Alors que son ex-mari Tony Parker s’apprête à épouser sa compagne Axelle, Eva Longoria a toujours autant de mal à se caser. Alors qu’elle semblait très amoureuse de son Ernesto (rencontré dans le show Ready for love qu’Eva produisait), la pétillante mexicaine serait de nouveau un cœur à prendre.

Aperçus dernièrement en vacances romantiques à Marbella puis Paris, Eva Longoria (38 ans) et Ernesto Arguello (34 ans) étaient sur leur petit nuage. Témoin ce tweet d’Ernesto en plein cœur de leur escapade parisienne. «Notre Dame de Paris avec Eva Longoria: en train de remercier Dieu pour s’être trouvés l’un et l’autre».

L’interview accordée par Eva au magazine People laissait aussi supposer une osmose parfaite. « Je pense que c’est pour ça (le fait de s’être rencontrés dans l’émission Ready for Love produite par Eva ndlr) que notre relation est si spéciale, nous étions vraiment des amis au départ. Je suppose qu’on peut remercier les médias de nous avoir poussés à voir quelque chose que nous n’avions pas vu ».

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« Eva et Ernesto forment un couple parfait, affirmait un proche du couple à People. Ils parlent tous les deux espagnol, ont la même religion et la même éducation. Ils sont très amoureux. »

Moins d’un mois après ces déclarations, la donne aurait pourtant changé. Le site TMZ vient d’annoncer que les deux tourtereaux auraient décidé de se séparer. La distance (Eva vit à Los Angeles, Ernesto à Miami) et des emplois du temps incompatibles auraient eu raison de leur idylle. « Ils sont juste en break pour le moment », nuance un proche du couple auprès de TMZ.

Alors simple mauvaise passe ou rupture définitive? Les prochains jours nous le diront.

La rupture est consommée avec George Clooney. En mal d’amour et d’enfant, la dernière compagne du serial lover a pris ses cliques et ses claques et s’en est allée vers d’autres horizon. Stacy Keibler est aujourd’hui en couple avec Jared Pobre, un entrepreneur californien. Et c’est du sérieux.

Qui a dit qu’il n’y avait pas de vie après une rupture d’avec George Clooney? Certainement pas Stacy Keibler. L’ancienne catcheuse de 33 ans, qui partageait la vie de l’acteur au sourire ravageur pendant deux ans, a décidé de tourner la page. Il y a quelques semaines elle déclarait sur son ancien amant : « Je suis très reconnaissante pour les deux dernières années. J’ai des souvenirs et j’ai eu de très belles expériences. C’est juste le moment de passer à autre chose ». La jolie Stacy est maintenant passée de la théorie à la pratique en officialisant son nouveau flirt.

“Elle sort avec le millionnaire Jared Pobre, et c’est plutôt sérieux. Elle était en Europe avec lui et a traversé l’Italie il y a quelques semaines” a expliqué un témoin au magazine Life & Style. Un programme divertissant à quelques kilomètres seulement du nid d’amour que la belle partageait avec sa star de cinéma, sur le lac de Côme.

Si la rumeur s’avère vraie, alors Stacy Keibler aura gagné son dernier pari. Elle expliquait en juillet dernier au Huffington Post, qu’elle ne voulait plus sortir avec des stars du showbiz. Sans doute traumatisée par sa love story surexposée avec le beau George, elle préfère maintenant vivre heureuse en vivant cachée. A l’époque, elle expliquait aux journalistes ; « C’est difficile d’être dans l’oeil du publique, quoi que vous traversiez. Bon ou mauvais moments ». Mission accomplie avec Jared Pobre, elle sera finalement en paix.

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On ne touche pas à la réputation de Kim Kardashian en toute impunité. C’est le signal qu’a voulu envoyé Kanye West à l’attention du chanteur Ray J, l’ex petit ami de sa compagne. Star d’une sex tape médiatisée en 2007 aux côtés de l’héroïne de télé réalité, le goujat est récemment revenu avec beaucoup d’élégance sur leur relation, dans une chanson. Kanye s’est chargé de le remettre à sa place.

