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Elle a connu une notoriété fulgurante avec la série Sex Education diffusée sur Netflix. Emma MacKey, 23 ans, a attiré tous les regards, au bras de son chéri Dan, sur le tapis rouge de Canneseries.

Quel joli duo. Elle, c’est Emma MacKey, actrice franco-britannique de 23 ans. Son premier rôle dans Sex Education l’a propulsée sous le feu des projecteurs. Lui, c’est Dan Whitlam, acteur également. Sa chevelure rousse, ses yeux noisette et son mètre 95 ne sont pas passés inaperçus sur le “pink carpet” de Canneseries.
Le couple a été immortalisé mercredi soir, alors qu’Emma MacKey, venait achever sa mission de jurée de la compétition officielle et dévoiler le palmarès de cette deuxième édition du festival cannois de séries. Un peu plus tôt dans la semaine, les photographes avisés avaient surpris le couple en pleine promenade romantique sur la Croisette. L’actrice, que nous avons interviewée, ne cache d’ailleurs pas son bonheur et indique être en couple avec le jeune homme depuis maintenant trois ans.

Lui-même acteur, Dan a étudié à la très reconnue Guildhall School de musique et comédie, participé au téléfilm britannique The First Great Escape, et s’est également produit plusieurs fois au théâtre. Il a par ailleurs bien d’autres compétences puisque son profil d’étudiant indique qu’il chante, joue du saxophone, pratique des danses aussi diverses que le ballet et le hip hop. Il se montre particulièrement habile pour reproduire les accents, joue au basket, au rugby, monte à cheval, et a un très bon niveau en escalade! Dan a toutes les clés pour accéder à la célébrité. Dan était déjà au côté d’Emma lorsqu’elle tournait Sex Education – et ses scènes parfois osées encadrées par une coordinatrice d’intimité -, dans le rôle de Maeve, le premier de sa carrière.

Simple tout en étant “branchée”, Emma a conquis un public de “millenials” venus grossir les rangs de sa communauté insta en un clin d’oeil. Elle a gagné plus de 500000 followers au lendemain de la diffusion de Sex Education le 11 janvier dernier sur Netflix. (Son compte @emmatmackey est aujourd’hui suivi par 1,6 millions de personnes) Mais ses fans ne sont parfois pas très tendre avec le beau Dan. “J’ai regretté avoir posté une photo – c’était lors de la Saint-Valentin ndlr – avec mon amoureux, car il s’est pris une volée de commentaires négatifs, de la part de jaloux et je déteste le placer dans cette situation.” nous a-t-elle confié. Qu’elle se rassure, sa belle complicité avec “boyfriend” finira bien par faire taire les mauvaises langues.

Crédits photos : bestimage

Après un passage remarqué à San Sebastian et St Jean de Luz, Compte tes blessures, premier long métrage très réussi de Morgan Simon, était présenté hier en avant-première au Festival International du Film Indépendant de Bordeaux. Rencontre.

Compte tes blessures commence tout juste sa carrière en festivals, et cumule déjà les distinctions : deux prix au Festival de Saint Jean de Luz (dont le convoité prix du jury jeunes), une mention spéciale du jury à San Sebastian… Ce week-end, le film était présenté en avant-première (hors compétition) au Festival International du Film Indépendant de Bordeaux, où le film a été chaleureusement accueilli. 

Porté par Kévin Azaïs (Les Combattants), dans un rôle physique, (très) tatoué, et impressionnant en chanteur de post hardcore, Nathan Willcocks (qui a déjà tourné à plusieurs reprises pour les courts métrages de Morgan Simon) et Monia Chokri (Les Amours imaginaires, Réparer les vivants), ce premier long métrage impressionne par sa maitrise et son intensité. La sortie du film est prévue le 1er févier 2017. Rencontre avec son réalisateur Morgan Simon. 

AlloCiné : Vous êtes devenu cinéphile “sur le tard”. Pouvez-vous nous raconter votre cheminement vers le cinéma, et donc ce premier long métrage, Compte tes blessures, présenté au 5ème Fifib ?

