Author: Tncse

Home / Author: Tncse

Que devient Mario de la Star Academy 1 ?

December 9, 2021 | News | No Comments

20 ans après ses débuts dans la Star Academy, Mario a fait bien du chemin. S’il a fait une longue pause musicale, il compte bien revenir avec un nouvel album. En parallèle, il a lancé un magazine féminin.

En septembre 2001, les téléspectateurs de TF1 faisaient la rencontre d’un certain Mario dans la première édition de la Star Academy. Si Jenifer a remporté le programme face à lui, il s’est tout de même fait une petite place dans les coeur des Français. Après quelques petits succès, Mario a dû se rendre à l’évidence, sa carrière musicale se tassait. Il a donc fait une croix (ponctuelle) sur la musique pour faire un peu de politique et se lancer dans la presse.

Il y a dix ans, celui qui a aidé son père à mourir est depuis dix ans le directeur de la publication et de la rédaction de Welcome Magazine. D’origine un magazine de tourisme, il a décidé début 2021 d’en faire un magazine féminin et de le commercialiser dans toute la France. Une folle aventure qui semble le rendre heureux et qu’il joint avec son envie de revenir à la musique. “J’ai arrêté en 2010 parce que c’était très compliqué. L’industrie du disque se cassait la figure, on ne vendait plus rien, les concerts pareil. (…) Donc ça devenait difficile de pouvoir vivre de la musique à l’époque,” a-t-il regretté dans Paris Match. Puis de faire de belles annonces.

View this post on Instagram

A post shared by Mario Barravecchia (@mario_barravecchia)

Bientôt un nouvel album

Depuis la Star Academy, Mario est devenu papa de trois enfants, Matteo, Lily et Andrea, et file le parfait amour avec Jessica (pas celle de la Star Ac’). Sur demande de sa petite dernière, il se remet doucement à la musique, et assure à nos confrères que ça devrait arriver prochainement dans les bacs. “Je prépare d’ailleurs depuis un an un album avec d’autres artistes et auteurs-compositeurs connus de la scène parisienne,” a-t-il prévenu. On a hâte !

Crédits photos : Bismuth

Click Here: armagh gaa jerseys

Révélée dans The Voice Kids en 2016, Lou Jean a fait un grand parcours. Elle est une des stars de la série Demain nous appartient et s’apprête à sortir son troisième opus. Rencontre.

Petite Lou a bien grandi depuis The Voice Kids. Aujourd’hui âgée de 17 ans, Lou Jean, son nom d’artiste, tient un des premiers rôles dans Demain nous appartient, la série phare de TF1, mais ce n’est pas tout. La jeune femme, qui continue d’aller au lycée, va sortir son troisième album à la rentrée prochaine. La notoriété, son envie de faire du cinéma, les tournages à l’heure du coronavirus, ses études… Lou a accepté de répondre à toutes nos questions !

Gala.fr : Quel parcours depuis votre participation à The Voice Kids en 2016. Vous réalisez tout le chemin parcouru ?

Lou Jean : Petit-à-petit, je commence à réaliser, même si j’ai l’impression que The Voice Kids, c’était hier. Mais je garde les pieds sur terre et j’essaye de ne pas me mettre la pression. J’ai un très bon entourage qui m’encadre. Mes parents m’aiguillent et me protègent.

Gala.fr : Dans The Voice Kids, vous étiez dans l’équipe de Jenifer. Avez-vous de ses nouvelles, suit-elle votre parcours ?

Lou Jean : Nous nous sommes croisées sur de nombreux plateaux. On a même doublé un film ensemble. Elle m’avait promis qu’elle allait garder un oeil sur moi et me suivre de loin, et rien que ça, je trouve ça cool.

“Jenifer garde un oeil sur moi”

Gala.fr : L’émission vous a ouvert quelques portes et vous a permis d’arriver dans Demain nous appartient en 2017. Comment se déroulent les tournages à l’heure du coronavirus ?

Lou Jean : C’est particulier mais nous sommes habitués. Ça n’enlève en rien nos liens de proximité, nous sommes toujours une grande famille.

Gala.fr : Heureuse de l’évolution de votre personnage ?

