WWE.com has announced the following, revealing Rusev and Lana will be teamed up for the WWE Mixed Match Challenge.
The team joins already announced tournament teams consisting of Finn Balor and Sasha Banks, Braun Strowman and Alexa Bliss, and Bobby Roode and Charlotte Flair.
SmackDown LIVE General Manager Daniel Bryan dropped a bombshell when he revealed that Rusev will team up with his wife Lana in the unprecedented WWE Mixed Match Challenge tournament on Facebook Watch.
The in-ring partnership between The Bulgarian Brute and The Ravishing Russian is an intriguing one to say the least. Rusev is a two-time Unites Champion who demands respect against any opponent in both singles and tag team competition. While Lana has not competed as extensively as her spouse, the Total Divas co-star has been quite visible in the struggle for supremacy in the SmackDown LIVE Women’s division and has officially entered the first-ever 30-Woman Over-the-Top Royal Rumble Match, signaling that she is, in fact, ready for top-notch competition.
Obviously, success for any tag team requires more than physical skill. There must also be an intuition between the competitors, something that can take years for two Superstars to develop. However, for a married couple in love, there is a much higher chance that element will already be intact, raising the odds that the WWE Mixed Match Challenge will end up being transformed into Rusev Day!
Together, Rusev and Lana will do battle in a ground-breaking tournament on Facebook Watch, where unlikely male-female WWE Superstar pairings will attempt to win $100,000 for a charity of their choice.
Check back with WWE.com to learn other #WWEMMC combinations as they become available. Follow WWE Mixed Match Challenge on Facebook for updates, and find out how you can impact the show’s matchups, stipulations and more along the way. WWE Mixed Match Challenge begins Tuesday, Jan. 16, at 10 ET/7 PT, exclusively on Facebook Watch.
Former WWE star Eva Marie has released a new video blog for her NEM company.
A sneak glimpse inside a day at the brand new NEM Fashion Office! When I am not filming a movie, attending acting classes, or going on auditions, I spend many of my days working alongside my business partners at NEM Fashion to help build the NEMpire!
WWE On Rock’s Daughter at Globes
As noted, The Rock’s daughter Simone Garcia-Johnson was named the first ever Golden Globe Awards Ambassador, and WWE.com has posted the following on the honor. You can check out photos of Simone, along with The Rock presenting at the Awards show, at this link.
Do you smell what Simone is cooking?
The Rock’s daughter, Simone Garcia Johnson, served as the first-ever Golden Globes Ambassador at the 75th annual edition of the event on Sunday night. Simone, with her father by her side, thanked the Hollywood Foreign Press for the distinction of being the very first ambassador at the iconic event, which saw her have a presence on stage throughout the duration of the show.
WWE.com congratulates Garcia Johnson on this great honor.
Read Also: The Rock’s ‘Jumanji’ Continues to Impress at the Box Office
NJPW Star to Make Big Announcement
NJPW has posted the following on Facebook, teasing a big announcement from Bad Luck Fale later today:
When the UnderBoss says he’s got some HUGE news…he really means it
7pm AEDT – Australian Eastern Daylight Time tomorrow night, all is revealed….
Are you ready?
SHARE, LIKE AND TAG YOUR FRIENDS! Let’s get this hype train going!
Keith Lee was given a new nickname prior to tonight’s Raw.
As he made his way to the ring, he was announced as Keith ‘Bearcat’ Lee. It isn’t known who he faced.
The nickname ‘Bearcat’ may be homage to Bearcat Wright, a pro wrestler from the 1950s and 60s who is a former WWA World Heavyweight Champion. He was posthumously inducted into the Legacy wing of the WWE Hall of Fame in 2017.
Lee has been working dark matches prior to the start of Raw and SmackDown since early August. He returned to WWE after being gone for several months in July, losing to Bobby Lashley and Karrion Kross before defeating Kross on August 2, which is his most recent televised WWE appearance.
Last Friday prior to SmackDown, Lee defeated Shane Thorne, the former Slapjack of Retribution in a dark match. Over the weekend, he worked house shows in North Charleston, South Carolina and Augusta, Georgia, where he defeated Akira Tozawa on both nights.