Le rap est une arme de destruction massive pour Kanye West. Déjà engagé dans une campagne visant à démolir tous ceux qui le critiquent –de Barack Obama à son rival Justin Timberlake– le mégalo a récidivé hier, dans le talk show de Jimmy Fallon à la télévision américaine. Invité pour la sortie de son nouveau single Bound 2, extrait de l’album Yeezus, le Don s’en est pris à Ray J, l’ancien amant de Kim Kardashian, en rythme.

Il faut dire que le chanteur et frère de Brandy l’avait bien cherché. En avril dernier, il sortait une chanson intitulée I hit it first (traduction: j’ai couché avec elle en premier) où il évoquait très grassement son idylle et ses ébats avec la bimbo et jeune maman de North. Dans le clip vidéo de ce titre, le goujat avait fait appel à un sosie de la star plantureuse et avait même poussé le bouchon un peu trop loin en pointant du doigt la seconde vie heureuse de son ex avec l’interprète de Gold Digger.

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Très remonté, le jeune papa rappeur s’est donc retroussé les manches et a lancé un slam en direct sur la chaîne NBC. Sur scène, il a modifié les premières paroles de son morceau en lançant: « La petite soeur boiteuse de Brandy sait-il que quand un vrai frère vous coule, vous êtes supposé vous noyer ». Un coup de grâce qui a été applaudi dans le public, et qui remet avec classe les pendules à l’heure.

La Madone fédère les nouveaux talents. Pour son nouveau projet artistique baptisé Art for Freedom, elle va lancer un film de 17 minutes baptisé Secretprojectrevolution et compte bien donner de la visibilité aux jeunes artistes.

Madonna a beau être la reine de la pop, elle descend de temps en temps de sa tour d’argent pour descendre voir ce qui se passe du côté de la ‘plèbe’, quand ce n’est pas pour draguer les Daft Punk. Loin d’être égocentrée, Mado a décidé de lancer une initiative engagée, baptisée Art for Freedom, dont le coup d’envoi sera le lancement le 24 septembre prochain d’un film de 17 minutes co-réalisé avec Steven Klein, le secretprojectrevolution. Un film pour encourager les jeunes artistes, évoluant aussi bien dans la musique, que la vidéo, la poésie ou encore la photographie, à faire entendre leur voix sur la toile dans le but de sensibiliser sur la liberté d’expression et de lutter contre toutes les formes de persécution.

«Mon but est de montrer avec l’exemple de secretprojectrevolution comment mon engagement créatif tente de changer le monde, confie Madonna. J’espère que mon film et les autres participations à Art for Freedom vont encourager les gens à s’engager dans cette voix et leur donner la possibilité de mettre en lumière leurs propres moyens d’expression pour aider à lutter contre l’oppression, l’intolérance et l’autosatisfaction.» Art for Freedom sera hebergé en ligne grâce à Vice et BitTorrent et sera ouvert aux dons du public pour soutenir les initiatives solidaires des artistes.

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Avec la chanteuse aux commandes de ce nouveau projet, le film secretprojectrevolution risque bien de faire parler de lui lors de sa sortie, tant les extraits diffusés ont déjà fait couler beaucoup d’encre cet été: «Ce film joue sur plusieurs, registres, confie Steven Klein. Il examine nos prisons personnelles. Il interroge ce que nous faisons, comment nous le faisons, comment nous traitons les autres. Il sonde nos gouvernements, notre inconscient collectif. Réflechissez à cela: le pouvoir de l’art peut nous mener à la paix.» Peut-être aussi le pouvoir des fleurs, comme dirait Laurent Voulzy…

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Mercredi, lors d’un concert, Carla Bruni a eu un trou de mémoire en chantant Quelqu’un m’a dit. Un comble puisqu’elle se produisait dans le cadre du gala de la Fondation pour la recherche sur Alzheimer.