Lou Jean : Oui, d’autant plus que ça suit mon évolution naturelle. Je grandis dans la vie, et dans la série, et les gens le remarquent. On m’appelle parfois Betty dans la rue. Pour revenir à la question, j’ai regardé les premiers épisodes de la série… Purée, j’ai évolué depuis le début. J’ai fait du chemin depuis mes premiers pas. (Elle rit)

View this post on Instagram

A post shared by LouMusiqueOfficiel (@loumusiqueofficiel)

Click Here: canberra raiders jerseys

Gala.fr : De quel comédien êtes-vous le plus proche ?

Lou Jean : Je suis très proche d’Ariane Séguillon qui joue ma mère dans la série. Elle me traite un peu comme sa fille, et pour moi, c’est un peu une deuxième maman. Il y a un réel feeling, si bien qu’elle vient me voir quand je fais des concerts.

Gala.fr : Au bout de quatre ans, aucune lassitude ? Vous voyez-vous continuer encore plusieurs années ?

Lou Jean : Pourquoi pas y être dans 10 ans, mais je ne me ferme aucune porte. Je ne veux refuser aucun challenge et faire d’autres choses pourra me permettre d’apprendre davantage. Mon rôle dans Léo Mattéï (diffusé ce 22 avril, ndlr) était d’ailleurs un défi, et c’est pour ça que je n’ai pas refusé la proposition.

Gala.fr : Et on croit savoir qu’il y avait un lien fort entre Jean-Luc Reichmann et vous.

Lou Jean : Il s’occupait beaucoup de moi sur le tournage, il était très bienveillant. On rigolait beaucoup, et surtout il a tenu une promesse, celle de me faire jouer dans Léo Mattéï. Il m’en avait parlé pour la première fois il y a trois ans.

“Jean-Luc Reichmann s’occupait beaucoup de moi sur Léo Mattéï”

Gala.fr : Et le cinéma ?

Lou Jean : Ça me tente vraiment, et j’espère un jour être au cinéma. J’essaye de me donner les moyens en faisant les castings. J’ai l’espoir de réaliser ce rêve.

Gala.fr : Ce que peu de personnes savent, c’est que vous continuez vos études en parallèle !

Lou Jean : Je suis au lycée tous les jours, enfin, pas aujourd’hui. Je passe la première partie du Bac cette année et j’espère vraiment l’avoir histoire de m’assurer un bagage pour la suite.

Gala.fr : Vous parvenez à gérer la notoriété au lycée ?

Lou Jean : Les gens s’en foutent un peu, et c’est vrai que je suis discrète. Je suis au lycée pour apprendre, pas pour me faire reconnaître, c’est pas le lieu.

Gala.fr : Pas eu affaire à des personnes malveillantes ?

Lou Jean : Non, ou alors, je ne m’en suis pas rendu compte. Puis mes proches veillent au grain, ils me suivent partout. Par exemple, mon père est un peu un second manager. Ils sont tous très présents et investis.

View this post on Instagram

A post shared by LouMusiqueOfficiel (@loumusiqueofficiel)

Gala.fr : Vous sortez Ne me suis pas, un titre inédit qui a une grande importance pour vous !

Lou Jean : Oui, car je l’ai écrit. Mes parents en sont fiers. C’était compliqué de se livrer, j’étais stressée de faire écouter la chanson à ma famille, que ça ne plaise pas… car on n’hésite pas à me le dire ! Ne me suis pas sera sur mon prochain album, qui sortira en septembre.

Gala.fr : Le succès est un avantage ou un inconvénient ?

Lou Jean : Ça peut être plus compliqué car il a plus des gens intéressés par la notoriété, mais mon entourage me dit si je dois me méfier et ouvrir les yeux. Pour l’instant, je ne me prends pas la tête avec cela, je me dis que ça viendra au moment voulu et que je saurai quand ce sera la bonne personne. Je pense que ça se ressent.

Crédits photos : DR

Brigitte Bardot lance un cri du coeur dans son entretien pour Le Monde, paru ce lundi 26 avril. Grande protectrice des animaux, elle dénonce sa solitude face à l’indifférence du gouvernement envers la souffrance animale.

Brigitte Bardot, plus que jamais remontée contre le gouvernement. À l’initiative d’une campagne d’affichage Chasseurs, sauvez des vies, restez chez vous, la fondation Brigitte Bardot s’illustre dans un nouvel acte militant. La réaction des chasseurs ne s’est pas fait attendre, ils sont bien décidés à porter plainte pour diffamation et à échanger avec le ministre de l’Intérieur. Face à cet engouement, Brigitte Bardot se confie sur son combat de toujours dans une interview accordée au journal Le Monde.

