The Blues, who were initially handed a two-window embargo, will be able to dip into the winter market if Frank Lampard wishes to bolster his ranks

Chelsea have been freed to spend again in the January, with an appeal to the Court of Arbitration for Sport seeing their two-window ban cut in half.

The Blues saw sanctions imposed on them by FIFA in March.

World football’s governing body took action against the Premier League outfit and their registration of foreign players under the age of 18.

It was determined that Chelsea should be prevented from adding any fresh faces to their squad until the summer of 2020.

That embargo threatened to put a serious spanner in the works of an ambitious outfit, with owner Roman Abramovich having invested heavily during his time at Stamford Bridge.

The Blues were, however, quick to lodge appeals to the relevant authorities.

FIFA refused to buckle when seeing their ruling contested, but CAS have stated that restrictions can now be lifted.

Their statement read: “The FIFA Appeal Committee decision dated 11 April 2019, in which CFC was declared liable for violations of the FIFA Regulations on the Status and Transfer of Players (RSTP) and banned from registering new players, nationally and internationally, for two (2) entire and consecutive registration periods, fined CHF 600,000, reprimanded and warned on its future conduct, has been modified.

“The following sanctions have now been imposed by the CAS: CFC is banned from registering any new players, either nationally or internationally, for one (1) entire registration period, which the club already served during the 2019 summer registration period.

“CFC is ordered to pay a fine to FIFA of the amount of CHF 300,000 (three hundred thousand Swiss Francs).”

Once Chelsea have settled that fine, they will be free to dip back into the transfer market once more.

Which could prove very timely, given that another window of opportunity is about to swing open.

Blues boss Frank Lampard has fared admirably without being able to add to his ranks, with the faith shown in promising academy graduates being richly rewarded.

He will, however, welcome the opportunity to be able to add greater depth to his squad.

Chelsea had been able to welcome United States international Christian Pulisic onto their books over the summer, with a deal agreed with Borssia Dortmund back in January.

Mateo Kovacic also saw a season-long loan deal from Real Madrid turned into a permanent transfer.

Attention can now switch to other targets, though, with Goal having learned that another raid on Dortmund could soon be launched.

England international winger Jadon Sancho figures prominently on the Stamford Bridge recruitment radar, with Chelsea confident that they can win the race for the exciting 19-year-old and push through a club-record deal.

La série animée à succès “Dragon Ball Z” se décline à présent en jeu de société et plus précisément… en Monopoly !

Le jeu Monopoly se déclinait en de nombreuses gammes, mais pas celle des animés ! C’est désormais chose faite grâce à Winning Moves, qui vous permet de recruter des guerriers légendaires comme GOKU, VEGETA et GOHAN, pour progresser dans cette aventure du Monopoly Dragon Ball Z.

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Tentez de devenir le guerrier le plus riche au monde, mais méfiez-vous des cartes Capsule Corp. Et Armée du Red Ribbon qui pourront ralentir votre combat.

Des alliées comme BULMA et TORTUE GENIALE pourront vous aider dans votre quête de grandeur ! Arriverez-vous à acheter tous les titres de propriété pour devenir le plus puissant ?

Le Monopoly Dragon Ball Z contient également :

Un plateau de jeu
6 pions (Epée de TRUNKS, Capsule, Dragon Ball à 4 étoiles, Dragon Radar, Armure Saiyenne et une Carapace de Tortue)

28 titres de propriété
16 cartes Capsule Corp
16 cartes Red Ribbon
2 dés
32 maison renommées Kame House
12 Hotels renommés salle de l’Esprit et du Temps
1 paquet de billets : Zeni

Le jeu est disponible sur le site Référence Gaming pour 34,99 euros.

Aviez-vous remarqué les détails cachés de Dragonball ?

Aviez-vous remarqué ? Emissions Bonus

Le Figaro a ressorti de ses archives une rencontre avec Gisèle Casadesus, disparue ce dimanche à l’âge de 103 ans. Un entretien datant de 1939, lorsque l’actrice était “la plus jeune sociétaire” de la Comédie française.

Une archive émouvante. Alors que Gisèle Casadesus s’est éteinte ce dimanche à l’âge de 103 ans, nos confrères du Figaro publient une rencontre avec la comédienne datant de 1939, lorsque l’actrice était “la plus jeune sociétaire” de la Comédie française.