Bilal Hassani a remporté Destination Eurovision et représentera la France avec son titre Roi, le 18 mai 2019 à Tel Aviv. Le jeune artiste de 19 ans est victime d’une campagne de harcèlement homophobe et raciste sur les réseaux sociaux qui l’ont conduit à déposer plusieurs plaintes notamment contre X pour “injures, provocation à la haine et à la violence et menaces homophobes“. Deux vieux tweets dont il serait l’auteur et une vidéo jettent de l’huile sur le feu… Le chanteur exprime son ras-le-bol dans Le Parisien, ce 4 février 2019.
Cette semaine, deux tweets datés de 2014 ont été exhumés. Le premier accuse Israël (qui accueille le concours de l’Eurovision) de crime contre l’humanité, le second défend Dieudonné. Bilal Hassani a répondu immédiatement à la polémique. Dans la foulée, c’est une courte vidéo de 2018 le montrant avec ses amis chantonnant “la France a beaucoup souffert, attentats par-ci, attentats par-là” qui agite la twittosphère : “Cette vidéo est liée à la finale de la Coupe du monde, explique Bilal dans Le Parisien. Un type dans la rue, hyper content, a été filmé après la victoire de la France. Il était soulagé après les épreuves que nous avons traversées en 2015. (…) Sa vidéo a tourné ensuite partout sur Twitter. Les gens l’ont reprise en chansons, elle a inspiré des chorégraphies. Et j’en ai fait une aussi avec mes potes. Il n’y a rien de malveillant. Aujourd’hui, on sort la vidéo de son contexte, on la réinvente pour faire croire que je suis pro-attentats.“
Laissez-moi profiter d’un moment magique, je réalise le plus beau rêve de ma vie à l’Eurovision
Dans cette interview, Bilal Hassani revient également sur les deux tweets exhumés. Des messages qu’il dit ne pas avoir envoyés puisqu’il partageait son compte Twitter avec des amis et qu’à l’âge de 14 ans il n’avait aucune idée de qui était Dieudonné. La fachosphère a également créé de faux tweets injurieux attribués à Bilal. Le jeune artiste sait très bien qui sont ceux qui le visent : “Mes parents sont nés au Maroc et je suis homo, ça dérange beaucoup, on ne peut pas le nier.” Cela ne l’empêchera pas de porter les couleurs de la France : “Tout ça m’atteint, mais je suis encore plus déterminé. (…) Lâchez-moi, laissez-moi tranquille, laissez-moi vivre. (…) Laissez-moi profiter d’un moment magique, je réalise le plus beau rêve de ma vie à l’Eurovision.“
Bilal Hassani a reçu le soutien de nombreuses associations de lutte contre l’homophobie. Dimanche, Shams France, association pour les personnes LGBT+ du Maghreb et du Moyen-Orient, et Beit Haverim, association juive LGBT+ de France, se sont associées pour soutenir le jeune artiste : “Aujourd’hui le jeune Bilal Hassani est attaqué et menacé parce que LGBT+, attaqué parce que d’origine marocaine, attaqué parce qu’il va se rendre en Israël. (…) Nous tenons à manifester ensemble notre soutien à ce jeune artiste qui va porter haut nos couleurs, les couleurs de la France au coeur de ce concours international si populaire et prestigieux qu’est l’Eurovision et d’une seule voix, nous te souhaitons Mabrouk, Bonne Chance et Mazel tov !“
En 2016, Philips introduisait un nouveau type de rasoir pour homme, plus petit, plus agile et très abordable, le OneBlade, qui connut un succès qui ne s’est pas démenti.Après les rasoirs Forever Sharp de Rowenta et Durablade de Remington qui s’en sont inspirés, c’est Braun qui prend la vague avec son nouveau Series X.Vendu 60 euros, l’appareil offre des prestations presque équivalentes à son modèle, mais reste nettement plus cher.
Depuis 2016, les fabricants de rasoirs masculins s’étripent. Cette année-là, Philips lance son OneBlade, le fameux petit rasoir jaune et noir, qui connaît immédiatement un succès fulgurant. Forever Sharp de Rowenta, Durablade de Remington… en cinq ans, les rasoirs librement inspirés par le triomphal OneBlade se sont multipliés. Le nouveau « presque » clone se nomme Series X et il est signé Braun.
