Month: August 2021

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George Carroll Jr. has joined MLW. Carroll previously worked for Ring of Honor and New Japan Pro Wrestling. He held the title of U.S. Director in New Japan, as the man at the head of the company’s push into America.

MLW CEO Court Bauer commented on Carroll’s signing.

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“The World of MLW never stops…and we keep staffing up. Happy to welcome George Carroll to the group. George is a big get for us.”

MLW was founded in 2002 and ran for two years before shutting down. The company restarted in 2017 and has been going strong since then. MLW features such stars as The Hart Foundation, Ray Fénix, Pentagón Jr. and Filthy Tom Lawlor.

Carroll’s role in MLW has yet to be announced. It’s unknown if he will appear on camera or work behind the scenes as he did in both Ring of Honor and New Japan.

George Carroll Jr. joins MLW https://t.co/WHjwpNc5hx pic.twitter.com/N45Uz3rJJD

— Major League Wrestling (@MLW) March 15, 2019

In tonight’s WWE SmackDown Live main event, Kofi Kingston ran the gauntlet, taking on five of the very best WWE Superstars to try to earn a WWE Title shot.

Vince McMahon had promised The New Day member one final chance to earn his way into the WWE Championship match at WWE WrestleMania 35, which was the gauntlet match.

Kingston was tasked with defeating; both members of The Bar, Rowan, United States Champion Samoa Joe, and Randy Orton.

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The entire second hour of the show was dedicated to Kingston running the gauntlet and against all the odds, Kofi was able to defeat all five men, seemingly earning a WWE Championship match at WWE WrestleMania 35.

However, Vince McMahon then appeared and revealed that Kingston had to win one more match to get the title shot, and that match was against the WWE Champion, Daniel Bryan.

Despite Kingston’s best efforts, in the end, Bryan would pick up the victory with the Running Knee finisher and, as it stands, Kofi is NOT going to WrestleMania 35.

WWE Raw Live Events Results
Amherst, MA
3/24/2019
Results courtesy of Fightful.com 

1. Drew McIntyre def. Dean Ambrose

2. No Way Jose def. EC3

– Segment with Finn Balor and Elias.

3. Apollo Crews def. Harper

4. Natalya def. Alexa Bliss via DQ. Lacey Evans interfered in the match.

5. Nikki Cross & Natalya def. Alexa Bliss & Lacey Evans

WWE Women’s Tag Team Championship Match

6. Sasha Banks & Bayley (c) def. The Riott Squad (Ruby Riott & Sarah Logan) to retain.

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7. Mojo Rawley & The Ascension (Konnor & Viktor) def. Titus O’Neil, Zack Ryder & Curt Hawkins

RAW Tag Team Championship Match

8. The Revival (c) def. Bobby Roode & Chad Gable to retain

No-DQ Match

9.Braun Strowman def. Baron Corbin

We are ONE WEEK away from the biggest event in sports entertainment, and WWE hasn’t publicly said word one about the status of their most globally recognized mega star.

According to Dave Meltzer of the Wrestling Observer, there actually is “a deal on the table” for John Cena to compete in a match next Sunday at WrestleMania, and it is currently expected that he will be in action.

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It has been rumored that the 16-time world champion may end up as the surprise opponent for Kurt Angle, who is retiring at WrestleMania in a match against Baron Corbin. If Meltzer’s report is accurate, Angle is not the opponent WWE has in place for Cena next weekend.

Un prototype de « Réacteur thermonucléaire expérimental international » – ou ITER – est actuellement en phase de conception, selon notre partenaire The Conversation.Le projet ITER est un hors norme : il est issu d’un partenariat entre plus de trente pays pour un budget d’environ 20 milliards d’euros sur plusieurs décennies.L’analyse de ce phénomène a été menée par Emmanuel Franck, chargé de recherche à l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria).