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Doyenne des actrices françaises, Gisèle Casadesus s’éteint à l’âge de 103 ans

Alors âgée de 24 ans, actrice reconnue, Gisèle Casadesus reçoit Le Figaro à son domicile parisien de Montmartre. Pleine de malice, elle déclare à son interlocuteur avoir été une petite fille “terrible”, loin d’une enfant sage. Puis évoque son amour du théâtre en concluant que “la vie est belle”. Une interview à retrouver sur le site du Figaro.

Danielle Darrieux, Kirk Douglas… Les centenaires du cinéma

Hier soir sur W9 était diffusé Avengers de Joss Whedon. Vous avez aimé ? Alors, découvrez sans plus attendre nos trois recommandations qui devraient vous plaire tout autant.

Quand les super-héros se rassemblent : X-Men. “Ce 1er volet de la franchise X-Men réunit tous les ingrédients des films de super-héros. Et là pour le coup, le public est servi en matière de mutants. Hugh Jackman est fabuleux dans la peau de Wolverine. Bryan Singer met en place la mythologie sur le grand écran et parvient très vite à rendre les personnages attachants.” Pascal Muscarnera

X-Men Bande-annonce VO

Le 1^er long métrage SF de Joss Whedon : Serenity : l’ultime rébellion. “La conclusion, par Joss Whedon de sa série Firefly sacrifiée trop tôt, donne un film spectatuclaire avec des combats bien chorégraphiés et taillés sur mesure pour Summer Glau. Nathan Fillion y est toujours excellent. A voir même si vous n’avez jamais vu la série !” Pascal Muscarnera

Serenity : l'ultime rébellion Bande-annonce VO

Des héros pas si super : Mystery Men. “Dans la catégorie “meilleurs films de super-héros pourris”, Mystery Men devrait se trouver sur le podium. Complètement loufoque, cette équipe de sauveurs à deux balles est à la fois hilarante et touchante. Echec commercial passé complètement inaperçu à sa sortie, cette comédie vaut pourtant le détour, surtout pour son cast complètement possédé, chaque acteur à fond dans son rôle de loser : Ben Stiller en fou furieux, William H. Macy en pelle-man et Hank Azaria en fakir maniant l’argenterie avec habileté. Sans oublier bien sûr Geoffrey Rush, alias Casanova Frankenstein, super-vilain maboule.” Caroline Langlois

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A l’occasion de la diffusion de “Godzilla” ce soir sur C8, voici cinq choses à savoir sur ce reboot porté par Aaron Taylor-Johnson, Ken Watanabe, Elizabeth Olsen et Bryan Cranston.

Godzilla de Gareth Edwards (II)

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Avec Aaron Taylor-Johnson, Bryan Cranston, Ken Watanabe…

De quoi ça parle ? Le physicien Joseph Brody a perdu sa femme il y a 15 ans quand un incident nucléaire a irradié la région de Tokyo. La thèse officielle parle de tremblement de terre mais le scientifique est sceptique et mène son enquête avec son fils Ford, soldat dans la Navy. En fait de catastrophe naturelle, il s’agit plutôt des dégâts d’une créature gigantesque créée à la suite d’essais nucléaires dans le Pacifique. D’autres monstres menacent l’archipel d’Hawaï et la côte Ouest des Etats-Unis. L’armée est mobilisée et menée par l’Amiral William Stenz. Au même moment, la compagne de Ford, infirmière et jeune maman, gère les blessés dans un hôpital de San Francisco…

1. LA GENESE DU MONSTRE

C’est en automne 2010 que Legendary a révélé le lancement d’un reboot de Godzilla avec une première version du scénario écrite par Dave Callaham (Expendables). Le réalisateur Gareth Edwards a été attaché au projet en janvier 2011, avant qu’en juillet de cette même année, David S. Goyer (auteur de la trilogie The Dark Knight) ne soit annoncé comme nouveau scénariste du film. Un emploi du temps trop chargé l’a toutefois empêché de finir et le scénario a alors été remis à Max Borenstein en novembre 2011, lequel a dû écrire une version finale basée sur celle de son prédécesseur.

2. UN MELANGE ENTRE UN OURS ET UN DRAGON

Le réalisateur Gareth Edwards et son équipe de designers s’inspirèrent de tous les looks précédents de Godzilla pour créer celui que l’on voit dans cette nouvelle version. Son design est basé, selon le réalisateur, sur le physique d’un ours et celui d’un dragon du Komodo. Sa tête est en particulier inspirée de celle de l’ours, du chien et de l’aigle. Ce relooking n’a visiblement pas que des partisans, puisque des fans japonais se sont plaints parce qu’ils le trouvaient… Trop gros. Certains sont même allés jusqu’à renommer la créature “Godzilla Deluxe”.