Une fine lame avec six sabots visage et corps
Disruptif avec sa mini-lame, adapté aux nouvelles générations désireuses d’avoir la peau lisse ou d’entretenir leur barbe de trois jours et d’en styler les contours, adapté au visage, au corps et… même aux « zones sensibles », le OneBlade a ouvert une brèche dans l’univers du rasoir masculin. Et fait des émules. En cette rentrée 2021, Braun et son rasoir Series X que nous avons testé se pose en adversaire sérieux. Lui aussi petit et compact, lui aussi fonctionnant sur batterie rechargeable, lui aussi étanche, le Series X ressemble à son illustre concurrent mais adopte un design plus classique.
Gris et noir, revêtu sur sa partie haute d’un plastique strié anti dérapant, il est surmonté par une lame interchangeable dont la durée de vie est donnée pour six mois. Fourni avec six sabots (de 1, 2, 3 et 5 mm pour le visage, et de 0 et 3 mm pour le corps), le rasoir se recharge sur secteur. Et il est étanche. Mais sécurité oblige, on ne pourra logiquement l’utiliser sous la douche que sur sa batterie.
Rapide, efficace et sans étirement
Nous avons testé le Series X (le modèle XT5100) sur notre barbe de trois jours. Par précaution, nous avons d’abord attaqué notre pilosité à l’aide du sabot de 5 mm. Les poils les plus longs ont valsé sans délai, mais c’est avec le sabot de 3 mm que nous avons pu faire le grand ménage et obtenir le look désiré. Le rasoir s’acquitte de sa tâche parfaitement, avec minutie même, et il est possible d’opérer une coupe en bonne et due forme rapidement. Aucune sensation d’étirement n’est à déplorer, et il est appréciable que la lame, comme les sabots, soient bidirectionnels.
On peut ainsi effectuer des mouvements de va-et-vient, du bas vers le haut, ce qui offre une bonne souplesse de rasage. Pour les finitions (haut des joues, contours de la bouche, bas du cou), nous avons délesté le rasoir de son sabot. Là encore, la lame glisse parfaitement, mais chauffe un peu après deux ou trois minutes d’usage.
Sur le bas du cou, où le poil est naturellement couché et plus difficile à attraper, il a fallu plusieurs passages pour obtenir le résultat attendu. A titre de comparaison, nous nous sommes amusés à utiliser le OneBlade sur cette partie spécifique de notre visage et le rasoir de Philips nous a semblé plus à l’aise pour cet exercice en particulier : la coupe y a été instantanée.
Le OneBlade reste le moins cher
A l’arrivée, le Braun Series X est un excellent produit, efficace et rapide, mais surtout le concurrent le plus sérieux à notre connaissance face au leader du secteur. Reste la question du prix : le Series X de Braun ne rase pas gratis, c’est le moins qu’on puisse dire. Il est vendu à partir de 60 euros, tandis que son concurrent désigné ne coûte que 39,99 euros dans une configuration presque identique avec quatre sabots lame + corps (réf : QP2630/30). Une lame de remplacement pour le Series X coûtera 17 euros, là où deux lames pour le OneBlade (durée de vie annoncée jusqu’à quatre mois chacune) valent 19,99 euros.
Pour la rentrée de son talk-show, Drew Barrymore a opté pour une séquence émotion. Elle est retournée dans l’institut psychiatrique où elle avait été placée à 13 ans. L’actrice a en effet connu une adolescence particulièrement difficile, développant très jeune une addiction à l’alcool et aux drogues.
« J’étais vraiment une enfant rebelle et j’étais tellement hors de contrôle que plus personne ne savait quoi faire avec moi », a-t-elle expliqué, avant de prendre la route du Van Nuys Psychiatric Hospital de Los Angeles où elle est restée internée durant 18 mois.
Repartir à zéro
« Ils m’ont emmenée là au milieu de la nuit et ils m’ont fait passer ces deux portes. Et quand vous passez ces deux portes, vous ne pouvez pas repartir. Et j’ai été ici pendant un an et demi », s’est souvenue Drew Barrymore.