Une énergie propre, sans risque d’accident grave et quasiment illimitée ? Cet objectif qui fait rêver est associé au principe de la fusion nucléaire depuis des décennies. À tel point qu’en 1986, malgré leurs fortes divergences, Ronald Reagan et Mikhaïl Gorbatchev proposèrent une coopération permettant de tester cette approche. Ce projet, rejoint depuis par l’Union européenne, l’Inde, la Chine, le Japon et la Corée du Sud a pris le nom d’ « ITER », pour « Réacteur thermonucléaire expérimental international ». Finalement initié en 2006, il fournira une preuve de concept que la fusion peut être une source d’énergie. La prochaine étape, un prototype à l’échelle industrielle, est en conception et s’appelle Demo – elle serait certainement mise en œuvre en pratique si ITER démontrait que l’on peut tirer de l’énergie d’un tel réacteur.

Quels principes se cachent derrière ce nom désormais bien connu ? Comment développer un projet d’une telle envergure en pratique ?

Qu’est-ce que la fusion nucléaire ?

L’énergie nucléaire est connue car elle nous permet, notamment en France, de nous alimenter en énergie, mais aussi bien sûr à cause des risques qui lui sont associés et qui ont mené à des accidents célèbres, en particulier ceux de Tchernobyl en 1986 et Fukushima en 2011.

Exemple d’une fission nucléaire de l’uranium © Fastfission/Wikipedia CC BY-SA

Cette énergie est basée sur une réaction atomique, la fission nucléaire, qui consiste à casser un atome lourd en deux atomes plus légers. Dans les réacteurs actuels, c’est l’uranium qui est fissionné par collision avec un neutron, formant par exemple un atome de krypton et un second de baryum ou encore strontium et xénon. Lors de cette réaction, une partie de la masse initiale est convertie en énergie qu’on récupère et la réaction libère également un neutron qui, lui-même, va aller « casser » un autre atome et ainsi de suite. Hélas, il est possible de perdre le contrôle de ces réactions successives, ce qui peut mener à des accidents.

Dès les années 1940, les scientifiques G. P. Thomson et M. Blackman ont postulé, en déposant un brevet de réacteur, qu’il existait une approche qui consiste plutôt à « fusionner » deux atomes légers en un plus lourd avec là encore une perte de masse qu’on peut récupérer sous forme d’énergie cinétique (particule rapide), puis sous forme de chaleur. Cette réaction est celle qu’on retrouve au cœur de notre soleil et de la plupart des étoiles. Ces recherches ont commencé il y a soixante-dix ans et ITER ne commencera à être testé qu’en 2025. Pourquoi est-ce si long ?

Un noyau de deutérium et un noyau de tritium fusionnent en un noyau d’hélium © Wykis/Wikipedia CC BY-SA

Pour une raison finalement assez simple. Pour fusionner deux atomes d’hydrogène – le plus petit et le plus simple des atomes à fusionner, il faut chauffer le gaz d’hydrogène à plusieurs millions de degrés lorsque le gaz est très dense (plusieurs dizaines de fois la densité de l’aire), comme c’est le cas dans le soleil. Pour des densités plus raisonnables, que l’on considère en pratique dans un réacteur (plusieurs milliers de fois moins denses que l’air), il faut atteindre une température entre 100 et 150 millions de degrés. Évidemment, aucun matériau connu ne peut résister à de telles conditions. Comment chauffer alors un gaz à cette température et l’enfermer dans un réacteur sans danger ?

Heureusement, à cette température les gaz deviennent chargés électriquement, les électrons se séparent des atomes et on parle de « plasma ». L’idée géniale des scientifiques russes Igor Tamm et Andreï Sakharov dans les années 1950 a été de proposer un dispositif appelé « tokamak ». Il s’agit d’enfermer le plasma dans une chambre en forme de donut, ou « tore » en langage mathématique, et de le contraindre à tourner à l’intérieur du tore sans jamais s’approcher des bords à l’aide de champs magnétiques extrêmement puissants qui confinent le gaz au centre du tore.

L’objectif d’ITER est de savoir si cette technologie peut être utilisable pour la production d’énergie. Pour cela, ITER cherche à produire plus 5 à 10 fois d’énergie que celle utilisée pour chauffer le plasma et pour le confiner pendant quelques minutes. Si tel est le cas, on pourra passer à des prototypes industriels d’ici à 2050 ou 2060.