Depuis des années, l’actrice fait front pour sauver les animaux. Un combat qui lui a valu plusieurs procès, tous perdus. Un triste constat pour celle dont “le seul truc qui m’importe, c’est d’arrêter la barbarie qui fait souffrir les animaux.” En ce qui concerne le gouvernement qui ne donne “pas un sou” à la fondation, Brigitte Bardot avoue se sentir “terriblement seule devant l’indifférence envers la souffrance animale.” Difficile pour la célébrité de 86 ans de faire face, alors que la situation l’ “affecte profondément.” Pour autant, elle ne perd pas espoir, car “les jeunes générations, je crois, ont compris que le monde court à sa perte si on ne réagit pas de façon urgente.”

Les relations sont tendues

Brigitte Bardot avait déjà poussé un coup de gueule dans un communiqué publié sur Twitter en juillet dernier contre le gouvernement. La raison ? “Je ne vois aucun représentant de la protection animale,” s’était insurgée l’ancienne star de cinéma alors que le gouvernement Catex affiché complet. La femme de Bernard d’Ormale a regretté qu’un “petit secrétariat d’Etat” ne soit pas annoncé “en cette poussée de retour à la nature.” Il faut croire que malgré l’année écoulée, Brigitte Bardot a encore du chemin à parcourir pour se faire entendre par le gouvernement.

Click Here: plastic injection molding

Crédits photos : abaca

Les images du télescope spatial Hubble sont retravaillées selon un protocole strict avant d’être présentées au grand public, selon notre partenaire The Conversation.Le plus surprenant est que cette « méthode » s’inspire de celle utilisée… dans les peintures du XIXe siècle de l’Ouest américain !L’analyse de ce phénomène a été menée par Yaël Nazé, astronome FNRS à l’Institut d’astrophysique et de géophysique de l’Université de Liège (Belgique).

Les images du télescope spatial Hubble, devenues des icônes, ont fait son succès auprès du public. Ces superbes clichés soulèvent beaucoup de questions auprès du public : on me demande souvent s’il s’agit de « vraies » images, par exemple.

Voici un petit tour d’horizon de la fabrique de ces fameuses images… et désormais, de celles des autres télescopes, car si l’équipe du télescope spatial Hubble a été pionnière et a bénéficié du boom d’internet pour la diffusion à grande échelle, sa « grammaire visuelle » a été reprise un peu partout depuis.

Au départ

Première chose à retenir : les images produites par le télescope Hubble (et ses collègues) sont numériques. Aujourd’hui, tout le monde connaît ce genre d’image et en fait avec son appareil photo ou son téléphone, mais les astronomes ont en fait utilisé des détecteurs électroniques des années avant le grand public. Il existe cependant une différence notable entre vos images et celles des astronomes : les vôtres sont en couleurs, alors que celles des astronomes sont monochromatiques.

Vous levez peut-être un sourcil, vu que toutes ces belles images astronomiques regorgent de couleurs. Pour comprendre, revenons à la base. Si vous obtenez des images couleur, c’est parce qu’il y a plusieurs détecteurs côte à côte dans chaque pixel de votre caméra. Cela prend un peu de place, donc rend les images un peu moins détaillées. Cela ne pose pas problème pour la vie courante, mais les astronomes, eux, veulent le plus de détails possible et leurs détecteurs s’alignent donc en rang serré. Comment avoir la couleur dans ces conditions ? C’est simple : il suffit de recommencer l’exposition, en plaçant à chaque fois un filtre différent devant le détecteur. Chaque image astronomique est donc une combinaison d’images monochromatiques prises à la suite et non simultanément comme dans une photo classique.

M2-9 ou nébuleuse du Papillon. Une étoile au départ semblable au Soleil a fini sa vie, et éjecté ses couches extérieures, donnant naissance à une nébuleuse planétaire appelée PN M2-9. Sa forme particulière vient du fait que l’étoile possède un compagnon © Judy Schmidt / ESA / Hubble /NASA, CC BY [via The Conversation]

Comme les instruments ne sont jamais parfaits, il faut ensuite appliquer quelques corrections, pour corriger des différences de sensibilité entre pixels ou encore éliminer les rayons cosmiques qui passaient par là, laissant une trace non désirée dans l’image. Ce n’est pas tout. Il reste en fait à rendre l’image intéressante et pour cela, il faut se souvenir qu’une image numérique est un tableau de chiffres.

