ans, et elle 8. “Ils n’ont pas utilisé le mot ‘cancer'”, ajoute-t-elle. Plus tard, elle apprendra que le petit garçon, nommé Jeff, était atteint d’une leucémie – diagnostiquée quand il avait 2 ans.

Invitée dans l’émission Oprah’s Master Class, la grande amie de Taylor Swift poursuit : « Ma mère m’a dit qu’elle l’avait trouvé un jour assis dans sa chambre. Il était là, assis à sa petite table, et quand elle lui a demandé ce qu’il faisait, il a répondu qu’il priait. Alors elle lui a dit : ‘Pour quoi pries-tu ?’, et il lui a annoncé : ‘Je prie pour qu’à ma mort, tout aille bien pour toi.’ Je suis mère moi aussi désormais, et je ne peux même pas imaginer ce que ça doit faire d’entendre son enfant dire une chose pareille. » Cindy Crawford a deux enfants, Presley (16 ans) et Kaia (14 ans).

Très émue, le mannequin au fameux grain de beauté a précisé qu’un souvenir lui avait permis d’accepter la mort de son petit frère : une phrase que celui-ci a prononcé, alors qu’il devait suivre un nouveau traitement. « Il a dit : ‘Je ne ferai pas ça’. Il avait trois ans, alors les médecines l’ont pris à la légère, explique-t-elle. Et le jour où il devait retourner à l’hôpital pour son traitement, il est mort. Savoir qu’il était au courant qu’il allait mourir, qu’il avait décidé qu’il en avait assez de se battre, apporte une sorte de paix intérieur et d’apaisement. »

Crédits photos : Visual

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Depuis vendredi, leurs noms résonnent sur toutes les chaînes de télévision et sur toutes les ondes de radio. Aleksander Skarlatos, Spencer Stone et Anthony Sadler sont les trois Américains qui ont empêché l’attentat terroriste de vendredi dernier à bord du Thalys reliant Amsterdam à Paris. A leurs côtés, un Britannique, Chris Norman, et deux Français, ont empêché le pire. En tout, six hommes font aujourd’hui la fierté du monde entier.

Ils n’auraient jamais dû être dans ce train. Et pourtant, vendredi, les trois Américains ont décidé d’écourter leur séjour aux Pays-Bas et de prendre le Thalys 9364 de 15h17.Pris en photo au début de leur périple, les héros ne pensaient pas que leur voyage prendrait un telle tournure.

Mais avant leur intervention, le premier homme à faire preuve de courage dans cette histoire ne fait pas partie du petit groupe d’amis. Il s’agit d’un banquier français de 28 ans, qui a tenu à garder son identité secrète : l’homme tombe nez à nez avec le tireur, Ayoub el-Khazzani, alors que celui-ci sort des toilettes, kalachnikov sur l’épaule. Ni une ni deux, il tente de le désarmer, très vite aidé par Mark Moogalian, un Franco-Américain originaire de Virginie selon le Daily Telegraph. Professeur à la Sorbonne, c’est un grand sportif adepte de vélo dont la musculature l’a protégé du pire lorsque l’agresseur a réussi à lui tirer une balle dans le cou.

La scène aurait pu très mal finir si le wagon ne comptait pas à son bord les trois Américains qui ont décidé d’agir dès le bruit du coup de feu. Parmi eux, Spencer Stone, alors à une dizaine de mètres de l’agresseur bondit sur l’homme, lui fait une clé de bras et le maintient à terre. Un tel courage et une telle maîtrise ne sont pas anodins: Spencer Stone a 23 ans et est soldat de première classe dans l’armée de l’air américaine. Ses deux amis se précipitent pour l’aider alors que Ayoub el-Khazzani attaque la nuque de l’Américain avec un cutter. Aleksander Scarlatos, 22 ans, membre de la Garde nationale de l’Oregon aux États-Unis et tout juste de retour d’une mission de neuf mois en Afghanistan, frappe violemment et à plusieurs reprises l’agresseur aidé par son ami Anthony Sandler, un étudiant en kinésithérapie.

C’est là que le Britannique Chris Norman, un consultant informatique de 62 ans vient prêter main forte aux trois hommes et les aident à ligoter l’homme tandis que Spencer Stone tente d’arrêter l’hémorragie du Franco-Américain Mark Moogalian dont la blessure saigne abondamment.