Le plasma dans sa cavité torique. Un humain indique l’échelle, en bas à droite © ITER

Bien que le principe des tokamaks existe depuis la fin des années 1950, la construction d’ITER n’a commencé qu’à la fin des années 2000. En effet, la technologie des tokamaks est très compliquée et on a construit, au fur et à mesure des années, des tokamaks de plus en plus complexes et de plus en plus grands jusqu’à ITER qui devrait être le premier à produire plus d’énergie que celle utilisée pour le faire fonctionner.

Quand le numérique permet de mieux contrôler les risques et les coûts

Une des difficultés centrales pour faire fonctionner la fusion nucléaire est la gestion des « instabilités » : le confinement du plasma à 100-150 millions de degrés par le champ magnétique aura forcément de petits défauts. Ces défauts peuvent conduire une portion du plasma à « s’échapper » vers le bord de la chambre de confinement, conduisant au mieux à une perte d’énergie, au pire à des dégâts très lourds sur la chambre de confinement (ce type de dégâts ne donnerait pas lieu à un accident nucléaire type Fukushima, mais aurait un coût financier très important).

De la fumée noire s’échappe du réacteur n°3 de la centrale nucléaire de Fukushima, au Japon, le 21 mars 2011 © REUTERS/Ho New

Un enjeu central est donc de détecter et prédire ces instabilités afin de les contrôler ou de les éviter. Une chambre de confinement ainsi que la plupart des dispositifs sont très chers et on ne peut pas se permettre de tester directement les solutions pour le contrôle des instabilités dans un vrai tokamak. Par conséquent, les physiciens utilisent des modélisations mathématiques et numériques de la dynamique du plasma dans la chambre de confinement afin de tester de potentielles méthodes de contrôle et de détection. Il s’agit d’abord de transcrire le problème sous la forme d’équations mathématiques (très complexes, car couplant des phénomènes se déroulant à différentes des échelles de temps et d’espace), puis de résoudre ces équations à l’aide de superordinateurs ce qui va permettre de prédire l’évolution du plasma et sa réponse à une nouvelle méthode de contrôle.

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Ce processus de modélisation/simulation est en fait très fréquemment utilisé dans l’industrie et en physique : en météorologie pour prévoir la météo, pour la prédiction de tsunami, en médecine pour les jumeaux numériques ou encore dans l’automobile et l’aviation pour tester les prototypes. Ce type d’outils est utilisé pour simuler séparément les différents phénomènes présents dans un tokamak, car on ne sait pas encore modéliser le fonctionnement complet. Cela a déjà permis de proposer plusieurs pistes pertinentes pour le contrôle d’instabilités ces dernières années.

Notre dossier « Nucléaire »

Depuis peu, ces modèles numériques combinent approches physiques (modèles de mécanique des fluides et d’électromagnétisme) et méthodes d’intelligence artificielle, qui permettent de construire des modèles prédictifs à partir de données expérimentales ou de données issues des simulations.

D’un point de vue scientifique, ITER est un projet hors norme. Il est issu d’un partenariat entre plus de trente pays pour un budget d’environ 20 milliards d’euros sur plusieurs décennies. Il mobilise physiciens théoriciens, ingénieurs, spécialistes des matériaux, informaticiens, mathématiciens, qui collaborent afin de faire de ce vieux rêve une réalité pour la génération suivante pour qui l’enjeu énergétique sera central.

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Cette analyse a été rédigée par Emmanuel Franck, chargé de recherche à l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria).
L’article original a été publié sur le site de The Conversation.

Déclaration d’intérêts

Emmanuel Franck a reçu des financements de Eurofusion.

Les livreurs au sac à dos vert de Deliveroo bientôt absents des rues espagnoles ? Le groupe britannique a annoncé vendredi qu’il envisageait de quitter l’Espagne, qui obligera dès le 12 août les applications de repas à domicile à salarier leurs livreurs.

« Deliveroo annonce aujourd’hui son intention de réaliser une consultation parmi ses employés sur la cessation de ses opérations en Espagne », a indiqué la société dans un communiqué.

Une réforme du code du travail

Cette annonce intervient alors que l’Espagne est devenue mi-mai le premier pays européen à légiférer sur le statut de ces livreurs aux conditions de travail souvent très précaires, dont le nombre n’a cessé d’augmenter ces dernières années dans les rues des grandes villes, sous l’impulsion de sociétés comme Deliveroo, UberEats ou Glovo.