Il y a quelques mois, l’actrice s’était déjà confiée sur cet épisode marquant et la façon dont il lui avait offert un nouveau départ malgré l’extrême violence de l’internement. « Je me suis demandé, “Pourquoi est-ce que ça arrive ?” Et j’ai pensé, “Peut-être que tu as besoin de la plus folle des formes de structure parce que tout était si accessible, disponible et tordu dans ton monde, et que, peut-être, ça va te donner de quoi démarrer le reste de ta vie” », avait-elle raconté lors d’un passage dans le Howard Stern Show.
People
Drew Barrymore se souvient de son séjour en hôpital psychiatrique lorsqu’elle avait 13 ans
Le plan pour les indépendants dévoilé. Emmanuel Macron a annoncé jeudi l’élargissement des critères d’accès à l’assurance chômage pour les indépendants. Présent aux Rencontres de l’union des entreprises de proximité (U2P), l’organisation professionnelle rassemblant les artisans, commerçants et professions libérales, le président a annoncé une série de mesures pour améliorer le statut des travailleurs indépendants.
Il a également assuré que l’ensemble du patrimoine personnel de ces travailleurs « sera insaisissable par effet de la loi […] en cas de défaillance ». « Seuls les éléments indispensables à l’activité professionnelle pourront être saisis », a ajouté le président. Jusqu’ici, seule la résidence principale des indépendants était protégée en cas de coup dur professionnel. Désormais, cette protection sera élargie à d’autres éléments du patrimoine. Cette mesure était une demande de longue date des professionnels, soucieux de protéger leurs biens personnels en cas de difficultés.
Société
Coronavirus : Les travailleurs indépendants, militants inattendus du Covid-19
Santé
Cancer: Quand la maladie précarise les travailleurs indépendants
Coralie Lemke, journaliste pour Sciences et Avenir, publie ce jeudi Ma santé, mes données.Un essai qui invite à mieux connaître les données de santé et leur sécurité.Attaques de cybercriminels contre des hôpitaux, inquiétudes liées à la surveillance via le pass sanitaire… Cet ouvrage montre l’étendue de cette problématique.
Sans doute n’avez-vous pas envie que le monde entier sache que vous avez fait un test du VIH ou de grossesse, que vous envisagez une opération des seins, ou que vous souffrez d’une maladie rare… Et pourtant, nous semons des traces sur Internet sans même nous en rendre compte. Qui peut y avoir accès ? Quels risques prenons-nous à partager avec notre portable (ou nos amis) nos performances en running, notre poids, nos pas ? Mercredi soir, l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) a porté plainte, après avoir constaté le vol des données nominatives d’1,4 million de patients. Une nouvelle illustration du danger des cyberattaque visant nos données de santé.
Avec le Covid-19 et le pass sanitaire, de nombreux Français se sont inquiétés de voir le secret médical piétiné. Ce que ne contredit pas Coralie Lemke. Mais la journaliste de Sciences et Avenir, ancienne de 20 Minutes, montre que le risque est bien plus global. Elle publie ce jeudi Ma Santé, Mes données *, qui montre comment nous semons nos informations les plus précieuses et pourquoi elles sont si convoitées.
Qu’est-ce qui vous a poussé à vous intéresser aux données de santé ?
Je me suis rendu compte que les données de santé, grâce à l’intelligence artificielle, c’est le carburant d’énormément de nouvelles recherches médicales. Quand on tire le fil, on voit qu’elles sont convoitées par des acteurs plus ou moins proches de la recherche… par exemple les Gafam ou les cybercriminels. D’ailleurs, les attaques de cybercriminalité ont augmenté de 475 % entre février et mars 2020 contre les structures de santé !
C’est quoi, une donnée de santé ?
C’est défini par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) comme une information qui renseigne sur l’état de santé passé, présent ou futur d’une personne. Cela recouvre des résultats d’analyses, une date d’entrée ou de sortie de l’hôpital, toutes les traces d’une carte Vitale… Plus complexes, certaines données ne rentrent pas dans les données de santé : les datas mesurées par les montres connectées, les pèse-personnes… sauf si elles sont croisées avec des données de santé. Par exemple, ma montre Fitbit montre que je fais 2.000 pas par jour, et une autre application donne mon taux de glycémie dans le sang ; ça renseigne sur un éventuel diabète.