S’ils sont six à avoir sauvé le Thalys, ce sont les trois Américains qui font beaucoup parler d’eux. Les trois amis d’enfance, originaires de Sacramento font la fierté de leur ville, comme le rapporte RTL, mais leur courage n’étonne même pas: “Le 11 septembre a façonné notre manière de voir la vie, notre génération a grandi avec cette menace terroriste, c’est quelque chose dont on parlait tout le temps en grandissant”, explique à RTL l’un des frères de Aleksander Scarlatos. Cet acte héroïque, ils l’avaient préparé toute leur vie.

Ce matin, ils ont reçu la Légion d’honneur en compagnie du Britannique Chris Norman. Les deux Français recevront eux aussi leur décoration un peu plus tard. Le président français François Hollande les a chaudement remerciés: “Au nom de la France, je tiens à vous remercier pour ce que vous avez fait, le monde entier admire votre courage.

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Crédits photos : Michel Euler/AP/SIPA

OKLAHOMA CITY – Fourteen of the 2019 Top 50 “Watch List” athletes join 36 other student-athletes on the “Watch List” for the 2020 USA Softball Collegiate Player of the Year award. Announced today by USA Softball, the National Governing Body of Softball in the United States, the USA Softball Collegiate Player of the Year award enters its 18th season and recognizes outstanding athletic achievement by Division I female collegiate softball players across the country.

2020 USA Softball Collegiate Player of the Year “Watch List”
 
Previous recipients of the USA Softball Collegiate Player of the Year award, the most prestigious individual honor in NCAA Division I Softball, are UCLA catcher Stacey Nuveman (2002), Texas pitcher Cat Osterman (2003, 2005 and 2006), Florida State pitcher Jessica Van der Linden (2004), Tennessee pitcher Monica Abbott (2007), Virginia Tech pitcher Angela Tincher (2008), Washington pitcher Danielle Lawrie (2009 and 2010), Stanford shortstop Ashley Hansen (2011), Oklahoma’s Keilani Ricketts (2012 and 2013), Florida State’s Lacey Waldrop (2014), Florida’s Lauren Haeger (2015), Michigan’s Sierra Romero (2016), Florida’s Kelly Barnhill (2017) and UCLA’s Rachel Garcia (2018 and 2019). 
 
The preseason “Watch List” includes 28 seniors, 13 juniors and 9 sophomores, with freshman ineligible for consideration. (Freshman can be considered for the USA Softball Collegiate Player of the Year award once they have competed at the collegiate level).  Athletes named to the “Watch List” represent 33 NCAA Division I universities and 19 athletic conferences. UCLA leads the way among universities with four athlete representatives, while five universities (Alabama, Arizona, Oklahoma, Texas and Washington) have three athletes on the “Watch List” apiece. The Pac-12 and Big Ten Conferences are also well-represented with five member-schools, while four universities represent the Southeastern Conference (SEC). 
 
The Top 25 Finalists for the 2020 USA Softball Collegiate Player of the Year award will be announced April 22. While an athlete does not have to be on the “Watch List” to be considered for the Top 25, the eventual USA Softball Collegiate Player of the Year will come from the Top 25 Finalists. The Top 10 Finalists will be announced May 6 and the Top 3 announced May 20. The 2020 USA Softball Collegiate Player of the Year will be revealed May 26. 
 
In addition to bestowing the USA Softball Collegiate Player of the Year award, USA Softball is now in its 18th season of presenting the ESPN.com/USA Softball Collegiate Top 25 Poll which is announced Tuesdays during the regular season. The preseason ESPN.com/USA Softball Collegiate Top 25 Poll was released Jan. 28 with Alabama, Washington, Oklahoma, UCLA and Arizona taking the Top 5 spots respectively. 
 
Follow along with NCAA Softball all season long at USASoftball.com.

— Courtesy of USA Softball

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CLEARWATER, Fla. –Fifteen NCAA Division I programs opened their 2020 seasons at the NFCA Division I Leadoff Classic presented by Rawlings at the Eddie C. Moore Complex in Clearwater, Fla. Additionally, the U.S. National Team, as part of its “Stand Beside Her” Tour presented by Major League Baseball, took part in the festivities with a pair of evening contests against Mississippi State and Illinois.

Four teams – Baylor, Kentucky, Minnesota and Missouri – got off to 2-0 starts, with the Bulldogs and Fighting Illini winning their opening games before taking on Team USA. The Bears run-ruled No. 23 Auburn, 8-0, before scoring three runs in the bottom of the sixth to knock off Louisville, 7-4. Gia Rodoni picked up a win and save for Baylor with five innings of three-hit shutout ball.