Morgan Simon, réalisateur et scénariste : Jusqu’à l’âge de 20 ans, je n’allais jamais au cinéma. Ca ne m’intéressait pas trop. Mes parents ne viennent pas du tout de ce milieu artistique et n’ont pas du tout cette culture-là. Et je n’avais pas forcément l’argent pour aller au cinéma. J’ai fait des études de biologie. Je m’engageais plutôt dans une carrière scientifique. J’ai fait deux ans de biologie, j’ai eu mon diplôme, mais j’ai senti que je n’allais pas faire ça toute ma vie, disséquer les grenouilles.

Je me suis un peu réorienté dans une autre filière qui est la communication. C’est là où j’ai rencontré un professeur qui nous a demandé de faire des films. C’était dans le cursus. J’y ai pris goût, il m’a soutenu, la classe aussi. J’arrivais à raconter des choses alors que je n’avais aucune notion de ce qu’était une caméra, la grammaire du cinéma. Je me suis alors dit que ça pourrait être intéressant de continuer. Je faisais plein de choses tout seul : tourner, monter… Mais j’avais l’impression d’être arrivé au bout de ce que je pouvais apprendre tout seul.

J’ai tenté le concours de la Fémis, j’ai pris un petit temps pour y réfléchir et me nourrir surtout de films. En entrant à l’école, c’est là où les choses se sont vraiment ouvertes. J’ai pu grappiller tout ce que je pouvais pour faire des films. Mais sans forcément au départ me dire que je voulais être réalisateur. Je suis entré en scénario, je voulais écrire des films, c’est ça qui m’intéressait, et je me suis rendu compte au fur et à mesure que j’aimais bien travailler avec les acteurs surtout. Et finalement les films que j’allais écrire, personne n’allait les réaliser vraiment.

Tout à l’heure, à l’issue de la projection, vous encouragiez les festivaliers à aller voir le film Grave de Julia Ducournau, issue de La Fémis comme vous. Diriez-vous qu’il y a une forme de solidarité entre anciens de La Fémis ?

Je ne sais pas si c’est de la solidarité, c’est juste que la Fémis a souvent été associée, et sans doute à raison, à un certain type de cinéma français, un peu gris, un peu chiant… Finalement on se rend compte depuis quelques années qu’il y a un autre type de cinéma qui émerge de cette école, qui soit vers le film de genre, ce qui est le cas de Julia Ducournau, soit vers des films plus esthétisants et qui recherchent autre chose, par exemple avec le film de Jonathan Vinel qui est là avec Caroline Poggi, et qui sont au Fifib cette année aussi. Ca amène une autre dynamique, quelque chose qui n’est pas ce qu’on attendait de l’école il y a quelques années en fait.

Quelles sont vos références chez les réalisateurs français ?

Maurice Pialat par exemple, qui est un peu une référence pour beaucoup, en terme purement de personnages. Des films qui ne fonctionnent que sur des sentiments. Ca me touche beaucoup. Il y a le pendant américain avec Cassavettes. Dans le cinéma français, je pourrais aussi citer Jean Vigo. C’est une façon de traiter la réalité qui est très différente, qui est beaucoup plus douce, belle.

Pour Compte vos blessures, vous citez comme référence Shotgun Stories de Jeff Nichols et Il était une fois un père d’Ozu.

Oui, ce sont des références pour écrire le scénario, dans sa simplicité. Comment avec une histoire très très simple, on arrive à aller assez profondément finalement. Pour le film d’Ozu, c’est un peu l’inverse de mon film, dans le sens où c’est une relation père-fils qui est idéalisée. C’est très beau, très simple. Dans Compte tes blessures, c’est au contraire des conflits permanents qui amènent à une forme de catharsis.

Comment présenteriez-vous l’intrigue du film ?

C’est une histoire de famille bercée par du rock alternatif. Le cœur du film étant vraiment les relations père-fils, l’amour, et finalement la musique, elle intervient autour du film. Elle fait jaillir des choses de ces relations aussi.

Et c’est d’ailleurs un genre de musique, le post hardcore, que vous affectionnez particulièrement…

Oui, j’en écoute toujours, depuis une dizaine d’années. Il y a différents styles par rapport à cette musique là. Il y a un album de Dance Gavin Dance qui vient de sortir que j’écoute en boucle en ce moment. Ce qui me permet aussi d’avoir un point de vue critique sur la musique : dans ce type de musique alternatif, les groupes sont sponsorisés, il y a quand même quelque chose de marketing, ce qui n’était pas le cas il y a des années. Le propos politique est moins présent. 