Vous écrivez que le secret médical, c’est de l’histoire ancienne. Pourquoi ?
On a l’impression que la santé est l’un des derniers domaines où il reste une intimité. Mais le triangle longtemps en vigueur qui liait patient, médecin et Assurance maladie (via le remboursement des frais) n’existe plus. Les données sont agrégées dans des bases de données. Chaque passage en pharmacie ou à l’hôpital fait l’objet d’un suivi. S’ajoute tout ce qu’on sème à notre insu sur Facebook, notamment.
Et pourquoi est-ce embêtant ?
Il existe plusieurs types de menaces. Les premières, de type économique. Par exemple, un laboratoire se sert de mes données pour faire avancer un traitement contre la maladie de Parkinson. L’ennui, c’est que le jour où j’aurai besoin de ce traitement, je n’obtiendrai pas de ristourne. Le citoyen se fait léser. Le deuxième risque concerne la confidentialité. Si Facebook sait que je suis dépression, il peut me proposer des produits ciblés. Le pire, ce sont les deux combinées : un cybercriminel demande de l’argent pour récupérer tes données de santé et menace de les divulguer.
Pourquoi les Gafam se positionnent-elles de plus en plus dans le domaine de la santé ?
Il est extrêmement lucratif et elles le savent. Sauf qu’elles n’ont aucune expérience dans le domaine médical. Leur expertise, c’est l’algorithme. Il peut y avoir des partenariats très intéressants. Google s’est ainsi associé avec l’Imperial College de Londres et l’université américaine de Stanford pour mettre au point une IA qui surpasse les médecins dans le dépistage du cancer du sein. D’un autre côté, on voit que Facebook espère détecter des dépressions juste en analysant des posts ; d’un point de vue scientifique, ça n’a pas de sens. En Australie, Facebook assurait aux annonceurs pouvoir identifier des failles psy chez les ados… pour leur proposer un produit adéquat au bon moment.
Click Here: Tonga Rugby ShopVous vous penchez sur les tests génétiques… Derrière le côté ludique se cache une quête moins avouable.
Pour certaines des sociétés qui proposent ces tests, la partie “retrouver ses origines” n’est qu’un pan de leurs activités. Par exemple, 23andMe, une des plus grosses boîtes dans le secteur, a revendu 5 millions de profils génétiques à GSK pour qu’elle puisse faire de la recherche sur Parkinson. Elle l’avait déjà fait avec Pfizer. Or, on ne sait pas que ces données sont ensuite partagées. Certes, il y a un alinéa à cocher et la boîte avance que 80 % des gens ne s’y sont pas opposés. Mais c’est toujours pareil : est-ce qu’il y a consentement quand on n’a pas lu la ligne en minuscule ? Par ailleurs, les gens ne savent pas que ces tests sont interdits en France et punis par une amende !
Vous vous êtes intéressé également à Doctolib, 45 millions d’utilisateurs en France et maintenant interlocuteur indispensable avec la vaccination contre le Covid-19…
Des articles dévoilaient de gros problèmes de sécurité : des bases de données stockées sur des clefs USB, sans mot de passe, des failles de sécurité qui pouvaient prendre deux ou trois semaines à régler. Ce n’est pas Doctolib qui héberge nos données de santé, mais Amazon avec son service Amazon Web Services. Qui sait, donc, quand on fait une recherche « centre de dépistage VIH ». Ce n’est pas une donnée de santé en soi, mais cela informe quand même… La protection des données sur Doctolib a beaucoup changé, tout est chiffré maintenant.
On apprend également un épisode méconnu : la France a confié à Microsoft ses données de santé… pour ensuite faire machine arrière. Pourquoi ?
Les Gafam ont une super expertise technique, avec un cloud qu’ils peuvent développer rapidement. C’était donc un interlocuteur légitime pour la France… sauf que c’est une société américaine. En 2018, le Cloud Act a changé la donne : n’importe quel magistrat américain peut récupérer les données d’une entreprise américaine. C’est donc en contradiction avec le RGPD, qui interdit le transfert de données à l’étranger sans l’accord de la personne concernée. On était donc dans un genre de no man’s land législatif. La France a complètement rétropédalé. En 2020, Olivier Véran a publié un arrêté pour qu’aucune donnée de santé ne puisse être publiée en dehors de l’UE. Et s’est engagé à ce que d’ici à fin 2022, on trouve une autre solution que Microsoft.