For all the results, box scores and other tournament information visit the Tournament Central.

The 15th-ranked Wildcats topped Liberty, 6-2, and walked-off against Texas State, 2-1. Alex Martens smacked two home runs in game one, while Rylea Smith provided a game-ending RBI single to center versus the Bobcats. 

Photo Gallery

The No. 8 Gophers edged Missouri State in a pitching duel, 1-0, as both teams combined for just seven hits. Autumn Pease (5 IP, 2 H, 5 K) picked up the win, while Amber Fiser (2 IP, H, 3 K) earned the save. Steffany Dickerson suffered the defeat, allowing a run on four hits with eight punchouts over five innings. Madison Hunsaker tossed two innings of shutout relief. In its nightcap, Minnesota defeated North Carolina State, 13-7.

The Tigers picked up a pair of two-run victories over Notre Dame (3-1) and South Alabama (7-5). They scored two in the top of the seventh to break a 1-1 deadlock against the Irish. Down 5-4 against the Jaguars, Jazmyn Rollin hit a two-run homer and Kimberly Wert added a solo shot to upend South Alabama.

Mississippi State blanked Missouri State, 5-0 to earn head coach Samantha Ricketts her first win as a collegiate head coach. Annie Willis and Emily Williams combined on a three-hit shutout. Willis fanned seven over five innings, while Williams struck out three in two frames of hitless relief. Illinois trumped Liberty, 8-2, behind an 11-hit attack. Danielle Davis’ seventh-inning grand slam gave Illinois some breathing room.

Also picking up their first wins of the season were Auburn, Louisville, North Carolina and Texas State. The Tigers rebounded from their loss to Baylor with a 4-1 triumph over Notre Dame. The Wolfpack upset No. 21 Ole Miss, 3-2. The Cardinals were victorious in their opener, a 4-2 win against No. 21 Ole Miss, while the Bobcats topped South Alabama, 5-2.

The U.S. National Team picked up a pair of shutout victories, defeating Mississippi State, 3-0, and Illinois, 11-0, in five innings.

Action continues tomorrow with four games slated for 10:00 a.m. The Red, White and Blue also return with matchups against Baylor at 3:00 p.m. and Kentucky at 5:30 p.m. You can purchase tickets HERE. If you are unable to make it, you can watch the action for free, as all games are livestreamed by Sportzcast on the NFCA’s YouTube channel (NFCAorg).

Malika Ménard répond vertement à Robert Ménard

February 14, 2020 | News | No Comments

Suite au scandale provoqué par les propos de Robert Ménard sur le fichage ethnique, Malika Ménard s’est vue obligée de répondre à ceux qui l’associaient au maire de Béziers parce qu’elle porte le même nom de famille. Une jolie réponse de la part de l’ancienne miss France.

Quel point commun peut avoir une ancienne miss France devenue aujourd’hui journaliste et le maire de Béziers qui se dit en faveur du fichage ethnique? A part le nom de famille, aucun. Absolument aucun, comme a tenu à le préciser Malika Ménard qui porte le même patronyme que Robert Ménard. Sur son site personnel, l’ancienne miss France a posté un texte qu’elle a également partagé sur Twitter.

«Suite à l’affaire de la liste interdite de Robert Ménard, maire de Béziers, Malika Ménard a tenu à réagir, est-il écrit sur son site. Etant très sollicitée à ce propos, c’est sur les réseaux sociaux que Malika a rappelé sa fierté de s’appeler ainsi et de n’avoir aucuns liens avec lui». Le message est suivi d’un document écrit avec l’application Notes de son iPhone.

Malika Ménard y explique: «Je suis fière de mon nom de famille et désolée qu’il m’associe à Robert Ménard avec qui je ne peux définitivement partager rien d’autre». La belle journaliste se permet même de faire passer un message en reprenant l’idée de comptage de Robert Ménard. «Je lui propose tout de même pour ma part de me « compter » dans une catégorie qui s’applique à moi et à des millions de citoyennes et de citoyens:Femme libre, amoureuse de son pays, de sa diversité ethnique et religieuse, et fière de toutes ses racines, sans exception”».

En ce milieu de jeudi après-midi, le message de Malika Ménard a déjà été retweeté plus de 2300 fois et ajouté aux favoris de ses followers plus de 1300 fois (les fameuses petites étoiles). De quoi redonner du baume au cœur à la jeune femme qu’on préfère définitivement voir avec le sourire aux lèvres.