La séquence n’a pas fini d’alimenter les bêtisiers et autres zappings. Une chanteuse qui oublie son texte lors d’un concert donné pour le gala annuel de la Fondation pour la recherche sur Alzheimer, ça ne s’invente pas. Et quand l’artiste en question n’est autre que Carla Bruni, ex première dame redevenue chanteuse, la séquence fait le buzz.

Mercredi, au Cirque d’Hiver Bouglione Carla Bruni s’est donc lancée dans l’interpréTation de sa célèbre chanson Quelqu’un m’a dit, assise sur un tabouret et derrière sa guitare. «On me dit que nos vies ne valent pas grand chose, qu’elles passent en un instant comme fanent l…». Et là, le blanc… Carla Bruni a néanmoins gardé le sourire et s’est excusée d’un «pardon» auprès d’un public amusé et très indulgent. «Je suis un peu émue, alors je me trompe» a-t-elle juste confié en guise d’explication. Avant de reprendre sous les applaudissements et les encouragements des spectateurs et de dérouler cette chanson qu’elle connaît pourtant sur le bout des ongles.

Outre Carla Bruni, de nombreuses stars étaient présentes pour ce gala contre Alzheimer destiné à récolter des fonds pour financer la recherche contre la maladie. Liane Foly, Alain Souchon, Nolwenn Leroy et Laurent Voulzy ont à leur tour chanté sur la piste du Cirque d’Hiver, mais sans trou de mémoire, eux.

La chanteuse, qui se produisait la semaine dernière pour un Home Concert dans un appartement, a maintenant quelques jours pour répéter avant de se lancer dans une grande tournée sur les routes de France qui la verra passer par le Casino de Paris fin novembre. Avec, on espère pour elle, son texte bien en tête.

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Après Métronome, Lorànt Deutsch publie Hexagone (Michel Lafon), ouvrage dans lequel il revient sur plus de 2000 ans d’histoire. Un travail lu attentivement par un collectif d’historiens, déjà détracteur du premier roman de l’acteur français, qui reproche à Lorànt Deutsch d’avoir une lecture idéologique de l’Histoire, et de faire des erreurs. Dans leur viseur notamment, l’épisode de la bataille de Poitiers, en 732.

La polémique n’est jamais loin quand il s’agit des publications de Lorànt Deutsch. Vendu à près de 2 millions d’exemplaires, l’ouvrage Métronome s’était attiré les critiques d’un trio d’historiens, dont Christophe Naudin, aujourd’hui vent debout contre Hexagone, le deuxième ouvrage de l’acteur français, passionné d’histoire. Un épisode raconté par Lorànt Deutsch a particulièrement attiré l’attention de l’historien, celui de la bataille de Poitiers, en 732, qui oppose les troupes unifiées du royaume franc menées par Charles Martel et du duché d’Aquitaine à celles du califat omeyyade.

Christophe Naudin, dans une interview au nouvelobs.com reproche à l’auteur sa vision ultra-droitière de cet événement. «Le champ lexical utilisé pour décrire les musulmans est difficilement supportable: Lorànt Deutsch parle de la «masse musulmane», du «déferlement sarrasin» qu’il s’agit de «contenir». Il est difficile de ne pas faire un parallèle avec l’actuel discours sur «l’invasion» migratoire des populations d’Afrique du Nord», note Christophe Naudin.

Accusé de développer une vision idéologique de l’Histoire, Lorànt Deutsch, connu pour ses sympathies royalistes, répond à ses détracteurs: «Je ne suis ni un idéologue, ni un militant, assure-t-il à l’AFP. Sur les 2600 ans d’Histoire dont je parle, mes détracteurs ne retiennent qu’une page, celle sur la bataille de Poitiers. Oui, c’est un événement marquant de notre Histoire, mais ce n’est pas un marqueur idéologique», rétorque le comédien.

Lorànt Deutsch qui dit s’être appuyé «sur les ouvrages de grands historiens, telle la biographie de Charles Martel par Jean Deviosse» leur renvoie l’argument idéologique: «Ce sont les mêmes personnes, menées par Alexis Corbière (secrétaire national du Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon, élu du Conseil de Paris), qui m’avaient attaqué pour Métronome. Ils quittent le champ de l’Histoire pour celui de l’instrumentalisation. Ce sont eux qui ont une démarche militante. J’accepte le débat mais pas le débat politique».