Un petit coup de Photoshop ?

Première étape : l’astronome va choisir la « zone de brillance » qui l’intéresse. Imaginons une image de galaxie : si l’astronome est intéressé par les fines volutes des nébuleuses, il mettra en valeur les luminosités faibles, car ces objets sont peu brillants ; au contraire, si l’astronome se focalise sur les étoiles, il insistera sur les luminosités élevées. Pour représenter les chiffres de l’image, on peut ainsi utiliser une échelle linéaire, logarithmique ou carrée, chacune mettant l’accent sur des luminosités différentes – la logarithmique, par exemple, va « booster » les luminosités faibles, rendant visible des détails auparavant noyés dans les ténèbres. On peut même décider de ne pas montrer les luminosités extrêmes (trop faibles ou trop élevées), éliminant une partie (inutile) de l’information.

Seconde étape : l’orientation et le cadrage. L’astronome professionnel se contente généralement de zoomer sur la zone du ciel qui l’intéresse, avec une orientation quelconque ou cardinale (nord vers le haut de l’image, par exemple). Mais pour les images destinées au grand public, d’autres critères peuvent entrer en ligne de compte (voir plus loin).

Dernière étape : coloriser. Typiquement, on devrait coloriser en bleu l’image prise avec un filtre bleu, en vert celle prise avec un filtre vert et en rouge celle prise avec un filtre rouge, puis combiner les trois pour avoir une image normale, colorée. Sauf que ce n’est pas si simple… En fait, il est plutôt rare que les filtres soient « juste » rouge-vert-bleu.

Les couleurs acquises par Hubble correspondent aux longueurs d’onde de certaines molécules ou éléments chimiques utiles aux scientifiques © NASA / ESA et J. DePasquale (STScI), CC BY [via The Conversation]

Les astronomes utilisent en réalité des filtres permettant d’avoir une information scientifique précise, par exemple la signature de l’oxygène ionisé, et non les trois bandes larges conventionnelles. Les images prises dans ces filtres particuliers permettent de repérer directement des zones intéressantes, plus chaudes, plus denses, ayant subi un choc, etc.

Alors, les graphistes louvoient et utilisent de « fausses couleurs », souvent en respectant une convention bien spécifique : ils colorent en bleu la lumière la plus énergétique et en rouge la moins énergétique, reproduisant la différence naturelle entre couleurs. Ainsi, si l’on dispose d’un groupe d’images en orange foncé, rouge clair et rouge foncé, l’orange foncé sera montré en bleu, le rouge clair en vert et le rouge foncé en rouge ; pour un groupe violet-bleu marine-cyan, le violet deviendra bleu, le bleu marine vert et le cyan rouge.

La nébuleuse multicolore NGC 2014 et sa petite voisine NGC 2020 appartiennent à une même région de formation stellaire située dans le Grand Nuage de Magellan (une galaxie satellite de notre Voie lactée). La nébuleuse multicolore contient de nombreuses étoiles, qui ont repoussé le cocon gazeux initial et l’ont chauffé un peu. Sa voisine, elle, n’a été créée que par une seule étoile massive : en fin de vie, celle-ci a repoussé la matière environnante avec son vent stellaire très fort et, comme elle est très chaude et brillante, le gaz a atteint une température bien plus élevée (11 000K) que le voisin et il s’est mis à briller différemment – la signature de l’oxygène (codée en bleu) est ainsi particulièrement forte © NASA / ESA / STSci, CC BY [via The Conversation]

Ce type de convention s’étend à la lumière non visible à l’œil nu : on représentera l’infrarouge proche en bleu, le moyen en vert et le lointain en rouge ; on montrera les rayons X les plus énergétiques en bleu, et les moins énergétiques en rouge.

Inspiration…

L’alchimie tout juste décrite est donc capable de produire les fameuses icônes de Hubble. Tout cela est clairement technique et vous semble probablement dénué de l’émotion intense qui vous prend à la vue de ces superbes images célestes… Comment est-ce possible, comment un tel processus génère autant de sentiment ? Cela ne doit rien au hasard et l’équipe du télescope spatial fait ici figure de pionnier : première à diffuser largement des images numériques, elle a tellement marqué le domaine que les autres observatoires ont suivi son exemple. Mais elle avait une source d’inspiration clairement identifiée : les peintures du XIXe siècle de l’Ouest américain.