En janvier 2022, chaque Français pourra avoir son Espace santé (qui remplace le Dossier médical partagé). Est-ce une bonne chose ?
Quand une solution est française, on est mieux protégé. Le problème est plus technique. Le DMP, c’est un vieux serpent de mer et il y a un problème d’adhésion des Français. Beaucoup de gens ouvrent un compte, mais combien s’en servent ? Un compte Doctolib est tellement plus simple : on retrouve son historique, ses examens…
Depuis le Covid-19, certains Français s’inquiètent d’être fichés. Pourtant, vous écrivez que c’est une « occasion manquée » d’informer les citoyens sur la protection de leurs données de santé…
Avec la crise du Covid-19, les données de santé ont fait irruption dans nos vies. Le pass sanitaire cristallise beaucoup de colère, mais il n’y a qu’une information : avez-vous fait un vaccin ou une PCR négative ? C’est l’arbre qui cache la forêt. La question est beaucoup plus vaste que le pass sanitaire. Il y a une certaine contradiction : certains s’insurgent contre la surveillance avec le pass sanitaire mais achètent une enceinte connectée.
Entre les fuites de données et les Gafam qui promettent une sécurité pour mieux la contourner, on sent une vraie défiance. Or, on aurait tort d’oublier de ces datas sont essentielles pour faire avancer la science…
C’est très paradoxal. Les données de santé, c’est la sphère du privé, mais c’est constitutif d’un bien commun. Agrégées, passées au peigne fin des algorithmes, elles peuvent faire avancer la société. Avec le Health Data Hub, on cherche à trouver des solutions contre les sarcomes, des tumeurs malignes. C’est super, mais le citoyen n’est pas au centre de cette démarche. Il n’y a même pas de débat en France. En Grande Bretagne, par exemple, ils ont lancé une consultation avant de créer un équivalent du Health Data Hub.
Partager ses données de santé semble beaucoup plus avantageux pour quelqu’un qui a un cancer rare que pour une personne en bonne santé…
C’est ce qu’on voit avec le succès de plateformes comme PatientsLikeMe ou en France Carenity, un réseau social qui compte 500.000 utilisateurs. Ces patients qui souffrent de maladie rare ou chroniques se regroupent pour échanger sur leurs maladies et acceptent de partager leurs données à des laboratoires qui pourraient trouver un traitement innovant.
* Ma Santé, Mes données, Premier Parallèle, jeudi 16 septembre 2021,17 €.
Économie
Quelles sont les obligations des professionnels de santé pour protéger vos données ?
Santé
Numérique : Adieu le Dossier Médical Partagé, bienvenue à Mon Espace Santé
WWE® and Astro Extend Long-Standing Partnership in Malaysia
01/10/2018
KUALA LUMPUR, Malaysia & STAMFORD, Conn.–(BUSINESS WIRE)– WWE (NYSE:WWE) and Astro Malaysia Holdings Berhad (Astro), a Malaysian and ASEAN digital-first media and lifestyle company, will extend their partnership into its 17th year with a new agreement to continue airing WWE programming, including flagship programs Raw® and SmackDown®. Astro will also continue offering WWE Network as a premium channel, which includes all WWE special events such as WrestleMania®, SummerSlam®, Survivor Series® and Royal Rumble®.
“Astro has been a long-time valued partner, sharing our vision for engaging and entertaining our fans,” said Michelle Wilson, WWE Chief Revenue & Marketing Officer. “Their commitment to WWE allows us to continue showcasing our unique blend of action-packed, family friendly entertainment across Malaysia.”
“Astro is entertaining Malaysian WWE fans with 24/7, non-stop WWE action and on-demand content in HD on big-screen TVs, and on mobile devices via Astro Go,” said Lee Choong Khay, Astro Vice President of Sports Business. “The response from the passionate fanbase has been tremendous, with nearly five million viewers in 2017 alone and we hope to serve more fans in years to come.”