Cette musique a aussi guidé le choix du titre…

Le titre du film, c’est vraiment le point de départ du film. En général, je pars toujours d’un titre, ce qui me donne une énergie, ce qui lance vraiment vers ce qu’est le film. Dans le film, Kévin Azaïs porte un tatouage qui est un détournement d’une expression anglo-saxone qui est Count your blessings, qui est aussi le titre d’un album d’un groupe très important dans ce style de musique, Bring Me The Horizon. C’est comme un pied de nez au titre de cet album.

Il y a quelque chose d’assez instinctif qui se dégage de votre film…

C’est un cinéma de jaillissement en fait. Avec ses maladresses possibles. Mais aussi avec ces découvertes qui sont au fond de nous. Tout l’enjeu du tournage, c’est de dépasser le scénario et de découvrir ses trucs qui sont au fond de nous. Il y a des scènes qui ont jailli du tournage qui n’étaient pas écrites. On ne s’est pas contenté de suivre le scénario, même si c’était solide, et que c’était le film que je voulais faire. Le scénario est une base et le tournage est l’étape suivante. C’est un piédestal pour aller ailleurs.

Parlons du casting. Comment avez-vous eu l’idée de faire appel à Kévin Azaïs ?

J’ai rencontré Kévin Azaïs dans un atelier qui s’appelle Emergence, qui me permet de réaliser deux ou trois scènes de son premier long métrage. Je l’ai associé à Nathan Willcocks et j’ai vu qu’ensemble il y avait comme des étincelles. Ca présageait des choses vraiment fortes. Il faut aussi rendre hommage à Nathan qui est un acteur avec qui j’ai fait beaucoup de courts métrages. Lui, au contraire du personnage de Kévin Azais, ne peut pas montrer beaucoup de facettes. Il doit rester très ferme. Monia Chokri est aussi vraiment magnifique dans le film. Elle apporte beaucoup de profondeur au film et aussi beaucoup d’humour.

Comment avez-vous découvert Nathan Willcocks ?

Je l’avais rencontré en première année à la Fémis. Il a un parcours assez particulier. Il est britannique, il est passé en Espagne, en France. Il a un côté très anglo-saxon tout en jouant en français. Il a quelque chose de très physique, qui amène beaucoup de tension et d’humanité. 

Un extrait du film :

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 Propos recueills par Brigitte Baronnet le 15 octobre 2016, au Festival International du Film Indépendant de Bordeaux

Louis Ducruet, le fils aîné de la princesse Stéphanie de Monaco, est un homme amoureux. Et il tient à ce que tout le monde le sache…

A 27 ans, Louis Ducruet mène une vie discrète, loin des projecteurs. Le fils de Stéphanie de Monaco et Daniel Ducruet apparaît rarement en public, se contentant de quelques apparitions au côté de sa mère, notamment lors du festival du cirque de Monte-Carlo. Mais Louis Ducruet, comme tous les jeunes gens de son âge, est un adepte des réseaux sociaux et notamment d’Instagram où il poste régulièrement des photos de son quotidien mais aussi des clichés où il apparaît avec sa compagne Marie Chevallier. Le premier mars dernier, à l’occasion de leurs 7 ans de relation, il lui avait fait une très belle déclaration d’amour : “Aujourd’hui cela fait 7 ans que je vis un rêve avec toi, Marie. Bientôt tu seras ma femme. Je t’aime tellement ma chérie“.

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Louis Ducruet a d’ailleurs mis à jour son profil Instagram avec cette mention craquante “Presque marié“, juste au-dessus d’autres informations concernant son âge, son travail ou le nom de son animal de compagnie. Si certaines admiratrices envisageaient de tenter leur chance auprès du jeune, les voilà prévenues !

Le mariage des deux amoureux a été annoncé par le palais dans un communiqué en novembre dernier et devrait se tenir l’été prochain à Monaco. Louis avait confié à ce propos que son père Daniel Ducruet, qui a récemment épousé sa compagne et mère de sa plus jeune fille, avait été très heureux d’apprendre la nouvelle, comme le confiait Louis à Point de vue il y a quelques mois : Il m’a demandé ‘Es-tu sûr de ton choix, es-tu certain de vouloir te marier, certain que le mariage te plaira ? Mais je sentais qu’il était fier, content pour moi. Je le sentais très ému”. Louis Ducruet quant à lui, n’a pas l’ombre d’un doute : il épousera bientôt l’amour de sa vie.