Le gouvernement de gauche a réformé le code du travail afin de donner automatiquement un statut de salariés aux livreurs, jusqu’ici considérés comme des travailleurs indépendants. Les entreprises devront désormais payer des cotisations sociales pour que leurs livreurs puissent bénéficier d’une protection sociale. Madrid a donné aux entreprises trois mois pour se mettre en conformité avec la réforme, un délai qui expire le 12 août.

« S’il faut respecter le droit du travail, cela ne les intéresse pas de continuer à opérer ici »

La nouvelle législation « n’est pas le motif pour lequel Deliveroo a pris cette décision », qui se base sur un motif « purement économique », a toutefois déclaré un porte-parole de l’entreprise, assurant que l’entreprise avait « la capacité financière pour prendre en charge l’embauche des livreurs ». Mais, « notre position depuis le début est que (la loi) n’est pas adaptée aux conditions du marché et aux conditions de travail », a-t-il précisé.

Pour le syndicat Riders X Derechos, en pointe dans la lutte pour les droits des livreurs, « le message est clair : s’il faut respecter le droit du travail, cela ne les intéresse pas de continuer à opérer ici », a-t-il réagi sur Twitter.

« Un rendement incertain »

Deliveroo affirme dans son communiqué que l’Espagne pèse trop peu pour la plateforme, car elle « représente moins de 2 % de la valeur brute des transactions au premier semestre 2021 ». « Pour maintenir une position de marché de premier rang en Espagne, il faudrait un niveau d’investissement très élevé avec un rendement potentiel très incertain sur le long terme qui pourrait affecter la viabilité économique du marché pour l’entreprise », poursuit la société, présente dans 12 pays.

L’objectif est de « concentrer les investissements et les ressources de l’entreprise sur les autres marchés dans lesquels elle opère », ajoute Deliveroo, qui prévoit que la procédure de consultation des livreurs dure un mois à partir de début septembre.

En Europe, les livreurs sont généralement considérés comme des travailleurs indépendants, notamment en France.

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C’est lors d’une vente organisée aux USA le 13 août prochain par Bonhams que sera proposé ce Toyota Land Cruiser 1980. Il appartient actuellement à un des plus grands acteurs du monde, qui met aussi en vente sa caravane Airstream qu’il a utilisé sur les plateaux de tournage durant des années. On a plutôt l’habitude d’imaginer les acteurs dans des limousines de prestiges ou dans des supercars italiennes, alors à qui donc appartient ce véhicule simple et rustique? A un acteur lui aussi très simple, qui ne joue pas les people et n’affiche pas un train de vie somptuaire. Un indice ? Il est multi-oscarisé et dit que la vie est comme une boîte de chocolats.

Pas d’origine

Gagné, c’est bien le merveilleux Tom Hanks qui se sépare de son bon vieux Toyota. Mais sachez que le véhicule n’est pas totalement d’origine. Hanks lui a en effet apporté quelques modifications.

Le moteur a été remplacé par un V8 4.3l Chevrolet LS avec boîte de vitesse ad-hoc (mais connectée à la transmission 4×4 d’origine), les suspensions ont été modifiées pour plus de confort, l’habitacle est équipé d’une climatisation, d’un système hi-fi assez haut de gamme et… de sièges électriques d’origine Porsche (sièges d’origine fournis).

Sincèrement, quand on voit les enchères atteintes par des voitures “Fast & Furious” à peine présentables, on peut s’étonner qu’une voiture de Tom Hanks soit si faiblement estimée.

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« Un triomphe »: synopsis et bande-annonce

August 2, 2021 | News | No Comments

Un triomphe en salle le 1 septembre 2021 est réalisé par Emmanuel Courcol. La durée du film est de 100 minutes.

On y retrouve le casting suivant : Kad Merad, David Ayala, Lamine Cissokho, Sofian Khammes, Pierre Lottin, Wabinlé Nabié, Alexandre Medvedev, Saïd Benchnafa, Marina Hands, Laurent Stocker.

Alors c’est quoi l’histoire ?