3. NON POUR “JURASSIC PARK”, OUI POUR “GODZILLA”

Juliette Binoche, qui avait refusé de jouer dans Jurassic Park (1993), accepta par contre de figurer au casting de Godzilla après avoir reçu une belle lettre très convaincante de la part du réalisateur Gareth Edwards. Détail amusant : l’actrice avait donné la réplique à Jean Reno dans Décalage horaire, lequel était à l’affiche du Godzilla de Roland Emmerich.

4. UN MONSTRE CREE PAR LE NUCLEAIRE

Godzilla nous est montré couvert de cicatrices chéloïdes. Ce choix esthétique est tiré du Godzilla original (1954) qui avait été irrémédiablement marqué pour évoquer les marques similaires des survivants aux bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki, renforçant par ailleurs l’idée selon laquelle le monstre fut créé à cause des armes nucléaires.

5. UNE TROUBLANTE SIMILITUDE

Bryan Cranston, personnage clé de Godzilla, est surtout connu pour la série à succès Breaking Bad dans laquelle il incarne Walter White, père de famille et chimiste atteint d’un cancer qui tente de laisser un certain héritage à ses proches en fabriquant de la méthamphétamine. Or, dans le premier Godzilla, celui de 1954, c’est Takashi Shimura qui joue le rôle principal, alors qu’il avait auparavant campé un personnage similaire à celui de Cranston, cancéreux souhaitant laisser un patrimoine à sa famille, dans Vivre, d’Akira Kurosawa, en 1952.

Voir tous les secrets de tournage de “Godzilla”

Top 5 Emissions Bonus

Lauréat de l’Oscar du Meilleur Film 2017 avec “Moonlight”, Barry Jenkins a repris le chemin des plateaux de cinéma et entamé le tournage de son nouveau long métrage : “If Beale Street Could Talk”, d’après le roman de James Baldwin.

Le 26 février dernier, Barry Jenkins remportait l’Oscar du Meilleur Film avec Moonlight, à l’issue d’une cérémonie restée dans les mémoires pour son cafouillage final, qui a vu La La Land triompher avant que les vrais gagnants ne soient appelés sur la scène du Dolby Theatre. Huit mois plus tard, et après avoir signé un épisode de la saison 1 de Dear White People sur Netflix (le cinquième, pour être précis), le cinéaste a donné le premier tour de manivelle de son nouvea long métrage.

Day 1. Humbled. Feelin blessed, privileged, unworthy. But I’ll do my best to be WORTHY of Mr. Baldwin’s vision. ? y’all on the other side ?? pic.twitter.com/tYfGSLnzJ5

Click Here: All Blacks Rugby Jersey— Barry Jenkins (@BarryJenkins) 16 octobre 2017

(“Jour 1. Honoré. Je me sens béni, privilégié et pas digne [de ce projet]. Mais je vais faire de mon mieux pour être DIGNE de la vision de M. Baldwin. On se revoit de l’autre côté.”)

Adapté du roman homonyme de James Baldwin, récemment mis à l’honneur grâce à I Am Not Your Negro de Raoul Peck, qui se servait de ses écrits, If Beale Street Could Talk met en scène Tish, jeune résidente d’Harlem enceinte et récemment fiancée, lancée dans une course contre la montre pour prouver l’innocence de son futur mari Fonny, accusé de viol sur une Porto-Ricaine. Des personnages qui seront respectivement incarnés par Kiki Layne et Stephan James, vu récemment sous les traits de Jesse Owens dans le biopic La Couleur de la victoire.

La Couleur de la victoire Bande-annonce VO

Focalisé sur “un amour qui transcende le désespoir, la colère et la haine”, selon la présentation de l’éditeur du livre, If Beale Street Could Talk peut, entre les mains de Barry Jenkins, être l’un des sommets d’émotion et de sensibilité de 2018. Et un long métrage que les plus grands festivals risquent de s’arracher, de Toronto à Venise en passant par Cannes où il pourrait bien être présenté, s’il est terminé à temps, un an après que son metteur en scène ait fait partie du Jury de la Cinéfondation.

“Moonlight” et ces films/séries LGBT que tout le monde doit voir :