Instagram Louis Ducruet

Crédits photos : CYRIL MOREAU / BESTIMAGE

Stan Lee a déclaré il y a quelques semaines que plusieurs de ses fameux caméos étaient déjà en boîte. C’est maintenant au tour de James Gunn de nous en dire plus sur ces petites surprises !

Dans une récente déclaration faite à Toronto, à l’occasion de la Fan Expo Canada, Stan Lee avait annoncé que ses caméos étaient déjà en boîte pour Doctor Strange, Les Gardiens de la Galaxie 2 et Spider-Man : Homecoming. On apprend aujourd’hui grâce à James Gunn qu’il aurait non seulement filmé ces trois scènes, mais qu’une quatrième serait déjà en boîte, elle aussi !

Marvel : Stan Lee dévoile le personnage qu’il aime le moins au cinéma

Il s’agit sans doute de l’apparition de l’éditeur et scénariste doyen de chez Marvel dans Thor : Ragnarok, mis en scène par Taika Waititi, dont le tournage vient juste de toucher à sa fin. Sur Facebook, le réalisateur James Gunn a déclaré :

“Pour être tout à fait honnête, je crois que je n’ai tourné que trois des prochains caméos – l’un d’entre eux l’a été par quelqu’un d’autre. (…) Si vous avez vu son caméo dans Doctor Strange, il s’agit d’une des multiples versions que j’ai tournées ce jour-là, et Scott Derrickson s’est chargé de choisir la bonne. Si j’écris pour Stan, pourquoi se contenter d’une réplique quand je peux lui en offrir mille ? Je lui fais juste dire des phrases les unes après les autres jusqu’à ce qu’on soit tous morts de rire. Peut-être qu’un jour, quand vous aurez vu le film, Marvel me laissera vous révéler les différentes versions.”

Stan Lee, qui soufflera bientôt ses 94 bougies, semble toujours au sommet de sa forme et plus prêt que jamais à apparaître dans les productions Marvel. Il est présent d’ailleurs dans les franchises élaborées par Disney, mais aussi celles de la Fox (X-Men, Deadpool, Les 4 Fantastiques) et de Sony (The Amazing Spider-Man).  Un biopic fantaisiste sur Stan Lee verra d’ailleurs sans doute le jour prochainement.

De son côté, James Gunn a également précisé dans une vidéo filmée en direct sur Facebook qu’il n’est en rien impliqué dans un projet de suite à la saga Tron, comme aurait pu le suggérer une photo qu’il a postée récemment sur Twitter.

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Prenez des cours de caméo avec Stan Lee…

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Le royal baby Archie Harrison, né ce lundi 6 mai, dort dans une chambre dernier cri. Dans leur nurserie au Frogmore Cottage, Meghan Markle et le prince Harry ont installé un objet des plus modernes.

Frogmore Cottage a beau être une bâtisse vieille du 17ème siècle de l’extérieur, elle est en fait une maison du 21ème siècle comme on en fait peu. Meghan Markle et le prince Harry ont emménagé dans leur nouvelle maison en avril, et ont fait d’énormes travaux : des rénovations estimées à 3 millions de livres, soit environ 3,3 millions d’euros. Ils ont réhabilité les espaces extérieurs, en renforçant les dispositifs de sécurité et en installant un potager biologique.

Quant à l’intérieur, il a été transformé pour devenir leur foyer familial, à leur image. On peut notamment y trouver un studio de yoga, et un spa. Côté nurserie, avant d’accueillir leur royal baby, le duc et la duchesse de Sussex ont mis les petits plats dans les grands. En mère moderne, Meghan Markle a décoré la chambre du petit Archie Harrison Mountbatten-Windsor en utilisant les dernières technologies.

Dans notre hors-série collector dédié au royal baby, en kiosques depuis ce vendredi 10 mai, on apprend que pour endormir son enfant, Meghan Markle a adopté un écran d’ambiance mural. Quant aux murs, ils sont décorés d’une peinture végétale, respectueuse de l’environnement. Le prince Harry et Meghan Markle sortent encore une fois des sentiers battus royaux, cette fois-ci du côté de la décoration.