Un acteur en galère accepte d’animer un atelier théâtre en prison pour boucler ses fins de mois. Surpris par les talents de comédien des détenus, il se met en tête de monter avec eux une pièce sur la scène d’un vrai théâtre. Commence alors une formidable aventure humaine.

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Fiche d’identité

Sortie : 1 septembre 2021

Genre : Comédie dramatique

Titre original : Un triomphe

Durée du film : 100 minutes

De Emmanuel Courcol

Avec Kad Merad, David Ayala, Lamine Cissokho, Sofian Khammes, Pierre Lottin, Wabinlé Nabié, Alexandre Medvedev, Saïd Benchnafa, Marina Hands, Laurent Stocker

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L’équipe de France de basket 3×3 a perdu face aux Etats-Unis en demi-finale puis à la Chine en match pour la 3e place, ce mercredi aux JO de Tokyo. Les Bleues, prétendantes au titre, étaient effondrées après ces rencontres, mais se consolaient avec le sentiment d’avoir pu montrer le charme de leur discipline, que beaucoup ont découvert sur ces Jeux.Le format a plu dans l’ensemble, en espérant que dans trois ans à Paris, le public pourra en profiter depuis les tribunes. 

De notre envoyé spécial à Tokyo,

Elles rêvaient d’une apothéose mais n’ont récolté que frustration et regrets. Les Bleues du basket 3×3 ont perdu face aux Etats-Unis en demi-finale puis contre la Chine en match pour la troisième place, ce mercredi à Tokyo. Prétendantes au titre du haut de leur statut de numéro 1 mondiales, Ana-Maria Filip, Laëtitia Guapo, Mamignan Traoré et Marie-Eve Paget se sont montrées trop maladroites pour espérer une autre issue lors de ces deux fins de match au couteau (défaites 18-16 et 16-14).

C’est dommage, car une médaille aurait aidé cette nouvelle discipline à se faire une place encore plus marquée dans le paysage olympique – vue de France, évidemment. Beaucoup ont découvert à l’occasion de ces Jeux cette version réduite du basket, qui se joue sur un demi-terrain et un seul quart-temps de 10 minutes. Pas le temps de s’ennuyer, c’est comme dans la cour de récré. On ne s’arrête pas après un panier, il faut juste ressortir de la zone pour pouvoir réattaquer (sans forcément faire de passe). Et tant pis pour ceux qui ne suivent pas.

« Contentes et fières pour la discipline »

Alors oui, ça part parfois dans tous les sens, avec un gros déchet technique sur certaines séquences, mais c’est aussi ce qui fait son charme. Le rythme dingue et la vitesse d’exécution induisent forcément des erreurs. Notre observation principale depuis la tribune : vraiment cool, mais il ne faut pas être cardiaque, ni épileptique.

Les collègues du 5×5 ont kiffé. Evan Fournier a parlé de « révélation » sur Twitter, Sandrine Gruda d’un « bol d’air frais ». Mais les réactions ont dépassé le cadre du basket. Pour leur entrée en matière face aux Etats-Unis samedi dernier, les Bleues ont eu droit à la visite du président Macron, assez admiratif devant l’intensité de la rencontre. Jolie reconnaissance. « On est contentes et fières pour la discipline. Nous, on la porte haut dans nos cœurs, alors on est heureuses que le format plaise », positive Guapo malgré la désillusion du jour.

« C’est un sport qu’il faut voir en live »

« On a reçu beaucoup de messages. C’est une fierté d’avoir partagé notre sport, on va se consoler avec ça », ajoute Filip, pas loin des larmes quand même. Présente à Tokyo pour commenter les matchs de ses anciennes coéquipières sur France TV, Céline Dumerc était dans les tribunes ce mercredi. Croisée entre les deux matchs, elle raconte comment elle a été convaincue alors que ce n’était pas gagné.