Crédits photos : J.E.E./SIPA

« Carol »: l’amour de tous les plans

February 14, 2020 | News | No Comments

La rumeur est tenace. Précédée sur la Croisette par ses déclarations d’ordre privé, l’actrice défend aujourd’hui le long-métrage de Todd Haynes. Et une belle histoire d’amour au féminin.

Il serait dommage que les récentes révélations de Cate Blanchett sur ses «nombreuses» relations avec d’autres femmes dans la magazine américain Variety, éclipsent l’émotion qu’elle suscite dans Carol. Car si la blonde australienne incarne une New-yorkaise distinguée du début des années 1950 en instance de divorce et qui tombe sous le charme de la jeune Thérèse (magnifique Rooney Mara), le long-métrage de Todd Haynes n’est pas film sur l’amour lesbien. Il y a d’abord beaucoup d’amour. Dans chaque image.

Les décors, les costumes, la bande-originale : tout conduit à un esthétisme quasi-parfait et le spectateur est saisi par l’émotion que le réalisateur place dans chacun des plans. Le scénario magnifiquement ficelé, inspiré du roman à scandale de Patricia Highsmith, paru en 1953, ne laisse aucune place à la vulgarité.

Dans une Amérique post-Prohibition, le réalisateur gratifié d’un prix de la meilleure contribution artistique au Festival de Cannes de 1998 pour Velvet Goldmine, pointe déjà la naissance d’une nouvelle forme d’interdit – certes toujours actuelle. Ajoutons que Todd Haynes est ouvertement gay et militant. Mais croyez-nous : ce n’est vraiment pas une raison pour réduire son septième long-métrage à un acte de basse propagande.

>De Todd Haynes avec Cate Blanchett, Rooney Mara, Sarah Paulson. (1h58) Séléction officielle, compétition

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George Clooney avait horreur de se projeter dans l’avenir. Marié à sa belle, l’acteur n’a plus peur de l’engagement. Tel est pris qui croyait prendre!

Pendant que Madame planche dur sur ses dossiers d’avocate internationale, Monsieur assure le show. Marié depuis le 27 septembre dernier à Amal Alamuddin, belle Libano-Britannique qui réclame la restitution des frises du Parthénon à la Grèce, mais qui a surtout réussi à ramener l’un des playboys les plus instables d’Hollywood jusqu’à l’autel, George Clooney se dit « plus heureux que jamais », mieux il le montre. What else ? Un film produit par les studios Disney, A la poursuite de demain, dans lequel il incarne un inventeur désabusé lancé, avec une adolescente aussi brillante qu’optimiste, à la recherche d’un lieu perdu dans l’espace et le temps. Mais parler d’aujourd’hui et de demain, c’est encore offrir l’occasion à ce brave George de nous reparler d’Amal, « la femme de sa vie »…

Happy birthday. « Je suis rentré du tournage de Money Monster, le nouveau film de Jodie Foster, le 6 mai, jour de mon cinquante-quatrième anniversaire. Nous l’avons fêté à la maison avec vingt-cinq proches. Ce fut une soirée bien arrosée! Je n’ai pas encore ouvert tous mes cadeaux, j’aime prendre le temps de les déballer, puis d’écrire une petite note personnelle à chacun de ceux qui m’ont gâté. »

Retour vers le passé. “Si je pouvais voyager dans le temps comme dans A la poursuite de demain, je me rendrais dans les années soixante, le jour de l’investiture de John Fitzgerald Kennedy, plus précisément. Quel moment historique! Je crois bien que j’irais jeter un œil dans le futur également, à la seule condition de pouvoir revenir à notre époque, si je n’aime pas ce que j’y vois! “

Couple mixte. « Plus j’essaie de comprendre des conflits comme ceux du Moyen-Orient, moins je m’y retrouve. Tout cela est si complexe. Avec Amal, nous parlons presque tous les jours des relations internationales. Je cerne un peu mieux les Libanais, car quand tu commences à les inviter, ils rappliquent tous ! (Rires) Suite à notre mariage, nous avons dû organiser une seconde fête pour tous les rassembler. Quand vous épousez une Libanaise, vous épousez toute sa famille! “

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Vive la France! »Du fait de ses origines, Amal parle couramment votre langue. Mais l’amitié qui me lie à Jean Dujardin m’avait déjà considérablement rapproché de votre culture. Je l’ai poussé à faire cette pub pour Nespresso qui nous réunit à l’écran. A chacun de mes anniversaires, il m’envoie une video de lui faisant son imitation du chameau, ce type compte parmi ceux qui me font le plus rire! Jean est venu quelques jours dans ma villa du Lac de Côme, je suis nul en français, son anglais reste, comment dire, rudimentaire, mais nous ne nous sommes pas ennuyés ensemble.”