Une des images iconiques prises par Hubble : les piliers de la nébuleuse de l’Aigle (image 1995, traitement 2003). Les zones noires sont hors de l’acquisition de Hubble © NASA, Jeff Hester & Paul Scowen (Arizona State University) [via The Conversation]

« Tower at Tower Falls », de Thomas Moran, à Yellowstone en 1872 (détail) © Thomas Moran [via The Conversation]

Des artistes accompagnaient en effet les premières expéditions géologico-géographiques vers le « Far West ». Leur tâche ? Tout d’abord, documenter des phénomènes ou des concrétions remarquables, mais aussi promouvoir les expéditions et leurs résultats, et ainsi obtenir des subsides des parlementaires pour les campagnes suivantes. Elles encouragèrent aussi l’installation dans ces contrées reculées, et suscitèrent des vocations d’explorateurs ou de géologues. Pour y arriver, les paysagistes composèrent des images avec des diagonales fortes ou des contre-jours impressionnants. Le parallèle entre certaines de leurs peintures et les images de Hubble est criant : colonne rocheuse et piliers de la nébuleuse de l’Aigle, montagne avec nuages tempétueux et « montagne mystique »… Les images astronomiques utilisent donc les « trucs » des peintres et photographes pour retenir l’attention et susciter l’émotion.

Far West ou espace, on trouve dans les deux cas l’attrait du spectaculaire, des belles choses jamais vues auparavant, et un rendu parfait capable de titiller à la fois les sens et l’esprit. S’y mêle le rêve romantique des contrées inviolées, jamais encore touchées par l’homme – de nouveaux espaces qui donnent au pionnier le plaisir de découvrir et d’explorer. S’y ajoute la question de la frontière : frontière de nos connaissances, frontière de notre influence, frontière à explorer – puis à dépasser. Ces images rendent finalement l’étrange et l’inaccessible familiers, elles stimulent notre imaginaire, et elles nous suggèrent d’envisager positivement un progrès futur, en ouvrant un… univers de possibilités.

Les piliers de la nébuleuse de l’Aigle… vus dans infrarouge. Les zones noires en haut à droite marquent le bord de l’image : elles sont en fait hors du champ de vue de la caméra de Hubble © ESA / Hubble, CC BY [via The Conversation]

Alors, au final, s’agit-il de « vraies » images ? Oui, puisqu’il s’agit bien de l’enregistrement de la lumière de l’objet, il ne s’agit pas de dessin fictionnel. Pourtant, il est tout aussi clair que notre œil ne pourrait évidemment pas voir la même chose : vu ses limitations, et sans même considérer les traitements appliqués à l’image, il est probable que si l’on regardait ce coin du ciel, même avec un télescope, on ne verrait pas grand-chose, et certainement pas en couleurs vu les limitations de nos yeux (pour les lumières faibles, nous voyons avec les bâtonnets, qui sont monochromatiques).

Notre dossier « HUBBLE »

En nous donnant à voir de vrais signaux astronomiques hors de la portée de nos yeux, les images de Hubble et des autres télescopes astronomiques nous emmènent dans un ailleurs inspirant…

Sciences
Astronomie : Du Soleil à la « proche banlieue » de la Terre, le recensement des étoiles s’enrichit
Sciences
Fusion de trous noirs : Quel est ce phénomène (d’une violence inouïe) qui génère des tempêtes d’ondes gravitationnelles ?

Cette analyse a été rédigée par Yaël Nazé, astronome FNRS à l’Institut d’astrophysique et de géophysique de l’Université de Liège (Belgique).
L’article original a été publié sur le site de The Conversation.

Déclaration d’intérêts

Yaël Nazé ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d’une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n’a déclaré aucune autre affiliation que son organisme de recherche.
Cet article est un résumé d’un chapitre du livre Enquêtes d’Astronomies (éd. Hermann, 2021)

Click Here: south sydney rabbitohs jersey

Les échéances s’enchaînent dans le monde de la tech, et mieux vaut ne pas avoir un smartphone trop vieux en cette période. Depuis quelques jours, des millions d’appareils Android sont privés des différentes fonctionnalités de Google.

Cette nouvelle n’est pas une surprise : la firme de Mountain View avait averti ses utilisateurs en août et l’a confirmé ce lundi, rapporte Phonandroid. Toutes les personnes possédant un téléphone qui tourne sous Android 2.3.7 ou une version antérieure ne peuvent désormais plus accéder à Gmail, Calendar ou encore Google Drive.