« Ce n’est pas du tout une discipline qui m’attirait jusqu’à ce que je vienne la voir en live », dit-elle, nous faisant comprendre qu’elle chambrait pas mal Marie-Eve Paget (qui joue avec elle à Basket Landes) sur le sujet. « Moi ce que j’aime dans le basket, c’est la collaboration, la construction, le collectif. Le 3×3 demande d’autres qualités, reprend-elle. Mais c’est la première fois que je les vois en vrai, et ça n’a rien à voir avec ce que j’avais pu observer à la télé. C’est un sport qu’il faut voir en live, c’est là où il prend tout son sens. Tu te sens proche des joueuses, ça envoie, tu passes un super moment. J’étais à fond ! »

La vice-championne olympique 2012 y voit même un intérêt pour le 5×5.

Ça peut être un complément pour certains athlètes qui manquent d’agressivité ou de confiance en eux, parce que ce format t’oblige à prendre tes responsabilités, à être indépendant. Il n’y a pas de coaching derrière, tu dois te débrouiller, observe-t-elle. Ça t’oblige aussi à ne pas rester sur tes erreurs, t’as pas le temps. Ça peut être très formateur. »

La question de la spécialisation des joueurs et joueuses pour faire avancer la discipline va forcément se poser. Mais on n’y est pas encore. « Ça ce sera une question de business. Si les gens peuvent en vivre, oui il y aura des joueurs uniquement de 3×3. Mais pour l’instant c’est une passion, répond Dumerc. On en parle avec « MEP » (Paget), je la vois en plus du 5×5 se taper des exercices de PMA et tout pour se faire la caisse. Elle fait ça parce qu’elle en veut, parce qu’elle a ce rêve olympique, mais je pense qu’elle ne pourra pas faire ça des années encore. C’est super exigeant, ça prend du temps. »

Quelques similitudes avec le 5×5 quand même…

Partis d’une feuille blanche en 2011, les équipes de France garçons et filles se sont structurées. Depuis 2018, des moyens supplémentaires, financiers et humains, ont été alloués dans l’optique de ces Jeux. Ça ne s’arrêtera pas là, avec la perspective de Paris 2024, mais cela prendra du temps. « Cette première édition aux JO a été un moment important pour la promotion de cette nouvelle discipline. Elle a montré tout son potentiel », estime le président de la FFBB Jean-Pierre Suitat, qui promet qu’elle aura toute sa place dans les trois ans à venir.

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En attendant, on a quand même noté quelques similitudes entre le 3×3 et le 5×5. Déjà, avoir une Golgoth à l’intérieur, ça aide à gagner des matchs. On l’a bien vu lors de la demie avec l’Américaine Stefanie Dolson, 1,96 m pour 106 kg, deux fois All-Star WNBA et qui a fait un chantier pas possible sous le panier. Et puis la petite dernière elle aussi possède ses polémiques sur l’arbitrage, avec des Bleues qui avaient le sentiment de s’être fait voler sur une balle donnée aux Américaines à 16-16, malgré de vidéo. Mais elles reviendront, promis, avec en plus une « énorme soif de revanche », annonce Laëtitia Guapo.

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Spotify a annoncé ce lundi le lancement de la fonctionnalité « What’s New » (« Quoi de neuf » en français). Elle a été conçue pour que « vous ne ratiez jamais les dernières nouveautés des émissions et des artistes que vous suivez », promet la plateforme de streaming sur son blog. Les responsables ont expliqué être partis du constat qu’il était parfois difficile de se repérer parmi plus de 50.000 heures de nouveaux contenus déposés sur Spotify chaque jour.

L’outil se présente sous la forme d’un fil d’informations actualisé en temps réel, au fur et à mesure de l’arrivée de nouveaux fichiers. Pour y faire figurer les œuvres des artistes qui les intéressent, les utilisateurs doivent se rendre sur les pages de ces derniers. Il leur suffit alors de cliquer sur « Follow » (« Suivre », en français) pour intégrer cette source à l’outil « What’s New ».

Déjà disponible sur iOS

La fonction est déjà disponible dans le monde entier sur les terminaux fonctionnant sous iOS. Spotify la proposera « dans les semaines à venir » sur les appareils Android. L’accès direct au fil d’actualités ainsi personnalisé se fera en cliquant sur une icône en forme de cloche placée en haut à droite de l’écran d’accueil, montre la vidéo de présentation de l’outil.

Spotify promet des nouveautés « rassemblées à un seul endroit » et filtrées afin de « trouver vos favoris plus vite ».

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