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Retrouvez ici tout ce qu’il faut savoir sur la grossesse de Meghan Markle.

Retrouvez aussi notre podcast Meghan et Harry : la saga – à l’occasion de la naissance du royal baby.

Crédits photos : Bestimage

Having been given a last chance by Ole Gunnar Solskjaer, the Englishman says the Red Devils manager has helped him regain happiness

Jesse Lingard admits he thought his Manchester United career was over following a social media post during a year in which family problems have taken their toll on his form.

Lingard endured a poor run of performances that cost him his place for his club and England, with a strike in the 2-1 loss to Astana last month ending a 307-day wait to score a goal.

During pre-season, the 26-year-old posted a crude video to Snapchat while on holiday with friends and was disciplined by manager Ole Gunnar Solskjaer.

Lingard, who insists the footage was published by accident, has now revealed he was given a final warning over his future by Solskjaer after thinking the incident could have ended his time at the club.

The forward, who has been criticised for his social media activity in the past, told the Daily Mail: “It genuinely was a mistake to post it. I have a lot of young followers and I would never put that out there deliberately. It was an accident.

“I was meaning to send it privately to one of my friends. I was on a plane waiting to take off. Someone from the club texted me and said: ‘Take the video down.’

“When I realised what I had done, my heart just sank into my stomach. I was like, ‘I am done at United now. This is the final straw.’

“I was told the manager was going mad, but I was in the air for two hours and literally couldn’t do anything. When I got back, I came in early to speak to the manager and apologise. He said I was on my last chance. He said I had to get my head down and that is what I have done. I am not stupid.”

The incident was a low point in a difficult year for Lingard, who has revealed he has struggled with caring for his younger brother and sister while his mother has been ill.

With Solskjaer – unaware of the problems – pressuring the player into recapturing his best form, Lingard went to the manager to explain his off-the-field concerns, which have also included his grandfather battling cancer and his grandmother being unwell.

“I wasn’t performing, and he was on me all the time. He wanted more from me,” he said. “So, I felt it was best to get everything off my chest and tell him why my head wasn’t right. So, I knocked on his door.

“I am a person who likes to deal with stuff on his own but it’s not necessarily the right thing to do. I always use the phrase ‘be yourself’ but I have realised now that there are times when you just can’t be. My dad and older brother, Louie, have been great support but some of this stuff has broken my heart, you know?”

The talk with Solskjaer proved to be a turning point, with Lingard having impressed from the start in last week’s wins over Tottenham and Manchester City after an encouraging appearance off the bench in a 3-1 win over Brighton and Hove Albion last month.

“He has just told me that everything will be okay. Maybe I just needed someone to say that. He said he just wanted the old Jesse back and maybe I can give him that now.”

Déterminée à défendre l’héritage de Johnny Hallyday et sa mémoire, Laeticia Hallyday et son entourage ne voient pas d’un très bon oeil tous les hommages et spectacles qui se montent autour de la star, sans son consentement. Mais à défaut, pour le moment, d’action en justice pour tout faire interdire, Sébastien Farran et la veuve useraient “d’intimidations”

Lors de l’une de ses rares interviews à l’occasion de la promotion de l’album posthume de Johnny Hallyday, Laeticia Hallyday semblait fourmiller d’idées pour faire vivre la mémoire de son défunt mari. Mais la bataille judiciaire concernant la succession de la star a mis un coup de frein à tous ses projets. Tant que cette guerre de succession ne sera pas réglée, la veuve du chanteur est un peu coincée. Ce qui constitue une véritable aubaine pour de nombreux producteurs qui n’ont pas hésité à s’engouffrer dans la brèche.