Android version 3 ou ultérieure exigée

L’entreprise a procédé à cette limitation « dans un souci de protection de votre compte Google, indique-t-elle sur sa page de support technique. Si vous effectuez l’une des actions suivantes […], une erreur liée au nom d’utilisateur ou au mot de passe pourrait survenir. »

Rien de plus simple pour récupérer l’usage des différentes applications de Google : il suffit de faire une mise à jour système de son smartphone afin de passer Android 3 ou une version plus récente encore. La version 2.3.7 datant d’il y a une dizaine d’années, Google espère que la plupart des utilisateurs ont déjà mis à jour leur appareil.

Une notification devrait surtout alerter les utilisateurs concernés du changement et de la nécessité d’une mise à jour. Pour les plus réticents, il est évidemment toujours possible d’accéder aux services de Google en passant par la version Web et non par les applications.

High-Tech
Samsung : Un Galaxy Z Fold 3 se met à fumer quelques jours après une chute de vélo
High-Tech
Ikea lance un nouveau chargeur sans fil qui se fixe sous votre bureau

Click Here: cheap parramatta eels jersey

A quelques jours de créer son propre parti politique, Edouard Philippe s’est exprimé personnellement sur l’épineux sujet des retraites. Pour l’ancien Premier ministre, il s’agit de « la première réforme » à faire pour réduire la dette de la France. Celui qui avait amorcé cette réforme lors de son passage à Matignon, activant même l’article 49-3, avant de stopper la machine avec la crise du Covid, a déploré que la France prèfère continuer à « danser au-dessus du volcan que prendre les mesures, drastiques – et parfois amères –, qui s’imposent ».

« A près de 330 milliards (d’euros), les pensions constituent de loin le premier poste budgétaire – plus d’un quart de la dépense publique – et le premier foyer d’économies possibles », souligne-t-il dans un entretien au magasine Challenges. Parmi les leviers à disposition, « la seule solution raisonnable est donc d’allonger la durée de vie active en repoussant l’âge de départ à la retraite à 65, 66 ou 67 ans », estime-t-il. « Ce n’est pas une mesure facile à porter, cela peut être progressif, mais ceux qui promettent de régler la question des retraites sans augmenter la durée de la vie active mentent aux Français », insiste-t-il.

Fusionner les 42 régimes de retraites en un seul

L’ancien chef du gouvernement avance aussi la possibilité de ne pas fusionner les 42 régimes de retraites en un seul – comme initialement envisagé par Emmanuel Macron – mais d’en conserver trois : « les salariés du privé, les fonctionnaires et les indépendants ». Parmi les autres pistes d’économies selon lui, la réduction du nombre de fonctionnaires dans les collectivités locales.

Le revenu d’engagement pour les jeunes, promis par Emmanuel Macron, le laisse en revanche dubitatif. Il juge que ce dispositif pourrait « désinciter à l’entrée sur le marché du travail ».

« L’idéal serait que les gens crèvent au travail, non ? »

Interrogé sur France Inter sur la retraite à 67 ans, le patron des députés LREM Christophe Castaner a estimé qu’un tel report n’était pas « nécessaire au moment où on se parle (avec) les informations que nous avons ». Mais « cela se construit et la campagne présidentielle doit nous permettre d’aborder cela », a-t-il ajouté, en relevant que « des pays voisins l’ont fait (…) : l’Allemagne, l’Italie ».

L’opposition de gauche a pour sa part fustigé les propos d’Edouard Philippe, qui n’ont selon le premier secrétaire du PS Olivier Faure « qu’un seul mérite, celui de la clarté : la dette c’est pour les retraités ; et pour tous ceux qui ne trouvent pas de boulot après 50 ans, ce sera l’assurance chômage au rabais puis la misère en attendant 67 ans ». « Pourquoi s’arrêter à 67 ans ? 70, 80, 90 ans ? L’idéal serait que les gens crèvent au travail, non ? Beau projet de société », a tweeté Ian Brossat, adjoint à la mairie de Paris et directeur de campagne du candidat communiste à la présidentielle Fabien Roussel.