Astro’s SuperSport channels 1 – 4 will air Raw, SmackDown, NXT®, Afterburn®, Bottomline®, This Week®and Main Event®, with additional airings on Astro’s Arena sports channel.
WWE Network is a premium à la carte channel available exclusively in Malaysia on Astro TV and Astro GO. Subscribers can watch all WWE special events live and on-demand, with 24/7 programming featuring groundbreaking original series, reality shows, documentaries and classic matches. For more information, please visit www.astro.com.my.
About WWE
WWE, a publicly traded company (NYSE: WWE), is an integrated media organization and recognized leader in global entertainment. The company consists of a portfolio of businesses that create and deliver original content 52 weeks a year to a global audience. WWE is committed to family friendly entertainment on its television programming, pay-per-view, digital media and publishing platforms. WWE programming reaches more than 800 million homes worldwide in 20 languages. WWE Network, the first-ever 24/7 over-the-top premium network that includes all live pay-per-views, scheduled programming and a massive video-on-demand library, is currently available in more than 180 countries. The company is headquartered in Stamford, Conn., with offices in New York, Los Angeles, London, Mexico City, Mumbai, Shanghai, Singapore, Dubai, Munich and Tokyo.
Additional information on WWE (NYSE: WWE) can be found at wwe.com and corporate.wwe.com. For information on our global activities, go to http://www.wwe.com/worldwide/
About Astro Malaysia Holdings Bhd
Astro Malaysia Holdings Berhad (Astro) is a Malaysian and ASEAN digital-first media and lifestyle company in the Digital, TV, Radio and eCommerce space.
It is Malaysia’s No. 1 online media company with 7.4 million unique visitors per month across the digital platforms of its entertainment and lifestyle brands. The company serves 21 million individuals in 5.3 million households, or 73% of Malaysian households, who are able to watch Astro content on all screens and on demand, be it TV, laptop, tablet and phone.
NJOI, the company’s subscription-free TV service, offers all Malaysians free access to 28 TV and 20 radio channels on TV and mobile devices. With its subscription-free model, NJOI has been well-received and will continue to drive the company’s market reach.
Astro Radio includes Malaysia’s highest rated stations across key languages and there are available on both terrestrial and digital channels, reaching 16.5 million weekly listeners.
Astro holds the distinction of the ‘Gold’ award in the Media and Entertainment category at the Putra Brand Awards for 8 consecutive years from 2010 to 2017, including the ‘Brand of the Year’ award in 2012, the ‘Brand Icon’ award in 2013 and the ‘Malaysian Marketer of the Year’ award in 2016. Astro Kasih is the company’s CSR arm, whose award winning programmes have been recognised for its innovation and life-changing impact on the community it aspires to serve.
Trademarks: All WWE programming, talent names, images, likenesses, slogans, wrestling moves, trademarks, logos and copyrights are the exclusive property of WWE and its subsidiaries. All other trademarks, logos and copyrights are the property of their respective owners.
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The following were the ten most watched WWE Network shows last week:
1. 2015 Royal Rumble 2. NXT year-in-review show on 1/3 3. Clash of Champions 4. Royal Rumble 2017 5. Royal Rumble 2016 6. Photo Shoot-Cesaro 7. Survivor Series 2017 8. 205 Live from Jan. 2 9. WrestleMania 2017 10. Photo Shot-Miz
Slammy Award Note
According to The Observer, WWE has no plans to issue any 2017 Slammy Awards, or do a Slammy Awards episode of TV.
Which Raw 25 Show Will Cena and Lesnar Appear On?
The upcoming WWE Raw 25 special will simulcast from both The Manhattan Center and Barclays Center in New York City.
Talents from the WWE main rosters will be appearing at both The Manhattan Center and The Barclays Center, and as of now The Observer is reporting both John Cena and Brock Lesnar will be appearing at the Barclays Center.
Tons of WWE Hall of Famer and Legends are scheduled to appear at the big event, and below is the updated list of announced names:
The Undertaker“Stone Cold” Steve Austin“Nature Boy” Ric FlairDegeneration XThe Dudley BoysScott HallKevin NashJim RossJerry “The King” LawlerNikki & Brie BellaJBLRon SimmonsThe New Age OutlawsTed DiBiaseX-Pac