Les spectacles hommage à Johhny Hallyday se multiplient au grand désarroi de Sébastien Farran, l’ancien manager qui gère la carrière posthume du chanteur, et de Laetcia Hallyday. Ces derniers ont même, un temps, évoqué de recourir à la voie légale pour faire interdire toute exploitation de l’image du rockeur sans leur accord. Le projet de comédie musicaleL’idole des jeunes, le spectacle de Sylvie Vartan autour de son album Avec toi, dans lequel elle reprend les grands titres de la carrière de Johnny Hallyday, sont notamment visés. Mais d’autres sont dans le collimateur. D’ailleurs Le Figaro recensent près de 150 shows autour du Taulier…

Mais selon le journal, aucune action en justice n’a, pour l’heure, été engagée. Le quotidien évoque néanmoins des “intimidations” pour dissuader les producteurs de ces spectacles d’aller jusqu’au bout. Des informations qui rejoignent les propos de l’avocat de Sylvie Vartan. Dans une interview accordée à CNews, celui-ci avait évoqué de simples “menaces”.Ils réfléchissent à une action en justice qui viserait, au nom du droit moral de l’artiste interprète Johnny Hallyday, à interdire ce spectacle, ce qui est pour le juriste que je suis, un non-sens. On sait que le ridicule ne tue pas, heureusement, parce quec’est parfaitement ridicule d’envisager une telle action,” avait-il alors déclaré, en précisant qu’il était impossible d’interdire à quelqu’un de reprendre une chanson de Johnny Hallyday puisqu’il n’existait pas de droit moral pour l’artiste interprète. Seuls les auteurs et les compositeurs de ces chansons possèdent ce levier.

Néanmoins, même si Laeticia Hallyday veut s’opposer à tous ces hommages, elle touche tout de même des droits sur ces spectacles. En effet, les organisateurs sont tenus de déclarer les chansons qu’ils utilisent à la Sacem qui se chargent ensuite de redistribuer les droits financiers à tous les auteurs.

Crédits photos : Agence / Bestimage

Johnny Depp ne s’est pas encore relevé des accusations de violences conjugales d’Amber Heard. Alors qu’elle demande le divorce en août 2016, elle assure être une femme battue. La guerre est ouverte depuis. Une source proche de l’acteur s’est confiée à Hollywood Life sur l’état d’esprit du héros de Pirates des Caraïbes.

Ils mènent désormais l’un contre l’autre une guerre judiciaire sans merci. D’abord, Amber Heard avait demandé le divorce en août 2016, un an et demi après son mariage avec Johnny Depp, affirmant que celui-ci la battait. Après une période d’accalmie, l’actrice d’Aquaman avait publié une tribune dans le Washington Post, où elle se décrit comme une victime de violences conjugales, sans pour autant citer son ancien conjoint. Celui-ci riposte : estimant qu’il est clairement visé, il poursuit actuellement son ex-femme en justice pour diffamation et lui réclame 50 millions de dollars. Pour l’acteur, qui a d’ailleurs déclaré que c’était elle qui était violente, toute cette affaire lui porte préjudice : il aurait en outre manqué le rôle dans le dernier reboot de Pirates des Caraïbes, dont il est le héros.

Cette relation a donc viré au cauchemar pour l’acteur, qui, d’après les rumeurs, auraient mis fin à sa relation avec Vanessa Paradis pour les beaux yeux d’Amber Heard. Alors que Johnny Depp limite ses prises de parole publiques sur le sujet, une source proche de la star s’est récemment confiée à Hollywood Life. “Johnny se sent complètement utilisé par Amber et regrette d’être tombé amoureux d’elle”, raconte cette source.

Celle-ci a également confié : “il a l’impression qu’il n’a jamais eu une relation qui lui a coûté autant dans sa carrière et sa vie personnelle”. Une phrase qui n’est pas anodine puisqu’il a multiplié les relations sérieuses et les mariages au cours de sa vie.L’acteur a été marié à la maquilleuse Lori Allison pendant deux ans (1983-1985), et s’est fiancé à d’autres femmes Sherilyn Fenn (Twin Peaks), Jennifer Grey (Dirty Dancing) et l’actrice de Stranger Things, Winona Ryder. Il a également bien sur vécu une intense et longue histoire d’amour avec Vanessa Paradis 14 ans durant, de 1998 à 2012 avec qui il a eu deux enfants. Mais aujourd’hui, il est bien déterminé à ne pas lâcher pour faire payer à Amber Heard la souillure de sa réputation.

Crédits photos : Backgrid UK/ Bestimage

En décidant de mettre sa carrière de journaliste politique entre parenthèses pendant la compagne de son compagnon Raphaël Glucksmann, Léa Salamé s’est attiré de nombreuses critiques, mais aussi des moqueries. Charline Vanhoenacker s’est amusée à parodier sa nouvelle vie dans une petite vidéo publiée sur Youtube.