Politique
Réforme des retraites : Des « parties du projet » pourraient être mises en œuvre avant 2022, annonce Gabriel Attal
Économie
Réforme des retraites : Jean Castex assure que les conditions ne sont « toujours pas réunies »

Click Here: cheap adidas women shoes

Deux nouveaux SUV pour Mazda

October 9, 2021 | News | No Comments

Après les CX-3, CX-5, CX-30 et le modèle électrique MX-30, Mazda vient d’annoncer le lancement prochain de deux nouveaux SUV, qui porteront la dénomination CX-60 et CX-80 avec respectivement 5 et 7 places. Signe des temps, ces nouveaux modèles disposeront de motorisations plug-in hybrides. Cependant, Mazda proposera également un moteur essence 6 cylindres (peut-être pas en Europe) et n’oubliera pas les grands rouleurs avec une proposition diesel. Afin de réduire leurs émissions, ceux-ci seront associés à une hybridation légère à 48V. Les Mazda CX-60 et CX-80 seront lancés d’ici 2 ans.

Automobile
L’Audi R8 monte en puissance
Automobile
SAIC a sa propre vision de la mobilité de demain

Click Here: cheap nrl jerseys

Utiliser les codes de la mode pour changer le regard sur l’amputation et aider les femmes amputées à se réconcilier avec leur féminité. C’est l’idée de Fabienne Pelosse, fondatrice de l’association OSA (Objectif Sport Adapté), qui organise, ce mercredi 29 septembre, la deuxième édition du défilé Phoenix Alternative Models aux Invalides.

19 mannequins français et italiens

En tout, ce sont 19 mannequins français et italiens, 16 femmes et 2 hommes amputés, dont le parrain de cette édition Jean-François Montoya, ex-militaire amputé fémoral de la jambe droite, et une jeune femme paraplégique  qui vont défiler dans une collection signée par le styliste italien Fabio Porliod.

« Cela ne m’a jamais posé de problème de me mettre en short, de montrer ma prothèse, explique Fabienne Pelosse, amputée tibiale depuis 2005 et athlète. Mais j’ai noté au fil des années que cela restait très difficile pour de nombreuses femmes. » Par cet événement, l’organisatrice espère influer sur le regard porté sur l’amputation : « La reconstruction et l’acceptation seraient moins lourdes si notre société était davantage ouverte à la différence. »

Pas de public mais un documentaire

L’initiative se veut aussi être un défi pour les mannequins. Pour Orietta, une Romaine de 45 ans, pour Mélanie, une Parisienne de 26 ans ou pour Elisabeth, jeune femme paraplégique et résidente aux Invalides à Paris, il s’agit de retrouver de l’assurance et de l’estime de soi, mais aussi participer à changer le regard de leurs proches et de l’extérieur sur le handicap.

Si le défilé n’est pas ouvert au grand public à cause de la crise sanitaire, il est possible de voir cette première édition dans un documentaire dédié.

Click Here: cheap converse classic chuck shoes

Société
Le design inclusif facilite le quotidien des personnes en situation de handicap
Style
VIDEO. La danseuse unijambiste Viktoria Modesta sera la future star du Crazy Horse

Quinze ans, c’est la durée moyenne d’une carrière journalistique en France. Ils sont de plus en plus nombreux à abandonner le métier qui les fait rêver pour fuir la précarité et les cadences infernales à l’ère du numérique. Dans un livre intitulé Hier, journalistes. Ils ont quitté la profession, le sociologue des médias, Jean-Marie Charon, chercheur au CNRS et à l’IHESS et Adénora Pigeolat, chercheuse à l’université Havre Normandie, tentent d’analyser le phénomène.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le nombre de journalistes titulaires de la carte de presse était de 34.132 en 2020, contre 37.392 en 2009, année la plus faste, soit un recul de 9,55 %, selon le baromètre social présenté par Jean-Marie Charon à l’occasion des Assises du journalisme qui se tiennent à Tours jusqu’à vendredi.

Une forte baisse en raison de la crise sanitaire

L’année 2020, en raison de la crise sanitaire, qui a déclenché plusieurs plans sociaux, dépôts de bilan et gels des embauches, a été marquée par une nette baisse : 389 cartes de presse en moins, soit le plus fort recul depuis l’année 2015- 2016.

Pour comprendre ce phénomène, Jean-Marie Charon et Adénora Pigeolat ont interrogé une cinquantaine d’anciens journalistes ou journalistes en cours de reconversion, dans toutes les régions françaises, Antilles et Réunion comprises.