Selon l’acteur, ces historiens, Christophe Naudin, William Blanc, Aurore Chéry, seraient également «des militants d’extrême gauche»: «Le problème, c’est qu’ils sont dogmatiques. Ce sont eux qui essaient de faire coller l’histoire à leurs idéaux politiques. Ils plaquent les problèmes d’aujourd’hui sur un récit historique. L’islam de cette époque n’est pas l’islam d’aujourd’hui. C’est stupide», conclut Lorànt Deutsch dans l’édition d’hier du Parisien.

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Lundi soir, Texas était sur la scène du Zénith de Paris, une nouvelle étape dans la tournée du groupe écossais qui entretient une véritable histoire d’amour quasi fusionnelle avec le public français. Un concert d’une énergie folle qui a permis de se replonger dans tous les grands tubes de Sharleen Spiteri et ses boys.

Même si on a pu apercevoir quelques enfants en bas âge, vacances scolaires obligent, c’est un public essentiellement composé de quadras et de quinquas qui s’est déplacé au Zénith de Paris lundi soir, pour voir le concert du groupe Texas. L’occasion pour les spectateurs de se replonger dans la musique et les paroles de chansons qui ont bercé leurs jeunes années. Et de ce point de vue là, ils n’ont pas été déçus.

Après une ouverture avec le puissant Detroit City, extrait du dernier album The Conversation sorti cette année et qui lance le spectacle, Texas enchaîne avec un classique, Halo, qui met tout le monde d’accord. Texas est bel et bien de retour, après huit ans d’absence, et, en plus de se faire plaisir, le groupe est bien décidé à s’offrir à son public. La France est plus qu’une terre d’accueil, presque une seconde patrie pour Sharleen Spiteri qui a vécu à Paris et se dit éternellement reconnaissante vis-à-vis du public pour son soutien indéfectible au groupe. La chanteuse, d’ailleurs très bavarde hier soir, n’a pas hésité à ponctuer ses nombreuses interventions de mots en français, avec ce fameux accent écossais.

Le public, très, très chaud, était en demande interpellant à plusieurs reprises Sharleen qui ne se faisait pas prier pour lui répondre. Mais comme il s’agissait bien d’un concert, et pas d’une conversation, malgré le titre du dernier album, Texas a enchaîné les chansons sur un bon rythme, mêlant comme il se doit nouveautés (Dry your eyes, If this isn’t real, I need time) et incontournables. Et là, les fans ont été comblés, ils ont (quasiment) tout eu: Once in a lifetime, So called friend, Everyday now, Black eyed boy… Avec coup sur coup I don’t want a lover («avec lequel tout a commencé») et Summer son, les Ecossais ont mis debout les derniers qui n’avaient pas encore cédé et fait chavirer le Zénith. Say what you want puis Inner Smile ont ensuite offert un joli moment de communion entre Sharleen et son public. Après deux rappels, le concert s’est terminé sur une reprise survoltée (malgré un démarrage en deux temps) de River Deep, Mountain High de Ike et Tina Turner.

On regrettera juste que le concert n’ait duré que 1h40. Un peu court tant la discographie de Texas est riche et aurait permis de rallonger le spectacle d’au moins une demi-heure, ce qui n’aurait pas dérangé le public. Malgré tout, ce dernier est ressorti conquis, ravi de ce bain de jouvence et sous le charme de Sharleen Spiteri. Du haut de ses 45 ans, la chanteuse est en pleine force de l’âge et démontre qu’elle reste l’une des plus belles et plus puissantes voix de la scène pop rock actuelle. Elle dégage surtout une aura et un charisme sur scène qui expliquent en partie le succès inusable de Texas qui fêtera l’an prochain le 25eme anniversaire de leur premier album Southside.