Le 15 mars dernier, Léa Salamé a pris une décision : “Je vais me retirer provisoirement de l’antenne de France Inter“, a-t-elle annoncé. Un choix mûrement réfléchi par la journaliste politique, qui préfère faire une pause de deux mois, pendant la campagne pour les élections européennes, de façon à ne pas être biaisée à cause des positions de son compagnon, Raphaël Glucksmann, qui s’y présente. Mais sa décision est loin de faire l’unanimité. Sa décision a été critiquée, moquée. Y compris à l’antenne de France Inter par sa consoeur Charline Vanhoenacker.

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Le 21 mars dernier, cette dernière avait affirmé : “Génial, merci, c’est trop bon ! Je vais enfin pouvoir me payer Raphaël Glucksmann  ! Excusez-moi je tenais plus  ! (…) Là j’ai deux mois, il faut que j’en profite  ! Ça va faire des vacances à Macron  !” a affirmé la chroniqueuse, qui a affirmé qu’elle avait “freiné (ses) ardeurs par amitié” envers Léa Salamé.

Il n’aura pas fallu attendre bien longtemps à Charline Vanhoenacker pour se moquer du couple. Ce lundi 1er avril, elle a publié sur Youtube une vidéo dans laquelle elle parodie la nouvelle vie de la journaliste et de l’homme politique. Elle se glisse dans la peau de sa consoeur, tandis que Guillaume Meurice imite son compagnon, qu’ils qualifient de “rois de la politique“. Alors que lui s’extasie de son meeting qui a rassemblé “au moins 70 personnes” – bien loin des importantes audiences de sa compagne – elle affirme s’ennuyer et ne pas savoir quoi faire de ses journées. Une parodie qui risque de faire rire jaune la principale intéressée, qui nous avait confié au sujet de son compagnon : “Je le soutiens, je l’accompagne dans ses réflexions, mais ce qui compte le plus à mes yeux, depuis quinze ans c’est ma neutralité politique: personne ne sait pour qui je vote.

Crédits photos : JACOVIDES-BORDE-MOREAU / BESTIMAGE

Sophie Davant a l’habitude de titiller l’équipe de C’est au programme. Ce jeudi 4 avril, l’animatrice, qui était visiblement très en forme, s’est gentiment moquée de l’accent d’une de ses chroniqueuses.

Sophie Davant n’en n’est pas à son coup d’essai en matière d’humour. L’animatrice, qui présente deux émissions sur France 2, a pris l’habitude de titiller ses équipeset même les invités qui se rendent dans ses émissions. C’est ce qui s’est produit avec l’une de ses chroniqueuses, ce jeudi 4 avril, sur le plateau de C’est au programme.

Anne-Marie Revol consacrait ce jeudi sa chronique à Sarah Ourahmoune, une championne de boxe, médaillée d’argent aux Jeux Olympiques de Rio en 2016. La sportive est devenue un modèle pour les jeunes femmes des quartiers, comme le souligne la chroniqueuse de Sophie Davant, qui revenait sur son parcours. « Les quartiers, elle en vient. Elle est issue d’une famille d’origine algérienne, elle a été élevée au milieu de quatre frères et sœurs, il a fallu qu’elle trouve sa place. Ils ont eu des moments très durs, la mère s’est battue (…) », explique-t-elle en préambule.

Avant de lancer la séquence de sa rencontre avec la championne de boxe, Anne-Sophie Revol a reçu un petit tacle de la part de l’animatrice de C’est au programme. Cette dernière s’est moquée de son accent, un brin bourgeois : « Dis donc, Anne-Marie, vous vous êtes rendue dans les quartiers ? », s’interroge-t-elle, nous rappelant ainsi une certaine Béatrice de Montmirail. La chroniqueuse lui répond, avec le sourire : « Non, en banlieue de Paris », affirme-t-elle. Et Sophie Davant de reprendre, tenant son accent : « En banlieue ? Vous avez franchi le périphérique ? », s’étonne-t-elle. Une petite moquerie qui a, heureusement pour elle, amusé sa chroniqueuse.

Crédits photos : Capture d’écran France 2