Les jeunes et les femmes tournent le dos à la profession

La proportion assez importante de jeunes (35 ans ou moins) qui quittent la profession a frappé le duo de chercheurs. « Ces départs interpellent d’autant plus que la profession a plutôt vieilli ces dernières décennies (moyenne 44,7 ans) », notent-ils.

En majorité, ce sont les femmes qui tournent le dos à la profession : « Elles représentent deux personnes sur trois du panel interviewé ». Parmi ceux qui sont partis, beaucoup ont connu des périodes de précarité (piges, CDD, chômage, statuts non reconnus, tels que l’auto entrepreneuriat).

Une profession de plus en plus précaire

Selon les chiffres de la commission paritaire chargée de délivrer la carte de presse, la CCIJP, la part des journalistes précaires (pigistes, chômeurs) ne cesse d’augmenter dans la profession : 27,6 % (plus d’un journaliste sur quatre) et touche davantage les femmes (30 %).

Nombreux sont ceux qui se disent désenchantés : ils se rêvaient les grands reporters et se sont retrouvés éditeur Web. D’autres soulignent les horaires à rallonge, avec les permanences du week-end et les astreintes du soir.

De nombreux burn-out

Avec l’avènement du numérique, depuis le milieu des années 1990, la presse écrite a vu s’effondrer ses revenus. Et parallèlement les conditions de travail se sont sensiblement dégradées. « Les journalistes Shiva qui composent notre rédaction n’en peuvent plus », selon un des témoins cités dans le livre. Au total, « 85 % estiment qu’on leur demande de travailler plus vite qu’avant », est-il encore écrit.

Et l’activité s’appauvrit : le Web, pour beaucoup, se réduit à un « copier-coller de dépêches ». En télévision, cela peut se résumer à « filmer des conférences de presse ».

Beaucoup font état de burn-out, phénomène qui touche davantage les femmes que les hommes. Certaines font état de discrimination et de sexisme. « Les niveaux hiérarchiques les plus élevés sont occupés en majorité, voire exclusivement, par des hommes », soulignent les auteurs, évoquant le fameux « plafond de verre ».

Une vie professionnelle après la presse

Il y a en tout cas une vie professionnelle après le journalisme, notamment dans les domaines de « l’enseignement et de la communication » . A l’image de quelques grands noms de la presse qui ont rejoint par le passé les services du Premier ministre, voire du Président de la République, les sondés se sont lancés dans la communication institutionnelle des communes, départements ou régions. D’autres, déjà spécialisés dans un domaine (culture, automobile, …) « finissent par accepter une offre provenant de leurs anciennes sources ».

Click Here: New Zealand rugby store

Médias
Politico : Le site américain racheté par le groupe allemand Axel Springer
Médias
« 20 Minutes », le média qui fait du bruit

Sorciers, super-héros, magiciennes, extraterrestres. Le 7 octobre, ils s’étaient tous donné rendez-vous à New York, pour la première édition du Comic Con depuis le début de la pandémie mondiale de coronavirus.

« Les cosplaying, les déguisements avec mes amis, le fait de venir ici en groupe tout ça m’a manqué ! », s’exclame Andrea Pellot, une serveuse de 20 ans déguisée en personnage de manga. Autour d’elle, des Wonder Woman, Spider-man, ou Monsieur Spock se baladent tranquillement dans les couloirs du Jarvis Center où se tient, depuis 2006, cette convention. L’une des plus prisées par les fans de culture geek.

Un retour presque à la normale

Chez les cosplayers, si chacun avait évidemment peaufiné son costume jusque dans les moindres détails, un élément était, cette année, incontournable : le masque. Un obstacle ? Plutôt l’occasion de redoubler de créativité en en faisant un véritable accessoire de mode. « C’est tellement bon d’être là ! Même avec les masques ! Celui-ci allait avec mon personnage, car il porte un masque en métal. Et puis j’en ai un autre ici, que j’ai trouvé sur un site en ligne pour 10 dollars », s’amuse Keown Kaney, travailleur social de 27 ans, visiblement très fan du manga Dragon Ball .

Culture
« Avec Harley Quinn et Miss Marvel, la relève des super-héroïnes est assurée », raconte Trina Robbins, spécialiste du comics
Culture
Batman, Suicide Squad, Snyder Cut… L’événement DC FanDome veut sauver l’été des super-héros

Click Here: canberra raiders team jersey