Ma femme, ce héros. « Je suis tombé amoureux d’Amal, dès que je l’ai vue. Comment lui résister ? En plus d’être extrêmement belle, elle est d’une grande intelligence et d’une grande humanité. Avec elle, j’apprends tous les jours. Elle m’a notamment appris à m’habiller un peu mieux. Elle a un sens aigu de la mode. Elle n’est pas fan de mes t-shirts de Tequila, elle m’oblige à me changer avant que nous sortions. Je l’écoute et j’essaie de faire des efforts.”

Mariage et conséquences. »C’est la vie d’Amal qui a changé, pas la mienne. Désormais, elle est suivie en permanence, même lorsqu’elle donne des conférences à des étudiants, à l’université de Colombia. Elle essaie de s’habituer à toute cette attention. Pour ma part, je m’efforce de remplir mon agenda en fonction du sien. Nous avons à cœur de ne pas être éloignés l’un de l’autre plus d’une semaine. Mais vous savez, contrairement à ce que les gens peuvent croire, je suis celui qui a insisté pour que nous nous marions. Lorsque je lui ai demandé sa main, elle n’a pu s’empêcher de s’écrier : « Mais tu es fou ? Je croyais que nous n’étions ensemble que pour passer du bon temps! ». Quand j’ai réalisé qu’elle était la femme qu’il me fallait, je n’ai plus voulu qu’elle me quitte. A mon âge, je ne croyais pourtant plus au grand amour.”

Bébé. “Nous venons de nous marier, laissez-nous encore un peu de temps, avant de nous interroger sur des enfants! Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve, je vis l’instant présent. Pour l’instant, être marié me contente suffisamment. Je ne pense pas que les gens me regardent différemment, comme un potentiel père de famille. Je crois même que mon rôle dans Tomorrowland devrait me valoir une surveillance accrue des services sociaux! ” (Rires)

Propos recueillis par Hervé Tropéa

Crédits photos : Europa Press / Getty

Le torchon brûle (encore) entre l’élue UMP et l’humoriste depuis octobre 2013, date d’un spectacle que ce dernier a donné à Toul, en Meurthe-et-Moselle. Pour avoir traité Nadine Morano de « conne » et de « salope » Guy Bedos passera devant la justice en juillet prochain, selon le quotidien L’Est Républicain. Mis en examen en juillet 2014, s’il est condamné pour « injure publique », il pourrait devoir verser 12.000 euros d’amende.

« Nadine Morano a été élue ici à Toul? Vous l’avez échappé belle! On m’avait promis qu’elle serait là… Quelle conne! ». Ces quelques mots prononcés par Guy Bedos lors d’un spectacle à Toul en 2013 pourraient lui coûter cher. On apprend aujourd’hui de source judiciaire que l’humoriste vient d’être renvoyé devant le tribunal correctionnel de Nancy, pour « injure publique ». « Le juge d’instruction en charge de l’affaire a rendu une ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel pour injure publique envers un corps constitué, un fonctionnaire, un dépositaire de l’autorité ou un citoyen chargé d’un service public », a expliqué Me Alain Behr, l’avocat de Nadine Morano à l’AFP.

Mis en examen une première fois en juillet 2014, le père de Nicolas Bedos aura droit à un procès « vraisemblablement début juillet », selon le quotidien L’Est Républicain. Il encourt pour ces faits une amende de 12.000 euros. Une somme qui sera reversée à une association « de lutte (contre les) violences aux femmes » a assurée l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy sur son compte Twitter.

A l’époque conseillère municipale d’opposition, cette dernière s’était sentie « attaquée » par ces propos châtiés, tenus devant 1300 personnes. « Monsieur Bedos n’a pas le droit d’insulter les gens comme ça » avait-elle d’abord lancé. Et d’ajouter « Mon statut d’élue est attaqué par ces insultes, mon statut de femme aussi ». Mais du côté de Guy Bedos, l’heure n’est pour le moment pas aux excuses, puisque ce dernier a déjà assuré par média interposé qu’il n’allait « pas demander pardon à Nadine Morano pour (sa) langue rabelaisienne». Une polémique qui trouvera un dénouement cet été, on l’espère.

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