Entre la gagnante de l’édition 2005 de la Nouvelle Star et le juré du télé-crochet à succès de d8, la tension est palpable et se règle par voie de presse interposée…

Ces derniers jours André Manoukian ne s’est pas montré très tendre avec Myriam Abel.

Après avoir assuré à TVMag que la chanteuse n’avait pas mérité sa victoire en 2005 dans Nouvelle Star, le juré de D8 en a remis une couche dans l’hebdomadaire Closer.

“J’ai été déçu de ce qu’elle a fait par la suite avec la voix qu’elle avait, a-t-il déclaré à l’hebdomadaire(…) Il faut savoir bien s’entourer. Ça fait mal, avec des voix géniales, de voir que le boulot ne suit pas».

Touchée par ces critiques, la gagnante de la troisième de Nouvelle Star a riposté auprès du magazine Télé Star.

«Je trouve cela complètement faux-cul de sa part de me juger, s’énerve la chanteuse de 32 ans vue dans les Anges de la télé-réalité 4 et 5. Pour lui, ce n’est pas compatible avec la vie d’artiste, explique-t-elle à nos confrères de Télé Star. Mais ça m’est complètement égal venant de lui qui a fait Danse avec les stars.”

À part juré dans Nouvelle Star, je pense que de son côté, il n’a pas vendu beaucoup d’albums de jazz. Je pense qu’il est un peu frustré aussi.»

1–1 balle au centre?

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Avec 552 766 entrées pour son premier jour d’exploitation en France, le dernier volet de la saga Twilight réalise le meilleur démarrage de l’année. Le film dépasse ainsi “The Dark Knight rises” et “L’Age de glace 4”, respectivement 2e et 3e plus gros démarrages de l’année.

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Avec 552 766 spectateurs sur 823 écrans pour son premier jour (dont 220 000 en avant-première), Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie réalise le plus gros démarrage de l’année. Le dernier film de la franchise passe ainsi devant The Dark Knight Rises (423 970 entrées) et L’ Âge de glace : La dérive des continents (402 081), meilleurs démarrages 2012 jusqu’ici.

Notre interview avec l’équipe du film :

Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

Petits et grands restent fasciné par sa longue barbe, son costume impeccable rouge et blanc et sa hotte magique. On le sait moins mais le père Noël est aussi l’ami des stars…

Toute l’année nous vous relatons avec bonheur les petites et grandes histoires des célébrités monde entier. Mais loin devant les chanteurs, acteurs, sportifs ou politiciens de ce monde, un homme dépasse tous les seuils de la gloire. Sa vie est fantasmée par tous et ses fans se comptent en milliards. La plus grande star du monde n’est autre que le père Noël.

Le mois de décembre lui étant tout particulièrement dédié, certains se sont pressés à sa rencontre. Si les enfants sont les premiers à poser sur ses genoux, les célébrités semblent, elle aussi, avoir gardé leurs âmes d’enfants devant lui.

Barack Obama, Président des Etats-Unis, est un proche de Santa Claus. L’an dernier, pour le Noël de la Maison Blanche, son locataire conviait son vieil ami venu du grand nord à interpréter un chant de Noël en duo. Certains disent qu’il est tombé sous le charme de Carla Bruni-Sarkozy, de son temps à l’Élysée… Intime des grands de ce monde, il s’est également rapproché du prince Charles et de son épouse Camilla. Petit papa Noël semble pourtant préférer la douceur du climat monégasque, où il passe chaque année, quelques jours auprès du prince Albert II et de la princesse Charlène.

Quand le gotha le libère, Santa s’en va rejoindre les artistes. Chez Cartier, la hotte pleine de jolis bijoux, il a su mettre dans sa poche Sienna Miller et Ben Affleck. Les filles Kardashian, se sont, elles, toutes invitées sur les genoux du père Noël qui ne demande pas son reste. Miley Cyrus lui a récemment offert son plus beau twerk, et Cara Delevingne son plus gros câlin.

Dernièrement, cet intrépide papa Noël a été aperçu bien entouré, entre Johnny Hallyday et Jean-Paul Belmondo. Et entre eux trois, nous savons très bien qui est le plus connu…

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